le jour où Prt. Screen/Impr. Ecran ne marchera plus, il est possible que le soleil se leve a l'ouest, gaffe
 
ou alors que les etoiles du ciel tombent et que la lune devient noire comme un sac de crin

http://i.imgur.com/2f4eu.png

http://i.imgur.com/2f4eu.png

http://i.imgur.com/2f4eu.png

Haha c'est surement un repost mais je viens de tomber sur cette image qui m'a bien fait marrer:

(D'ailleurs elle me dis vraiment rien)

http://i.imgur.com/2f4eu.png

http://desmond.yfrog.com/Himg620/s [...] &ysize=640
 
la femme de chambre la plus célèbre du moment

MILF maid - IMF boss = Lose !  

Ok... le rapport avec le topic ?

 
Je le dirais plutôt "asexué" en fait  
(Je sais que c'est pas le bon terme mais vous voyez ce que je veux dire)

C'est quoi au fait un boson de higgs ?
[/néophyte]

 
 
 
http://monimag.eu/upload/731/affichecaps.jpg  
 

 
C'est une particule qui a été proposée pour résoudre un problème de symétrie brisée.
 
Dans le modèle standard, tu as les particules de matière (au sens large : quark, électron, neutrinos...) qui sont des fermion (spin demi entier, en général 1/2, le spin étant assimilable à une énergie de rotation en unité hbar = cte de planck/2pi) et des particules d'interaction qui sont des bosons (spin entier, en général 1). Lorsqu'on dit qu'il existe une force entre deux fermions (spin 1/2), on signifie par là qu'ils sont en train d'échanger des bosons (spin 1).
 
L'idée était de rassembler l'interaction électromagnétique, médiée par le photon,  à l'interaction faible, médiée par d'autres bosons baptisés sans trop d'imagination W et Z, pour donner naissance à la théorie électrofaible.  
 
Dans l'histoire des science tu as ces trois grand jalons dans l'unification des forces :  
 
électricité + magnétisme -> théorie électromagnétique (Maxwell)  
+ relativité restreinte (Dirac puis Tomonaga, Schwinger et Feynman) -> électrodynamique quantique  
+ interaction faible (Glashow, Salam et Weinberg ) -> théorie électrofaible
 
La théorie électrofaible qui représente une avancée supplémentaire considérable (en proposant un nouveau formalisme qui continue de faire autorité) sur le chemin de l'unification, soufre néanmoins d'une faiblesse évidente, qui est de se baser fondamentalement sur le fait que tous les champs d'interaction qu'elle traite (em, faible) sont médiés par des particules de masse nulles, comme le photon. Dans ce cas, l'interaction faible devrait être de portée infinie, comme la gravité ou l'électromagnétisme. Si ce n'est pas le cas (portée effective ~ 1 fermi, soit 1e-15 m), c'est que les bosons d'interactions sont en fait massifs. Car les champs d'interactions sont d'un genre un peu bizarre : ils font intervenir des particules (les fameux bosons) mais ceux ci doivent disparaître à l'issue de calcul (ce sont des particules dites virtuelles), en qq sorte ils sont soumis à une existence conditionnelle au temps. Savoir quelle est la nature de leur réalité nous emmènerait trop loin (d'autant que y'a débat) mais le fait est qu'en définitive une particule d'interaction d'énergie E se propage sur une distance inversement proportionnelle à son énergie (sa durée d'existence t est telle que E.t<hbarre ce qu'il fait qu'elle ne peut se propager plus loin que hbarre.c/E) De fait, ils ont été découverts à des énergie considérables : W plus, W moins (~84 GeV) et Z neutre (~96 GeV), ce qui représente une nouvelle victoire du canard, en terme de découverte, mais la symétrie est belle et bien brisée avec un photon tout nul.
 
Le mécanisme dit de Higgs proposé par (les 3 précédents et par Guralnik, Hagen, Kibble, par Brout et Englert puis par Higgs) constitue une tentative théorique d'expliquer de quelle manière ce serait produite la brisure de symétrie.
 
Ce mécanisme est fondé sur un formalisme qui se ramène à un genre de viscosité de l'espace. Le champs de Higgs remplit l'espace et les particules sont plus ou moins glissante dans cette mélasse. On est d'accord qu'il s'agit quand même de vide, rien de substantiel à nos sens bien entendu, mais les particules (bosons, et finalement fermions itou, ce qui rend le mécanisme universel, et permet de concevoir un mécanisme qui "fabrique" la masse de toute particule) sont plus ou moins couplé à ce champs de viscosité. Couplé, c'est à dire reliée par une simple constante ajustable (et non encore prédictible) permettant d'expliquer que deux champs échangent de l'énergie et de l'impulsion. Le Higgs peut se contenter d'être virtuel, son champs se couple comme d'autre champs virtuels au champs de matière et d’interaction et donne leur masses au particules.
 
Là, on essaye d'en fabriquer des vrais. A cette seule condition, vu que c'est de la vraie énergie obtenue au cul des centrales nucléaires, en se désintégrant ils vont produire un effet observable. Car il n'est pas question de les observer per se, leur masse les rend trop instables : dès que formés, ils se déchargent de leur énergie sur les autres champs couplés, et génèrent une gerbe de particules dont la nature et la distribution d'énergie permet de débusquer la particule originelle.  
 
On attend le Higgs au coin du bois avec une bonne grosse massue de prédictions théoriques,  
ce qui a entre autre permis de justifier les 2 G€ d'investissement du LHC.    
 
S'il est [là]/[pas là], [tant mieux]/[tant pis-tant mieux]. S'il est là, le Modèle standard est sur les bonnes rails. S'il n'est pas là, va falloir raturer de la ligne et en pisser d'autre, mais on sait que tôt ou tard il faut au moins trouver de nouvelles idées. Le Modèle standard est à la fois un pieds à coulisse extraordinairement exact aux basses énergies et un brouillon, un simple effect de perspective de l'espace-temps-matière en imaginant sa nature profonde aux hautes énergies. Comme on n'a aucun moyen de sonder les énergies qui chatouille Planck, tout ce qui peut faire tomber un gravillon ou un rocher "observationnel" sur le sommet du crane des théoriciens pourrait faire avancer le schmilblick.
 
 
a+

 
 
Je suis pas sûr d'avoir saisi toutes les subtilités, mais merci pour ce message quand même incroyablement accessible vu la nature du sujet traité...
Bon, où sont les nichons?

 
http://reho.st/preview/http://i.imgur.com/1JbOn.jpg

 
C'est une particule qui a été proposée pour résoudre un problème de symétrie brisée.
 
Dans le modèle standard, tu as les particules de matière (au sens large : quark, électron, neutrinos...) qui sont des fermion (spin demi entier, en général 1/2, le spin étant assimilable à une énergie de rotation en unité hbar = cte de planck/2pi) et des particules d'interaction qui sont des bosons (spin entier, en général 1). Lorsqu'on dit qu'il existe une force entre deux fermions (spin 1/2), on signifie par là qu'ils sont en train d'échanger des bosons (spin 1).
 
L'idée était de rassembler l'interaction électromagnétique, médiée par le photon,  à l'interaction faible, médiée par d'autres bosons baptisés sans trop d'imagination W et Z, pour donner naissance à la théorie électrofaible.  
 
Dans l'histoire des science tu as ces trois grand jalons dans l'unification des forces :  
 
électricité + magnétisme -> théorie électromagnétique (Maxwell)  
+ relativité restreinte (Dirac puis Tomonaga, Schwinger et Feynman) -> électrodynamique quantique  
+ interaction faible (Glashow, Salam et Weinberg ) -> théorie électrofaible
 
La théorie électrofaible qui représente une avancée supplémentaire considérable (en proposant un nouveau formalisme qui continue de faire autorité) sur le chemin de l'unification, soufre néanmoins d'une faiblesse évidente, qui est de se baser fondamentalement sur le fait que tous les champs d'interaction qu'elle traite (em, faible) sont médiés par des particules de masse nulles, comme le photon. Dans ce cas, l'interaction faible devrait être de portée infinie, comme la gravité ou l'électromagnétisme. Si ce n'est pas le cas (portée effective ~ 1 fermi, soit 1e-15 m), c'est que les bosons d'interactions sont en fait massifs. Car les champs d'interactions sont d'un genre un peu bizarre : ils font intervenir des particules (les fameux bosons) mais ceux ci doivent disparaître à l'issue de calcul (ce sont des particules dites virtuelles), en qq sorte ils sont soumis à une existence conditionnelle au temps. Savoir quelle est la nature de leur réalité nous emmènerait trop loin (d'autant que y'a débat) mais le fait est qu'en définitive une particule d'interaction d'énergie E se propage sur une distance inversement proportionnelle à son énergie (sa durée d'existence t est telle que E.t<hbarre ce qu'il fait qu'elle ne peut se propager plus loin que hbarre.c/E) De fait, ils ont été découverts à des énergie considérables : W plus, W moins (~84 GeV) et Z neutre (~96 GeV), ce qui représente une nouvelle victoire du canard, en terme de découverte, mais la symétrie est belle et bien brisée avec un photon tout nul.
 
Le mécanisme dit de Higgs proposé par (les 3 précédents et par Guralnik, Hagen, Kibble, par Brout et Englert puis par Higgs) constitue une tentative théorique d'expliquer de quelle manière ce serait produite la brisure de symétrie.
 
Ce mécanisme est fondé sur un formalisme qui se ramène à un genre de viscosité de l'espace. Le champs de Higgs remplit l'espace et les particules sont plus ou moins glissante dans cette mélasse. On est d'accord qu'il s'agit quand même de vide, rien de substantiel à nos sens bien entendu, mais les particules (bosons, et finalement fermions itou, ce qui rend le mécanisme universel, et permet de concevoir un mécanisme qui "fabrique" la masse de toute particule) sont plus ou moins couplés à ce champs de viscosité. Couplés, c'est à dire reliée par une simple constante ajustable (et non encore prédictible) permettant d'expliquer que deux champs échangent de l'énergie et de l'impulsion. Le Higgs peut se contenter d'être virtuel, son champs se couple comme d'autre champs virtuels au champs de matière et d’interaction et donne leur masses au particules.
 
Là, on essaye d'en fabriquer des vrais. A cette seule condition, vu que c'est de la vraie énergie obtenue au cul des centrales nucléaires, en se désintégrant ils vont produire un effet observable. Car il n'est pas question de les observer per se, leur masse les rend trop instables : dès que formés, ils se déchargent de leur énergie sur les autres champs couplés, et génèrent une gerbe de particules dont la nature et la distribution d'énergie permet de débusquer la particule originelle.  
 
On attend le Higgs au coin du bois avec une bonne grosse massue de prédictions théoriques (en particulier une énergie centrée sur 110-120 GeV),  
ce qui a entre autre permis de justifier les 2 G€ d'investissement du LHC.    
 
S'il est [là]/[pas là], [tant mieux]/[tant pis-tant mieux]. S'il est là, le Modèle standard est sur les bonnes rails. S'il n'est pas là, va falloir raturer de la ligne et en pisser d'autre, mais on sait que tôt ou tard il faut au moins trouver de nouvelles idées. Le Modèle standard est à la fois un pieds à coulisse extraordinairement exact aux basses énergies et un brouillon, un simple effect de perspective de l'espace-temps-matière en imaginant sa nature profonde aux hautes énergies. Comme on n'a aucun moyen de sonder les énergies qui chatouille Planck, tout ce qui peut faire tomber un gravillon ou un rocher "observationnel" sur le sommet du crane des théoriciens pourrait faire avancer le schmilblick. La découverte du Higgs (à une énergie données et un couplage donné) dans l'accélérateur, comme sa non découverte aux énergie prédites, constitue de toute façon l'étape à franchir.  
 
 
a+

Felony, c'est crime.

(Et délit, c'est misdemeanor)

Felony et misdemeanor sont tous les deux des "crimes" en anglais juridique.

En France :
http://www.gala.fr/var/gal/storage [...] erence.jpg
 
 

Putain, j'imagine si tu viens de te faire planter par des mecs et que t'arrive là-dedans en demandant de l'aide, t'as plus qu'à crever la gueule ouverte

Putain, j'imagine si tu viens de te faire planter par des mecs et que t'arrive là-dedans en demandant de l'aide, t'as plus qu'à crever la gueule ouverte

Tu confond avec sa soeur Catherine Laborde qui a certes depassé sa date de premiere fraicheur mais est semble-t-il une sacrée coquine.

http://www.pixelz.fr/7/4/b/fc1721372c62eb3acf560e4d3fe6f.jpg