Ok, rappel des épisodes précédents :
Vous connaissez Nabilla, la philosophe-crevette où dedans y'a tout qui est bon sauf la tête (kota priorité à l'info) :
Il y a quelques mois, l'ascension fulgurante de celles que l'on surnomme déjà "la nouvelle Françoise Sagan" s'arrete brutalement suite à une petite dispute d'amoureux comme il en arrive souvent : elle aurait porté quelques coups de couteau de cuisine à son amoureux. Si on peut plus rigoler...
Une fois que les esprits se sont calmés, et que les tourtereaux sont plus fâchés, ils se rendent à l'évidence : ça saigne un peu trop pour de l'urgo, faut quand même appeller les secours, qui vont surement prévenir les flics. Ils se mettent d'accord sur un bobard (qui tiendra 1'15" devant les flics) et pour faire disparaitre l'arme du crime, elle la balance par la fenêtre de l'hotel
Donc bref, pour la faire courte, direction la zonzon pour George Sand.
Quelques semaines après être sortie de préventive, la cour balance une ordonnance avec interdiction de se voir pour les deux lovers en attendant le procès.
Mais c'est TRO INJUUUUUSTE quoi. Heureusement, l'amour est le plus fort et, après quelques échanges de tweets aussi subtils et discrets qu'un affrontement entre Godzilla contre Mothra la mite géante dans le port de tokyo, Jean-Paul Sartre et sa Simone se retrouvent à Aix en provence (les sources les mieux renseignées parlent d'une sévère séance de ça va ça vient en mode sortie de taule). Malheureusement, en sortant de leur piaule, ils se font paparazzer ! TRO DEG quoi. Surtout que vu la distance, ça sent le proche qui a vendu la meche.
Du coup, Thomas, il dégaine sa verve turgescente, et vu que c'est le genre à être "prit en otage" à la moindre greve, il a pas peur des mots, et la meilleure analogie qui lui vient à l'esprit pour toute cette histoire de trahison, c'est la shoah, la gestapo, car oui, après être victime de sa femme et de l'amour, Thomas est victime de trahison, et ça se compare assez facilement à la rafle du vel d'hiv, ce qui lui arrive.