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Auteur Sujet :

[Question épineuse] SIDA

n°10058649
akila
Salut ô Salut!
Posté le 29-11-2006 à 23:09:54  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
 
 
Si y a ejaculation la c'est sur et certain ca doit etre de l'ordre de 90%.Par contre oui le sens femme---->homme je comprends que c faible mais 0.1%...


---------------
Feedback:http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 1925-1.htm
mood
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Posté le 29-11-2006 à 23:09:54  profilanswer
 

n°10058685
Profil sup​primé
Posté le 29-11-2006 à 23:14:03  answer
 

akila a écrit :

Si y a ejaculation la c'est sur et certain ca doit etre de l'ordre de 90%.Par contre oui le sens femme---->homme je comprends que c faible mais 0.1%...


Non non, le 0,1 % c'est dans le sens "receptive", c'est-à-dire homme--->femme.
 
Pour le sens femme--->homme c'est encore moins, 0,05% de risque.
 
Enfin bref, même si on se plante de sens, ces statistiques restent très étonnantes :o

n°10058688
lxl ihsahn​ lxl
●⌠ Antaigris ⌡●
Posté le 29-11-2006 à 23:14:38  profilanswer
 

akila a écrit :

Atend j ai ptet mal compris une femme seropo fait l amour avec 10 00 partenaire elle en contamine 1?


 
Un homme penetre quelques dizainnes de fois, il contamine quelqu'un.

n°10058742
pantalaimo​n
Posté le 29-11-2006 à 23:23:10  profilanswer
 

http://www.solidarite-sida.org
 
PRATIQUES A RISQUES
 
Pénétration vaginale
 
Attention pratique très dangeureuse sans précautions
Quels sont les risques ?
Le risque de contamination existe dès qu’il y a pénétration. Toute relation sexuelle non protégée entraîne des risques liées aux IST ( parmi lesquelles certaines peuvent entraîner la stérilité), risque de grossesse non désirée, et à fortiori risque de contamination par le VIH.

Pourquoi ?

Dès qu’il y a pénétration, il y a présence possible du virus. Chez les hommes, dans le liquide séminal , chez les femmes, dans les sécrétions vaginales.
Donc, « se retirer » juste avant l’éjaculation n’empêche absolument pas la contamination aussi bien chez l’homme que chez la femme.
 
Comment se protéger ?
En utilisant des préservatifs.
 
Pénétration anale
 
Attention pratique très dangeureuse sans précautions
 
Quels sont les risques ?
Les risques de contamination par pénétration anale sont très importants. Voire plus importants que par pénétration vaginale.
 
Pourquoi ?
Il faut savoir que l'anus est plus fragile que le vagin. La muqueuse anale peut subir des lésions pendant la pénétration ( ce sont des portes d’entrées possibles pour le sida mais aussi pour les autres IST ) ou provoquer des saignements et donc mettre le sexe masculin en contact avec d’éventuelles parties infectieuses.
 
Comment se protéger ?
Utiliser un préservatif et du gel à base d’eau. Le gel limite les risques de déchirures du préservatif. ( on peut trouver ce gel en pharmacie, supermarchés, parapharmacies…)
 
Fellation
 
Pratique à risque si on ne prend pas précautions
Quels sont les risques ?
Le risque de contamination est faible quand il n’y pas d’éjaculation dans la bouche. Il est plus élevé quand il y a éjaculation, que l’on avale ou pas. Bien que le risque soit plutôt faible, il n’est pas possible d’affirmer que cette pratique sexuelle ne comporte aucun danger.
 
Pourquoi ?
La fellation comporte un contact entre liquides corporels ( liquide séminal plus la salive) et muqueuses ( gland du sexe de l’homme, bouche ). Le sperme d’une personne atteinte peut contenir une concentration plus ou moins importante du virus. Il faut donc éviter d’en avoir dans la bouche. ( surtout en cas de problèmes buccaux : gingivite, angine, candidose ).
 
Comment se protéger ?
En utilisant des préservatifs.
 
Cunnilingus
 
Pratique à risque si on ne prend pas précautions
Quels sont les risques ?
Le risque de transmission du VIH lors d’un cunnilingus est extrêmement rare, voire théorique. Le virus contenu dans les sécrétions vaginales ne semble pas être en quantité suffisante pour entraîner une contamination dans le cadre de cette pratique.
 
Pourquoi ?
Une femme qui reçoit un cunnilingus ne peut être contaminée dans la mesure où la salive ne transmet pas le VIH. En revanche il est possible mais très rare, qu’une personne qui fasse un cunnilingus soit contaminée. Mais pour cela il faudrait qu’il y ait contact avec du sang de la partenaire séropositive, lors des règles notamment.
 
Comment se protéger ?
On peut se protéger en utilisant une digue dentaire ( carré de latex utilisé en chirurgie dentaire) disponible en pharmacie. On peut aussi utiliser un préservatif découpé dans le sens de la longueur et lui donner ainsi la forme d’un carré en latex à appliquer ensuite sur la bouche .
 
 
Piercing, tatouage et pactes de sang

 
Pratique à risque si on ne prend pas précautions
Quels sont les risques ?
Il y a un risque de contamination par percing et tatouages si les règles d’hygiènes ne sont pas respectées lors de la pratique. Mélanger son sang est fortement déconseillé car c’est également une prise de risque.

Pourquoi ?

Le virus du sida et les hépatites se transmettent aussi par le sang.
 
Comment se protéger ?
Si les personnes pratiquant le percing et le tatouage respectent toutes les règles d’hygiène en se servant du matériel à usage unique, il n’y a pas de risque de transmission du VIH et des hépatites.
 
Drogue
 
Attention pratique très dangeureuse sans précautions
Quels sont les risques ?
Les seringues et aiguilles contaminées peuvent, si elles sont partagées, transmettre le virus. Ceci concerne les utilisateurs de substances injectables qui se piquent avec la même aiguille ou seringue. Entre autre ceux qui se « shootent ». De plus la cuillère et les objets qui servent à préparer la drogue peuvent également être contaminés.

Pourquoi ?

La transmission du VIH chez les usagers de drogue peut se faire par utilisation d’une seringue souillée. C’est la présence de sang contaminé dans les seringues, les aiguilles et le matériel d’injection, et non la drogue qui transmet le VIH. Par ailleurs l’usage de la drogue quelle qu’elle soit ( cannabis, ecstasy…) ou d’alcool peut diminuer la vigilance et faire ainsi oublier l’usage du préservatif ou faciliter une relation sexuelle qui n’aurait pas eu lieu autrement.
 
Comment se protéger ?
Une hygiène irréprochable du matériel, utiliser ce matériel à usage unique.
 
Grossesse

 
Pratique à risque si on ne prend pas précautions
Quels sont les risques ?
Le risque de transmettre le virus à l’enfant est possible, mais peut être considérablement réduit.
 
Pourquoi ?
Les traitements actuels disponibles permettent de diminuer vraiment le risque de transmission du virus. Les femmes atteintes par le VIH peuvent donc envisager une grossesse. C’est pourquoi il est très important de savoir si l’on est séropositive avant d’avoir un enfant. Après la naissance, l’allaitement est une source de contamination.

Comment se protéger ?

Faire un dépistage avant d’envisager une grossesse et prendre par la suite les traitements requis.

Message cité 1 fois
Message édité par pantalaimon le 29-11-2006 à 23:26:04
n°10058758
bank
grin and bear
Posté le 29-11-2006 à 23:26:33  profilanswer
 


 
C'est en partie dû au fait que l'unité infectieuse du VIH est passablement instable (demi-vie de quelques heures) et que la majorité des particules virales produites sont défectueuses (i.e. pas infectieuses).

n°10058793
Profil sup​primé
Posté le 29-11-2006 à 23:32:31  answer
 

En même temps rien ne vaut un préservatif. [:ciler]

n°10058831
bank
grin and bear
Posté le 29-11-2006 à 23:38:57  profilanswer
 


 
C'est certain.
Il faut pas oublier que ce sont des moyennes, après il y a nécessairement une variabilité d'individu en individu en terme de susceptibilité à l'infection.

n°10059569
dje33
Posté le 30-11-2006 à 07:43:56  profilanswer
 

pantalaimon a écrit :

Parce que le risque de transmission du VIH est bien moindre. D'ailleurs, quand je faisais de la prévention dans les années 90, on savait tous que ce risque n'était que théorique et qu'il n'avait jamais été prouvé scientifiquement. Depuis je ne sais pas si ça a été démontré. Mais bien entendu pour être sûr à 100% faut mettre une capote.


Ben justement les trucs ou il y a de la prevention parlent de mettre des capotes pour ça, d'autre dissent que c'est pas risqué.
 
Resultat moi je n'en met pas (pour le see oral pour le rest j'en met). Mais bon j'ai pas une vie sexuelle avec des centaines de partenaire douteux donc j'ai jamais eu trop peur de ça.

n°10059669
Blue Apple
Posté le 30-11-2006 à 08:56:44  profilanswer
 

Citation :

J'ai demandé des sources scientifiques indiscutables, pas une enquête où les hommes auront leur comportement habituel face à un questionnaire s'inquiétant de leur activité sexuelle : surévaluer.


Dans ce domaine, c'est hélas la seule source disponible: à moins d'espionner les gens, la seule source d'information sur leur sexualité ce sont les questionnaires.
 
Evidemment, il y a une large différence entre un sondage sur le net et une enquête sérieuse sur un échantillon représentatif avec tests statistiques pour traiter les données brutes.
 
Pour en revenir sur le sujet, d'après www.ejhs.org/volume9/Garza.htm, il semble néanmoins que l'affirmation de Caloub soient corroborée par pas mal de sources.
 
"For example, like heterosexual men, gay men place the greatest importance on physical attractiveness and youth for a sexual partner’s characteristics, and they tend to view sex and sex-related activities as extremely integral components of a relationship (Symons, 1979). However, unlike heterosexual males, gay males are seven times as likely to have extra-dyadic sexual encounters, and are more likely to engage in an agreed-upon open relationship with their primary partners (Buss, 1998). Moreover, as males desire sex more frequently than do females, it is not surprising that gay males, in comparison to heterosexuals and lesbians, have the highest frequencies of sex across all stages of their relationships. For example, within the first two years of a relationship, two-thirds of gay men but only one third of lesbians had sex three or more times per week; after ten years together 11% of the gay men but only 1% of lesbians still remained in that category of highly frequent sex (Baumeister et al., 2001). "

n°10595337
Biroute
j'aime les andouillettes !:op
Posté le 08-02-2007 à 09:00:25  profilanswer
 


 
j'ai fait un test VIH hier en début d'aprem, et toute l'aprem, j'étais anxieux car bien que j'ai toujours utilisé des capotes, j'ai fait un cuni sans protection, et j'ai reçu 2 turluttes sans protection à 2 filles différentes que je ne connaissais pas vraiment. Mais ce que tu viens de mettre ma rassure déjà énormément.
C'est mon 1er test, donc j'y allais confiant, et j'y suis sorti en ayant les boules...


---------------
Ma vie en Polonie: http://ketchupnchantilly.blogspot.com/
mood
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Posté le 08-02-2007 à 09:00:25  profilanswer
 

n°10595344
Profil sup​primé
Posté le 08-02-2007 à 09:02:13  answer
 

Biroute a écrit :

j'ai fait un test VIH hier en début d'aprem, et toute l'aprem, j'étais anxieux car bien que j'ai toujours utilisé des capotes, j'ai fait un cuni sans protection, et j'ai reçu 2 turluttes sans protection à 2 filles différentes que je ne connaissais pas vraiment. Mais ce que tu viens de mettre ma rassure déjà énormément.
C'est mon 1er test, donc j'y allais confiant, et j'y suis sorti en ayant les boules...


(sans oublier qu'il y a pas que le VIH, comme maladies incurables qui se transmettent par le broutage et la turlute ... :whistle: )

n°17073174
henri-alex​andre
Posté le 27-12-2008 à 12:06:11  profilanswer
 

'lut
 
Heureusement qu'il y a quelques avancées même si ces avancées sont forcément insuffisantes et (trop) lentes pour les principaux concernés par la maladie.
 

Citation :

Un virus décelé chez les lémuriens donne de nouveaux indices sur l’évolution du VIH
De nouvelles pistes de recherches sont ouvertes

 
Vendredi 26 décembre 2008, par notre partenaire IRIN        
 
Un lémurien de Madagascar, de la taille d’un écureuil, a donné aux scientifiques de nouvelles preuves sur les origines du VIH et ouvert de nouvelles pistes de recherche prometteuses.  
 
Robert Shafer, auteur principal des recherches, a expliqué à IRIN/PlusNews que cette découverte était « un des principaux maillons manquants » nécessaires pour comprendre les antécédents évolutionnaires des virus liés au VIH.
 
L’on s’accorde généralement à dire que les deux souches de VIH susceptibles d’être contractées par l’homme (VIH-1 et VIH-2) lui ont été transmises par des primates d’Afrique, et que ces primates étaient porteurs de la maladie depuis un million d’années, tout au plus. Mais la découverte d’un virus semblable au VIH dans le patrimoine génétique du petit microcèbe, un lémurien minuscule, que l’on ne trouve qu’à Madagascar, est venue bouleverser cette conviction.
 
Ces nouvelles conclusions, publiées dans les Actes de l’Académie nationale des sciences, le 1er décembre, laissent penser que les lentivirus, la famille de virus à laquelle appartiennent les virus VIH-1 et VIH-2, sont présents chez les primates depuis au moins 14 millions d’années. En ce temps-là, l’île de Madagascar, située dans l’océan Indien, était encore rattachée, pour la dernière fois, à l’Afrique continentale, et la maladie pouvait donc encore être transmise aux lémuriens.
 
« Notre découverte suppose que les lentivirus des primates existent à Madagascar depuis longtemps et qu’ils circulent peut-être encore là-bas », a expliqué à IRIN/PlusNews Robert Gifford, chercheur spécialiste des maladies infectieuses à la Stanford School of Medicine et directeur des recherches.
 
« Étant donné que Madagascar a toujours été très isolé tout au long de son histoire évolutionnaire, on ignore comment ces virus pourraient exister à la fois là-bas et en Afrique, à moins qu’ils n’existent en effet depuis plusieurs millions d’années ». Ainsi, les scientifiques pensent aujourd’hui que les lentivirus existent peut-être depuis au moins 50 millions d’années, et qu’ils peuvent être décelés chez les primates des quatre coins de la planète.
 
Définir les bons contextes écologiques et évolutionnaires
 
Plus de 25 millions de personnes dans le monde ont succombé des suites d’infections opportunistes liées au sida depuis la découverte du VIH, aux Etats-Unis, il y a 27 ans. Les deux tiers des 33 millions de personnes atteintes du VIH dans le monde vivent en Afrique subsaharienne, mais à ce jour, le taux de prévalence du VIH à Madagascar est resté inférieur à un pour cent.
 
La prévalence de la syphilis et d’autres maladies sexuellement transmissibles porte néanmoins à croire que le virus pourrait se propager rapidement. Il est peu probable que les conclusions des recherches menées dernièrement à l’université Stanford changent radicalement le cours des recherches sur le VIH et le sida à court terme, mais elles devraient avoir des conséquences majeures sur la compréhension globale qu’ont les scientifiques du virus.
 
« Si nous voulons un jour réellement comprendre le lien entre les lentivirus et la maladie, évaluer le risque de voir de nouvelles épidémies se déclarer, et exploiter les défenses naturelles du corps pour prévenir et contrôler les infections au VIH, nous devons d’abord définir les bons contextes écologiques et évolutionnaires », a déclaré M. Gifford.
 
Selon celui-ci, les lentivirus décelés dans le patrimoine génétique du petit microcèbe sont des « fossiles moléculaires », qui montrent à quoi ressemblaient ces virus il y a plusieurs centaines de milliers d’années, voire plusieurs millions d’années. Un aperçu important, puisqu’il permet aux scientifiques de comprendre les fonctions des différents gènes qui composent le virus, et d’évaluer les limites de l’adaptation de ce virus et ses vulnérabilités potentielles ; autant d’informations qui pourraient servir à élaborer de nouvelles méthodes de prévention et de traitement des infections chez l’homme.
 
Pour M. Gifford, néanmoins, tout cela n’est qu’un début. « Comme beaucoup de choses dans le domaine des sciences, nos conclusions soulèvent autant de questions qu’elles apportent de réponses », a-t-il expliqué. « Mais l’important, c’est qu’elles révèlent quelque chose de nouveau et de complètement inattendu sur le lien évolutionnaire entre les primates et les lentivirus ».

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