A South Korean court cancelled on Friday impeached President Yoon Suk Yeol's arrest warrant, paving the way for his release from jail after he was arrested in mid-January on insurrection charges over his brief imposition of martial law, Yonhap News Agency reported.
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Yoon is expected to be released immediately and take part in his trial while out of detention, local media said.

The decision by the Seoul Central District Court would allow Yoon to stand his criminal trial while not being physically detained. The hearings in his impeachment trial concluded in late February and the court is expected to rule soon on whether to uphold his impeachment or remove him from office.

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... Han Duck-soo reprend ainsi son poste et récupère la charge de président par intérim. Il avait été suspendu par les députés il y a trois mois, après un premier remplacement de moins de deux semaines à la tête de l'Etat. ...
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L'Assemblée nationale a voté le 14 décembre une première motion de destitution contre le dirigeant, alors suspendu de ses fonctions. Puis le 27 contre son premier remplaçant, Han Duck-soo. Il était notamment reproché à ce dernier d'avoir refusé de nommer de nouveaux juges à la Cour constitutionnelle pour occuper les postes vacants, alors que seuls six magistrats sur neuf possibles y siégeaient. Dans cette configuration, un seul vote contre la destitution de Yoon Suk-yeol aurait suffi à la faire échouer.
 
La présidence était, jusqu'à lundi, assurée par un deuxième suppléant, le ministre des Finances, Choi Sang-mok, qui a d'ailleurs nommé deux nouveaux juges à la Cour constitutionnelle. Concernant le président déchu, la date précise du verdict n'a pas été annoncée. Si la Cour prononce la déposition définitive du président (six votes sont nécessaires), une nouvelle élection présidentielle devra être organisée dans les 60 jours. Sinon, Yoon Suk-yeol sera rétabli dans ses fonctions. Le verdict de lundi "n'a pas de corrélation légale directe avec la décision en attente" dans le dossier Yoon, a précisé à l'AFP l'avocat et commentateur politique Yoo Jung-hoon.

En Corée du Sud, la Cour constitutionnelle valide la destitution du président Yoon Suk Yeol
 
Cette décision signifie le départ immédiat du pouvoir de M. Yoon, qui n’était jusqu’à présent que suspendu, et entraînera une présidentielle anticipée sous soixante jours.
 
Le verdict était très attendu, dans un pays encore sidéré par le coup de force raté de décembre 2024 et échauffé par des mois de tensions et de rebondissements. La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a confirmé, vendredi 4 avril, à l’unanimité la motion de destitution votée en décembre 2024 par les députés contre le président Yoon Suk Yeol, le démettant ainsi définitivement de ses fonctions, quatre mois après sa tentative désastreuse d’imposer la loi martiale.
 
Cette décision signifie le départ immédiat du pouvoir de Yoon Suk Yeol, qui n’était jusqu’à présent que suspendu, et entraînera une présidentielle anticipée sous soixante jours. Le chef de l’opposition Lee Jae-myung en est le grand favori.
 
Dans un arrêt accablant lu en vingt-trois minutes par son président Moon Hyung-bae, la Cour a estimé que les actions de Yoon Suk Yeol avaient « violé les principes fondamentaux de l’Etat de droit et de la gouvernance démocratique ».
 
Yoon Suk Yeol « ne s’est pas contenté de déclarer la loi martiale, mais a commis des actes qui ont violé la Constitution et la loi, notamment en mobilisant les forces militaires et policières pour empêcher l’Assemblée nationale d’exercer son autorité », a-t-il poursuivi. « En définitive, les actes inconstitutionnels et illégaux du défendeur trahissent la confiance du peuple et constituent une violation grave de la loi qui ne peut être tolérée du point de vue de la protection de la Constitution », a ajouté la Cour.
 
« Nous prononçons la décision suivante, avec l’accord unanime de tous les juges : [nous] destituons le président Yoon Suk Yeol », a-t-il dit, confirmant la motion de destitution votée par l’Assemblée nationale le 14 décembre 2024.
 
Le parti de l’ancien président sud-coréen Yoon Suk Yeol a déclaré vendredi qu’il acceptait le verdict de la Cour constitutionnelle confirmant sa destitution et le démettant définitivement de ses fonctions. « C’est regrettable, mais le Parti du pouvoir au peuple accepte solennellement et respecte humblement la décision de la Cour constitutionnelle. Nous présentons nos excuses sincères au peuple », a déclaré le député et haut responsable du parti Kwon Young-se.

K-pop sensation Jin of BTS was spotted at a polling station in Seoul this morning, dressed in a grey hoodie.
 
His bandmate J-Hope, who voted during last week’s early voting period, posted a photo of himself in front of a polling station wearing an all-black outfit, including a black face mask.
 
Popular singer and actress IU took a similar approach last week. In a photo uploaded to her social media account, she posed in front of a polling booth sign, wearing a grey hat and a white face mask.
 
Local media have noted that by choosing politically neutral colours, the celebrities appear to be deliberately avoiding any hints about their voting choices.
 
With the country deeply divided following the martial law bid, colours such as blue, red, orange, and yellow - representing the political parties of the four candidates - are being carefully avoided.

Lee Jae-myung of the liberal Democratic Party of Korea (DPK) is projected to win Korea’s presidential election, defeating Kim Moon-soo of the conservative People Power Party (PPP), according to an exit poll released Tuesday.
 
A joint exit poll conducted by major broadcasters — KBS, MBC and SBS — showed Lee securing 51.7 percent of the vote, well above Kim’s 39.3 percent. Lee Jun-seok of the minor conservative Reform Party gained 7.7 percent.
 
The exit poll surveyed approximately 100,000 voters who had cast their ballots at 325 polling stations nationwide on Election Day. To account for trends in early voting, a separate phone survey of 11,500 voters was also conducted and factored into the results.