Reprise du message précédent :

C'est bien ce que je disais c'est mieux quand elles couchent avant  

 
Ah ben si, ça passe

C'est les grandes vacances aussi  

 
Je me méfie de tout   , et pis pq t'es pas sérieux , jvoulais t'incendier moi  
 
EDIT : je parle pas a toi morgoth oups  

 
et c'est ca que t'appele la decadence ??

 
Les méfaits de l'alcool chez les jeunes  

Moi j'appele ça "la vie"  

 
Alcool ??? Pas depuis 10 min pourtant ...

 
jamais marié   je parlais de ma chere et tendre hein, moi je suis qu'un crapaud  

 
Trop de HS on va se faire modérer

- "Je préfère les femmes vierges avant le mariage, parce que les sentiments sont plus importants que le sexe."
- "Bah alors dans ce cas qu'est ce que t'en a à faire qu'elle ait fait du sexe avant de te connaitre, du moment qu'elle t'aime?"
- "Ben euh...."
 

 
nan chuis desolé, mais kan on tombe sur une personne inteligente et qu'on retient les erreur du passée ca marche bien, il y a tjrs des haut et des bas mais les surmonté donne beaucoup de force, il n'y a pas de fatalité, cela demande peut etre plus d'effort de part et d'autre en cette periode troublée
 
d'ou l'idée de ne pas faire comme tout le monde et de tracer son chemin comme on l'entend et pas comme on nous l'impose....

 
c'est un

 
Pires salopes sont celles qui refusent de coucher après

 
Avait compris tt seul merci  

 
J'ai été plus fin

 
on est d'accord   encore mieux si cela est partagé par 2 pesonnes  

vi
quand le corps prend le pas sur l'esprit, l'humanité regresse, et pour moi c'est la definition de la decadence

 
  on m'a tjrs dit ke j'etais un bourrin  

 
trop gros  

Sinon pour en erevenir au débat , ben pour moi et ma copine on a eux not première fois ensemble , et on bien réfléchi avant . Je pense que si on sait ce que l'on fait cela ne pose pas de problème . Surtout qu'on a aucun regrets ...

 
spa aussi simple, c'est une reaction d'animal...c'est une reaction tres reflechie pr certains c'est allez a l'encotre des tradtion et de la morale de l'epoque, de plus l'humanité ne regresse pas quand il y a experience, elle progressent

no troll inside ...

ou est la progression de pas pouvoir tenir 1 semaine sans copuler ?
 
ya une dependance qui s'installe, et y en a ki en sont venus a croire que le couple, tant qu'il y a de la libido y a de l'espoir ... or on voit bien que c'est infiniment plus compliqué que ca, et le seul moyen de progresser serait de multiplier le nombre de relations DE LONGUE DUREE, sauf qu'on est pas immortel
 
etre un super coup n'avance a RIEN, juste qu'on a passé beaucoup de temps sur la question, au detriment de choses plus importantes comme la reflexion personnelle sur le "d'ou je viens, ou suis je et ou vais je ?" ou tout autre forme d'epanouissement et d'eveil spirituel, qui EUX sont garants d'une bonne vie de couple sur la DUREE, et ou on peut CONSTRUIRE DES CHOSES et non plus se contenter de CONSOMMER ses ressources et celles de son conjoint

 
c'est trop gros car je ne vois pas pourquoi le corps prendrait le pas sur l'esprit vu que les 2 sont indissociables. C'est pas obligé d'être un frustré du cul pour devenir sage...  

 
 
Bon HR tu fais quoi après le taff'? On va se boire un pot?

 
Ce n'est pas la décadence ça, c'est ce qu'on appelle la jeunesse.

ni d'etre une bete de sexe pour reussir sa vie de couple
 
en fait le debat n'est pas sur l'acte physique, mais sur la facon dont cet acte est assimilé par l'esprit et ce qu'on en retire (et ce qu'on cherche egalement)

g tjs été en profond desaccord avec les jeunes de mon age sur ce sujet

 
bref, t'es un nerdz frustré, réac et alcoolique.

 
+1 !

Comme moi sauf que je suis pas réac  

 
sklair  

on me l'avait jamais faite celle la    
 
crois ce que tu veux, le sujet du topic c pas moi, mais j'ai pas l'impression que tu me portes dans ton coeur

 
Moi je suis resté très jeune, mais je pratique moins souvent, alors je n'ai pas envie de m'embarasser de vierges inexpérimentées, vive l'expérience.

 
  masi je ne te parlais pas de ca, ceux pour qui ils se sont fixé en tout etat de conscience ce mode de vie, pas la coiffeuse/champouineuse sans cervelle hein , bref le libertinage quoi

bordel vosu me croyez extreme ou quoi ?
 
mon premier post sur ce tomic ca a été : il faut trouver le juste milieu, et la on me traite de reac          
 
faut arreter la logique binaire les gars, il n'y a pas que blanc ou noir comme reponse a chaque probleme, il y a une infinité de variations !
 
si vous voulez du nerdz : la vie c'est analogique !

tant que t'estimes pas necessaire de te poser de facon stable, et que tu n'est pas non plus un serial niqueur, tu fé partie du juste milieu sus-cité : tu es lucide vis a vis de ta propre sexualité

pour alimenter le debat    
 
 Le sexe est-il la meilleure façon de maintenir la passion dans le couple ? Pas toujours, affirme le psychiatre suisse Willy Pasini. Ne pas savoir dissocier sentiments et sexualité peut se révéler périlleux.
 
Faut-il réaliser ses fantasmes sexuels ? Si la question n'est pas neuve, elle se pose désormais à deux. De plus en plus souvent, des couples stables et formés de longue date partent ensemble en terre d'érotisme, à la recherche de sensations fortes. Comme s'il fallait à tout prix, en ces temps où le moindre malaise conjugal peut signifier la rupture, ranimer le désir qui vacille. Quitte à se faire violence. Quitte à ce que le remède soit pire que le mal.
 
"Au fil des siècles, nous sommes passés du couple institution au couple romantique. Aujourd'hui, nous assistons à une nouvelle transition : nous sommes en train de passer du couple romantique au couple "sensoriel"", affirme Willy Pasini. Professeur de psychiatrie à l'université de Genève, il décrit, dans son dernier ouvrage, les nouveaux comportements sexuels de ces couples incertains d'eux-mêmes, "de plus en plus convaincus que leur survie dépend de la réalisation des fantasmes".
 
Sa conviction : "La société actuelle comme les individus qui la composent accordent trop d'importance à la sexualité." Et il n'est pas le seul à le penser.
 
Discours moralisateur, propos rétrograde ? Pour les psychothérapeutes et les sexologues, la priorité est autre. Pas question pour eux de remettre en question les acquis de la libération des m?urs, garants, à leur façon, d'une société plus saine et plus vivante. Mais ils constatent, simplement, que la libération de la sexualité n'a pas toujours amené dans son sillage, comme certains le pensaient il y a trente ans, le bonheur et la réalisation de soi.
 
Si cette évolution en a conduit plus d'un - et surtout plus d'une - à une sensualité plus épanouie, "combien ont été pris dans une compulsion sexuelle, combien ont considéré leur corps et le corps de l'autre comme de simples machines de plaisir dont il fallait constamment améliorer le rendement et dont il faut craindre la panne - d'où la prolifération des magazines donnant des conseils pour maintenir la "forme" sexuelle ?", soulignait en 1996 Eugène Enriquez, professeur de sociologie à l'université Paris-VII (Psychanalyse et sexualité, Jean Cournut et coll., Ed. Dunod). A une époque où l'on ne peut plus faire deux pas sans trouver sur les murs de la ville une incitation à l'érotisme, la tendance n'a guère de raison de s'inverser. Si les couples contemporains accordent une telle importance à leur sexualité, c'est aussi que celle-ci, désormais, forme bien souvent le langage de base de leur relation.
 
Alors que l'institution matrimoniale donnait droit, naguère, à l'activité sexuelle, le rapport a été inversé, et c'est au lit que commencent bien des unions. Si l'on ajoute que les comportements sexuels des femmes se rapprochent de plus en plus de ceux des hommes, on conçoit qu'une vie de couple dépourvue de frissons amoureux ne soit plus acceptable aujourd'hui comme elle l'était hier.
 
Que l'on pousse un peu le raisonnement, et le maintien entre conjoints d'un niveau érotique élevé devient le meilleur garant de la longévité du couple.
 
Problème : avec le temps, la baisse de fréquence des relations sexuelles entre mêmes partenaires est quasiment inévitable. Et il n'y a pas, en la matière, de recette magique ! "Quand le désir n'est plus là depuis des années et qu'un couple vient me voir comme il irait à Lourdes, il y a peu de chances que je puisse l'aider", remarque Willy Pasini. Mais avant d'en arriver là, on peut, heureusement, entretenir la flamme amoureuse.
 
Comment ? En surprenant l'autre, affirment les vendeurs de sexe. En inventant de nouveaux mots, de nouveaux gestes, de nouvelles situations... Et, pourquoi pas, en réalisant ses fantasmes. Mais attention ! "Un fantasme érotique ne doit pas subir les contingences et les mésaventures du réel", prévient le psychiatre.
 
Rien, pour autant, n'interdit à un couple de s'y essayer. A condition que l'envie en soit vraiment commune aux deux partenaires, ou qu'elle le devienne. Ce qui, affirment les spécialistes sur la foi des confidences qu'ils reçoivent, est rarement le cas.
 
Selon eux, trop de femmes - et d'hommes, parfois - acceptent par amour des actes non désirés, pour faire plaisir à leur partenaire ou par peur de le perdre.
 
Soumission, rapports à trois ou en groupe, échangisme : tous ces comportements déviants de la norme peuvent, certes, pimenter notre ordinaire conjugal. Mais la tyrannie du plaisir est un jeu dangereux, qui peut, lorsqu'il n'est pas totalement consenti par ceux qui s'y adonnent, produire l'effet inverse de celui qui était recherché.
 
Si les expériences sexuelles dépassant l'intimité du couple - pratiques qualifiées par Pasini de perversions "soft" - se font sans une forte complicité, le paradis des sens artificiels se transforme-t-il en enfer conjugal - voire en rupture ? "Depuis que j'exerce, j'ai rencontré des exemples positifs comme des exemples négatifs, tempère-t-il. Mais elles peuvent créer de graves problèmes chez ceux qui ne dissocient pas les sentiments de la sexualité."
 
Les sentiments ! Et si, justement, c'était là l'essentiel ? Si cette recherche de sensations fortes n'était pour le couple qu'un pis-aller, une manière somme toute pudique de se redire son amour et ses vicissitudes, et parfois d'aggraver ces dernières ?
 
"L'impôt moral décidé par la société sur toutes les transgressions frappe encore plus aujourd'hui la passion que le sexe", notait déjà Roland Barthes dans ses Fragments d'un discours amoureux.
 
"L'amour est obscène en ceci précisément qu'il met le sentimental à la place du sexuel", ajoutait-il. "La sexualité est allée plus loin que le c?ur, et nous en payons affectivement les conséquences", renchérit Willy Pasini.
 
Pour nous en convaincre, il propose ce petit test. Si vous deviez choisir entre ces deux possibilités, laquelle vous paraîtrait la meilleure (ou la moins pire) : que votre partenaire fasse l'amour avec quelqu'un d'autre en pensant à vous (option 1), ou qu'il (elle) fasse l'amour avec vous en pensant à quelqu'un d'autre (option 2) ?
 
"Les deux tiers des femmes choisissent l'option 1, les deux tiers des hommes l'option 2", affirme le psychiatre. Autrement dit : les femmes tendent surtout à vouloir posséder le c?ur de l'aimé, les hommes le corps de leur dulcinée.
 
En ce qui concerne "ce sentiment ancestral et passé de mode qu'est la jalousie", les choses n'auraient donc pas tant changé. C'est peut-être une bonne nouvelle.
 
Catherine Vincent
 
 
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Pour en savoir plus
 
 
Que lire ?  
 
 
Les Nouveaux Comportements sexuels, de Willy Pasini. Odile Jacob, 284 p., 21 ?.  
 
Sociologie de la sexualité, de Michel Bozon. Nathan, 2002, 128 p., 8,10 ?.
 
Le Sexe et l'amour,de Philippe Brenot. Odile Jacob, 254 p., 20,50 ?.
 
Où s'adresser ?  
Société française de sexologie clinique (SFSC), 32, avenue Carnot, 75017 Paris. Tél. : 01-45-72-67-62, courriel : sfscsexo@aol.com  
 
Institut de sexologie, 57, rue Charlot, 75003 Paris. Tél. : 01-42-71-10-30.
 
On peut également consulter une liste de sexothérapeutes sur Internet : www.sexologie-fr.com  
 
http://www.lemonde.fr/article/0,59 [...] VT,00.html