Reprise du message précédent :

Un sketch de sa meilleure période en plus, j'avoue que j'aime beaucoup ce sketch  

Ce topic.    
 
Drapeau, bien sûr.

Bonjour topic. Ma contribution :
Les poids-lourds équipés d'un klaxon à la place de leur système de freinage
 
Ça me fera rire à chaque fois.
Et malheureusement ça me gâche un peu les scènes d'accidents de la route qui se veulent dramatiques

Quand un personnage veut se suicider par balles, ou tirer sur quelqu'un qu'il doit tuer à contrecœur, il se mettra au moment critique à respirer aussi fort que s'il montait l'Alpe d'Huez à vélo puis renoncera en lâchant un cri ridicule.

petite variante, point break, on tire en l'air en hurlant

 
C'est pas dans un Indiana Jones qu'il lui arrive un truc comme ça ? Paf le nazi, ah m*rde c'est trop p'tit. Bon ben re-paf le nazi.

Si on veut faire un effet comique, les fringues ou les chaussures sont trop petites, voir le sketch de De Funes et Bourvil dans "la grande vadrouille".
par contre, dans le remake "l'as des as" il me semble que Belmondo se trouve un uniforme nazi à sa taille.

Exact, dans le 1er

Et dans la 7è Compagnie avec "Donne Ton Fwalzar !" et son accent anglais parfaitement imité    

Plusieurs clichés :
 
* Quand quelqu'un (généralement un vieux) est cardiaque ou à un problème qui provoque des crises, le médicament (toujours une pilule) a des effets dans les 3-5 secondes après l'ingestion. En fait, le seul enjeu est de savoir s'il va réussir à prendre la pilule ou non. Une fois rétabli (disons 20 secondes après la prise du médicament), il est déjà prêt à taper un 110m haies.
 
* Quand deux personnes liées se parlent au travers d'un mur ou d'une porte (sans se voir ou parfois l'un ignore que l'autre est là), il y a toujours ce moment à la con où ils vont toucher la porte/le mur au même endroit de part et d'autre pour montrer (c'est t'y pas mignon ?) leur connexion, amour ou autre connerie de ce genre.
 
* les procès se déroulent à 99,978 % selon les mêmes règles.
 
 

• Le camp du bien commence bien et met en difficulté le camp adverse. Les objections sont plutôt en leur faveurs.

• L'avantage change de camp à cause d'une erreur des avocats (témoin clé qui a menti et se fait démolir ou témoin surprise caché dans la manche des adversaires).

Quand ça commence à sentir le roussi, les "gentils" avocats multiplient les "objection votre honneur" tous rejetés.
 
Moment de doute... Il reste un dernier espoir, une dernière tentative désespérée qui n'a aucune chance de réussir.
 
 

• Dernière tentative donc, avec l'avocat qui donne l'impression de ne pas savoir où il va, confus dans ses questions, agace le juge et fait même rire l'audience à ses dépends.  

Le méchant avocat est tout sourire et mode "finissons en !". Le témoin est souvent arrogant ou sûr de lui et est très convaincant.  
 
Tout semble fini et l'avocat demande la permission d'aller dans une autre direction, le juge s'énerve encore plus et exige la plus grande prudence de sa part, s'il ne veut pas être rayé du barreau (ou un truc de ce genre). Là encore, ça commence plutôt mal, le juge est à bout et le méchant avocat est en mode "please achevez le, vous ne voyez pas comment il souffre ?".  
 
Et puis, "boom !" la question anodine qui montre que le mec savait évidemment depuis le début où il allait. Le témoin qui sue à grosses gouttes, bafouille, refuse de répondre et le méchant avocat qui balance une objection refusée... précisément grâce à ce qu'a dit le témoin quand il baignant dans la confiance. Et le juge volant au secours de la victoire balance un "répondez je vous prie" avec un regard qui montre qu'il n'est pas là pour rigoler.
 
Là, il y a souvent un silence avec un plan sur le jury fixant le témoin, qui sent qu'un truc c'est passé.
 
Et là, arrivent en rafale, les questions qui foutent en pls, le témoin, l'avocat adverse et les méchants (parfois présents dans l'audience et qui se barrent quand ça commence à puer du derche), comme les "objections votre honneurs" de plus en plus désespérés balancés plus par inertie par le méchant avocat, comme les "refusé" du juge qui adresse à peine un regard compatissant au camp des perdants.
 
Le gentil avocat balance finalement son fatality et tourne le dos au témoin explosé et fait face au jury abasourdi mais convaincu.

bien vu

Bluffant de réalisme, j'ai tout vu dans ma tête

t'as oublié le moment ou l'avocat de la défense qui comprend la merde demande un "RECESS ! " (demande de suspension de l'audience), ou s'il est accordé, il y aura un échange entre l'avocat et son client pour lui faire comprendre que c'est la merde,  mais sinon c'est parfait

"Silence ou je fais évacuer la salle !"

Echange qui se fait souvent dans les chiottes.

Il y a la variante avec l'avocat du gentil qui fait traîner les choses en posant des questions inutiles jusqu'à ce que son enquêteur rentre dans la salle pour lui refiler la preuve décisive qu'il vient d'obtenir.

"Sur neuf millions de terroristes dans le monde, j'en tue un, il a les pieds plus petits que ma sœur."  

   
 
L'enquêteur ou un témoin clé (qui avait disparu ou dont on ne connaissait pas l'existence mais une remarque "anodine" d'un témoin favorable aux méchants a mis sur la piste).
 
Généralement, lorsque l'enquêteur ou le témoin clé arrive, le témoin et/ou le bad lawyer  le remarque et commencent à transpirer à grosses gouttes. Le good lawyer et l'enquêteur/le témoin se font des signes de la tête en mode "c'est bon!" (et si c'est le témoin clé, on le/la montre décidé(e) en mode "je ne vais plus me taire !" ).

Dans les films, on ne peut jamais juger quel qu'un tranquillement, il y a toujours un retournement de situation dans un sens ou dans l'autre, quand ce n'est pas après le jugement, le suspect qui annonce à l'avocat:" Merci de m'avoir fait acquitter, mais en fait, bla bla bla, j'étais le coupable"

En fait, il y a un truc qui fonctionne très souvent :
 
T'as une scène (avec souvent le truc dit explicitement) qui t'amène à penser un truc à propos du personnage, c'est que c'est souvent le contraire avec le twist qui va bien avec.
 
Cela fonctionne surtout avec les traitres, il y a toujours la scène qui t'amène à penser qu'il est au dessus de tout soupçon (typiquement, il va risquer sa vie pour la cible au début/milieu du film, voire le sauver etc). A l'inverse le perso hyper ambigu avec la scène qui hurle "c'est un traitre !", est souvent à la fin un bon gars qui fait juste les choses à sa façon.

 
 
#Severus Rogue

#La cité de la peur
« Et non !! Car en fait c’est moi l’assassin »

Encore vu dans un vieux western:
Le fait d'être attelés à un chariot chargé de quatre personnes augmente furieusement la vitesse des chevaux, ce qui fait que les poursuivants à cheval ont un mal fou à rattraper le chariot, et permet aux dits occupants du chariot, après une folle poursuite ponctuée de sonneries de trompette, d'arriver à se planquer ou à s'échapper
Ou mieux encore de permettre à la cavalerie d'arriver.

 
Have you ever fired your gun up in the air and gone 'Ah'?
 
(Also )

best film ever !

 
L'Arme Fatale premier du nom.  

Si un méchant est un sous-fifre, ou du moins est sous l'autorité d'une personne ignorant ses actes répréhensibles, cette personne ayant l'aval sur le méchant va découvrir les agissements du méchant (que ce soit par les agissements du héros ou non) et si on est pas à 5 minutes de la fin alors :
 
Pour signifier au méchant son châtiment cette personne va se placer systématiquement en position de faiblesse, s'isoler avec lui, être dans un endroit dangereux, tout en étant généralement plus vieux, plus faible ou affublé d'un handicap, et le vilain au pied du mur n'aura d'autre choix que de choisir le crime parfait, saisissant une arme de fortune pour mettre en scène une mort naturelle ou accidentelle et supprimer ainsi le dernier rempart entre lui et le pouvoir, asseoir son rôle de méchant auprès du public, et franchir le point de non-retour.
 
Bref moi si j'étais PDG je virerais toujours les gens sans crier gare au beau milieu d'une fiesta corporate avec des centaines de témoins et vigiles armés
 
- Je voudrais porter un toast au départ d'Henri qui utilise la boite pour créer une armée mutante composées de morceaux d'enfants pauvres, la police t'attend en bas

 
Avec la fameuse question du méchant...
 

 
Et bien sur la réponse du boss qui veut mettre fin aux agissements...
 

 
Silence de cathédrale, tous le monde se tourne vers Henri qui reste stoïque et qui te dis - presque à regret - "je suis désolé patron, je vous aimais bien"...
 
Et là, les témoins et vigiles armés se retourne vers toi avec un sourire sardonique. Ton plus proche conseiller s'adresse à Henri et demande "Je peux le tuer chef ?".    
 
 
 
 
 

Les flics qui crient "POLICE " à 100 mètres du suspect qui se ballade tranquilou au lieu de se rapprocher pour le chopper facilement.
 
Et hop le suspect s'enfuit et c'est reparti pour une heure de film.

Et si le boss décide de tout déballer à la police, le flic qui le recevra sera le seul flic de toute la ville qui aura été corrompu par le méchant.

Un seul flic corrompu dans toute la ville, c'est quelque chose qu'on ne voit qu'au cinema.

Bien souvent le héros se confie à son meilleur pote, parrain de sa gamine, car ils boivent des bières ensemble et tout.
 
En fait on découvre à la fin que c'était lui le cerveau de l'affaire, et que dans son esprit malade y'a une logique à toute l'affaire :
 
- "Mais John, comment t'as pu faire un truc pareil ?"
- "En refilant la lèpre a la moitié de la ville, les rues étaient vachement moins encombrées du coup Samantha pouvait aller chercher le gamin à l'heure à la crèche !"

J'ai dit "corrompu par le méchant du film", les autres flics le sont par d'autres méchants, c'est tout  

The revenant qui est passé sur la 2 hier.
Comment les mecs peuvent encore se battre/courir/faire des claquettes après s'être pris des coups de poignard, des mandales par paquet de 10, en hypothermie, mis en charpie par un ours...et l'emporter
 
Dans la vie réelle, on est beaucoup moins en forme après un choc

C'est pas inspiré d'une histoire vraie ce film ?

tout est dans le terme "inspiré"

C'est ça le cinema, on force le trait, en fait le mec est resté sous la pluie une nuit et s'est fait mordre par un raton-laveur, mais c'était tout de suite moins vendeur.

Dans les films, même quand il s'agit d'arrêter un terroriste de classe mondiale, on donne l'assaut sans couvrir les issues de l'arrière du bâtiment.

La série Netflix Sense8 est divertissante mais aussi un vrai nid à clichés : les allemands sont froids, les africains détendus et blagueurs, les homos très sensibles, les asiats sont des experts en arts martiaux ...
Tous les clichés sur les hackers qui paralysent une ville en 5 minutes avec leur laptop et des courses poursuites impossibles sont là aussi, à croire si c'est pas fait exprès  

T'as oublié : l'homosexualité est la solution à tous les problèmes (genre un mec me pique ma femme, ben finalement le mieux c'est de partager la nénette, dans des plans à trois où les deux mecs se galochent comme des furieux)
 
Série avec un super potentiel, gâchée par un prosélytisme LBGT insupportable. On le sait que les LGBT ont les mêmes joies/peines/problèmes que les autres, pas la peine d'en faire une tartine sur 2 saisons