Reprise du message précédent :

 
 
On accuse toujours la télé d'être à l'origine de la connerie des hommes, comme on accuse souvent les jeux vidéos d'être à l'origine de toutes les violences...Moi je dis que la connerie humaine vit sans l'électricité. La preuve, elle existait bien avant Thomas Edison  
 

Mais il a fortement contribué à son Amplification en bidouillant la Fée Électricité !
 
 

 
 
Édit : Mais tout en disant ça, et même si je suis plus ou moins "sociophobe" (j'aurais pas dû le confirmer à bigbrother ), je ne prétends pas en être épargné et appartenir à une élite sectaire comme certains de ceux qui organisent le truc.

Fée Électicité qui reste un bon moyen de se prémunir contre la connerie humaine    

Je ne sais pas comment je dois le prendre...?    

On le fait passer pour quelqu'un de bien (jamais de mauvaises critiques.) mais c'était un sacré connard.

 
+1 le règne de l'apparence.

Prenez quelqu'un issu de la connerie humaine, mettez lui à portée de main un conducteur sous tension, il finira immanquablement par le toucher quelque soit les avertissements. Certains seraient même prêts à tenter pour intimider les potes en vertu du principe d'amplification de la connerie fonction du nombre d'individus

Ah excellente illustration du problème ! Ça me rappelle justement des conneries de potache, ça. Il m'est même arrivé (étant gamin) d'allumer une cigarette ("fumer tue" ; je ne le fais plus) en mettant un trombone (burotique ) dans une prise électrique (attention, "Apprentis Sorciers" en herbe, ne tentez pas de reproduire l'expérience ).
Mais à part ça, tu me rassures en ce qu'il ne s'agit pas de moi, si je comprends bien.
Mais au fait, on peut se tutoyer, hein ! Je ne suis de l' "élite", moi...
 
 

 
(cliquable )

 
Oui , et moi je ne fais pas caca  
plutôt la classe , non ?

Ha Yes ! Ben c'est du niveau du complexe de supériorité contre le complexe d'infériorité. Autrement dit, niveau "bac à sable".
 
Tout dépend de 'ce que l'on ne fait pas'. Bien sûr que ne pas faire le bien ne rend pas plus vertueux que ne pas faire le mal.
Mais critiquer l'objet de culte télévisuel, ce n'est pas systématiquement faire de l'intégrisme manichéen. C'est faire de la prévention du diable.
 

Remonte petit topic

 
 
Pas de raison que ça bide comme ça alors qu'HFR est un vivier d'asociaux  
 

Dommage, y'avait du potentiel

Bah, c'est comme un cadavre, de temps en temps ça remonte au gré de la décomposition  

Tu dois savoir que quand tu immerges un corps dans l'eau, il se gonfle d'air hein, tu vois. Et alors, il a tendance à remonter à la surface. Donc, tu es obligé de le lester afin qu'il coule hein. Pour les nains c'est une fois son poids, c'est beaucoup plus lourd hein, les os sont beaucoup plus lourds chez un nain donc c'est une fois le poids
 

 
 
C'est toi le nain.
 
 
 

"Combien de fois le corps de l'enfant s'il-te-plaît Rémy ! ?!?!"

Je chiais la nuit, je chiais le jour, je chiais partout, je chiais toujours !

Quelques remarques en vrac :  
 
Nos émotions se lisent ( le plus souvent de manière inconsciente ) sur le langage du corps, même quand l'on essaye de faker ( c'est encore pire, car on voit que l'on essaye de jouer un jeux et les gens détestent le manque de congruence ).  
 
Les gens ont tendance à se comporter comme un miroir, reprenant même vos expressions du visage. Si vous êtes détendus et heureux, vos interlocuteurs vont l'être aussi.  
 
Si vous êtes anxieux, que vous êtes musculairement tendu, que vous êtes à l’affut de tous les gestes et les paroles des  personnes qui sont en face de vous pour savoir si elles vous apprécient ou pas, que vous n'arrêtez pas de cogiter, les gens vont globalement vous fuir car vous allez dégager un charisme ( un langage du corps ) de merde.  
 
Par contre, si vous êtes détendu un maximum, que vous essayez simplement de vous amusez, que vous êtes en mode semi-automatique, que vous avez confiance en vous, vous cartonnerez en société grâce à votre super charisme.  
 
Ensuite, et c'est là qu'échouent toutes les thérapies et les conseils d'auto aide : à savoir la phase où l'on ne doit plus être anxieux, avoir confiance en soit, ne plu avoir peur de l'autre, bla bla bla .
 
Et c'est là que je rentre en scène ...

ou pas

ok

Mais encore ?

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Merci fresnel pour ce témoignage très complet..
 
Le forum "SA" alternatif, dans ma signature, est actif oui, par contre point de Stellina je suis désolé; Elle semble avoir disparu de la circulation depuis la fin de l'année dernière.

Amis asociaux, allez faire un tour sur ce topic, peut-être certains d'entre vous y trouveront des pistes de réflexion.
 
Je ne dis pas que tous les asociaux sont forcément des surdoués, mais je lis souvent sur le topic des asociaux le même genre de "symptômes" que chez la plupart des HQI: hypersensibilité, mal-être relationnel, etc...
 
Moi-même, j'ai erré d'interminables années dans un désert relationnel (et ce n'est pas fini!), sans comprendre ce qui n'allait pas chez moi. Et le fait d'être atteint d'un tel handicap est une souffrance inimaginable, dans une société ou la communication et le relationnel sont omniprésents et incontournables...Le fait de savoir, de pouvoir mettre un nom sur "ce qui ne va pas" chez soi est déjà le point de départ d'une meilleure estime de soi, et donc d'une reprise de confiance en soi. mais la route est très longue et semée de découragement, parfois.
 
Au-delà de cette particularité, je m'interroge sur le sens de notre époque: la solitude et le mal-être sont absolument partout, alors que l'évolution technologique des moyens de communications et l'avènement d'une société de loisir n'ont jamais autant rapproché les gens les uns des autres, en théorie. Plus le net galope, plus les tchats et les sites de rencontres pullulent, plus les fêtes et soirées se multiplient, plus le temps libre se dégage, plus les loisirs se démocratisent, et plus les gens souffrent d'être seuls, ou se sentent mal au milieu des autres, et cela commence dés le plus jeune age, avec le phénomène de phobie scolaire. La peur de ne pas être "au niveau", de se situer au bas des classements, d'être durablement dévalué devant ses pairs. "je suis grosse, je ne peux donc pas plaire, je n'ai pas un métier "intellectuel", c'est donc que je doit être idiot, je suis toujours locataire à 40 ans, c'est donc que j'ai raté ma vie, etc..."
 
Est-ce que les gens se sentent infiniment médiocres, petits, par rapport à des idéaux véhiculés, des modèles galvaudés? Et en réaction à ce  sentiment de ne pas "être à la hauteur", se renferment sur eux-même, n'osent plus aller vers les autres?
 

Par conséquent, c'est la société qui veut ça (pas les asociaux qui n'ont rien demandé), dont le phénomène asocial ne fait que représenter les symptômes d'une déliquescence sociétale, en fait... Alors, à quoi bon se torturer l'esprit et se culpabiliser parce que les asociaux appartiendraient en réalité à la norme.

Ca me fait marrer les mecs qui font reposer le fait qu'ils soient rejetés ou bien qu'ils aient peur des autres sur notre société moderne. Je pense plutôt que c'est un mécanisme social de hiérarchisation des individus ultra basique qui date depuis la nuit des temps, du style que l'on peut retrouver chez la plupart des mammifères.  
En gros, qu'il y ait des mecs populaire, heureux et insouciants et de l'autre côté de gros losers malheureux qui se torturent l'esprit, c'est tout à fait normal et cette tendance à hiérarchiser les individus fait parti de nous. Nos mécanismes de pensées dont nos actes vont découler font que cela arrive inévitablement à cette situation.

 
Ca comprend ceux qui font les moutons pour s'intégrer dans la masse.

 
 
Oui, d'ailleurs ça rejoindrait assez bien sa théorie sur les mammifères  
 

Au départ, on aspire tous un peu à se positionner comme leader. Mais le problème est que ce sont les autres qui nous donnent notre place. Ensuite, on essaye de se positionner tant bien que mal ( parfois au prix de gros efforts ) pour ne pas avoir la place la plus merdique.

Pour ma part lorsque je suis en société je me comporte comme un vrai asocial mais paradoxalement quand la situation l'exige j'arrive à me faire passer pour quelqu'un de sociable.
 
Pour prendre un exemple, quand je sors pour aller faire les magasins ou les courses, j'ignore volontairement toutes les personnes que je rencontre et je n'adresse la parole à personne (sauf aux caissiers par politesse), je pourrais passer à 30cm de quelqu'un que je connais ça serait pareil, sauf si cette personne m'apostrophe et que je suis dans de bonnes dispositions pour lui parler.
 
Par contre à l'inverse quand je suis au travail je peux être tout à fait engageant avec mes collègues et me faire apprécier d'eux en me montrant sociable, mais là c'est effectivement parce que le contexte l'exige (et le métier que j'ai choisi aussi).
 
Donc finalement je me dis que je suis peut-être seulement asocial à mi-temps

C'est pas le cas de quasiment tout le monde ?

 
 
C'est pas être asocial, ça...  
 
C'est préserver son périmètre d'intimité, tout au plus...ce que fait chacun d'entre nous, plus ou moins.

Dans de moindres proportions probablement, mais moi à partir du moment ou je suis en société je me comporte comme si j'étais dans une bulle et que rien de ce qui se passe autour de moi n'a d'importance, un mec pourrait aller encastrer son caddie dans le rayon Hi-Fi et détruire 10 téléviseurs, je passerais à coté sans même lever les yeux, juste parce que je m'en fout royalement.  

Ce n'est pas le cas de beaucoup de monde ?  
 
Parfois, quand il arrive un événement exceptionnel, je m'amuse à regarder la réaction des gens et bien souvent, une grosse bonne partie n'en a souvent strictement rien à foutre.
 
Ensuite, cela dépend bien évidemment de l’événement. Tout est relatif.

La survenue d'un événement de ce type suscite quand même souvent une réaction, déjà la majorité se retourne pour voir ce qu'il s'est passé, ensuite certains s'offusquent, d'autres ont un petit sourire narquois sous-entendant ouvertement un "bien fait pour sa gueule", et d'autres, une petite minorité, se proposent de jouer les bons samaritains.

Pour prendre un exemple flagrant que j'ai été amené à vivre en direct, c'était lors d'un accident sur l'autoroute, un sens de circulation était partiellement bloqué à cause de l'accident et l'autre sens était totalement bloqué alors qu'il n'y avait à priori aucun motif particulier, la raison c'était simplement qu'à force de ralentir pour regarder ce qu'il s'était passé les automobilistes avaient fini par créer un bouchon de 20km... ça prouve bien que même si c'est par simple curiosité, j'irais même jusqu'à dire malsaine en l'occurrence, la plupart des gens sont quand même attentifs à leur environnement et à ce qu'il se passe autour d'eux.