Reprise du message précédent :

La zoophilie ou la nécrophilie (ou pire, les deux cumulés) sont encore plus abjects pour moi.

 
J'ai livré chez un mec qui avait ses exploits affichés aux murs (photos argentiques de pénétration en grooos plan)
 
C'était une pièce fabriquée en contreplaqué, au fond de son garage. On livrait un lit en 90 pour remplacer celui plein de pisse. Il y avait un bureau avec un PC et une caméra fixée au mur qui pointait vers le lit  
 
Le mec nous a emmené là normal. Quelques heures plus tard c'était les flics.
 
Ce qui m'a choqué c'est mon collègue de l'époque qui me sort ''ça me choque pas, j'ai pas de gosses''

 Ce soir sur France 2, début d'un documentaire en 4 épisodes sur l'histoire du Grêlé.    
 
Insoupçonnable, l'affaire du Grêlé
 

 
Avec la participation de Patricia Tourancheau qui a écrit un bouquin très intéressant et détaillé sur cette affaire hors norme.  

Bon bah ils ont choppé le meurtrier de Philippine, à Genève ...

Ouch. Un récidiviste encore. Déjà condamné à 7 ans de prison pour viol.  
 
Et sous OQTF !  

Profil atypique comme d'habitude

Un OQTF c'est pas possible  

C'est juste une blague ces OQTF ils doivent en donner à tous les migrants qu'ils chopent, donc ça ne permet pas de virer les plus dangereux...

Bah il s'est barré ou il s'est pas barré ?  

Son profile va vou  étonné

Un homme !  

 
 
Je ne suis responsable que de ce que j'écris. Pas de ce que tu comprends et certainement pas de ce que tu fais semblant de ne pas comprendre.
 
Je suis comme le législateur : j'établis une hiérarchisation dans la dégueulasserie.  
 
Bien sûr que si que violer une femme est choquant. Et même un peu plus que "choquant" hein. Ce n'est pas pour rien qu'en droit français, c'est considéré comme un crime.
 
Sur le plan de mes propres représentations mentales en revanche, il y a des crimes que je considère comme intelligible sur le plan de la logique - et je parle là de la logique pure, entièrement dénuée de toute considération morale et d'autres comme inintelligible. ça n'a rien à voir avec le caractère choquant, odieux, ignoble du crime en question.
 
Quand je parle de logique, je parle de la possibilité pour moi de mettre un "connecteur logique" entre les motivations du criminel et le crime qui a été commis.
 
Le criminel voulait de l'argent, il a tué un/plusieurs convoyeurs de fonds pour cela ==> c'est logique.
Le criminel déteste une certaine catégorie d'êtres humains (les patrons, les capitalistes, les noirs, les juifs, les blancs, les infidèles les femmes...) et en a tué un ou plusieurs pour cela ==> c'est logique.
Le criminel voulait satisfaire un désir sexuel et a violé une femme ==> c'est logique.
Le criminel tire de la satisfaction de la pure souffrance d'autrui et s'est livré à des actes de barbarie ==> c'est logique.
 
Tu peux étendre la liste à l'infini. Tous les exemples que j'ai donnés sont au minimum choquants.
 
Mais je peux comprendre la logique intérieure des criminels qui sont à l'origine des faits décrits, même si cette logique n'est pas la mienne.
 
Pour ce qui est de la pédophilie en revanche, je n'y arrive plus parce je ne peux pas concevoir qu'une forme d'attraction sexuelle puisse exister vis à vis d'un enfant. Et pourtant je SAIS que ça existe. Mais une partie de mon cerveau refuse de l'admettre. C'est trop contre-nature. Et c'est pour ça que je trouve ça tellement gerbant. Au sens propre hein. Les affaires de pédophilie sur lesquelles j'ai dû travailler, c'est avec les dents du fond qui baignaient et un arrière goût de vomi dans la bouche.  
 

 
Merci.    
 
 

D’après nos informations, Taha O. est un ressortissant marocain, né en 2002 dans la ville de Oujda, au Maroc. Il entre en France depuis l’Espagne le 13 juin 2019 grâce à un visa touristique, à l’âge de 17 ans. À l’époque, il est rapidement pris en charge par l'aide sociale à l'enfance du Val-d'Oise.

Ce qui ne l’empêche pas, à la fin de l’été 2019, de commettre un viol sur une étudiante de 23 ans sur un sentier forestier à Taverny, dans le Val-d'Oise. Il est rapidement identifié par les enquêteurs de la Sûreté départementale du Val-d'Oise grâce à son ADN et interpellé. Placé en détention provisoire, il est condamné deux ans plus tard, en octobre 2021 par la cour d’assises des mineurs, à sept ans de prison. Derrière les barreaux, il ne reçoit aucune visite au parloir ni aucun appel téléphonique.

Le 20 juin 2024, il ressort de prison pour être placé en centre de rétention administrative (CRA) à Metz, après quasiment cinq ans de prison. Selon une source proche du dossier, un juge des libertés et de la détention l'a libéré le 3 septembre dernier du CRA où il se trouvait.

Puisque visé par une OQTF, contre laquelle il n’a formulé aucun recours, la justice lui a notifié une assignation à résidence dans un hôtel de l’Yonne, prise en charge par la Direction générale des étrangers en France (DGEF). Or, il n’a jamais rejoint son lieu d’assignation, a-t-on appris. Le 4 septembre, le Maroc a envoyé un laissez-passer consulaire, permettant son expulsion du pays. Mais à ce moment-là, l'homme était déjà introuvable.

Y'a RIEN qui va, RIEN. Il nous a coûté combien Taha ? Il fuyait quoi ? Il nous a apporté quoi ?
Il va prendre quoi ? 25 ans pour sortir en 2038 ? Il aura alors 36 ans, en pleine force de l'âge, sous un gouvernement LFIste. Ca promet.

 
Il faut arrêter de prendre ce que racontent les prévenus pour parole d'évangile (dans cette affaire ou une autre).
 
Nonobstant quelques cas pathologiques d'altération effective du discernement, l'immense des prévenus savent très bien ce qu'ils ont le droit de faire ou ne pas faire sexuellement parlant avec une personne du sexe opposé (ou pas d'ailleurs).
 
Et ils savent très bien ce qu'est le consentement.
 
C'est juste qu'ils n'en ont rien à foutre.
 
Tout comme ils n'en ont rien à foutre de prendre les enquêteurs, les juges d'instruction, les juges, les jurés pour des cons en affichant des pudeurs de vierge outragée quand ils sont mis devant la crudité des faits qu'ils ont commis : ils optent simplement à ce moment là pour la stratégie la moins pire (sur le conseil de leur avocat ?) qui consiste à expliquer que manque l'élément intentionnel de l'infraction puisqu'ils "croyaient" qu'elle était consentante (sic). Et ça peut aller loin comme ça. Le mieux reste de les laisser parler. Les juges/jurés apprécieront. Surtout quand ils projetteront à un moment les actes en question sur leur femme/fille/soeur.  
 
Je vous jure, c'est du plus bel effet. Et puis il ne faudrait surtout pas altérer en quoi que ce soit la parole du prévenu hein. Il faut que les acteurs de la chaîne pénale puisse en examiner le matériau brut.
 
- Les traces sur sa gueule  et les bleus sur le corps ? Elle aime bien ce qui est un peu "kinky"...
- Les brulures sur le corps conséquence du frottement de celui-ci sur la moquette acrylique parce que plaquée au sol ? On était tellement bien sur le moment...
- Le fait qu'elle pleure, sanglote et tremble ? Elle est juste un peu émotive. Et elle n'a jamais eu un aussi bon amant que moi.  
- Le fait qu'on l'ait coincée à plusieurs dans des toilettes publiques ? Non mais ce n'était pas du tout pour l'intimider ou la contraindre à quoi que ce soit. C'est elle qui nous a dit de venir.
- Oui oui, bien sûr que je l'ai niquée. Mais elle était nue et allongée devant moi, ça voulait bien dire qu'elle attendait quelque chose non ? Oui fils de pute : que tu lui changes sa couche parce c'était ta fille, qu'elle avait six mois et qu'elle était sur sa table à langer.
 
Tous ces exemples sont bien sûr rigoureusement vrais. La palme revenant à un prévenu qui niait tout acte de pénétration sexuelle non consentie au motif "qu'il avait une trop grosse bite".
 
 
Tout ça pour dire que l'éducation à la sexualité et au consentement n'ont à peu près rien à voir avec la commission d'infractions sexuelle.
 
C'est un discours non seulement faux mais en plus dangereux : cela tend à créer une forme de responsabilité collective totalement artificielle là où il n'est que question de comportements et de responsabilité individuelle (hors cas pathologiques d'altération du discernement).

La mauvaise foi des prévenus, c'est toujours pépite
"Oui je l'ai planté mais c'est pas prémédité, monsieur le juge. En fait j'ai trouvé le couteau par terre juste avant les faits, monsieur le juge"

Sois pas chokbar

Tu me cite alors que mon message concerne un autre sujet...

 
Désolé. Je citais ton message pour illustrer l'évocation de certains cas pathologiques, mais c'est vrai que c''était maladroit et difficilement compréhensible.
 
J'ai édité et supprimé.

Merci

C'st comme dans les films, les meurtres d'enfants c'est très rare et c'est souvent hyper choquant alors que d'adultes ça ne nous fait plus rien

 
 
Mais... Les photos et tout, c'était avec des majeurs, des mineurs, ses gosses ???

Je suis en phase avec tout ce que dit Critias.
Hélas pour le monde dans lequel on vit.
 

Très rare ? Un enfant c'est encore plus facile à blesser ou tuer qu'un adulte, je dirais... surtout si on lui dénie le droit d'être humain et qu'il n'a aucun moyen de se défendre lui-même.  
 
Ici ça choque et ça fait les gros titres (et encore, faut que l'enfant soit une adorable petite blonde aux yeux bleus pour que ça marche encore mieux) mais ailleurs...

Il parle de meurtres d'enfants dans des films.

C'est vrai que j'ai du mal à me souvenir de films avec des meurtres d'enfants dedans... La réalité est déjà bien assez dure comme ça.

Ce matin, dans les CR un mec de 27 ans "je savais pas ce qu'etzit la notion de consentement"

Débat sur le fait qu'il soit resté 3h (lui dit 1h)
Et débat sur les actes dont je vous passe les détails qui faisaient qu'il ne pouvait pas ignorer manifestement.

 
 
Très bien    
 
Par contre j'ai pas compris pourquoi ils appellent ça docu-fiction vu que c'est tourné comme un docu classique  

 
L'affaire Pélicot est passionnante, en partie car il y a bien des ambiguïtés qui subsistent dans la défense des accusés. Je lis les livetweets et aujourd'hui quelqu'un a dit :"pourquoi aurais-je accepté d'être filmé si je croyais me livrer à un acte criminel ?".  
Et les témoignages rendent compte de cette ambiguïté entre stupidité, cerveau qu'on débranche, manipulation de la part de Pélicot, tempérament transgressif et criminel de la part des co-accusés plus ou moins assumés.  
Facile d'atteindre un point godwin pour évoquer une affaire pareille, et d'évoquer la "banalité du mal" et le procès Eichmann : sans Hitler, probable que l'Allemand ordinaire, ayant endossé le costume de nazi, ne se soit pas livré à des atrocités ayant conduit à la mort en camp d'exterminations de personnes de millions de personne. Sans Pélicot, probable que ces co-accusés, certes responsables, ne se seraient pas livrés à des actes aussi ignominieux. Au contraire d'Eichmann, c'est pas le rouage démocratique qui est mis en cause mais quelque chose de bien plus frustre et barbare sans doute.

Du fait d'eléments ajoutés/ déduits donc pas conformes 100% à la réalité peut être?

Sauf que c'est bien ce que Pélicot a fait (ok lui n'est peut être pas sur les enregistrements mais il a filmé en connaissance de cause donc ça ne change pas grand chose pour son cas). Donc je ne sais pas si cette défense est très habile ...

 
Ben ça n'est pas dit... Il y a des témoignages, qui sont a priori donnés par les victimes/témoins eux-mêmes (dont certains anonymement). Les témoignages des enquêteurs et experts. Des scènes d'illustration et des plans de coupe, bien sûr, mais qui sont facilement identifiables. Je n'ai vu aucune reconstitution (au contraire des FELA par exemple).

 
 
Oh ça m'en rappelle une bien bonne.
 
Ne partez pas, ça va vous faire marrer.
 
Le contexte : je travaille en juridiction pénale et je rentre dans un bureau.  
 
A l'intérieur, deux substitutes du Procureur (des femmes donc) sont en grande conversation et parlent de... euh... de TAILLE DE TEUB ???
 
"Non mais sérieusement Machine, tu ne peux pas dire ça ! Un mec, même bien membré, ça mesure ça [fait le geste avec les mains], allez, maximum ça [écarte un peu les mains] mais certainement pas ça [écarte encore plus] ou... Ah ben tiens vous Critias, vous en pensez quoi ? Taille de bite, hum ?"
 
Note : en raison de l'insignifiance de mon charme et même de mon inexistence aux yeux de la gente féminine, je suis forcément classé dans une des deux catégories suivante :
- les homosexuels
- les homosexuels refoulés
 
Dans tous les cas, pour elles, je m'étais déjà enfilé des kilomètres de chibre et j'étais donc forcément l'interlocuteur indiqué pour discuter taille, forme, inclination et rayon de courbure.
 
Mais comment en est-on arrivé à ce nouveau moment tellement embarrassant pour ma virilité et mon égo de mâle cis à l'hétéronormalité passéiste et d'arrière garde ?
 
Retour quelques mois en arrière dans un petit patelin très rural, du genre de ceux où tout le monde connaît tout le monde et où la forme la plus élevée de délinquance qu'il puisse y avoir, ce sont des écoliers qui en rentrant à pied sonnent aux portes et partent en courant.
 
Dans la toute petite gendarmerie voisine, débarque un des agriculteurs du coin :
 
"Dites donc, pourriez allez engueuler les enfants du voisin là ? Moi je l'ai déjà fait hein, mais savez comment sont les jeunes d'aujourd'hui. Vous au moins avec votre uniforme là, vous leur ferez peur.
"Moi ? mais je... euh... Mais pourquoi ça en fait ?" [Imaginez ici un jeune gendarme dont c'est la première affectation et qui prie pour en avoir bientôt une autre tellement il ne se passe RIEN]
"Ben c'est à cause de ma grange voyez. Ils jouent dedans le soir. C'est comme une sorte de grande cabane pour eux. Oh dans le principe je n'ai rien contre hein. Mais j'ai quelques outils dedans et tout. Et puis il y a l'échelle. Je n'ai pas envie qu'il y en ait un qui se casse le cou en montant dessus. Vous savez comment sont les jeunes d'aujourd'hui"
"Mais ... Vous leur en avez parlé ???"
"Oh oui bien sûr. Mais ils me disent que ce n'est pas eux. Mais vous savez comment sont..."
"Oui oui, je sais. Mais vous les avez VU au moins ?"
"Oh bien sûr que non. Vous pensez bien. Je ne suis pas toujours là, et ils viennent quand je suis parti".
"Mais... comment est ce que vous savez que c'est EUX alors ???"
"Mais qui d'autre ? A part mes vaches, un peu de fourage et trois bricoles, il n'y a rien dans ma grange. Franchement, s'il n'y avait pas eu les cadenas à vélo, je ne serais pas venu vous voir".
"Les cadenas à vélo ???"
"Oui. C'est que vous comprenez, pour fermer ma grange, j'utilise un cadena à vélo. Oh c'est surtout pour que le vent ne joue pas avec la porte hein. Mais ces petits cons, il me l'ont fait sauter. Et là ça fait le troisième quand même. Mais svp hein : contentez vous de les engueuler un bon coup. Je ne voudrais surtout pas qu'ils aient des ennuis".
 
Et là, notre jeune gendarme, dans sa tête, il vient de voir Moïse et le Buisson ardent. Il faut bien comprendre que sa dernière intervention, c'était pour sauver le chat de Mme Michu qui était resté coincé dans un arbre. Alors comme il n'a que ça à foutre, il décide de se mettre en planque, de nuit, devant la grange. Les phares éteints dans sa voiture bleu sombre, personne ne peut le voir. Et il attend. Et il attend. A l'horizon, toujours pas de garnements en vue... Mais sous la lueur blafarde de la lune, tout d'un coup, une silhouette se détache, une pince à la main et qui pénètre dans la grange après en avoir forcé l'entrée.
 
Pour notre gendarme, c'est le pic d'adrénaline. Il sort de sa voiture, torche la main, il a la musique de "Hawaï police d'état" et de "Starsky et Hutch" qui se jouent en même temps dans son esprit. Il y va. Il fonce. Il est chaud comme une baraque à frite.  
 
Et il n'y a pas que lui en fait.
 
A l'intérieur de la grange, il y a même un mec, le pantalon aux chevilles, qui est en train de cracher la purée dans la Marguerite.
 
Et Marguerite, ce n'est pas la maîtresse qu'il retrouve secrètement à l'abri des regards dans une grange perdue...
 
Marguerite, c'est l'une des vaches de notre agriculteur. Et elle semble totalement indifférente au fait de se faire sévèrement entreprendre par un plus que sexagénaire local, tombé fou amoureux d'elle. "Vous ne pouvez pas comprendre" nous dira-t-il. "C'était ses yeux. Elle me disait tout avec ses yeux".
 
Plus que sexagénaire local qui en plus, pour faire bonne figure, s'avérait également être un élu de ce minuscule patelin.
 
 
Et la discussion entre les deux magistrates du Parquet dont il était question haut me direz vous ? Et l'avis - indispensable - qui m'a été demandé en matière de dimensionnement de chibre ?
 
C'était en réalité une question de pur droit : la zoophilie n'était pas expressément interdite par le code pénal - et aussi parce que ces faits n'arrivent pas à la connaissance des autorités tous les jours - toute la question était de savoir si l'introduction d'un chibre de taille humaine dans une vache était constitutive de "sévices graves ou d'actes de cruauté envers les animaux", tel qu'entendu par le Code pénal.
 
"Non parce que vous êtes d'accord Critias hein, une vache, avec un taureau, elle a l'habitude de s'en prendre des comme ça [insérer le geste de la main qui va bien]. Tandis qu'un homme et bien au mieux ça en a un comme ça [re geste qui va bien]"          
 
"[Sa collègue] "Oui mais quand même. Il y a des hommes qui sont mieux montés que d'autre et..."
 
Voilà.
 
Vous pouvez reprendre une activité normale.

Dans quel monde tu kiffes de sauter une femme de 70 ans quand t'en as 27. Sans même parler de consentement.

 
Merci pour ce moment.

 
C'est très bien en effet. (vu les 2 premiers épisodes).
Ce qui est bien c'est qu'ils aient retrouvé la plupart des victimes, et qu'elles témoignent.  

Tout ça ne nous dit pas quel est, selon critias, le gabarit minimal d'un chibre dit massif.

Gent  

oups mauvais topic  

Concernant l’éducation sexuelle je parlais de l’affaire Pelicot pas des autres affaires de viol. Comme un autre hfrien je suis les LT et un des accusés ne connaissait rien au consentement. Et d’autres disaient que la femme appartenait au mari.
Sinon je veux bien qu’on m’explique pourquoi mon agresseur m’avait touché la cuisse sans demander mon avis mais m’avait demandé si je voulais avoir une relation sexuelle avec lui.

Et je pense que le viol c’est plus compliqué que de dire qu’il avait une pulsion sexuelle. Il y a plusieurs causes.

 
Oui, je suis d'accord là dessus.
 
Dans mon "exemple", je pensais au psychopathe bas du front qui "anticipe" sa vie au maximum sur les deux prochaines heures.