Citation :
- Bonjour euh... monsieur Soral. D'abord euh... je voulais euh.... vous féliciter pour ce que vous faites pour nous et euh... je voulais vous demander votre avis de sociologue sur DBZ. Parce que ça m'a l'air quand même pas mal anti-sioniste avec les types qui deviennent aryens et tabassent ceux qui font du mal aux Palestinameks qui peuvent rien face à l'entité sioniste de Freezer. Voilà. J'espère qu'Allah le miséricordieux vous aidera dans votre combat s'il a le temps. Merci.
- Oui alors *renifle*, c'est l'occasion de revenir sur un piège du national-sionisme assez grossier dans lequel tombent encore pas mal de crétins comme ce monsieur...
- Il a quand même fait un don de 500 euros.
- Oui, bah, ce sera son obole pour avoir fauté, une taxe sur la connerie en somme. *rigole les lèvres fermées un court instant et se reprend aussitôt*. Oui, donc, Dragon Ball Z, déjà, on va mettre les choses au clair, il vient d'où le Z ? Si on a lu le manga - mal écrit, hein - y'a rien qui évoque le Z. Ça a été ajouté par la communauté plus tard au moment de la diffusion de masse. Parce que le Z… c’est le Z de Zionist hein, qui veut dire sioniste en anglais. Y’en a pas un qui s’est demandé d’où il venait, encore une fois, y’a que moi qui fait le travail.
Alors ce monsieur – qui a rien compris, hein – il croit encore à la grille de lecture du petit… Greg Tabibian – dont on sait pas trop d’où il vient d’ailleurs. Il a… un profil louche. Et vous pouvez me croire, j’ai le NEZ pour ses choses là * ricanement étouffé *, hein, voilà. Les nationaux-sionistes nous vendent ça comme une histoire d’aryens qui redressent les torts pour un peu émoustiller les puceaux de Génération Identitaire qui eux, plongent dedans les mains jointes. Ils sont bon public ceux-là aussi. Goldnadel leur pisse dans la bouche et ils applaudissent comme des otaries. Enfin, bref.
On va tout de suite mettre l’église au milieu du village – ou plutôt la synagogue, hein – parce que pour qu’il y ait aryen, il faut que les types soient blonds… aux yeux bleus. Seulement, là, c’est vert les yeux. Vert, comme la couleur du dollar ; un billet très aimé d’un certain peuple, hein, voilà. Donc d’emblée, ça commence mal. Faut savoir esquiver les pièges de l’ennemi et remonter les pistes sérieusement, ce que ne peuvent pas faire un Lapierre * photo de Vincent Lapierre compromettante * et encore moins un Bricmont * montage de Bricmont en Dodoria *.
Là où tout le monde se trompe, c’est que l’empire galactique de Freezer – qui est en réalité celui de Cold, mais personne ne suit – c’est pas l’Empire américano-saoudo-sionisto-thalassocratico-sabatéen, c’est les méchants de leur point de vue, à eux… c’est l’Empire des goys, quoi. Ils sont présentés sous les pires traits alors qu’ils font quoi au juste ? Ils apportent la civilisation à des enculeurs de chèvres qui sont d’ailleurs si incapables qu’ils n’ont même pas de chèvres. C’est pour vous dire le niveau. Parce que faut revenir un instant sur les Nameks. C’est quoi au juste comme peuple ? Déjà… un peuple où il n’y a que des mâles et où c’est un homme qui accouche…. Tout de suite, on voit où ils veulent en venir. Ensuite, ils ne mangent pas de viande, végans, donc. Je veux dire… c’est juste une bande de tafioles LGBT qui s’enculent et qui bouffent du tofu ; c’est leur idée du bon goy aux autres là… à ceux qu’on n’a pas le droit de nommer. D’ailleurs, anecdote en passant, les lettres G.T de Dragon Ball GT, c’est pour Gay et Trans de LGBT, faut le savoir. Et nous - les vilains goys - on veut pas qu’ils paradent ces Nameks, alors on est la bête immonde du point de vue de la narration. Et qui c’est qui vient bouter la bête immonde ? Un peuple étranger qui est venu sans qu’on l’invite, déjà… on établit les médiations... mais en plus, ce peuple aurait – j’ai bien dit AURAIT – été massacré par ces mêmes vilains goys quelques années plus tôt. On jurerait que le scénario a été écrit par les Klarsfeld.
Bref, je vous schématise, c’est la communauté organisée qui, auto-investie d’une mission vengeresse après avoir subi sa Shoah galactique – qu’ils avaient cherché, hein je vous invite à vous intéresser sur l’histoire de Bardock racontée par notre camarade Youssef Hindi… vraiment un sale type - eh bien, cette communauté vient aider les pédés, les végans, les féministes, les nègres – enfin toute cette merde – à se répandre sur tout le territoire national. Namek – faut bien comprendre ça – c’est chez nous, hein. Les * bip * nous prennent notre terre pour se l’accaparer avec l’aide de toutes les sales races de l’univers et ils se permettent de réécrire l’histoire par dessus… Parce que Orwell, quand il écrivait 1984, c’est à eux qu’il pensait, hein. Goldstein… je vous fais pas un dessin, voilà. Freezer alors qui, comme tous ceux qui résistent à l’Empire – parce qu’encore une fois, on est en pleine inversion accusatoire, l’Empire c’est la communauté, mais dans DBZ, c’est nous, pervers comme toujours avec ces gens-là – bref, comme tous les résistants, lui aussi il a ses traîtres. Végéta, qui est une sorte de Lapierre croisé Mukuna… enfin, une merde qui essaie de me siphoner mon audimat représenté par les Dragon Balls et qui… à la fin… connait le sort des traîtres * arbore une mine un peu fière d’un air de rien dire et diffusion de l’extrait où Végéta se fait transpercer le cœur par Freezer * hein, voilà. Quand on veut devenir calife à la place du calife… c’est comme ça qu’on finit. Avis aux amateurs.
Parce que Freezer, c’est qui au fond ? Un bon gars qui veut juste le meilleur pour ses hommes. Des hommes qui viennent de tous les horizons, hein, la réconciliation intergalactique en action. Eh puis entre nous, je pense pas qu’ils l’aient fait chauve pour rien, hein. *se frotte le crâne avec un sourire crispé * par contre les cornes, c’est pas sur ma tête qu’elles devraient être, mais plutôt sur celles de Guillon * ricanement étouffé en s’agitant sur le fauteuil *.
- C’est qui Guillon dans DBZ ?
- J’sais pas… Nail peut-être. On s’en fout ! C’est pas important.
Donc, Freezer veut ce qui lui revient de droit mais se prend une branlée en cherchant à récupérer son pays. De toute façon, dans ce mangas, tous les chauves se font humilier. Krillin, Ten Shin Han, Nappa, Chaotzu et même Maître Roshi qui est présenté comme une sorte de euh… de satyre… enfin… voilà, toujours à taper en dessous de la ceinture, hein.
Donc Freezer prend trois nouvelles formes – une référence à la triple donation me disait Pierre Hillard - pour un peu remettre de l’ordre dans tout ce merdier * biiip *. Et là… le super Saiyan émerge. Je renvoie aux travaux de Jacob Cohen – qui nous a trahi lui aussi – sur les Sayanim, ces espions civils israëliens sur notre territoire. Tout est dans le nom. Y’a que des abrutis comme les racialistes neuneus pour pas avoir compris ça. Mais eux, quand ils sucent les hébreux, ils voient pas ce qu’il y a autour.
Donc Freezer se fait latter par le…. l’israëlite magique, là, leur Meshiah légendaire, alors que tout le monde sait qu’en un contre un, je les démonte * dit-il dans un rire contenu avant qu’on ne diffuse des extraits de lui en train de soulever la charrette pour son combat contre le Raptor * . Hein, c’est pas demain la veille que le petit Ha-zi-za me mettra à l’amende. J’en dirai pas plus parce que Viguier a assez de travail en ce moment. * réprime un sourire *. Et tu penses qu’ils s’arrêteraient là ? Les types vont encore plus loin dans l’ordurerie. Le traître est ramené à la vie – soit dit en passant, pour un peuple qui aurait été massacré, on retrouve beaucoup de survivants miraculeux sur le tard… Goku, Raditz, Nappa, Vegeta, Paragus, Broly, Tarble et j’en passe… J’en dirai pas plus maiiiis… suivez-mon regard. Et le traître, il se tape la nana de Yamcha qui…. qui est juste l’enfant du pays ; le goy du cru qui se fait sans cesse laminer pour le plaisir de ces ordures de la communauté qu’on n’a pas le droit de nommer. Ça devrait être lui le héros. À la place ? Il se fait trouer par le docteur Gero. Et là… c’est la totale. Gero…. Qui est un docteur… avec une moustache…. Les cheveux longs…. Ça vous rappelle personne ? Les gars avaient anticipé le Docteur Raoult ; c’est juste pour dire à quel point ils sont mouillés dans le couillonavirus et que c’était prévu depuis longtemps. Le Docteur Raoult, représenté en train de faire un salut nazi alors qu’il transperce Yamcha. Tout est dans la symbolique… Si t’es pas d’accord avec le bon docteur BuzyNE, t’es un nazi tueur de français… c’est toujours comme ça avec eux. Toujours.
Donc là encore, les super z’hébreux tuent le docteur Raoult – si j’étais lui, je me méfierais * ricanement contenu * hein, voilà – et on nous montre que ses expériences sur la chloroquine se transformeraient en une sorte d’organisme vert qui tue indistinctement enfin… que le virus se serait sa faute en gros. L’inversion accusatoire jusqu’au bout. La super chutzpah légendaire dans toute sa splendeur. Quand on sait que le couillonavirus vient du laboratoire de Yves Levy... Mais ça… Toriyama, il oublie de le dire. Il veut pas d’emmerdes avec la communauté. D’ailleurs, il en est, hein.
Tori en japonais c’est l’oiseau et Yama, la montagne. La montagne, bon, vous situez, c’est le Sinaï et Tori, c’est en référence au Phénix,la monnaie mondiale censée supplanter toutes les autres. Enfin, le gars est mouillé jusqu’au cou.
Bref, j’en étais où ?
- Cell serait l’avatar de l’hydroxichloroquine.
Oui, voilà. Et là encore, on retrouve touuuus les travers de la communauté. Parce que, qui sauve le monde encore une fois ? Un enfant. On met en avant les enfants comme avec la petite Greta Thunberg – qu’on n’entend plus trop d’ailleurs, sûrement occupée à se faire bourriquer par des nègres qui fuient le réchauffement climatique * ricane les dents serrées * - hein. - et on fait d’eux des héros. Alors que, excusez-moi, Son Gohan, une fois qu’il a joué son rôle, il reste quoi derrière ? Une baudruche. On le voit bien par la suite ; il vaut que dalle. Sa victoire, c’était un coup monté. C’est toujours des coups montés avec ces gens là. De Ramses II au 11 Septembre. Y’a une constance. Eh puis pendant ce temps, Krillin – qui est l’emblème de tous les Terriens, donc, des Français – il se tape une cyborg. Parce que faut bien comprendre que pour ces gens là – qui veulent avorter à tout va et contrôler les naissances comme sur Namek – le goy, il a plus le droit de se reproduire. Il baisera des robots qui l’humilieront et il fermera sa gueule. - Mais ils ont quand même une fille plus tard.
- Non mais * air excédé * confondez pas tout putain. Je vous fais de la sociologie et vous, vous me coupez pour dire des conneries. Prenez pas la paroles si c’est pour dire des trucs comme ça.
- Oui président. Pardon président.
- Donc jusque là, tout y est. Raoult au tapis, la chloroquine aux ordures, le contrôle des naissances par poupées gonflables ; le transhumanisme en action, bref, la dictature globale comme j’en parlais dans Comprendre l’Empire. Et qui c’est qui rafle la mise à la fin et devient le maître du monde ? Un certain monsieuuuur…. Satan.
Je veux dire, les gars ne se cachent même plus. D’ailleurs, son combat en devenir contre Trunks et Goten… je veux dire… y’a un truc de malsain avec le masque ésotérique à la Eyes Wide Shut, enfin… on est en pleine apologie déguisée de la pédophilie de réseau. Alexis Corvette en parle mieux que moi * extrait d’Alexis avec son accent québecois qui raconte «Mays dans les scaynes coupées lô, le Soton, il les encûle les deux gâmins. C’est pour ço qu’âprès ils povent pas battre Buu, tu sais» fin de l’extrait *, hein, voilà, c’est pas moi qui le dis. Et après ça, Piccolo leur enseigne la fusion. La fusion ; le grand métissage généralisé, quoi. On va en profiter pour relayer un dossier de l’émission de Faits et Documents sur ce…. Piccolo. Un Namek qui me rappelle un peu le nègre de l’OMS * extrait de Xavier Poussard parlant à la radio «Oui, alors, on a fouillé un peu dans son arbre généalogique et on a retrouvé son père, le roi Piccolo qui a cherché à dominer la Terre mais qui, après avoir été battu par Goku, a vu son fils rallier la communauté comme un bon Namek de maison» fin de l’extrait *, je veux dire, ça s’invente pas * renifle *
Et à la fin, c’est Satan qui sauve le monde avec l’aide de deux Sayanim ; c’est signé * rigole à moitié *. De là à faire le lien entre le diable et un certain peuple, je… je m’y risque pas, hein. J’en pense pas moins cela dit.
Pendant ce temps, les Terriens se seront fait massacrés. Il ne jouent même plus de rôle dans l’histoire de leur propre pays ; même Piccolo est en arrière-plan. Voilà ce qui arrive aux élites qui collaborent avec l’entité sioniste, ils se font grand remplacer eux aussi. Comprenne qui pourra. Et bien sûr, en conclusion, Goku, le chef des * bip *, enlève un gamin du tiers monde et ils partent pour de nouvelles aventures. Sûrement le genre d’aventures qui se déroulent à l’abri des regards dans le palais de Pierre Bergé à Marrakech. J’en dis pas plus, j’ai assez d’emmerdes comme ça et je voudrais pas être attaqué par sa veuve.
Donc, si après tout ça, y’a encore des… des idiots, hein, y’a pas d’autres mots, pour croire à ce pamphlet national-sioniste et même socialo-sioniste – parce qu’ils savent se réconcilier pour se payer du goy – je veux dire, on peut rien faire pour eux. C’est les mêmes qui mettent des masques aujourd’hui. C’est vous dire le niveau.
J’ai été un peu long, mais il fallait répondre en profondeur. Je suis pas un Jean Bricmont, moi, je fais des analyses sérieuses et je fais pas mine d’oublier des trucs pour pas avoir d’emmerdes. Bref, Dragon Ball Z, c’est du sionisme à l’état pur et Dragon Ball GT… du super sionisme légendaire. Je m’arrêterai là.
|