Reprise du message précédent :
 
donc toi aussi tu es pour la suppression de l'IR et donc l'augmentation équivalente de la TVA ? tu auras l'impression de gagner plus ?  

de toutes manières le budget de l'Etat ne peut pas être diminué d'une année sur l'autre....(au mieux il est équivalent, sinon il est en augmentation)  conclusion  (niveau CP) : tout ce que l'on te donnera d'une main, on te le reprends d'une autre... donc si certains candidats à la présidentielle prone la suppression de l'IR, il est illlusoire de penser que cela fera plus d'argent à la fin du mois  

je ne vois pas comment tu as pu déduire ça de mon post
j'ai juste dit que ça permet d'avoir un ordre de grandeur pertinent

je ne l'ai pas déduits, je l'ai sorti de mon imagination débordante  
 
 
mais esboy et llfou je suis d'accord avec vous en fait , j'avais juste envie de vous taquiner un peu, j'ai le droit non ?  

si car tu sais très bien que la vie est injuste

En toute rigueur il faudrait déduire tous ls impôts, mais la TVA est en boucle avec les dépenses, donc pas trop évident (si on investit, épargne par ailleurs).
Par simplification, je serais d'accord pour déduire du revenu les impôts se rapportant directement au revenu, voire au patrimoine (si calcul "individuel", pas à fin de comparaison de salaires évidemment), pas ceux se rapportant à la conso.
Le net dispo permet alors d'investir/épargner ou de faire face au coût de la conso, tva incluse.
Anyway...

Ca part en vrille par rapport au sujet initial du topic là

 
 
Je decouperais plutot la vie d'un homme en 3 étape : ado puis jeune adulte célibataire puis célibataire avec enfant/femme ...  
 
La ou je veux en venir, travailler comme un bourin jusqu'a 35 ans pour finir rentier apres te permet de vivre certe tres bien avec ta femme et enfant mais tu as ratté une partie de ta vie : ta vie de célibataire libre ou tu avais peu de contrainte et tu t'en morderas les doigts .  
 
Donc la solution de travailler comme un taré n'est pas la solution jusqu'a 35 ans n'est pas la solution pour moi

 
Je vois pas où j'ai dit qu'il fallait bosser comme un taré jusqu'à 35 ans    Je dis juste qu'il ne faut pas se limiter à sa région natale pour conserver son confort personnel, surtout à l'heure ou la mobilité est très présente dans les entreprises.
 
Etant originaire des contrées du sud, j'ai un ami qui a tenu à tout prix à rester dans nos belles régions ensoleillées -> BAC+5 ingénieur payé 1300€ net et déplacements très réguliers à Paris et en Belgique    
 
Ce n'est qu'un exemple mais ca reflète pas mal la tendance aujourd'hui. Alors je préfère bien gagner ma vie à Paris et repartir chez moi pour profiter de mon argent le week end.
 
Voilà c'est mon avis.

Je voudrai monter ma boi-boite avec des softeux à l’étranger qui vont développer pour moi et je vivrai à saint raph, ça sera le pied  

Intéressant ce topic, c'est amusant de voir la conception de la vie et du travail des uns et des autres et surtout de ceux qui ne bossent pas encore
 
Bref pour commencer à bosser, après avoir refusé de faire un phd aux US pour rester avec ma nana, j'avais choisi de ne jamais aller à Paris et rester en province avec ma petite femme le temps qu'elle termine ses études.  
Je suis ingé d'une école plutôt bonne, ma nana est en master de droit des affaires. Tout semble rouler, sauf que même si la vie est très agréable en province, professionnellement c'est vraiment galère se s'épanouir!
Les gens voient 'petit' et pas bcp plus loin que le bout de leur nez, ils ne connaissent pas grand chose en dehors de leur domaine... Je bosse en SSII (ma seconde) depuis 2 ans et demi, et contrairement au tableau dressé plus haut, c'est plutôt la glande et la loose! Même en province c'est 35k pour 40h/semaine environ à ne pas trop se fatiguer intellectuellement.
J'avoue que c'est ce qui me manque. Je pensais que la qualité de vie était plus importante que l'épanouissement dans le boulot; finalement l'épanouissement intellectuel dans le boulot est très important pour moi.
Certes je ne rentre pas très tard, je fais pas mal de sport, je profite de la vie... mais je me fais globalement chier toute la journée sur des problèmes techniques simples
 
Et finalement, à l'opposé de ce que je m'étais toujours dit, dans un an (fin de master 1 pour ma copine) ou 2 ans, on va monter sur Paris. L'évolution y est plus rapide, le changement de voie aussi, et surtout les boulots qui m'intéressent ne sont pas en province
Donc même si je déteste cette ville, je me dis simplement que je serais plus heureux là bas professionnellement.
C'est un gros sacrifice, mais ça n'empiètera pas sur ma vie familliale car ma parternaire a la même vision des choses que moi (sur ce coup là j'ai du bol), et on a tout les deux envie de partir à l'étranger par la suite.
 
Et puis sur paris, d'ici un an ou deux je pourrais demander facilement 45k; ça ne doit pas poser trop de pb pour trouver un appart, et quand ma nana travaillera aussi ça sera vraiment peinard
 
 
Pour ce qui est d'être rentier à 35 ans c'est déjà raté pour moi; reste que si ma femme se débrouille bien et que je passe par un bon MBA, je devrais pouvoir la prendre à 40/45 ce qui n'est déjà pas si mal
 
 
 
 
 

 
Tu peux etre dans la meme situation sur Paris.
En tout cas, vu le temps qu'on passe au boulot dans sa vie (1/4 du temps), y a intéret à ce que se soit épanouissant et qu'on s'y plaise.
 

 
Pk ?
 

 
C'est clair.
Et si y a 2 salaires, c'est le pied.

 
L'air, la polution, le métro, le bruit, le stress ambiant... Le côté craignos de pas mal de quartiers!
 
Je vais au boulot à pied, je me déplace en voiture facilement, je prends mon vélo et en 10 minutes je suis dans les bois et en 15 minutes à pied je suis au centre ville...  
 
Bref ça va être dur...

T'es dans quel coin actuellement ?

 
Nantes

 
Jean pierre pernaud, sors de ce corps !
 
plus serieusiement, c'est pas toi qui va aller faire de l'audit puis TS chez Price ?    
 
quand tu veux pour un verre sur paris (avant fin decembre hein)

Topic intéressant en effet.
 
Ma propre expérience sur le sujet est la suivante:
j'ai vécu toute ma vie, ou presque désormais, à Strasbourg -oui, il y fait parfois froid mais nous avons beaucoup moins de pluie que d'autres villes françaises du fait de la présence des Vosges soit dit en passant et la chaleur estivale est très dure car du pur plomb -, j'y ai fait mes études et j'adore réellement cette ville plus que toute autre.  
j'ai décroché mon BAC+5 (Maitrise de Biochimie Structurale et DESS en Infochimie) et ai commencé par chercher du travail dans le coin, prêt à partir en Suisse (Bale est proche) ou en Allemagne mais bon, faute de Thèse ou d'expérience suffisante dans mon domaine, j'ai vite été calmé et ai compris que soit je m'obstine au risque de ne pas aller bien loin avant longtemps soit j'ouvre mes perspectives à autre chose. Après un an à chercher activement du travail dans ma branche et beaucoup de refus, je me suis fait une raison.  
J'ai choisi Paris, je suis actuellement dans une SSII et ça se passe plutôt pas mal. Vous aurez compris que je n'y suis pas par choix mais par nécessité mais je me suis adapté.
Mon soucis principal, il y a un an lors de mon arrivée, était de faire venir ma (prochaiement) madame que j'avais rapatriée à Strasbourg 3 ans plus tôt... de RP!!!  
 
J'ai aujourd'hui un appartement à Paris, je gagne honorablement ma vie (beaucoup ici me diraient que je suis un smicard+ mais bon, j'y arrive très bien avec ce que j'ai, question de gestion). Ma (prochainement) madame (BAC+4 + 2,5 d'XP) est venue me rejoindre au bout de 10 mois et au bout de 1mois a trouvé un travail.
 
Oui la vie est chère, le logement surtout mais le coût de la vie (courses & Co) est assez proche de celui de Strasbourg donc le fossé est assez faible de ce côté-là. Il y a beaucoup d'opportunités de sortie que je n'avais pas à Strasbourg niveau concerts, théâtres, musées. Oui, il faut payer mais en Régions ou à Paris, il le faut bien et les tarifs sont rarement très éloignés pour un même spectacle. Avec une bonne gestion des fonds, on y arrive assez facilement.
 
L'Alsace et l'Allemagne me manquent à bien des égards mais bon, j'ai fait le choix de gagner ma vie et non de galérer encore, l'année à chercher un premier emploi a été assez compliquée comme cela à tous le niveaux, il me fallait avancer.
Des problèmes familiaux par ailleurs ont un peu contribué à accroître mon envie de partir pour souffler un peu.
 
Dans la bataille, celle qui se sacrifie le plus est ma (prochainement) madame. C'est d'ailleurs son avis qui serait plus intéressant.  
En quittant la RP pour moi (vie personnelle prioritaire), elle a trouvé une qualité de vie plus agréable.  
A Strasbourg, tout est à 15minutes (pieds, tram, voiture) dit-on souvent en riant et ce n'est pas si faux que cela mais elle a quitté sa mère et ses amies, la rémunération qu'elle pouvait espérer (étudiante à l'époque des faits) en RP était aussi supérieure. ELle a galéré au début mais s'est vite fait à cette vie.
En revenant à Paris (toujours vie personelle prioritaire), forte de ses 2,5 ans d'expérience, elle a retrouvé du travail assez rapidement, sa mère et ses amies mais en a quitté d'autres, acquis un logement et va avancer dans la vie sur le plan professionnel et personnel.
Quelquepart, j'ai peut-être fait le choix inverse: partir pour assurer une vie professionnelle décente que je ne pouvais pas avoir autrement afin d'avoir une bonne vie personnelle.
 
Pour avoir un petit confort ou maintenir son niveau de vie, il faut des rentrées d'argent, quand tu n'en as pas faute de travail... tu vas où le travail se trouve. C'est bassement mathématique. Dans mon cas, ce fut un choix compliqué à faire mais simplifié par les origines de ma (prochainement) madame. Ce n'est pas toujours le cas et c'est fatalement plus dur à faire.
 
Le jeu en vaut-il la chandelle? Je ne le sais pas vraiment, honnêtement, si je pouvais avoir la vie que je mène à Paris à Strasbourg, peut-être serait-ce là pour moi le Bonheur...
Une de mes rares certitudes est que j'y retournerai.  
 
Je concluerai simplement par une évidence: si vous êtes seul et aventurieur, désireux de voyager, loin ou moins loin, tentez le coup. C'est bien sûr moins difficile qu'à deux car la moitié a son mot à dire.
Toute expérience ailleurs et a fortiori à l'étranger est bonne à prendre car très formatrice, on peut y trouver d'ailleurs quelquechose qui nous plait davantage que la vie qu'on mène là où l'on est, mais ce n'est pas toujours ainsi. J'ai un pote qui est parti en Australie il y a 3 ans, il en revient, assez de sa vie professionnelle là-bas.  
Il a désormais pour projet l'entreprenariat à Shangai... il le peut, il est seul. A 2, pas sûr qu'il le ferait.
 
note: désolé pour le pavé

Très intéressant

Pour ma part je suis à Toronto depuis 2 mois, j'ai un taf pas de blem mais je ne suis là que pour un an. J'avais bien mesuré certaines difficultés inhérentes à ce genre d'expérience surtout que je suis parti seul, sans travail à l'arrivée, pas de connaissances sur place, bref juste un logement et un visa.

Là ou j'ai le plus de mal c'est concernant la vie sociale car se retrouver loin de tous ses postes, vivre en décalé avec toutes tes connaissances c'est pas évident. Alors bien sûr on peut se refaire un réseau sur place mais ça prend du temps et de l'energie. Ensuite comme le dit le dicton, on sait ce qu'on perd, pas ce qu'on gagne.

Bref mon rêve d'ado de partir à l'étranger en a pris un coup, je suis pas totalement contre mais je relativise sur certains points.

Je suis parti en Chine sans visa (longue durée j'entend), sans logement et sans connaitre la langue, j'ai plein de potes de toutes nationalités et je pense pas que sortir dans un bar pour rencontrer des gens puisse vraiment etre considéré comme "du temps et de l'énergie".
 
C'est une question de personnalité je pense.

J'ai lu avec interêt les quatres pages de ce sujet,et j'éprouve comme un malaise.
 
Certes,l'âge moyen dans un tel forum est peu élevé,mais il semblerait qu'au delà de 40 ans,en dehors d'une forme de retraite,vous n'ayez pas grand chose à proposer.
 
Cela m'inquiète d'autant plus, que certains semblent occuper des postes à responsabilités et sont donc appelés à gérer parfois des recrutements j'imagine.
 
Quel espoir peut donc avoir un candidat quadragénaire face à vous alors qu'il est supposé avoir fini sa carrière ?....
 
Le pire est que les offres d'emploi et le marché du travail dans des domaines relatifs à l'informatique semblent être tout à fait le reflet de l'esprit que je vois apparaitre ici.
 
Pourtant,j'ai cru comprendre que l'âge supposé de départ à la retraite pour la plupart des travailleurs tourne théoriquement autour des 65 ans,et peut-être bientôt plus.
 
Cela nous laisse donc 25 ans à combler entre l'âge auquel les recruteurs ne veulent plus d'eux,et l'âge auquel la société est supposée leur accorder une forme de repos.
 
Mais que diable faire durant ce quart de siècle hormis vivre sur le dos des gens qui se refusent à leur donner du travail  ?...
 
Au fait,qui suis-je ?....
 
Simplement un étudiant de 37 ans en DUT d'informatique en cours du soir auquel on a déjà expliqué qu'il est un peu tard pour se former mais que ma foi,si je prenais sur mon temps libre pour poursuivre des études,cela me regardait,du moment que j'ai un boulot en journée.
 
On m' a aussi expliqué que le secteur est complètement bouché et qu'il est hasardeux de s'orienter vers un tel domaine,alors que ce matin encore,j'ai entendu comme quoi les métiers de l'informatique allaient être ouverts aux étrangers hors CEE eu égard la suppposée pénurie de main d'oeuvre....Il y a quelque chose qui m'échappe....Hormis peut être l'appétit de chair fraiche et de bas salaires des recruteurs...
 
Question subsidiaire : Connaitriez-vous un forum ou un lieu d'expression de femmes et d'hommes travaillant dans le domaine de l'informatique,ayant plus de quarante ans voire même la cinquantaine ?....J'ai l'impression d'être parfois dans " L'âge de Cristal " en flanant sur les forums les plus fréquentés.
Vous savez,ces gars qui vous regardent avec un petit sourire en coin, forts d'un certain vécu ne voulant pas trop passer pour des "vieux" mais qui se disent intérieurement :" Mon garçon,j'étais comme toi à ton âge,et tu verras que le jour où tu te prendras une bonne claque,tu changeras un peu..."
Ils ont tellement de choses à dire et à nous apprendre quand on prend le temps de les écouter...

 
Je parle de manière générale, prendre tes marques sur place, t'intégrer à la culture locale etc... C'est pas non plus la mort, en 15 jours j'avais un taf et un club de sport donc un début de vie sociale simplement entre fréquenter des gens dans ce contexte, aller dans un bar (seul pour rencontrer du monde ?) et te faire vraiment des AMIS, je trouve qu'il y a une différence et que cela demande du temps et de l'énergie, sans être insurmontable.
 
Après je suis d'accord avec toi, c'est aussi une question de personnalité.
 
Et je serai intéressé de savoir comment se passe ton séjours en Chine ? Pourquoi la Chine ? Comment tu as fait si tu connaissais pas la langue etc... ?
 

EN REPONSE A PierreLyon
 
Je suis en train de commencer ma carriere et je rejoins ce que tu dis, je pense que tu es dans le vrai.
Mais personnellement, au-delà de 40 ans je lacherai les nouvelles technos et je compte m'installer dans un endroit sympa et ouvrir un resto ou un bar et me "la couler douce".
 
Quand je vois mon père à 55 ans qui est expert télécom chez Alcatel et passe encore ses journées devant des maquettes et des terminaux (meme s'il est tres bien payé et aime çà), je me promet de ne jamais finir comme çà.
 
Commencer l'info à 40 ans, faut etre maso à mon avis ...

Un restau français à Toronto, ya de quoi se la couler douce car yen a pas vraiment Bon par contre faut pas vouloir se la couler douce au soleil

Alex, en quoi la vie professionnelle de ton pote en Australie ne lui plaisait pas ?

 
Faut pas trop ecouter les gens ... y a pas d'age pour se former et décrocher des diplomes ! Par contre faut positiver.
Sinon y a un site et un forum pour toi : munci (forums.munci.org).

Topic super intéréssant et en plein dans mes problèmatique. Encore étudiant, je me demande encore ou bosser pour satisfaire vie privée/professionnelle. J'évalue l'option étranger  et l'option province, mais apparemment, aucune n'est vraiment satisfaisante. Toujours des sacrifices a faire, je pense que c'est normal.
 
toutefois , si on peut avoir d'autre retour..

C'est à toi de voir où tu veux vivre, l'importance d'un travail interessant pour toi, de l'importance de la rémunération et de ce que tu es prêt à sacrifier en sachant que tu ne pourras globalement pas tout avoir.
Ca peut être bien de partir à l'étranger un an ou deux pour voir autre chose et pour te déterminer sur ce qui est fondamental pour toi.

Je me vois pas travailler plus tard (dans 3-4 ans en fait) ailleurs que dans une région proche de la nature, mais surtout de la montagne. Ca tombe plutôt bien puisque l'industrie de régions comme Grenoble ou la Suisse francophone sont bien spécialisées dans les métiers auxquels j'aspirerai sûrement. Au pire, Amérique du Nord.
 
Mais faudrait vraiment qu'on me fasse un pont d'or pour rester sur Paris, et dans l'ingénierie c'est mal barré.

Oui, partir en échange a l'étranger et y effectuer un stage me permettra d'y voir plus clair.  
       
      J'adore tellement le sud de la france, Montpellier, Nimes,Tarbes ou j'ai passé mes plus belles années... Comme beaucoup le problème est que l'épanouissement dans un job important et intéressant , bien rémunéré compte aussi. Je suis sur qu'on peut avoir le beurre et l'argent du beurre lol
 
      C'est rare mais pas complètement utopique : pourquoi ne pas tenter, en parallèle de son job, de réaliser son rêve ou un projet qui nous tient à cœur plutôt que de placer trop d'espoir dans le boulot ? Perso, moi je vais écrire. Je me débrouille deja comme ça dans mon école de commerce et ca va bien mieux  
 
       Plutôt que de chercher le boulot idéal, mieux vaut réaliser son idéal à coté enfin, c'est plus facile a dire qu'a faire et je dérive un peu dans le hors-sujet par rapport au thread ^^

Drapal

Tu peux tout à fait être bien payé dans la ville qui te plait.
Cependant il faudra peut-être en passer par des étapes qui te plaisent moins.  Par exemple, tu peux développer une expérience et devenir un expert dans un domaine que tu pourras revendre dans les entreprises de la ville qui t'intéresse à terme ( chimie à Lyon, aéronautique à Toulouse). Par contre, si tu veux rentrer à un haut salaire faudra peut-être passer par du conseil à Paris ou une expérience à l'étranger pour amener une valeur ajoutée et le salaire qui va avec.

Drapal, à +  

 
Non en fait je pense que tu es en plein dedans et je suis complétement d'accord
 

Je m'apercois de mon inculture "hfresque" mais que veux dire "drapal"  ?

Ça signifie qu'il n'a pas compris que pour être notifié à chaque fois que quelqu'un écrit dans ce topic, il suffisait de l'ajouter en favori (l'étoile). Il préfère donc poster pour rien pour marquer le topic ...

[HS]Rien ne dit qu'il n'a pas compris, je préfère faire un drapal qui est une "tradition" plutôt qu'utiliser l'étoile perso.[/HS]

Sinon je donnerai mon avis sur la question dans quelques temps, je n'ai pas encore commencé ma carrière mais ça ne saurait tarder. Mais je pense que beaucoup en font des sacrifices mais dans l'autre sens c'est à dire ne pas accepter telle ou telle proposition, ne pas partir à l'étranger etc... car ça impliquerait trop de changements pour l'entourage (femme, enfants etc...). Après a tort ou a raison... je ne sais pas.

Ma nana vient par exemple de refuser un contrat d'un an au Brésil pour qu'on puisse rester ensemble C'est un beau sacrifice de carrière pour sa vie privée non ² ?

 
 
Si j'ai bien suivi toi tu voulais partie en VIE assez loin aussi c'est ça?
Du coup vous partez où si c'est pas indiscret?

Oui... et non, j'espère qu'elle n'aura pas a le regretter plus tard en te mettant tout sur le dos .