Reprise du message précédent :
Waow, la vendetta sur la "vilaine fille qui a trompé son mec en dormant dans les bras de la vile grenouille".
 
Non mais c'est pas la fin du monde
Ca a pas été plus loin, et autant demander une exclusivité des relations sexuelles dans un couple, ca me parait totalement justifié, autant une exclusivité sur les calins, faut pas non plus se prendre trop la tête..
 
Y'a des fois, même si t'es en couple, juste dormir avec une copine dans ses bras, c'est agréable (sans même penser a plus)
 

 
Edit.: Pi le coté quasi inconnue, si t'as passé la soirée a discuter avec, c'est pas la fin du monde.
Encore plus si c'est une amie d'une amie.

Bon, donc l'histoire de cette lose monumentale de 4 mois, qui mérite le topic hontes, ainsi que la création d'un topic psychiatrie qui me serait entièrement dédié.

Fin janvier 2008 je traîne sur meetic comme à mon habitude : pas trop convaincu, je lurke, ricane, chatte de temps en temps et répond aux mails de jeunes filles bien rangées émoustillées par mon annonce de rebelz. Le pain quotidien. Après un clic sur une fiche au demeurant sympathique, je reçois une visite et un flash en retour. Un jolie jeune fille de Nanterre, 26 ans. Bien. On commence à taper la discute, le courant passe bien, on passe assez vite à l'étape MSN. Je passe très vite sur le contenu des conversations, mais c'était le genre qui donnent à penser que vous avez trouvé votre alter ego, c'était assez impressionant. Puis, comme je changeais de FAI, plus de net pendant un certain laps de temps. Quand je reviens, on rediscute de plus belle, ça part ensuite vers les sms, et suite logique, le téléphone.

A cette époque, il y a eu un mensonge qui aurait dû me mettre la puce à l'oreille : elle n'était pas de la région parisienne, mais à 250km de là. Pourquoi ce mensonge ? Aucune idée.

Pour note, je n'aime pas trop le téléphone, je suis assez mal à l'aise avec l'outil, bizarrement beaucoup plus qu'en IRL. Mais bon, je fais un effort. Au fil du temps, les conversations s'étirent, et de fil en aiguille, on arrive à plusieurs heures le soir. On est déjà loin après la date limite à laquelle il faudrait proposer un rdv de visu. Le fait qu'elle habite loin ne me dérange pas, au contraire, ça évitera des envahissements que je supporte mal. Bref, vous vous doutez qu'à ce moment là, un petit truc est né entre nous, totalement virtuel of course. Et je comptais bien vite le rendre réel, mais je ne croyais pas si bien dire.

Quand je propose de se voir, ça commence à merder. Au début, le refus n'est pas catégorique, je comprends petit à petit qu'elle est totalement flippée, mais quelques chose de grave. Puis ça devient plus ferme. Je creuse, je teste, et là elle m'avoue le truc : son ex est mort dans un accident de voiture il y a un peu plus d'un an, je suis sa première "relation" après cet accident. Je mets "relation" entre guillemets, vous comprenez pourquoi je pense. Ni nue ni deux, je plonge dans le schéma "Zorro sauveur des âmes en peine" et m'enfonce dans cette relation. Bizarrement, j'ai conscience que c'est débile, et que c'est totalement contradictoire avec mon naturel ancré dans le réel. Du coup, je vis tout ça très mal, mais le fait est que je suis captif : elle arrive toujours à me rattraper, me promettant à plusieurs reprises qu'on se verrait très bientôt, qu'elle se sentait de plus en plus prête. Soit. Puis elle repoussait, me reprochant une engueulade qui la ferait reculer dans ses "progrès", ou autres raisons.

Elle me retient donc comme ça plusieurs fois, mais petit à petit, je me dis que la situation devient vraiment débile, mes amis me disent de couper tout contact, qu'elle est clairement dangereuse pour moi, parce qu'elle réactive chez moi des comportements problématiques que j'avais su éclipser. Et puis un jour, à bout de nerfs, j'y vais. On avait prévu de se voir, mais c'était plus ou moins soumis à la condition, évidemment, qu'elle se sente prête. Cette situation s'était déjà présentée auparavant. Sa tactique est simple : quelques jours avant le rdv, elle commence à dire qu'elle ne se sent pas bien par rapport à la relation, par rapport à moi, que quelque chose cloche. Plus la date approche, plus les signes sont forts : elle a mal au ventre, et surtout, les conversations consistent essentiellement à mettre en avant nos différences, en quelques sortes nous fusiller, pour pouvoir dire après qu'elle ne le sent pas, qu'elle n'est pas prête. Donc engueulade, rdv annulé, faisage de gueule, puis réconciliation, et on repart pour un cycle.

Sauf que cette fois, je ne la laisse pas mener la barque. Donc elle commence à faire son cinéma habituel, quelques jours avant une rencontre qui était prévue depuis un moment. Je mets un premier coup d'arrêt en lui démontant (et démontrant) le schéma qu'elle est en train de commencer. Elle dit que non, ce n'est pas ça. Mais bien sûr. La situation devient toujours plus délirante : elle m'annonce avoir postulé à un emploi pas loin de chez moi, en me disant "je fais ça pour nous", mais s'avoue toujours aussi incapable de me rencontrer en vrai. Puis la date arrive, elle esquive de plus en plus, commence les fusillages en règle. Bref, elle enclenche son schéma habituel d'évitement, malgré mon avertissement, que j'ai marqué d'un ultimatum. Mais cette fois, j'oppose des actes aux mots : je prends la route, juste histoire de montrer qu'à un moment, il faut arrêter de se foutre de ma gueule. Je me retrouve donc à quelques minutes de chez elle et bien sûr : elle n'a jamais daigné sortir de chez elle. Je rentre chez moi, bien certain d'avoir fait ce qu'il fallait, d'être allé jusqu'au bout, et pas elle.

Quelques jours se passent ensuite, avec sms et appels, me demandant pourquoi j'ai fait ça, cherchant des raisons de continuer, tentant de me rattraper à nouveau. Je ferme toutes les portes, et tourne la page. Fin de l'histoire, ou plutôt la non-histoire.

 
Et vous trouvez ça bien, comme réaction ?
"Je t'aime mais si un(e) autre te touche, je te haïrai" ?

 
Et on a aussi le droit d'exprimer notre façon de voir. A savoir que Uxam et moi avant juste dit ce qu'on penserait et ferait dans ce cas de figure.  
Et pour moi c'est inenvisageable. Point.  

 
- Pour Martin, tu marques un point. Ceux qui connaissent ses oeuvres ne sauraient être totalement mauvais
- Pour les moments de doute, c'est simplement qu'effectivement je ne parlais pas d'attaquer bille en tête mais d'attendre patiemment. Certains mecs se font une spécialité d'être en sous-marin dans l'entourage de filles qui leur plaisent (mais en couple) en attendant tranquillement que ça batte un peu de l'aile. Et paf, insinuations de merde.
 
Quant à être complètement direct, même si le choix du mari est définitif et inamovible, il faut bien avouer que ça fout quand même la merde. Ca m'est arrivé de temps en temps d'avoir des déclarations un peu malvenues alors que j'étais en couple et je m'en serais bien passé.
 
Donc ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse, blablabla: pas envie de mettre mal à l'aise.

Et sous quel "prétexte" ?? tu peux nous expliciter pourquoi ça serait "justifié" ???

Oui tiens, je vais demander l'avis de ma chérie sur le sujet, ça risque d'être d'être assez marrant    

 
Je pense que ca peut meme etre pire que s'il s'était passé qquechose.
Dormir dans les bras d'un autre, ca peut montrer un manque de tendresse, d'attention toussa.
Une histoire de Q, ca peut tres bien etre sans lendemain, juste pour s'amuser quoi, ptete que c aussi ce qu'elle veut avant de s'abandonner "a la vie/a la mort" avec son fiancé hein.

Okay

 
Ce n'est pas toucher. C'est dormir dans les bras de quelqu'un. Alors je suis sans doute ridiculeusement excessive et entière, mais pour moi ce n'est pas quelque chose que je supporterai de la part de la personne que j'aime.  

c'est logique  

 
C'est pas plutôt de la jalousie ?

si tu veux

 
Mouais.
Autant ça ne me perturbe pas plus que ça que ma copine câline quelqu'un, autant si les mains dérapent ça m'emmerderait.
 
Et puis selon ta logique, si dormir dans les bras d'un autre peut montrer un manque de tendresse, alors coucher avec un autre peut montrer un manque de satisfaction sexuelle.
 
Mon monde s'effondrerait

 
on vit pas sur la même planete  

on doit etre trop jaloux, on mériterait de passer dans confessions intimes tiens  

Je débarque peut-être, mais ce n'est pas un peu normal, un minimum de jalousie dans un couple ?

T'as nécessairement envie de te taper tout ce qui est de sexe féminin et qui se loge dans tes bras ?    

A mon niveau, c'est un chouilla au dela de ce qui est acceptable en jalousie.
Mais je comprends parfaitement que tout le monde n'a pas le même niveau de tolérance en jalousie.

 
+1 j'ai une connaissance qui aimait bien à l'occasion se poser sur moi pour se reposer/papoter, ça ne serait jamais allé plus loin, c'était juste sympa

 
Pas forcément, juste vouloir une autre expérience, pourrait etre compréhensible.
On parle assez souvent des nanas de 40 ans macqués sur les SDR qui veulent s'amuser

 
moi j'comprendrais la scene qui en decoulerais en tout cas.
et euh réponse a la quetsion pour moi : oui

 
 
non mais là on parle de partager un moment d'intimité qui ne devrait être réservé qu'a celle/celui que l'on aime.  
Dormir dans les bras de quelqu'un c'est vraiment quelque chose de très intime à mon sens. Ce n'est pas de la jalousie (je ne le suis pas) et je n'accepterai pas ça.

Tiens mon ex meetic girls (qui selon elle hyper franche et integre et qui m'avait zaper du jour au lendemain) vient enfin de me bloquer sur msn après 3 semaines de 0 news....
C'est beau le "serieu" sur les SDR

c'est bisounours land ici c'est pas possible
 
"ouai pas de problème ma chérie tu peux dormir chez Yves"
"il n'a qu'un lit 1 place? c'est pas grave vous vous tiendrez chaud"

Je pense que tu as bien fait, même si ce fût un peu lent  

Le plus simple étant de laisser sa partenaire faire ce qu'elle a envie

   
Je pense que je le prendrai franchement mal si ma copine m'annoncait ca (et inversement, je pense pas qu'elle apprécierait non plus ce genre d'attitude de ma part )
mais après chacun fait ce qu'il veut hein  

ben oui, et si elle a envie de faire c'est que nous ne sommes pas fait pour etre ensemble tout simplement

 
T'as nécessairement envie de caliner tout ce qui est de sexe féminin et qui est à coté de toi ?  

 
Chaque relation est unique. Une fille qui pourrait vivre de manière indépendante et qui reste avec moi, ça doit pas être pour rien. A partir de là si à l'occasion elle a envie de s'amuser ailleurs, je m'en fous, du moment que ça roule entre nous.

Ouais ! Les filles c'est des p'tits animaux pooshoo, ca donne envie d'être caliné, comme des chiots ou des chatons.
 

ca me fait penser à pulp fiction, l'histoire du massage de pieds toussa

vimoi ca me fait penser a mes années lycée ou je bestfriendisait avec plein de meufs que j'avais envie de me tapper et qui venait se frotter a moi et ca me rendait encore plus miserable.

 
S'amuser jusqu'à quel point ?  
Donc je suppose que tu n'es pas jaloux ou pro-exclusivité ?

Raah, une autre nana du taf qui me botte trop
Une blonde des pays de l'est, qui parle pas tres bien francais apperement, on est en juste au stade ou on se dit bonjour quand on se croise (comme a l'instant), je connais toujours pas son prénom

idem. contexte relation sérieuse et exclusive : no way.

 
 
je me rappelle de ça  

à mon sens c'est aussi jouer avec le feu.
t'apprécie quelqu'un, il commence à y avoir proximité et gestes de tendresse... au final après comment éviter que ça n'aille encore plus loin, et qu'est-ce qui distingue ces moments d'intimité avec ceux de la personne avec qui se vit la relation amoureuse dite "exclusive" ?

 
Non du tout.  Mais je comprend ceux qui aurait peur de perdre leur partenaire en les laissant papillonner ailleurs (c'est pour ça qu'il ne me vient pas à l'idée d'imposer cette liberté dans mon couple, du coup j'accepte tout à fait une situation disymétrique : ma copine peut voir ailleurs si elle en avait un jour l'envie, et de mon côté, je suis sage, si jamais un jour elle vient me dire que je fais ce que je veux, tant mieux, sinon, tant pis...à la rigueur ça me ferait plus plaisir pour elle que pour moi si elle venait en me disant que je peux courir les jupons à l'occasion).

 
Ouais, c'est clair qu'il était temps