Reprise du message précédent :

 
 
Et oui, et alors, c'est pas bien la révolution, c'est pas  
bien l 'anarchie ?

 
   
 
sacrifier !!
 
attends on parle de bizutage, pas de mise à mort !! Le ridicule ne tue pas !!!! OK je suis contre le bizutage "hard", mais tout ne vire pas à 2 nanas lachées sur une plage à poil !!! C'est arrivé oui on ne dit pas le contraire, mais ça ne se passe pas toujours comme ça !! arrête un peu de généraliser et admets que des gens aiment participer à ça, et si certains ne le veulent pas, et bien qu'ils n'y aillent pas... toutes les personnes que je connais ayant participé à ça en tant que bizus m'ont tjs dit avoir bien rigolé et vraiment aimé, cela ayant permis de connaître tout le monde un peu plus rapidement
 
cette année je suis tombée dans une formation qui se fait que sur un an, donc pas d'anciens pour nous bizuter :  mais quel regret !!! je me suis accrochée avec 2 filles uniquement, je suis persuadée qu'avec une intégration ça se serait passé mille fois mieux...

 
 
Tu es socialement inapte.  Moi je n'ai jamais eu de probleme pour me faire des amis ou que je me trouve.

Et tu vas sauver le monde pendant qu'on y est

PS : je ne vois vraiment pas pourquoi tu t'acharnes à critiquer les gens qui aiment faire la chouille collectivement, au nom d'un seul évenement qui t'as visiblement bouleversé, où tu n'as rien pu faire.
 
Ne blâmes pas d'autres personnes pour une chose où tu n'es pas intervenu
Et sinon, tu mets des slips par dessus tes pantalons ?    

Tu es totalement inepte.

 
La mauvaise foi des partisans du bizutage n'a pas de limites pour qu'ils utilisent sans arrêt des arguments ad hominem.

Wow !

Je signale juste au passage que ton raisonnement est bcp trop inductif, au lire des dernières pages du taupique
 
PS: les mots " ad-hominem ", " affabulations " me sont reservés  

 
 
Egoïste !

ben moi a la lecture des 22 pages de ce topic je suis plus pressé de faire mon we d'integration qu'autre chose!!

Une des choses que j'ai appris à l'unnif c'est, "On ne parle pas de ce qu'on ne connaît pas", Librex tout ça...
 
Je voudrais bien savoir quel est le pourcentage de personnes ayant fait leur baptême/bizutage a répondu au sondage parce que les on-dit ont la vie dur. Je ne veux pas nier que parfois il y a des dérapages, mais c'est pas une raison de généraliser.
 
J'ai été baptisé à Bruxelles en 2002 (avec cassidy) et depuis je suis assez impliqué la dedans, on a toujours eu devant nous que des bleus volontaires, si quelqu'un ne veut pas se faire baptiser il s'en va et on ne le fait plus chier, il n'y a aucune répercussion sur son cursus.
Du moment où le bleu est volontaire pour les activités, je ne vois pas ce qu'il y a a en redire...
 
Je serai l'année prochaine (si je réussi ma 2e session, tien va peut être falloir que j'aille dormir moi ) commitard de baptême, je ne pense pas être une personne irresponsable et assoiffé de vangeance. Le baptême est avant tout pour s'amuser et rencontrer des gens, en tout cas c'est comme ça que j'envisage la chose.

J'ai voté coutume barbare
 
Déjà tout les trucs violent ou scabreux, ça mérite la taule ou un coup de batte de base-ball...
 
Et pour le truc style rigolo pour facilité l'intégration dans le groupe, camaraderie tout ça.... déjà, j'vois pas en quoi je serais plus proche d'un autre type parce que j'ai vendu du PQ dans la rue habillé avec un sac poubelle.... et puis surtout, ça me génerait, j'aurais l'impression de me faire pote avec des types qu'ont rien dans l'crane^^

 
 
Il ne faut pas comparer le bapteme belge et le bizutage francais.
De plus, il a fallu des aanées pour en arriver la, surtout a l 'ULB  
ou les étudiants qui refusaient le baptême ne pouvaient pas se procurer les "syllabus", jusqu'a la fin des années 70.

Les bizuteurs extrêmes sont des abrutis.
Quel interêt de pourrir la vie d'un étudiant, à part de faire mousser son manque d'appartenance ... les bizuteurs lol rien que le mot ça fait de la peine. C'est has been tout ça.

Toujours les mêmes préjugés de gens qui n'y connaissent rien ici...
 
Pour la différence France-Belgique, on remarque la même sur le topic scout : http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] ash_post=0
 
Des mots identiques pour une conception radicalement différente outre-quiévrain... :-/

Mis à part les individualistes antisociaux qui clament défendre l'humilité des petits étudiants jésuites de la débauche  
 
( Je constate une arrivée non négligeable de jésuites sur le fauxrhùm en ce moment ... )
du bon p'tit scout d'europe ça c'est marrant    

 
C'est donc bien la preuve qu'il y a moyen d'avoir un baptême/intégration/bizutage réfléchit et drole.
Refuser catégoriquement toute forme de baptême/intégration/bizutage sous prétexte de quelques dérives ne rime vraiment à rien (sans parler du fait que ceux qui le critique ne savent de toutes façons pas ce que c'est).
 
Il ne faudrait pas jeter le bébé avec l'eau du bain.

J'ai retrouvé ce petit texte.  
Oki, il n'est pas de portée universelle (chaque ville/comité ayant des habitudes différentes)
 
 
Voilà le mot tant décrié est lâché. Bien souvent, il suffit de prononcer le mot baptême pour que les passions les plus vives se déchaînent entre ses défenseurs (dont nous faisons partie) et de ses détracteurs. Pourquoi une telle passion ? Sans doute parce que peu de personnes savent en réalité ce qui se cache derrière ce mot. Nous allons vaille que vaille tenter de répondre à toutes vos questions ainsi qu’à toutes vos interrogations ! Pour tenter de faire la lumière sur ce mystère nous allons développer ce sujet sous la forme d’un question réponse.
 
Quelles différences entre le baptême et un bizutage ?
 
Comme je vois, on commence bien ! Tout d’abord il faut savoir que le baptême est pratiqué en Belgique et que le bizutage est d’usage en France. C’est très important d’avoir bien ça en tête.
 
Tous les ans et plus particulièrement au mois de septembre (comme pas hasard ! Y aurait-il un lobbying des facultés ?), il est de bon ton pour les télés de faire l’éloge du baptême estudiantin au travers de navets de seconde zone. Que voit-on dans ces merdes ?( excusez le mot mais j’arrive difficilement à parler de film pour ce genre de chose) On y voit de pauvres nouveaux étudiants (les bleus) se faire humilier, se faire battre, se faire saouler la gueule par de méchants anciens étudiants ( les plumes et poils) lors d’épreuves plus avilissantes les unes que les autres ! Beau tableau que de représenter une certaine élite estudiantine n’est-ce pas ! C’est à la limite de se demander comment les rectorats de tout le pays osent octroyer un diplôme à de tels monstres et de les laisser en circulation sur le marché de l’emploi avec un papier portant le cachet d’une université respectable ! Vous voyez déjà de futurs cadres tout bavant et dégoulinant de haine accueillir leurs nouveaux employés ? J’en ai froid dans le dos.
 
Non plus sérieusement c’est lamentable. Tout d’abord il ne faut pas confondre baptême et bizutage. Le baptême est une épreuve libre, non imposée et d’où il est facile de quitter quand bon vous semble. Le bizutage est différent car il est à caractère arbitraire, sans pitié voir humiliant et de surcroît infligé à toutes nouvelles personnes (bleus) d’accord ou PAS de le subir. Bref vous voyez déjà la grande différence de ces deux pratiques.
 
Pour bien comprendre ce qui anime les étudiants à faire cela, voici une approche sociologique.
 
Dans toute société et de tout temps, l’homme a éprouvé le besoin de marquer le passage de la vie d’enfant à celle d’adulte; les pratiques utilisées varient très fort selon les ethnies et les époques (en voici simplement quelques exemples):
 
· Dans certaines tribus d’Afrique, les jeunes hommes doivent sauter d’une tour de plusieurs dizaines de mètres retenus par une corde qu’ils ont tressée eux-même, la longueur de la corde étant censée représenter leur courage, les accidents n’étaient pas rares....
 
· Chez nous: Pour les ouvriers du bâtiment, il est très courant que l’on fasse aux nouveaux quelques plaisanteries (l’envoyer chercher un paquet de trous,...)
 
· Dans notre "belle" institution qu’est l’armée, on fait récurer à la "bleusaille" la cour de la caserne avec les couverts avec lesquels ils devront manger plus tard...
 
· Dans certaines sociétés, de petites blagues sont organisées pour les nouveaux employés
 
· Chez les scouts aussi, la totémisation est en pratique et ça ne pose aucun problème à la société, elle trouve même ça plutôt enrichissant…
 
· Etc etc
 
Dans notre mini-société qu’est le monde estudiantin, les formes revêtues par ce passage sont plus...ludiques... C’est ce que nous appelons le baptême.
 
 
Que fait-on pendant son baptême ?
 
Les baptêmes étudiants sont de rite d’introduction dans un nouveau mode de vie et un ensemble de nouvelles pratiques.
 
Il consiste, à quelques variantes près, selon l’endroit où il est effectué, en un ensemble d’épreuves et de jeux dont le déroulement général est à peu près ceci:
 
Tout débute par un accueil des bleus qui consiste en la présentation des membres du comité et de la régionale (les "anciens" ) et des diverses activités proposées aux nouveaux arrivants. Cet accueil permet aussi de discuter et d’apprendre avec les anciens ce dans quoi ils s’engagent.
 
Ces préambules passés, débutent les activités de baptême à proprement parler.
 
Trois grandes étapes sont à épingler dans le Baptême.
 
Tout d’abord il y a les Bleusailles. Se sont toutes les initiations que le bleu traverse au cour d’un moi s pour pouvoir accéder au passage de son baptême à proprement parlé. Outre l’aspect ludique des bleusailles, il y aussi l’aspect folklorique sous jasent qui est très important. Connaître son folklore pour bien s’y sentir est un facteur très important d’intégration dans cette micro-société.
Généralement les bleusailles sont dispensées par thèmes, chaque thème ayant une fonction bien précise.
 
- La première bleusaille généralement « bleusaille mission ». Elle consiste à une mise en jambe pour les bleus. On leur explique ce qu’on attend d’eux, comment ils doivent se comporter envers les plumes et poils et les autres régionales. Ils goûtent aussi à ce qui les attends et surtout ils y apprennent les choses vitales à sa survie comme le Fifrelin, le salut au poil, le chant de sa régionale etc etc. Pourquoi mission me direz-vous alors ? Tout simplement parce que cette bleusaille va de stand en stand et que tout au long de celle ci diverses missions sont demandées au bleu pour voir ce niveau de motivation. Ca trie si vous préférez en douceur…
 
- La deuxième bleusaille à Généralement un thème plus festif et plus rigolard. Elle est en fait là pour mieux connaître les bleus, créer des affinités et se trouver des points communs entre poils et bleus en vue du parrainage.
 
- Vient ensuite le parrainage. C’est en fait une mise aux enchères des bleus pour les poils et plumes. Elle se déroule de trois parties. Tout d‘abord les présentations des bleus par eux mêmes au travers de sketches généralement humoristique. La deuxième partie est la mise en ventes des bleus. Elle se comptabilise et s’attribue au nombre de bières qu’un poil veut bien acheter pour un bleu…tout un programme. Ca gueule, ça rigole, le tout dans une ambiance indescriptible… Ensuite le poil et le bleu trinque ensemble à cette nouvelle association…
 
- Ensuite c’est le tour d’autres bleusailles toujours déclinées selon des thèmes choisis par le comité. En fait une des richesses de ce folklore c’est que d’années en années se succèdent de nouveaux comités. Ceux ci donnent leurs propres touches personnelles et laissent cour à leurs imaginations.
 
- Le roi des bleus: c’est un genre de concours entre les nouveaux étudiants visant à élire le buveur le plus rapide ou celui qui à la plus grande résistance à la bière. Il est à noter que cette épreuve si elle est obligatoire n’est en aucun cas contraignante. En effet, le bleu qui ne sait ou qui ne veut pas boire est toujours libre de se faire éliminer au premier tour. Le roi des bleus est organisé selon un système de poules avec éliminations directes.
 
- Le pré-baptême arrive enfin et le bleu est confronté à la bleusaille la plus dure. C’est le pré-baptême qui fait office de «répétition» générale avant le baptême. Plusieurs stands y sont organisés pour voir si le bleu connaît bien tout son folklore et sa condition de bleu avant l’épreuve final…mais mystère !
 
Arrive enfin le grand jour du baptême… tadaaaa. Mais je ne vous en parlerais pas ici. Sachez que si vous êtes arrivez jusque là en faisant toutes vos bleusailles c’est que vous avez compris l’esprit estudiantin…
 
Maintenant que j’en sais déjà un peu plus sur le baptême, pourquoi le faire ?
 
Les raisons essentielles qui justifient la persistance des baptêmes ne sont pas un accroissement du masochisme en Belgique mais, au contraire, une volonté de rencontrer des gens d’horizons divers, de découvrir autre chose et d’apprendre à connaître les bonnes personnes et adresses pour des notes de cours ou des résumés et tuyaux d’examens des plus utiles en période de blocus.
 
La question du baptême se pose souvent en terme de peur de l’inconnu et de crainte d’épreuves humiliantes; sachez simplement que toutes les personnes qui pourraient vous baptiser l’ont déjà vécu et en gardent souvent un bon souvenir. Si ce n’est dans quelques rares institutions où de pareils abus sont connus de longue date, je peux vous assurer que le but du baptême n’est en rien l’humiliation.
Certains disent que le baptême prend trop de temps pour pouvoir se consacrer correctement à ses études; si vous le désirez, il vous suffit de vous renseigner auprès de votre comité sans pour autant vous engager à quoi que ce soit.
 
Parce qu’on se sent proche d’une région et de ses gens, qu’on aime son folklore et le goût des bonnes choses qu’elle nous offre…
 
Conclusion
 
Le baptême est bien souvent méconnus. Il est aussi symptomatique de constater que ceux qui en parlent avec le plus de virulence n’y ont jamais assistés… bref ils jugent sans connaître. Le seul conseil que je puisse vous donner c’est de venir à une bleusaille, ne fut-ce qu’une pour vous rendre compte par vous-même de qui nous sommes et ce que nous y faisons…
 
Bien à vous, Gédéon Praeses BW (FNDP)97-98
 
Oui, je sais, c'est long.

 
depuis quand il faut connaître pour troller sur un truc ?
 
 

J'aimerais avoir une réponse des détracteurs sur le coté volontaire des choses, je me souviens d'une émission sur le baptême passée en 2002 sur RTL-RVI (chaîne privée belge, TF1 like), où c'était "pauvres bleus" par-ci et "on les martyrise" par-là... mais en aucun cas il était dit que le bleu était volontaire, ce qui est le cas de nos jours dans la plupart des universités et hautes écoles en Belgique...
 
En ce qui concerne la France je ne sais pas trop, mais depuis que le bizutage s'est transformé en  'intégration' je pense que les gens qui y participent sont volontaires... donc d'où la question, où est le problème?
 
<pour twolife>
Ta gueule sale fossile de merde    
</pour twolife>

 
hum...Chaque jour au travers d'un monde en déshérance, des ONG bien gentilles vont à l'aide de populations affamées, malades, sinistrées, ou sakozysées    . Et, de temps en temps -fort trop souvent   !!!!!!!    S'il est besoin de le rappeller- une affaire de pédophilie, de viols surgit au sein des équipes qui sont là pour aider. Suivant le raisonnement de Momuk, toutes les ONG sont criminelles (dans ce cadre là, après, ce que certaines font en fonction de qui les téléguide n'entre pas dans le débat). Autre piste : un jour, il y a fort longtemps, un homme en a tué un autre: je propose un suicide collectif.  (en vue de nous laver de nos péchés, non commis, mais c'est pas grave, nous sommes tous des hommes et nous agissons...)  

 
Avec le bizutage a la francaise, on met le bébé dans un bain de vomi...

Mokum, tes raisonnements me laissent coi. Voilà qu'il nous parle de choix sans cesse, de contrainte, tandis qu'il reste sourd à : "Tous ceux qui ne veulent pas participer ne participent pas. Tous ceux qui à un moment donné, et pour des raisons qui leur sont propres, veulent arrêter l'expérience le peuvent." Mais cela ne suffit pas pour le momuk, car ayant une haute estime de lui-même et de ce qu'il appelle "son choix", il ne supporte pas que l'on puisse ne pas faire les même. Pire : on peut accepter d'être contraint DELIBEREMENT. Là-dessus d'enchaîner sur la prise de la Bastille (on croit rêver...) et de la liberté. Or, l'ami Rousseau nous l'a dit : la société, c'est accepter de remettre une partie de sa violence et de sa liberté dans les mains d'un supra-organisme, considérant que dès lors nos chances de survie vont être augmenté. Voilà pour la justification de la contrainte volontaire. C'est l'idée qui domine je pense chez ceux qui acceptent un petit chahutage de début d'année. Et je rajoute que oui, le bizutage (auquel nous préférons aujourd'hui "intégration", "usinage", etc...) est vecteur de lien social, il n'y a qu'à voir l'esprit de corps qui règne aux Arts. Ce qui me fait parfois regretter d'avoir choisi commerce -pour d'autres raisons, évidemment, vu l'inexistence de l'esprit de corps qui règne dans ces écoles. et quoi de plus normal que ces rites resurgissent quand nos sociétés affaiblissent ou suppriment tous les rites de passage qui structuraient la vie (plus de service -ouf- , on remplace le mariage par une signature stérile chez le maire, le baptême n'est plus ce qu'il était, etc...), et qui correspond au déclin -ce qui ravit certains, dont peut-être moi- d'une certaine forme de religiosité. Après deux ans de prépa, on fait une fête, on fait les cons, on vend du PQ, des stylos, mais après on est certains de plus être des prépas, on est autre, dans un nouveau corps (social j'entend).  
 
L'intégration, c'est une grosse cuite ludique et rituelle.

 
 
 
C'est surtout un voeu pieu.

 
Merci mokum pour tes remarques pertinentes, tu peux aller te recoucher maintenant.

 
 
Ah, comme c'est beau. Comparer l'aide au Tiers-Monde avec les ridicules rituels du bizutage.  La pensée rigoureuse est bien servie par ce genre de paraboles.  Jamais entendu dire que comparaison n'est pas raison ?

[quotemsg=6226324,864,292817]Mokum, tes raisonnements me laissent coi. Voilà qu'il nous parle de choix sans cesse, de contrainte, tandis qu'il reste sourd à : "Tous ceux qui ne veulent pas participer ne participent pas. Tous ceux qui à un moment donné, et pour des raisons qui leur sont propres, veulent arrêter l'expérience le peuvent." Mais cela ne suffit pas pour le momuk, car ayant une haute estime de lui-même et de ce qu'il appelle "son choix", il ne supporte pas que l'on puisse ne pas faire les même. Pire : on peut accepter d'être contraint DELIBEREMENT. Là-dessus d'enchaîner sur la prise de la Bastille (on croit rêver...) et de la liberté. Or, l'ami Rousseau nous l'a dit : la société, c'est accepter de remettre une partie de sa violence et de sa liberté dans les mains d'un supra-organisme, considérant que dès lors nos chances de survie vont être augmenté. Voilà pour la justification de la contrainte volontaire. C'est l'idée qui domine je pense chez ceux qui acceptent un petit chahutage de début d'année. Et je rajoute que oui, le bizutage (auquel nous préférons aujourd'hui "intégration", "usinage", etc...) est vecteur de lien social, il n'y a qu'à voir l'esprit de corps qui règne aux Arts. Ce qui me fait parfois regretter d'avoir choisi commerce -pour d'autres raisons, évidemment, vu l'inexistence de l'esprit de corps qui règne dans ces écoles. et quoi de plus normal que ces rites resurgissent quand nos sociétés affaiblissent ou suppriment tous les rites de passage qui structuraient la vie (plus de service -ouf- , on remplace le mariage par une signature stérile chez le maire, le baptême n'est plus ce qu'il était, etc...), et qui correspond au déclin -ce qui ravit certains, dont peut-être moi- d'une certaine forme de religiosité. Après deux ans de prépa, on fait une fête, on fait les cons, on vend du PQ, des stylos, mais après on est certains de plus être des prépas, on est autre, dans un nouveau corps (social j'entend).  
 
Je propose donc de réintroduire la question judiciaire. Puisqu'on en est a défendre les traditions du groupe...
 

Je suis content que tu soulève ce point Mokum.. Mais c'est malheuresement ce que tu nous sors à chaque post, une vieille analogie entre des mecs qui se bourrent la gueule et des filles à poil sur un plage, la liberté de choisir de se faire bizuter et la prise de la Bastille... Le tout avec une jolie phrase, l'air de dire "j'tai cassé", comme les gosses de quatrième après avoir vu Brice. Quant à la comparaison, jamais entendu dire que la science avance aujourd'hui par analogie? (systémique, quand tu nous tiens).

[quotemsg=6226343,866,292817]

 
Merci mokum pour tes remarques pertinentes, tu peux aller te recoucher maintenant.
 
Alors comme ca, c 'est toi qui va me dire a quelle heure je dois me coucher  ?  Décidémment votre volonté de domination est maladive a vous les bizuteurs !

 
 
Qui est Brice ?

Mon idéal de bizut.  
 
En plusieurs parties OK
L'alcool OUI
La liberté de choisir sans conséquences
Au moins une action civique

Nous, on a mis la tête d'une meuf dans une cuvette de chiotte où toute la liste BDE avait chié et on a tiré la chasse! Ensuite elle a dû rouler un patin à une autre bizuth!
 
C'était sale, mais quelle éclat'!  
 
Et tout ceci dans le respect de la personne!  

Je précise tout de suite que ce n'est pas vrai (avant je le faisais pas et y a tjs des gens qui comprennent rien à rien, donc je suis prudent!)
 
 
   

Par chez nous, quand on repère une bonnasse, on la bizuthe avec plein d'alcool fort, et ensuite, pendant qu'elle vomit la tête dans la cuvette, on la met toute nue et tout le BDE défile pour la sodoculer, et après on la noie dans son vomi et on découpe son corps en morceau et on confectionne des petits fours qu'on vend dans la rue pour financer l'envoi de cahiers aux enfants défavorisés via l'UNICEF
 
Qu'est-ce qu'on s'marre
(sauf quand il faut vider la fille comme une dinde )
 
edit > je précise qu'il s'agit d'une fiction

 
 
Exact, chez nous on appelle ça le Vidage, tradition ancestrale!
Une variante: obliger la meuf à manger son vomi!

 
 
C'est dingue, je trouve mes messages lamentables, au moment même où je les poste!

Oui mais ça laisse un goût à la viande, c'est donc à éviter. Même les bleusailles refusent d'en manger (à moins de les forcer )

 
Pas tres original, c'a été fait il y a deux ans au studentencorps
de Rotterdam !

Brice de Nice, héros des temps modernes qui à chaque fois quil sort une vanne en bois dit "j't'ai cassééééé", accopagné d'unn geste qui évoque le karateka devant une planchette en béton armé. On vient de tirer un film des sketchs.