le jeune cycliste qui se comportait comme un « fou », un « animal » voulant le tuer lui et sa fille se trouvant avec lui. C’est donc pour « fuir » qu’il aurait accéléré.

le jeune cycliste qui se comportait comme un « fou », un « animal » voulant le tuer lui et sa fille se trouvant avec lui. C’est donc pour « fuir » qu’il aurait accéléré.

le jeune cycliste qui se comportait comme un « fou », un « animal » voulant le tuer lui et sa fille se trouvant avec lui. C’est donc pour « fuir » qu’il aurait accéléré.

L’après-midi du drame, le père de famille, domicilié à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), doit emmener son adolescente de 17 ans à un rendez-vous à 17h20 chez un ophtalmologue parisien. Et il est en retard. Pas vraiment dans ses habitudes. Mais là avec tous ces bouchons, c’est mission impossible. Pas le choix, se dit-il, il va emprunter la piste cyclable. C’est loin d’être le seul interdit qu’il transgresse lors de ce trajet.
 
D’après nos informations, une dizaine d’infractions auraient été constatées. Feux rouge brûlés, couloirs de bus empruntés, cyclistes frôlés… Pendant près de 200 mètres, selon le parquet de Paris, il remonte donc la piste cyclable du boulevard Malesherbes. Et pour autant, il se retrouve bloqué. Il est environ 17h30.
 
Paul Varry est alors juste devant lui, sur sa gauche. Ils sont arrêtés tous les deux. Le conducteur lui demande de se « décaler ». « Gentiment », prétend-il. Le cycliste lui répond qu’il ne peut pas. Le ton monte. Le jeune homme lui reproche de lui avoir roulé sur le pied. D’après le père de famille, il aurait alors « tapé comme un malade » sur le capot de son SUV. « Pour alerter le conducteur », considère plutôt le ministère public. Le chauffard « aurait dans un premier temps reculé, dégageant le pied ». Paul Varry avait lâché son vélo pour se positionner à l’avant gauche de la voiture, « manifestant son mécontentement », indique le parquet.
 
Selon la même source, le conducteur tourne ses roues en direction du piéton et reprend une marche avant en sa direction. En clair, d’après les témoins, il accélère et l’écrase. « L’autopsie a confirmé les marques d’un franchissement du corps par le véhicule, précise l’accusation. La vidéosurveillance montre une surélévation de l’avant, puis de l’arrière du côté gauche du véhicule. ».

le jeune cycliste qui se comportait comme un « fou », un « animal » voulant le tuer lui et sa fille se trouvant avec lui. C’est donc pour « fuir » qu’il aurait accéléré.

L’après-midi du drame, le père de famille, domicilié à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), doit emmener son adolescente de 17 ans à un rendez-vous à 17h20 chez un ophtalmologue parisien. Et il est en retard. Pas vraiment dans ses habitudes. Mais là avec tous ces bouchons, c’est mission impossible. Pas le choix, se dit-il, il va emprunter la piste cyclable. C’est loin d’être le seul interdit qu’il transgresse lors de ce trajet.
 
D’après nos informations, une dizaine d’infractions auraient été constatées. Feux rouge brûlés, couloirs de bus empruntés, cyclistes frôlés… Pendant près de 200 mètres, selon le parquet de Paris, il remonte donc la piste cyclable du boulevard Malesherbes. Et pour autant, il se retrouve bloqué. Il est environ 17h30.
 
Paul Varry est alors juste devant lui, sur sa gauche. Ils sont arrêtés tous les deux. Le conducteur lui demande de se « décaler ». « Gentiment », prétend-il. Le cycliste lui répond qu’il ne peut pas. Le ton monte. Le jeune homme lui reproche de lui avoir roulé sur le pied. D’après le père de famille, il aurait alors « tapé comme un malade » sur le capot de son SUV. « Pour alerter le conducteur », considère plutôt le ministère public. Le chauffard « aurait dans un premier temps reculé, dégageant le pied ». Paul Varry avait lâché son vélo pour se positionner à l’avant gauche de la voiture, « manifestant son mécontentement », indique le parquet.
 
Selon la même source, le conducteur tourne ses roues en direction du piéton et reprend une marche avant en sa direction. En clair, d’après les témoins, il accélère et l’écrase. « L’autopsie a confirmé les marques d’un franchissement du corps par le véhicule, précise l’accusation. La vidéosurveillance montre une surélévation de l’avant, puis de l’arrière du côté gauche du véhicule. ».

le jeune cycliste qui se comportait comme un « fou », un « animal » voulant le tuer lui et sa fille se trouvant avec lui. C’est donc pour « fuir » qu’il aurait accéléré.

L’après-midi du drame, le père de famille, domicilié à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), doit emmener son adolescente de 17 ans à un rendez-vous à 17h20 chez un ophtalmologue parisien. Et il est en retard. Pas vraiment dans ses habitudes. Mais là avec tous ces bouchons, c’est mission impossible. Pas le choix, se dit-il, il va emprunter la piste cyclable. C’est loin d’être le seul interdit qu’il transgresse lors de ce trajet.
 
D’après nos informations, une dizaine d’infractions auraient été constatées. Feux rouge brûlés, couloirs de bus empruntés, cyclistes frôlés… Pendant près de 200 mètres, selon le parquet de Paris, il remonte donc la piste cyclable du boulevard Malesherbes. Et pour autant, il se retrouve bloqué. Il est environ 17h30.
 
Paul Varry est alors juste devant lui, sur sa gauche. Ils sont arrêtés tous les deux. Le conducteur lui demande de se « décaler ». « Gentiment », prétend-il. Le cycliste lui répond qu’il ne peut pas. Le ton monte. Le jeune homme lui reproche de lui avoir roulé sur le pied. D’après le père de famille, il aurait alors « tapé comme un malade » sur le capot de son SUV. « Pour alerter le conducteur », considère plutôt le ministère public. Le chauffard « aurait dans un premier temps reculé, dégageant le pied ». Paul Varry avait lâché son vélo pour se positionner à l’avant gauche de la voiture, « manifestant son mécontentement », indique le parquet.
 
Selon la même source, le conducteur tourne ses roues en direction du piéton et reprend une marche avant en sa direction. En clair, d’après les témoins, il accélère et l’écrase. « L’autopsie a confirmé les marques d’un franchissement du corps par le véhicule, précise l’accusation. La vidéosurveillance montre une surélévation de l’avant, puis de l’arrière du côté gauche du véhicule. ».