Reprise du message précédent :
J'ai lu "moins 125" de Guy Carlier. J ai adoré et pas mal pleuré tellement par moment je sentais ma souffrance à travers la sienne. Bon livre très touchant et très piquant et drôle

Je n'arrive pas à gérer le signal de faim. Des fois j'arrête de manger quand je n'ai plus cette sensation de faim puisqu'on dit qu'il faut écouter son estomac.  
Mais elle vient très vite genre au bout de 4 fourchettes. Si j'arrête de manger quand je n'ai plus faim après 4 fourchettes bah forcément 1h après j'aurai la dalle.
 
Je comprends absolument pas comment font les gens quand ils disent qu'ils ecoutent leur faim.

Ça se travaille, mais c’est pas forcément évident « socialement ».  
Dans l’ideal, il faudrait que tu arrêtes de manger au bout de tes 4 coups de fourchette. Tu verras bien ensuite si tu as re faim 1h après, tu remanges à ce moment là. Comme pour la première faim de la journée qui peut survenir à n’importe quelle heure. Pas évident à adapter aux horaires de boulot.  
 
Mais je pense qu’une fois qu’on a mieux travaille dessus, c’est plus facile ensuite de les adapter à la vie sociale (« je sais que je mange un peu trop par rapport à ma faim ce midi parce que j’aurai pas l’occasion de goûter et qu’il faut que j’attende le dîner » par exemple).

Le fiston est visiblement moins tolérant avec la graisse en trop : https://youtu.be/l49QFsn4u8w?t=2374

Ce crétin est son fils? Oh merde alors

Ici ça s'améliore peu à peu.
 
Je suis passé de 105kg à 85kg en très (trop ?) peu de temps.
 
Puis j'ai doucement repris jusqu'à 98kg, et reperdu jusque 89kg ou je suis à peu près stable.
 
J'ai du mal à identifier les causes de tout ça.  
 
Parfois je sors du taff et j'ai envie de manger. J'ai pas faim, loin de là, mais je me sent obliger de manger.
Ensuite je prends du poids et/ou culpabilise et s'en suit quelques semaines d'orthorexie.
 
Je pense suivre une thérapie en parallèle.
 
Le 6 pack n'est pas pour cet été, mais je l'aurais pour 2020, année de mes 30 ans
Je lâche rien au niveau du sport et fait vraiment attention à manger équilibrer sans trop me priver.
 
A suivre.

T'es de quel coin? Ta motivation et ton objectif est semblable à la mienne, on pourrait se faire des randos à 2 si t'es pas loin pour se motiver

Je suis en paysannie profonde, sur Marne la vallée
 
Tu es d'où ?  
 
En parallèle comment ça se passe de ton côté ?

Je suis du Gard ça fait loin
Moi ça va, je perds doucement. La perte se fait sur 1 semaine ou 2, puis je refais des grignotages qui font que je ne perds plus, puis j'arrive à relancer etc... donc la perte se fait en douceur au moins je reprends pas.  
Par contre j'adore faire du sport maintenant, j'ai dépassé le cap de devoir se forcer

Voilà, sortir de chez soi c'est le plus dur, après on prends vite goût au sport ou tout du moins à cette nouvelle routine en dehors de la maison.
Quand je suis dans cette routine, tout va bien. A chaque retour de vacances par contre, difficile de se remettre dedans.
 
Après j'ai aussi toujours peur d'être jugé à la salle, de me sentir trop gras.  
Et puis a chaque fois que j'y retourne après une pause d'une semaine ou deux, je me rends toujours compte que tout vas bien, que ma séance se passe super bien et que personne ne me juge ou regarde.
 
Et évidemment si je reste chez moi je bouffe. J'ai plein de trucs à faire à la maison (travaux, jardins...) mais je procrastine et je bouffe.
A l'inverse, quand je suis en dynamique positive, je fais du sport, j'ai un bien meilleur sommeil, je prends soins de moi et de la maison, je suis plus performant au boulot, moins fatigué, j'ai plus (+) confiance en moi...  
 
Bref, c'est surtout dans la tête pour moi. Ce soir je me mets un coup de pied au cul pour remettre les pieds à la salle, j'y suis pas allé depuis 2 semaines...

J'ai trouvé une superbe salle et les gens très gentils et respectueux. Mais je suis agoraphobe donc je reste tendu et puis je passe ma journée en bureau j'ai du mal à enchainer avec un autre endroit clos et couvert. Les gens en salle ont plutôt tendance à respecter les gros car ils voient que t'es là pour te défoncer.

J'ai la chance d'habiter dans un secteur très riche en nature paysages et biodiversité donc je privilégie de plus en plus les ballades plutôt que la salle. Je pense arrêter la salle et me mettre à faire du poids de corps sur un parcours de promenade (gainage, tractions pompes).

Le sport m'empêche de bouffer chez moi aussi; Et je me sens + efficace. C'est à ce jour le meilleur régulateur de TCA que j'ai trouvé qui marche sur moi.

J'ai 5/6 ans de salle derrière moi et franchement, je n'ai jamais rencontré un mec se marrer parce qu' un "gros" était la à faire ses exos.
Même certains habitués grande gueule se taisent.
Parce que si le mec vient à la salle, déjà, il a l'envie. Il fait l'effort de venir.
J'allais dans une salle tôt le matin. Et tout les matins de l'année, il y avait un mec (1m75, 140kg) qui était là à 7h30 pour se faire ses 45min de cardio. Alors oui il devait mal s'y prendre niveau bouffe car il a très peu perdu l'année où j'étais la mais au moins respect. Le mec était là tous les matins. Chapeau.

Franchement, n'hésite pas. Si tu es régulier, tu va aussi peu à peu rencontrer des gens, te socialiser d'une autre manière. Ça peut motiver aussi.
La régularité en salle paie. Si c'est pas au niveau du poids, c'est dans la tête.

 
Pareil, j'ai 15 ans de salle, et je n'ai jamais vu personne se foutre de la tronche d'un gars/d'une femme trop gros. Si la salle te botte, fonce
Tu auras bien sûr les inévitables bogoss/bombasses, mais selon l'emplacement de ta salle et la fréquentation, no souci.  
Mes salles sont en plein milieu d'une technopole, donc la populace standard ce sont des ingés divers et variés.. Pas vraiment Venice Beach quoi

Semaine dernière j'étais pas bien, c'est seulement hier que je l'ai réalisé: j'ai passé la semaine à bouffer de la merde, une telle crise m'était pas arrivé depuis longtemps.
Bon du coup je sens que d'en avoir en conscience hier m'a donné une sorte de déclic. Je pense que c'est un bon levier d'action: la prochaine fois que j'ai envie de m'éclater le bide de saloperies j'essaye de me rappeler de penser pourquoi je veux faire ça, au lieu de foncer tête baissée.

C'est un bon reflexe mais pas si simple.
 
Quand j'ai un coup de déprime et que je mange de la merde, j'ai beau me dire que c'est mauvais, ça m'empêche pas de m'empiffrer et de regretter directement après.
 
Tu en es où dans ta perte de poids Altered ?

Moi aussi je sais que c'est de la merde et me dire que c'est de la merde n'y change rien. Pour ça que je pense que l'angle d'attaque sera plutôt de se dire "mais pourquoi là j'ai envie de bouffer le paquet de gâteaux?"

Je stagne. J'ai encore tellement à perdre et je stagne....
Je songe à me faire sleever, j'en peux plus de cette lutte.
J'ai commencé la diet en janvier, je peux te jurer que la lutte est AUSSI DURE que le tout premier jour, je n'ai absolument pas baissé dans ma frustration malgré les habitudes. Chaque jour est aussi dur que le tout premier, et je m'y habitude pas non plus à cette douleur.

J'ai arrêté l'alcool et la clope en son temps, c'était de la pisse de chat à côté. Je suis vraiment accroc à la bouffe, encore plus que ce que j'imaginais.

Les industriels sont très doués pour nos rendre complètement accros à leur bouffe, c'est terrible. Courage à toi

Merci

Disons qu'en cumulant l'arrêt de l'alcool, de la clope, du sucre et la mise au sport je compatis, ça doit être difficile au quotidien.
 
Ici je me suis pas mal relâché pendant les vacances, mais les hostilités reprennent aujourd'hui avec mon retour de congés.  
Même programme qu'auparavant à savoir 5 séances par semaines, et contrôle sur MFP.
 
Je me rends compte que lorsque je coupe cette routine, j'ai tendance à me relancer dans la merde.
 
Bref, on est pas encore sorti de l'orthorexie.

 
et au delà de ça, la bouffe c'est la seule addiction dont tu ne peux pas te passer, tu peux arrêter la picole sans que ça pause de problème pour ton corps passé le sevrage, la bouffe ben tu peux pas tirer un trait dessus, jamais    
 
 
 
par contre altered, t'as visiblement des problèmes dans ta relation avec la bouffe, une sleeve ne résoudra pas ça (et a priori ces soucis doivent être réglés avant de pouvoir faire ce type d'opération), on trouve des cas de gens qui arrivent à contourner la restriction de la sleeve (genre en bouffant de la glace parce que ça fond avant de remplir l'estomac), et globalement ça ne convient pas aux grignoteurs, mais plus aux gros mangeurs (ce qui semble plus être ton cas par contre)
 
t'as vu un psy ou autre, ou essayé de contacter le G.R.O.S. ou ce genre d'organisme ? (je connais pas bien le sujet, donc y a sans doute des gens ici plus à même de donner de bons conseils adaptés à ton cas)
 
 
 
tu dis que tu stagnes, concrètement ça veut dire quoi ? ton poids ne descend pas du tout, ou ne descend pas aussi vite que tu le voudrais ? et dans les deux cas, est-ce que t'arrive à déterminer ce qui fait que ça foire ? (ça peut être de gros craquages qui annulent les efforts que tu fais le reste du temps, ou alors tu n'arrives pas à être rigoureux au quotidien et n'arrivent pas à gérer tes apports, pour x raison ? c'est juste des exemples mais les solutions ou les pistes de réponses ne seront pas forcément les même selon où ça pèche)
 
 
 

Salut,

Dommage qu'il n'y ait plus de message depuis septembre... Peut être l'occasion pour tout le monde de faire un point ?

Altered, tu t'es beaucoup livré et je m'identifie pas mal à toi, à ton rapport à la bouffe, à ton envie de sleeve etc... Et à ce sujet d'ailleurs je suis d'accord. On peut tout reprendre même après une sleeve car l'estomac reste élastique et peut regrandir avec le temps !

Je viens de prendre le goûter avec mes enfants... 2 tranches de pain + mousse de canard + cornichons. Et en les voyant finir leurs (petit) pain au chocolat, j'ai repris une tranche de pain + 2 barres de chocolat industriel (degueu en plus). Et le pire, c'est que je mange ça en sachant que je vais avoir des mega remontés acides (à cause de ce chocolat), mais que je lutte pour pas continuer à bouffer ! Et j'ai tellement envie de manger (sans faim évidemment)

Pourquoi tu as mangé (ennui ? frustration ? autre ?) ? Pourquoi tu manges des produits "pas bon" ?
 
Comme d'hab', il faut essayer d'analyser, de comprendre le pourquoi du comment, d'accepter aussi ces moments où on mange sans faim. Long cheminement s'il en est mais nécessaire pour retrouver une relation normale avec la nourriture.

Bah au fond j'en sais rien... J'aurai envie de dire "juste parceque je trouve ça satisfaisant". J'ai 31 ans, 170cm, entre 125 et 130 kg, je ne me pèse plus depuis mon dernier "échec" d'il y a quelques semaines. J'ai toujours été gros (et de plus en plus), ce qui d'ailleurs me semble faux avec du recul, quand je vois des photos du passé, mais c'est une autre histoire.

En ce moment c'est très difficile (papa solo avec 2 enfants de 3 et 5 ans), mais ma vie n'a pas toujours été comme ça et j'ai toujours beaucoup trop mangé. Mais c'est sûr que ça n'aide pas... Sans compter le côté fataliste : de toute façon je suis énorme, un connerie de plus ou de moins...

J'en suis venu à une réflexion, et c'est pour ça sur j'ai posté ici, au cas où d'autres se reconnaissent et pourraient m'éclairer : j'ai l'impression que la nourriture est le seul truc de ma vie que je contrôle. Et par conséquent que c'est le truc que je peux contrôler en le faisant aller mal, car tout le reste de ma vie est obligé d'aller bien, ce qui ôte toute liberté (maison travail finances enfants etc). Or ici, je me demande si inconsciemment, pour me prouver que c'est "ma" vie et donc que je peux choisir certaines choses, mon cerveau me demanderait pas d'engloutir en permanence. Mais si c'était le vrai probleme ça aurait du se résoudre en prenant conscience de la chose non ?

Édit : j'ai aussi commencé le livre du Dr zermati pour m'arrêter au moment de noter ce que je mange et pourquoi. Je n'ai pas réussi... Je ne trouve jamais pourquoi

Satisfaisant ? Tu as mangé des trucs que tu n'as pas trouvé bon, qui vont te rendre malade et accessoirement, tu culpabilises et tu es en lutte avec toi même (tu dis que tu as encore envie de manger).  
 
Un truc satisfaisant t'aurai juste fait plaisir, tu aurais trouvé ça bon et ça se serait arrêté là.
 
Tu lis lequel de Zermati ?  Essaye peut-être de voir du côté d'Apfeldorfer, je le trouve un peu moins didactique. Sinon, tu peux regarder les conférences du GROS (elles sont sur YT). Perso, il m'a fallu lire/écouter/voir énormément avant de commencer à en voir le bout (et je n'ai pas fini). Sur ce topic, tu peux lire le témoignage d'Etoile64 qui est très intéressant et très parlant.

Je ne sais pas comment décrire ça. C'est une espèce de lutte : j'adore vraiment les premières bouchées (même quand c'est de qualité médiocre) et ensuite je ressens presque plus rien. Mais je ne parviens pas à m'arrêter pour autant. Pourtant après coup, je suis formel : aucun plaisir après 1 tiers de ce que j'ai mangé.

Le livre de zermatti c'était maigrir sans régime je crois (je ne l'ai plus on me l'avait prêté). Et vais zieuter l'autre auteur que tu cites merci

Et le témoignage je vais le relire pour voir. Je l'ai sûrement mais je lis pas forcément les pseudo à chaque fois ^^

En effet j'avais bien lu Etoile64.
Récit instructif. À ce compte la j'ai des relation difficiles avec pas mal de monde alors ça va être dur tout va bien en apparance mais je m'identifie peu à la famille ( parents / frères) par exemple, dans le mode de pensée, le mode de vie etc... Malgré tout l'amour que je leur porte !

Ce message décris 95% de ma vie je suis capable de manger normalement plus ou moins dans la journée, sans trop me forcer. Mais le soir, quand les enfants sont couches et que je suis enfin au calme, malgré que je ne m'ennuie pas, j'ai des pulsions d'hyperphagies.

Comme je disais plus haut, c'est un travail assez long de réussir à décortiquer tout ça, de réussir à comprendre et entendre pourquoi on mange dans certaines circonstances.
 
Perso, je sais que j'ai tendance à manger (hors repas) par frustration ou parce que je cherche une forme de réconfort genre mon boulot me frustre (je m'emmerde, ça ne m'intéresse plus, je n'apprends rien), quand je rentre souvent je me fais un goûter alors que je n'ai pas faim, ou alors je mange + que ma faim. Bon bah ce n'est pas grave, je le sais, je suis plus attentive à mes sensations le repas suivant. En fait, plus je suis dans l'acceptation et plus les quantités diminuent (et les goûts changent aussi d'ailleurs). L'idéal serait de ne plus en avoir besoin et/ou de gérer ce besoin de réconfort autrement, évidemment ^^.
 
Bref, bon courage ^^.

Merci je vais déjà regarder les vidéos dont tu parles, et le bouquin aussi.

J'ai vu passer des séances D'EMDR aussi. J'en ai entendu parler par d'autres biais,non lié à l'alimentation mais plus sur des groupes Facebook sur la parentalité. Et tout le monde en disais du bien. Ça aide beaucoup à se comprendre apparement. Faudrait que je me renseigne la dessus... En tout cas j'ai essayé l'hypnose, ça n'a pas vraiment fonctionné (mais j'ai de gros doute sur le pratiquant lol)

Cool un topic TCA

Je ne suis peut-être pas sur le bon topic mais bon, je post quand même.

Je crois avoir un TCA qui est loin d'être dramatique comparé à l'anorexie ou la boulimie...

Situation critique pour moi :
Premier déplacement professionnel depuis 10ans où je vais devoir MANGER en dehors de CHEZ moi.

Contexte :
Je vais devoir aller manger à l'extérieur de chez moi, pendant au moins 2 ou 3 repas en Angleterre.
J'ai depuis mon début d’adolescence un trouble alimentaire.
Dès que je dois manger en dehors de chez moi, mon estomac se bloque, mon œsophage se bloque, je "tire au cœurs" à chaque truc solide mis dans ma bouche.
C'est inexplicable, c'est comme ça, mes neurones ont du mal faire des connexions à un moment donné dans mon adolescence...
Par contre à la maison j'ai 0 problème avec la bouffe.

Je dois partir avec un collègue, je ne veux pas que mon TCA se sache dans l'entreprise, ni dans mon cercle familiale (j'ai toujours plus ou moins réussi à le cacher prétextant des excuses pour ne pas y aller quand le repas de famille n'était pas dans un lieu maîtrisé). Je suis dans une petite ville, si mon collègue parle de mon TCA je ne veux pas que ma famille soit au courant...
Je suis sure que le client chez qui je suis obligé d'aller va vouloir nous offrir un restaurant ... je vais rien manger ... je vais "tirer aux cœur" ... je vais avoir l'air blizzard à rien manger ...

Bref je stress, limite j'ai envie de prendre ma voiture et partir loin, ne plus donner de nouvelle pendant quelques semaines ou démissionner (quand je suis seul et pas chez moi je gère assez bien le TCA ...), j'ai fais un ulcère à l'estomac au mois de décembre, je crois que c’est à cause du stress de ce déplacement prévue depuis longtemps.

Voila je voulais juste en parler, je ne sais pas quoi faire.

Avec ce post, c'est la troisième fois que j'aborde le sujet en dehors de mon cerveau en 15ans...
Je n'ai jamais osé parler à un médecin ou autre, trop honte sûrement ...

Parfois j'arrive à en guerir, quand je suis vraiment obliger de partir longtemps de chez moi, c'est dure les premiers jours, je mange vraiment peu, puis au fur et à mesure mon cerveau se débloque et je deviens quelqu'un de tout à fait normal.
Puis je reviens à la maison et mon cerveau re-déconne ...

Je ne sais même pas si mon TCA bien particulier porte un nom ...

Merci de ne pas quoter ce message, ni mentionner mon speudo.

Je réagis un peu tard mais ne serait-ce pas lié à une forme d'anxiété sociale ? Par exemple, appréhendes-tu aussi la perspective de devoir converser avec tes collègues à table ?
Je pose cette question car tu parles peu de nourriture dans ton message, mais tu parle pas mal des autres et de la peur que tu ressens à l'idée qu'ils puissent découvrir ton problème.