Reprise du message précédent :

 
les affaires reprennent

 
Et bien...On n'a pas fini de pleurer du côté de la jonelière.  

 
Au début j'ai lu Utaka et là ça fait tout drôle.
 

 
La comparaison de merde

 
280 ans de mon salaire  

'lu
 
ayant (enfin ) récupéré une clé wifi (merci Orange pour le SAV de m*rde ), j'ai de quoi lancer mon focus initialement prévu le 11/07
 
Vu que c'est mon 1er focus, j'aimerais bien que vous me dites les défauts de celui-ci (trop long/court, pas assez détaillé sur certains points etc ....) de manière a m'ameliorer
merci

     FOCUS : Ivan Zamorano
 

 
   Telles furent les paroles de Luis Zamorano, à sa compagne Alicia, à propos de son très jeune fils Ivan, le futur « Ivan el terrible ».
 
 
 
   Né le 18 janvier 1967, à Santiago, où il effectue un cursus scolaire basique, Ivan Luis Zamorano Zamora fut remarqué très tôt pour son talent et sa passion pour le football. Passant par plusieurs clubs dans sa jeunesse (dont Cultural Villa Mexico et Benito Juarez)  il signa  son premier contrat professionnel à Cobresal, prêté dans la foulée au club de Trasandino, en 1985.
Expérience concluante.
 
 
   De retour de prêt (prêt d’un an), Zamorano explosa les deux années suivantes avec le club de Cobresal (en tout, 35 buts marqués en 29 matchs joués, et meilleur buteur de la division en 1987), qui gagna même la Coupe du Chili (1987). Il attira l’attention des recruteurs d’Europe et d’Amérique du Sud. Les plus grands championnats lui tendent les bras.
 

 
 
   Il débarqua ainsi en 1988 à Bologne, Italie, dans la foulée prêté au club de Saint-Gall (Suisse), officiellement histoire de s’accoutumer aux championnats européens (officieusement non blairé et discriminé par l’entraîneur de l’époque, il évoluera  ainsi 2 ans à Saint-Gall). « Adaptation » ultrarapide car il finira meilleur buteur du championnat suisse (1989).
 

 
 
   En 1990, l’entraîneur chilien du FC Séville, Vicente Cantatore, lui propose de rejoindre Séville et d’évoluer dans la Liga espagnole, challenge qu’accepte Zamorano. Il y révèlera au monde entier ses qualités techniques et son physique à toute épreuve (c’est à cette époque qu’il acquiert le surnom d’Hélicoptère).
 
   Il rejoint le Real Madrid en 1992. Il y étoffe son palmarès, avec une Coupe du Roi, une Supercoupe d’Espagne et finira deuxième meilleur buteur du championnat avec 27 réalisations (saison 1992/93). Ivan « Bam-Bam » Zamorano tutoiera les sommets en 1995, terminant Pichichi de la Liga et champion d’Espagne avec le Real.
 

Franz Beckenbauer  
(Delantero = attaquant)
 
 
(accroupi, au milieu)
 
 
   Il revint en Italie en 1996, à l’Internazionale, où il gagne la Coupe UEFA (1998). Ne pouvant point porter le numéro 9 (numéro réservé à Ronaldo, par contrat entre Ronaldo et Nike), il s’amusa à insérer un signe « + » entre les chiffres 1 et 8 de son maillot . Mais, souvent blessé, il ne retrouvera jamais son efficacité d’antan.
 
 
   Il terminera sa carrière de club à Colo-Colo en 2003 (après un bref passage au Club America, club mexicain), accomplissant le rêve de son père. Zamorano jouera quelques matchs. Son dernier match (la finale du championnat national) fut marqué par son expulsion, due à une explication plus que musclée avec l’arbitre du match (insultes et bagarre devant les caméras de télévision).  
 
 
 
   Mais Ivan Zamorano, c’est aussi une romance avec la sélection chilienne (« la Roja »). Associé à Marcelo Salas, ils formeront l’une des paires d’attaquants les plus efficaces de la sélection.
3 faits illumineront sa carrière en sélection nationale :
 
   le premier fut sans aucun doute la qualification pour la Coupe du Monde France 1998 (définitivement acquise face à l’Équateur, 4-1, doublé de Zamorano ce jour là), ainsi que cette même Coupe du Monde, où le Chili parvient à se hisser jusqu’en huitièmes de finale.
 

(après le huitième de finale, en compagnie de Ronaldo, son compère de l’Inter en ces temps là …..)
 
   Le second fut la troisième place glanée aux jeux olympiques de Sydney 2000 (Chili éliminé en demi-finale par le futur vainqueur, le Cameroun). Il finira même meilleur buteur de la compétition, avec 6 réalisations.  
 
   Le dernier acte, étant sans nul doute le plus mémorable, son dernier match avec la « Roja ».
Face aux champions du monde français, il joua ses 85 dernières minutes avec la sélection avant de sortir sous une ovation du public chilien.
Il y eut des cris de joie, diverses émotions, et aussi des larmes. Le Chili battait la meilleure équipe du monde, mais perdait un joueur qui donnait tout ce qu’il pouvait pour défendre ses couleurs nationales.
 

 

 
 
Quelques statistiques de son passage à l’Inter
 
Une petite compil’ des buts de Zamorano  

le real veut ballak et robben c'est en bonne voie
http://www.lequipe.fr/Football/bre [...] 09Dev.html

Beau focus  

Fort joli focus, consigné en Page 1.
 

Il me gave ce Real Madrid avec ses sous  

M6 Investigation sur les Hools (pour ceux qui l'ont raté)
 
Très bon reportage en 5 morceaux.

Let's go to Gerland.

 
En fait c'est plutôt Houllier et Wenger qui sont copains comme cochons
 
Et Rémi garde a des bons rapports avec Arsenal aussi.

 
 
 
en fait ces equipes la concentrent tous les meilleurs joueurs de la planetes (barca manu, chelski, real) . Ils ont tellement de joueurs qu'ils ne s'en servent meme pas...c'est un gros gachis

J'ai bien aimé le lyonnais et ses vidéos THT   , le reste fait très cliché ...  

Une idée que je trouve sympa meme si pas forcement super réalisable, donc idée du président de Sochaux :
 

 
Ca pourrai etre interessant sur le papier, et puis ça serai vraiment un Trophée des Champions...
 

Je plussoie aussi pour un tournoi à 4 !

Ca pourrait avoir le mérite d'être original, au lieu de vulgairement copier les autres pays.

 
Merci pour l'explication

 
 
tres bon reportage mais moi ce ne me choque pas, les mecs viennent et savent pourquoi ils sont la, ya pas de surprise, ya des regles (pas darmes), en general pas de mort... c'est juste un gros fight club

Mais tu trouves ça normal ?

fight club porte bien son nom

Merci

 
C'est justement quasiment la même chose qu'en Allemagne ce qu'il propose

http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Nivel
 
Il n'est pas mort

comme toi.
et pourtant...

 
 
Ouias un peu comme en allemagne quoi ! je serais pour !

 
dans un sens oui, les hommes sont des animaux et certains ont des pulsions de violence. il vaut mieux qu'ils les exercent entre eux plutot que de prendrer a parti des gens qui n'ont rien a voir non?

pourquoi prendre comme excuse un match de foot, pourquoi ils ne le font pas en privé ou sur un ring de boxe?

Bonjour tout le monde,

Inter - Valence : 0 - 1

merci   (meme si je ne prend pas)
tu capseras egalement les buts d'arsenal-psg?

ca m'étonnerait...

 
The centre ...

.

 
 
parcequ'il sont trop beauf pour s'astreindre a la discipline et au travail que requiert la boxe. Un footeux ca tourne au hotdog et au ricard