Reprise du message précédent :

Pour citer un participant à ce topic : "tu extrapoles"  

 
  Excellent choix    
 
 
Je m'avoue vaincu  

Bin ouais j'ai pas dit que c'est faux j'ai dit "huhuhu"    
 
On pourrait presque qualifier de troll ton utilisation de "autant pour moi" vu le lourd historique ici-bas des débats traitant de cette formule

Je me retrouve bien dans ce que tu dis.
J'ai même eu une prof que me mettait ma note "virtuelle" : - 5, - 15, - 50 des fois ! Même si dans l'ensemble les profs ont plutôt été compréhensifs avec moi.
 
C'est facile quand on est doué dans un domaine de dénigrer ceux qui y sont nuls, que ce soit pour l'orthographe, le sport, la musique, l'informatique, etc.
 
Ps : N?hésitez pas à corriger mes fautes, ça m'instruira.

Pour ma part ce n'est pas tant les fautes qui me gênent (je me suis déjà expliqué sur le sujet : fautes d'orthographe pas grave, de grammaire un peu plus, mais quand ça devient autre chose que du français c'est pénible, même si ça n'a plus rien à voir), mais plus les réactions de certains (on en voit sur le topic) qui seraient presque fiers de faire des fautes.  
Evidemment il n'y a pas à avoir honte si on fait de son mieux mais quelquefois on se glorifierait presque de sa médiocrité

chtigarix > On est d'accord.

 
Je partage aussi cet avis ,moi-même ,je ne suis absolument pas doué ni avec la grammaire ,ni avec l'orthographe.
Je pense que tout à chacun, possede des aptitudes qui lui sont propre, c'est un mal bien fraçais que de juger des gens sur leurs ecrits plutôt que sur le contenu de leurs pensées,
le fond prime sur la forme, tout les journalistes ,écrivains se font corriger leur fautes ,pourtant personne ne met en cause ,leurs capacitées.
Pour information ,l'orthographe et la grammaire française ont été volontairement compliqué a partir du 17e siecle pour limiter son bon usage à une élite.
Bon nombre de nos voisin ont simplifier leur orthographe ainsi que leur grammaire.
Je trouve déplorable que la France n'est pas eut le bon sens de faire de même au bout de trois siécles (le dernier à vouloir changé ça fut Rocard ,qui se heurta à de tels retissences de la part de conservateurs qu'il abandonna vite son projet).
Ce que l'on peut trouver comme chevaleresque à grader cette langue "immuable" devient aujourd'hui grotesque,et il ne faut pas s'etonner de voir la desaffection croissante des etudiant étranger face a notre culture ,lui preferant celle de shekspear plus abordable.

D'où vient l'information    

 
Pris sur le fait! Tu viens de le prouver toi-même!!!!    
 
Avant, on disait tout simplement : "source?" , ce qui était beaucoup plus facile à écrire sans fautes.

   
La médiocrité élevée au rang de vertu.

Intelligence et orthographe ne sont ( AMA ) certainement pas corrélées.
Et je ne pense pas non plus que ce soit un signe suffisant pour déterminer une éducation. Si je prend mon cas personnel comme exemple, j'ai toujours été nul en orthographe, et ce depuis la primaire jusqu'à aujourd'hui ( j'ai 27 ans maintenant ). Le fait que j'ai fait des études de maths n'a pas aidé : très rapidement, je n'ai plus beaucoup écrit de phrases construites, mais beaucoup de formule et de signes mathématiques. Donc, j'ai fait des études supérieures réussi qui provent a priori que je ne suis pas quelqun de stupide, et pourtant je suis nul en orthographe.
Ensuite j'ai commencé à bosser dans l'info, ça a été de pire en pire. Mais maintenant, je commence à faire sérieusement attention : avec l'expériences pro, vient aussi les responsabilité, et il est donc nécessaire de rédiger fréquement des documents à destination de clients, ou même simplement des docs techniques qui doivent être clairs et bien écrit pour 1. être bien compris et 2. pour ne pas être pris pour un charlot mais pour quelqun de sérieux et compétent.
Du coup, aujourd'hui, je fais des efforts, mais ça reste difficile pour moi, car j'ai toujours l'impression de perdre un temps précieux en relecture et en attention. Je pense plus vite que j'écris, et il m'arrive fréquement d'oublier un mot par ci par là, de sauter une lettre, etc. On peut donc dire que cet exemple confirme l'idée qu'une bonne orthographe soit plus en lien avec le respect des lecteurs éventuels et signe d'une certaine rigueur ( mais pas général, juste dans la rédaction )
Pour conclure, contrairement à l'idée que se font beaucoup de gens, je ne pense pas non plus qu'une bonne orthographe soit liée aux lectures. Je lis en moyenne 2/3  bouqins par mois depuis que j'ai 12 ans, et ça ne m'a jamais apporté une bonne orthographe...

 
tu es tout de même largement au dessus du lot  , même après corrections fastidieuses tes tournures de phrases font que les fautes ortographo grammaticales ne te rendent pas incompréhensible.

J'ai l'impression que tu ne fais pas gaffe . Cette faute-ci était facile à corriger :

Ben pourtant, il faut que je relise 3 fois la phrases pour trouver l'erreur ! Veridique ! Je crois qu'en fait, je ne lis pas vraiment les mots lettre après lettre, mais plutot mot par mot, en reconnaissance visuel global. Je lis assez vite en général et si je lis des docs techniques ou des trucs gros pavés dans lesquels je cherche une info particulière, je lis plutot ligne par ligne voir par petits paragraphes plutot que mot à mot. Je pense que c'est pour ça.  

 
 
IL !

http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] 0&subcat=0

On n'en a pas le même emploi. Il m'arrive de vouloir répondre à qq1 qq chose comme 'je viendrai demain', le 'si' étant sous-entendu avant dans la conversation. La distinction futur / conditionnel se fait par mon emploi du ... présent pour indiquer le futur (je viens demain).
 

Avoir des distinction à l'écrit pour des homophones.
 

Je parlais du rajout du 'peut-être' pour distinguer les homophones : je viendrai / je viendrais. Dans les exemples que tu donnes, le conditionnel est distinguable du futur : faudrait / faudra, serait / sera. Vouloir, conjugé au conditionnel ou au futur, exprime toujours du conditionnel.
 

Je parlais de l'imparfait du subjonctif & autres.
 

On ne s'est pas compris. Je ne vois aucun intérêt à distinguer à l'écrit des homophones. Ça encombre la langue d'accents & de consonnes que je trouve inutiles : on comprendrait à l'écrit, on serait paumés dès lecture à haute voix ? Non ! Autant écrire de façon non ambigüe. (Ce qui est quand même pas très dur.)
 

Ton argument est valable, pourrait être ressorti il y a 500 ans, et toujours l'être. Depuis, on a simplifié et on se comprend toujours. Pourquoi ne pas simplifier davantage ?
 

C'est vrai aujourd'hui, je ne dirai jamais courriel ou cédérom Mais les vieilles réformes (accent circonflexe, giclage de consonnes dans nopces, escriptures, etc.) sont bien vieilles et ont été écrites par les académiciens. C'est bien du pif si on écrit il est mais vous êtes.

Ce qui me gêne le plus pour lire ton texte, c'est le manque de paragraphes. Un gros pavé m'a toujours plus rebuté qu'un texte plein de fautes.

Pour un dyslexique comme moi (vous commencez à le savoir que je suis dyslexique, non ? ) ce genre de mot est une véritable horreur :
- authentique
- développer
- précaution / répercussion / répartition
- honneur
- essentiel / circonstanciel
- des centaines d'autre (dont dyslexique, salauds !).
 
Depuis que j'ai commencé à apprendre à lire je me pause une question : POURQUOI ???

j'ai un peu les memes problemes par exemple dans mes dissert j'oubliais souvent des mots et en relisant je les voyait, du coup mes phrases ne vouliaent plus dire grand chose donc avec certain prof il me le faisait payer tres cher.
par contre sur le forum je relis que tres rarement mes phrases ca s'est clair

Parce que    
 
Je ne comprends pas : tu veux une explication de l'origine étymologique de ces mots  

Pour ouvrir une parenthèse, avoir du mal en maths est bien plus handicapant pendant ses études, même si les maths sont dans les faits inutilisées (ou en tous cas très peu utilisées) dans de nombreux domaines.

Toujours la même chose : on emprunte des mots étrangers au fil du temps, leur prononciation & orthographe changent, puis en on réemprunte d'autres, qui n'ont pas encore changé.  
 
Côté orthographe y'a pas de miracle : si tu écris otantik au lieu de authentique, c'est que tu fais une transcription phonétique -> écrit. Alors que tu devrais avoir dans ta tête une image du mot authentique et écrire cette image. Tu découvres un nouveau mot ? Tu mémorise sa prononciation et son image.

Je veux dire ; à quoi ça sert de garder toutes ces difficultés inutiles ?

Facile... pour toi !
Pas pour moi.

http://www.stats.gla.ac.uk/~ernst/ [...] lling.html
 
Parce qu'on est trèèèèèèèèèèèèèèès conservateurs. Et que ça sert quand même pas mal : dès que tu connais un peu d'étymologie, beaucoup de mots deviennent compréhensibles par ces écritures différentes.  
 
Ceci dit, il y a quand même plein de mots qui mériteraient une orthographe plus unifiée (comme tu disais : répercussion, circonstanciel, etc.)

Personnellement ça me permet de deviner facilement la signification d'un mot que je lis pour la première fois, grâce à l'étymologie.

J'ai jamais dit que c'était facile. De ce que j'ai pu lire sur la question, c'est toujours la même chose qui revient : faire une image du mot dans sa tête lorsqu'on l'apprend, écrire l'image et non pas le son lorsqu'on écrit le mot.
 
Maintenant, certains ont eu automatiquement le réflexe, d'autres non. Si tu veux rattraper ce retard, ça va te prendre des années. Mais c'est possible. Enfin, tu as sûrement qq chose de plus intéressant à faire de ta vie

Mémoriser les mots c'est justement mon grand problème. Une fois rééduqués, les dyslexiques n'inversent plus les lettres, mais gardent de graves difficultés...
 
Enfin, on ne va pas tout organiser pour les handicapés.

Mais bon beaucoup n'ont pas cette raison