Reprise du message précédent :
Ce week-end, Val de Aaron Fradkin qui décoiffe. Un criminel en fuite venant d'assassiner son patron entre par effraction dans la maison d'une escorte de grande classe. Je vous laisse imaginer le reste. Info, elle possède des pouvoirs pour le moins intrigants. Une comédie qui frôle l'horreur avec une touche de gaz hilarant.  
 
Sinon, un film sans intérêt, The Northman de Robert Eggers. Le film est long, aucun rythme, pas de gore et les acteurs... comment dire, jamais vue. Mais les gars, foncés, c'est de la balle. Les plans séquences, la musique et les cadrages sont sublimes. L'histoire banale est relevé par l'approche au loin des standards de Hollywood. Un film d'auteur sans ambition qui est passé sous les radars. Je fait l'effort de le soulever de la masse, c'est à vous de voir!

Merci pour le conseil .

Merci de la reco !

Comme dans la vraie vie en somme

Hatching ma sublimé par le travail de Gustav Hoegen au niveau de la marionnette animatronique. J'adore que l'équipe de production à décidé de la montrer trop souvent à l'écran. Cela dégrade le rythme de l'œuvre, mais la fierté de l'équipe n'as pas de prix.    
 
Le film n'est pas effrayant, ni poignant ni même à conseiller. Mais c'est différent avec des enfants et un univers filmographique hors de mon habitude Américain et Canadien. C'est correct, j'ai passé un bon moment avec une hâte au générique de fin. Longueur, lorsque tu prends la tête de l'affiche, je te jette ton mon courroux au visage!
 
       

Les séries Creepshows et Masters of Horreur permettent à des amateurs et professionnels d'avoir tant d'idées, en ce moment passe la troisième saison de Creepshow sur Paris première les Jeudi soir, c'est dingue, hallucinant, bien joué, trash c'est clair puisque c'est interdit au moins de 16 ans.  
 
Qui est fan de ces séries ? je le suis, j'ai une préférence pour les deux saisons de Masters of Horreur entre 2007 et 2008.

Creepshow, c'est bien cheap par rapport aux Masters of Horror. Pour les Masters of Horror, t'avais du lourd, surtout le Takashi Miike, qui fut interdit de TV.
Et même, je préfère nettement les Contes de la Crypte des années nonante, pour le combo Gore+Erotisme+Humour. Et le gardien est nettement mieux.
 
Mais y'a quelques épisodes sympa dans Creepshow (le Evil Dead. ).

C'est vrai qu'il y avait cet épisode spécial, c'était bien trip avec Ted Raimi
Après bon aussitôt vu, aussitôt oublier cette série malheureusement

Dashcam de Rob Savage, si vous vous dites mais c'est qui ce gars, peut-être que Host est quelque chose qui vous parlent? Pandémie exige, ce gars ce dit pourquoi pas tournée entièrement un film aux iPhones. Mais qui dit IPhone chuchote found footage. Mais celui-ci est sur les testostérone. Une fois que la valse horrifique est partie, parce que c'est long malgré que le film dure moins de 1h15, c'est un délire rarement vu. Mais moi, le projet Blair, j'ai trouvé que c'était de la merde, mais passe ton tour. Langage ordurée, gore et caméra qui tourne dans tous les sens sont ce qui forge le charme de ce long métrage. Si ce n'est pas ton kif, je m'en bas les steaks et passe ton tour.
 
L'actrice ( Anny Hardy ) est solide et problématique, parfois elle tape sur les nerfs. Mais c'est probablement ce qui fait le charme. Regarder après le générique le montage du rap d'Anny tellement vulgaire que mon sourire a fait qu'un tour.
 
Comme c'est un live, les commentaires des followers sont affichés et guident l'appréhension du spectateur avec une touche d'ironie. Ce que j'ai apprécié, c'est que par moments, elle est hors live vue la connexion impossible. Vue du point de vue des spectateurs, c'est un gain non négligeable.
 
L'opinion politique de l'héroïne est mis de l'avant, Trump et complot covidien. Si cela vous soûle, attendez d'écouter le rap d'Anny. Parce que la trame scénaristique est que la jeune femme est une musicienne qui consacre son temps à son émission internet dans laquelle elle parcourt les rues de Los Angeles en inventant des rimes au hasard d'après les mots de ces spectateurs.  
 
Mais le fondement du film est la surenchère, à chaque fois, mais ce n'est pas possible, c'est dingue. Voilà ce qui ma captivée. Le rythme est diaboliquement captivant avec les coupures de la caméra qui crée des ellipses. La pépite qui fait de ce film un divertissement qu'on ne va pas oublier de sitôt est qu'il maximise les effets de terreur avec des moyens minimalistes. Un peu à la Host, vous voyez la boucle ou pas, parce que moi oui, c'est évident si vous avez vu le film, ce qui n'est pas votre cas. Mais qu'est-ce que vous attendez pour remédier à ça?

J'ai envie de voir Razorback, mais je découvre terrifiée que je ne l'ai pas en DVD (j'avais la VHS il y a longtemps mais elle a disparu à la poubelle) (j'avais vraiment la VHS, c'est pas une métaphore )
 
Il n'est pas sur Netflix, est-il dispo sur une autre plateforme ? J'ai tenté voir s'il était sur YouTube, non plus.

En BR chez Carlotta sinon   .

https://www.justwatch.com/fr/film/razorback

Apparemment, il serait sur canal

Carlotta en plus, ça doit être une jolie copie  

 
Le master est de toute beauté    
Et pour un tarif ridicule , voici le précieux :  
 
https://bluecatscollectibles.com/pr [...] er-amaray/

Je dois avouer que la plupart de leurs BR sont bons, il n'y a que quelques titres de la "Midnight Collection" où l'image pourrait être meilleure, mais bon, on parle de films à petit budget pour la majorité   .

Je suis tombé sur un petit court métrage d'une durée de 1h24 qui s'intitule Hellblazers de Justin Lee 2022. Vite fait, le synopsis parle de secte, de démon et d'un petit village. Je pense que la secte désir nuire au village pittoresque qui est une saccade de pièce vide et sans décors. Je ne connais pas le lieu de tournage, mais c'est clairement une ville fantôme du Texas. Mais je ne suis pas certain, vue que c'est un court sur patte. Les acteurs sont parfois catastrophiques, aux mieux complaisent.  
 
Un rythme à la table tournante, un scénario anémique et des effets spéciaux numériques tricoté serré sur l'Atari. Mais là où le bas blesse, c'est l'amour ressentie de l'œuvre pour le genre. Je n'ai pas l'habitude que ma testostérone verse une larme en publique, mais là l'émotion que le visionnage et du ressentie honorifique ma fait vibrer la corde sensible.  
 
Je pense que le film se termine sur une fin bien gore, l'happy ending n'est probablement pas le bienvenue du générique de fin. Je vais me renseigner là-dessus et je vous reviens avec la clé du mystère. Je ne pense pas finir le film malgré qu'un court métrage s'écoute rapidos presto.  
 
Est-ce que je vous conseil l'œuvre, certainement, lâchez vous dans un élan de passion horrifique.
 
P.S: La jaquette mérite le détours.

Barbaque de Fabrice Eboué, je suis passé à côté, il faut dire que j'habite sur une île. Je ne sais pas si l’horreur est un genre qui côtoie cette œuvre comme un gant, mais la comédie lui va comme un bas. Avant toute chose, je mentionne que j’ai passé un bon moment. Le film dérape peu à peu dans un délire sournois teinté d’un plaisir malsain. Est-ce que le cannibalisme vous parle? Si une entrecôte d’Iran réussi à vous faire saliver, ce long métrage sera votre pêché mignon. Le synopsis est tout simple, un couple de bouchers en crise va basculer du tout au tout le jour où un végan militant va terminer sa courte existence sur l’étale à prix fort.
 
L’approche est simple, les dialogues sont nuancés sans prise de tête et les cadrages n’ont rien d'exceptionnel. L’oscar n’est pas une option pour ce divertissement peu sanglant mais qui a le petit quelque chose qui te garde jusqu’au générique. Lorsqu’un jeune garçon en surpoids devient une irrésistible pièce de viande ou qu’un homme du nom de Winnie bien rosée se transforme en filet mignon le tout s’emballe. Le rythme s’accélère pour le plaisir des glandes salivaires et des yeux. Sans pencher sur le gore, qui dit boucherie, laisse forcément planer une image sanguinolente. Un film qui déverse sa propagande végane au quatre coins du format 16/9 avec une haleine de carnivore. Ce n’est pas pour me déplaire. Par contre, la fin m'a laissé sur ma faim, je m'aurais bien grignoté un petit saucisson.  

Pareil, j'ai beaucoup apprécié ce film.

Je vous recommande chaudement le film Watcher de 2022, une petite pépite !

Slash/Back ou dans sa consonance Canadienne d'origine Horreur Boréale est le premier long métrage de Nyla Innuksuk. Le film est tourné à Pangnirtung au Nunavut et ce n'est pas peu dire. Cela va signer la patte artistique du film et va apporter un vent de fraicheur sur l'univers cinématographique. La culture et le mode de vie de cette société est mis de l'avant. Les paysages sont splendides et très rafraîchissants. On aborde la mythologie Inuits qui semble être des plus horrifique de ce monde. Mais le film fait le pied de nez à cette voie et nous propose un film qui traite des extraterrestres.
 
Le film est un mélange entre Attak the block et The thing à la sauce Stranger Things. Le quatuor d'adolescentes qui interprètent les protagonistes sont attachantes mais par moments mal dirigées. Parce qui oui, ce sont des enfants qui affronteront le mal venu de l'espace.  
 
Est-ce que j'ai dit que c'est le premier film de la réalisatrice? Parce que oui, il y a des défauts, mais le film suinte la volonté de bien faire et la passion. D'ailleurs, les fans apprécieront un bon nombre de clins d'œil à quelques chefs-d'œuvre. De plus, les protagonistes ont vu des films d'horreurs et ne sont pas totalement naïves. Face à l'invasion extraterrestre elles seront entreprenantes.
 
Le scénario ne réinvente pas le genre mais est honnête et possède de la profondeur. La métaphore entre le village qui survie à l'invasion et la culture des protagonistes qui affrontes notre époque est prenante. Les effets spéciaux ne soulèves pas un âne mort. Mais on le mérite d'exister et d'essayer quelque chose au profit de l'histoire. Le rythme est décousu et par moment j'ai l'impression de visionné la chaîne de canal vie. Mais le dépaysement qu'apporte ce plongeon dans le monde du Nunavut et de ces croyances est remarquable et à lui seul me pousse à vous le recommander.  
 
J'ai passé un moment agréable, ce n'est pas un film à voir absolument, mais si vous désirez un visionnage What the fuck il est clairement recommandé.      
 

Comme quoi, les goûts et les couleurs

Dual de Riley Stearns est un thriller saupoudré d’un brin de science-fiction. Le scénario est de la plume du réalisateur, vous avez peur? Mais étrangement, c’est le point fort du film. Parce que la réalisation est ordinaire. Alors, le scénario s’amuse à prendre des directions différentes et à devenir le point fort.
 
Le rythme est lent, je désire le dire dès le début. Si vous attendez de la violence, du gore ou du sang, passez votre chemin. Les couleurs sont ternes, les cadrages sont basiques et les dialogues sont magnifiques. Quoi, les dialogues sont bien écrits? C’est bien ce que j’avance avec une touche humoristique qui apporte le ton général. Parce que le long métrage se dévoile avec une facette sérieuse. Mais voilà où le film réussit à tirer son épingle, le thème abordé est si hard que pour amplifier le sujet avec un minimum de sérieux pour que le tout soit harmonieux et cohérent, le long métrage simplifie son approche à son minimum avec des dialogues basiques qui puch grave sa daronne.
 
Mais c’est quoi le synopsis? Tu as juste à demander à ton ami Google. Mais je peux te dire que Karen Gillan est parfaite. Elle joue son rôle et son double et on oublie aisément qu’elle incarne les deux rôles. On s’attache à l’original et également à son double, ce qui renforce notre admiration pour cette actrice.
 
Mais bordel, c’est quoi l’histoire? Une histoire originale qui soulève un questionnement rarement abordé dans le monde horrifique. Une approche sobre mais divertissante de cette œuvre originale du grand Riley qui réussit à soulever son intrigue jusqu’au dernier frame. Malheureusement, celui-ci s'effondre à ce moment même. Le spectateur est laissé dans une finalité aussi claire que de l’eau trouble. Une confirmation à la fin du long générique aurait été appréciée.  
 
Un film lent, sombre, où la situation et le propos soulèvent les personnages. Loin de l’horreur, la réalité la dépasse largement dans ce long métrage ou parole cru et silence rythme le métrage.
 
J’ai passé un agréable moment, c’est rafraîchissant et le film soulève l’éthique à un autre niveau. Pour cela, je le consei!  

Sans un bruit sur Netflix. Ce film est toujours aussi bon.  

Candyman de 2021 c'était très bon    
 
Complètement dans l'esprit de l'original, une histoire qui se tient, de très bons acteurs. Que ça soit produit par Jordan Peele avec sa volonté de mettre plus d'afro americains dans les films de genre prend tout son sens avec ce personnage
Et la réalisatrice, pourtant novice, est vraiment douée, le film est beau, c'est rythmé, pas mal d'idées de mises en scène (les nuages à l'envers, les mirroirs)
 
J'avais peur d'un remake mais c'est une vraie suite qui fait évoluer le personnage, si vous etes fan du 1er film foncez !

Il manque environ 40 redface à ce message.

Malnazidos

Film de zombies espagnol.
De l'humour, de l'horreur. Je me suis régalé.  

Ah oui tiens !
In Fabric était bien ?

Flux gourmet j'ai trop hâte. Les critiques ont piquées ma curiosité. Néo dada et costume à gogo.

Malnazidos est intéressant et parvient presque à être bon. Il manque un petit je ne sais quoi. La bande son française est étrange, il y a de l'écho et par moment il manque des bruitages. Mais côté impact de balle, c'est du génie, un nuage de poudre rouge. Il y a de l'idée dans ce film de passionné plutôt classique sur l'aspect de l'histoire. Mention spécial à la buteuse de curée!
 

Un film comme ca c'est en VO pas le choix, pour bien profiter des cabron et autres mots fleuris du patois espagnol.  

The Sadness
Cette prod made in Taiwan (mais real canadien expatrié) particulièrement vénère rappelle les bonnes vieilles bandes gores bis des vidéos-clubs. Ici, les infectés sont pleinement conscients et éprouvent un plaisir vicelard mélangeant sexe et ultra-violence  
spoiler scène

Ca gicle de partout, ça s'arrête jamais. C'est certes un tantinet opportuniste (pandémie Covid) mais ça fait un bien fou de voir que ce type de pelloche peut encore sortir

Je l’ai dans ma liste tiens.
 
Et Médium, de Thaïlande, dont j’ai entendu du bien

Ce film    
 
Efficace, gore, sans compromis pas pour tout le monde  

Bonjour tout le monde !  
Premier post par ici, moi aussi j'aime bien les films qui font peur.    
 
A la maison, on a rendu canal, on n'a "plus que" prime et Netflix. Et Disney, mais bon, hein.
Tout ça c'est pas la panacée "côté horreur" j'ai l'impression, même si j'ai réussi à glaner 1 ou deux trucs.
 
Je trouve que ça manque de classiques...
 
Je suis un peu vieux (un peu), et j'ai connu, enfant, l'époque où canal plus nous passait du humongous ou du anthropophagous, enfin des trucs en "ous" bien gore et c'était vachement bien dans mon souvenir.
 
Alors question de noob : vous les streamez où, vos films d'horreur?
 
Et je suis passé à côté de trucs immanquables, dans le catalogue Prime-netflix?
 
Merci !

Prime a beaucoup de films d'horreurs classiques et pas mal de seconde zones qu'ils ont dû payer pas cher.
T'y trouve des trucs improbables comme le mec avec l'anus a la place de la bouche (j'ai plus le titre j'essaie d'effacer ça de ma mémoire) mais aussi des trucs très connus genre Hellraiser, Evil Dead ou Hérédité en récent

Netflix en produisent quelques uns et ont un catalogue correct aussi

Et sur Disney étonnamment tu peux trouver pas mal de choses aussi grâce à leur catalogue de la Fox