Reprise du message précédent :

 
Ah les fumeurs    
Toujours de pauvres victimes. Même quand ils ont décidé de commencer à fumer c'était à l'insu de leur plein gré. C'est le système qui les a obligé.  

 
T'as jamais fumé, tu ne sais donc pas de quoi tu parles, donc en toute logique tu as le droit de te taire

Encore une fois c'est variable d'une personne à l'autre. Perso je fumais un paquet par jour et j'ai arrêté quasi du jour au lendemain, tout simplement parce que ça m'a dégoûté.
Je pense que j'aurais galéré comme pas possible si j'avais du compter sur ma seule volonté pour arrêter.
 
Et quand je vois ma mère qui fume comme un pompier depuis plus de 40 ans, sans jamais avoir réussi à s'arrêter même si elle sait que ça va surement la tuer, je me dis que le "yakafokon" c'est bien de la merde.

 
Lui au moins a eu la volonté de ne pas commencer  

 
Toi par contre tu n'as jamais été jeune ni fait aucune connerie dans ta vie, on en doute absolument pas

 
Et? Il mérite une médaille?

Un proche qui a fumé pendant plus de 10 ans, puis ensuite arrêté les 30 années suivantes, ben paf pastèque du jour au lendemain, en un mois avait plus
Comme quoi.
 
Va être temps que je songe à arrêter, ça fait 3 ans que mon pneumo cardio me gueule dessus pour ça

message supprimé par son auteur

En tout cas je n'ai pas été assez con pour m'y mettre.  
Et la jeunesse n'excuse rien.
Quand bien même j'aurais commencé et je ne viendrais pas m'ériger en pauvre victime

 
Les cons te remercient
 
Et personne ici ne s'est érigé en victime. On dit juste qu'arrêter ne relève pas du simple yakafokon.

 
 
Qui te parle de victime ? C'est toi qui utilise ce terme pour essayer de faire passer tes fausses idées.
On te parle d'addiction, c'est tout.

Oh les débil profonds, le débat n'est pas sur le fait de commencer ou non, mais sur la difficulté ou non d'arrêter et ce avec volonté.

'dredÿ

/

C'est surtout que c'est pas le bon topic pour en débattre. Alors débattre de l'un est autant (il)légitime que de l'autre.

Bref pour vivre convenablement avec un salaire de merde, c'est mieux de pas fumer.
 

 
Un déclic qui te fait réellement prendre conscience du danger dans lequel tu te mets.
Un entourage qui peut sembler t'encourager à arrêter (le rôle d'autrui à un rôle important sur le moi).
 
Par exemple...

/

message supprimé par son auteur

Sur ce , je vais me faire un café accompagné d'une clope

Ca l'est un peu, parce qu'à 6-7€ la paquet, ça représente un budget non négligeable pour un fumeur moyen (1 paquet/jour).
 
Quand je vois des personnes se plaindre de ne pas avoir de thunes (spéciale cassedi à mon andouille de frangine   ) et de fumer chacun (elle et lui donc) un paquet /jour, je ne peux pas m'empe^cher de lui dire "arrête de fumer, connasse".    
Ouais, mais c'es trop dur, tu peux pas comprendre, tu fumes pas.
 
Ou comme cette andouille à l'arrêt de bus à se plaindre du prix de l'essence, qu'elle ne pourra bientôt plus aller travailler parce que ça coûte trop cher en essence, mais qui est toujours la clope au bec.
 
J'avoue que j'ai du mal à comprendre cette addiction : ça te ruine le porte-monnaie et la santé (et celle de ton entourage).  
Sinon, pour couper court, oui, comme la plupart des lycéens, j'ai fumé à cette époque, pas mal même (1 paquet pour 2/3 jours).

Et un petit tour au toilettes pour terminer le triple C.
/classe

C'est en tous cas pas un défaut d'information puisque les médecins sont des gros fumeurs, plus que la moyenne des autres professions.
Ils sont pourtant bien informés des risques de cancer du poumon, oesophage, gorge.

 
Comme toutes les addictions dont tu n'es pas victime.

Je comprend bien le problème de l'addiction et que c'est pas évident d’arrêter
 
Mais je vois pas le comment on peu se plaindre de pas avoir de quoi bouffer alors que acheté ses clopes ET celles de sa fille.
 
J'veux bien que le yakafokon c'est un peu facile mais là on parle de crever la dale un BESOIN VITALE
 
C'est pas comme quand on a pas de problème d'argent et qu'on se dit qu'on raque un rein en clope ou que dans le futur on risque de crever de notre consommation
 
Non?
 
Je peux comprendre qu'ils arrivent pas a arrêter de fumer et qu'ils le fassent alors que c'est limite niveau bouffe
Mais désolé je cautionne pas qu'on vienne se plaindre de cet état de fait dans cette situation.

 
 
J'ai jamais dit dû à une carence d'information...  
J'ai écrit déclic (coté personnel qui te dis que ça va t'arriver, à TOI).    
 
 

 
Le contexte et l'environnement, je pense. Si tu souhaites arrêter alors que tu as d'autres problèmes ou que tu es entouré par des fumeurs, ça va pas aider. Pour arrêter de fumer, il faut être relativement serein sur les autres plans et/ou avoir un environnement qui t'encourage et/ou une grosse motivation et sans doute d'autres paramètres vu que le mécanisme des addictions est très complexe et dépend des gens...

C'était bien le sens de mon message.

Je parlais de se plaindre qu'on n'a pas de thune et fumer.
Un paquet / jour, ça fait quasi 200€/mois.

 
 
Apparemment non. Donc on va faire dans les excès pour que tu puisses comprendre.
Un héroïnomane, il va préferer se payer un fix plutôt que de se trouver à bouffer. Ce qui explique qu'ils sont en général très très maigres... Car la dépendance "psychologique & physiologique" prend le pas sur la dépendance "physiologique"

Heu resultat tu es avocat (ou encore en etude), marié et tu as pas eu de jeunesse, à ton age tu en parait deja 15 de plus...
 
Je sais pas si c'est vraiment vivre convenablement
 
Et d'ici que tu sois accro à la coke ou aux cachetons  

message supprimé par son auteur

 
C'est très douloureux, en effet.

 
Oui, et ?
C'est quel partie du mot "addiction" que vous comprenez pas, exactement ?
Les drogués (les fumeurs sont des drogués) ne sont pas capables de réfléchir objectivement sur leur addiction.

 
Du vécu ?  

 
C'est pas l'information qui joue le plus sur ton comportement, mais le choc.  
Tu sais ce que tu risques en fumant, tout comme tu sais ce que tu risques en roulant en excès de vitesse ou en glandant sur HFR pendant tes heures de boulot.    
Tu prends vraiment conscience de l'importance du truc quand ça te frappe de plein fouet.
 
NDLR. Je fume "modérément" (en soirée, ou une clope après une journée de boulot vraiment chiante, en moyenne un paquet toutes les 3 semaines), et rien qu'à ce stade je n'ai pas l'impression d'avoir un contrôle total sur ce que je fais. Après, j'ai pas la volonté d’arrêter.

 
Non mais j'ai côtoyé des héroïnomanes en sevrage, c'est putain de moche.

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