Reprise du message précédent :
Oui sauf que non. L'originalité on l'avait dans le VIII. Vu le torrent de merde qu'ils se sont pris dans la tronche par les haineux imbéciles, ils ont fait machine arrière toute, on rappelé Abrams pour essayer d'éviter de couler.

Je parlais du produit très formaté qu'était le VII.
Oui, le VIII a voulu prendre plus de risques (. (je l'avais d'ailleurs écrit plus haut), et à mon avais échoué mais également pour d'autres raisons que cette seule prise de risques.
Au final, sur le plan commercial, ça va plutôt renforcer l'avis de ceux qui veulent du risque minimal... comme ce qu'était le VII.

Or, pour ma part, s'il fallait choisir entre le VII et le VIII (sans être autorisé à répondre "aucun" ), c'est ce dernier qui aurait ma préférence. Il se rate, mais au moins il a tenté.

PS: et au final, ils ont coulé quand même.ais je parie sue c'est sur le dos se Rian Johnson qu'on a mis ça, et non sur celui d'Abrams.

 
tu peux essayer :
 
Arnaud Desplechin
Benoît Jacquot
Xavier Beauvois
François Ozon
Patrice Chéreau
Claude Berri
Jean-Paul Rappeneau
André Téchiné
Alain Resnais
Les frères Larrieu
Michel Gondry
Christophe Honoré
Jean Becker
Bruno Podalydès
 
pour les réalisateurs qui ont fait des films dans les années 2000+
 

Merci.

Tu te plains de l'uniformisation et du manque de prise de risque de ce type de cinema, mais tu sembles y contribuer en ayant vu tous ces films que tu cites... Paradoxal  

Je voulais juste un vrai film, avec les horreurs de la prélogie, et c'est ce que j'ai eu.
Des personnages vivants, qui ressentent des choses, et dont je comprends la personnalité et les motivations.
Pareil avec le 8.

C'est un liste de bcp de réalisateurs et de trop de films.
Si tu veux commencer par trois films ?
Bruno Podalydès  : "Liberté Oléron"
Les frères Larrieu : "Un homme, un vrai"
Xavier Beauvois  : "N'oublie pas que tu vas mourir"
 
Une comédie, une comédie dramatique, un drame.

Contrairement peut-être à certains, je préfère ne parler qu'en connaissance de cause, donc sur des choses que j'ai vues. Dans mon post initial, j'avais aussi cité Holy Motors, tiens, mais avec bien moins de réactions...

Faire preuve d'un peu d'ouverture, ça peut aussi inclure de jeter un coup d'œil sur certains phénomènes de société. S'attabler chez un multi-étoilé n'exclut pas forcément de parfois prendre un burger à l'échoppe du coin.

Par ailleurs, avoir accès à une médiathèque bien fournie en Blu-Ray permet de voir un peu de tout à des tarifs très modiques. Et si je m'amuse à faire les comptes, j'ai très certainement davantage financé la création scénique ou la restauration de films, que les gros blockbusters industriels... alors les leçons personnelles d'autrui, je laisse deviner ce que j'en fais.

Ah, ces satanés non-cinéphiles qui réagissent pas quand on parle de vrais films.

Ah, le mépris de classe, ça manquait un peu. J'étais presque déçu.
Joli jugement de valeur.

Non mais assume juste que tu regardes des blockbusters aussi, personne ne t'en voudra, vu que tout le monde s'en bat les couilles.

La pirouette pour dire "non mais heu j'ai surtout financé le vrai cinéma que vos gros blockbusters industriels (que je regarde autant que vous)", c'est magnifique.

On en regarde quasiment tous, sauf que la majorité ne se sentent pas attaqués sur leur honneur de cinéphile par l'idée insupportable de regarder les mêmes films que le bas-peuple.  

J'ai écrit que Holy Motors était un film qui prenait des risques, qui sortait de l'ordinaire. Ai-je parlé de "vrai film"? Il me semble que non.

C'est toi qui induit le jugement de valeur entre l'étoilé et l'échoppe du coin. Bizarrement, sur la cuisine ça passe crème, sur le cinéma ça envoie de suite sur le mépris de classe...

J'ai écrit que je regardais de tout, hein...
Et aussi que je ne me faisais pas d'illusion sir le cinéma industriel en général. Quand au "autant que vous", j'en sais fichtre rien, mais en proportion je ne ne pense pas, en tout cas par rapport à la population générale.

J'ai écrit que Holy Motors était un film qui prenait des risques, qui sortait de l'ordinaire. Ai-je parlé de "vrai film"? Il me semble que non.

C'est d'abord toi qui induit le jugement de valeur entre l'étoilé et l'échoppe du coin. Bizarrement, sur la cuisine ça passe crème, sur le cinéma ça envoie de suite sur le mépris de classe...

J'ai écrit que je regardais de tout, hein...
Et aussi que je n'avais pas (ou plus, car ça n'a pas toujours été le cas) d'illusions sur certaines choses.

Quant au "autant que vous", sur la proportion je ne pense pas, hein, surtout si on prend la population générale en exemple.

Là pour le coup, Gregouf m' "attaque" directement parce que j'en ai regardés, et lui voudrait y voir un paradoxe...

Et par ailleurs, je ne suis pas persuadé que tout le monde regarde ça pour les mêmes raisons...

A propos du film Apollo 13, une perle    
 

   Du coup j'ai riz  

Ok.
Et en thriller, fantastique, SF, vous avez quelque chose en films français de récent ?
(a part Holy Motors)

Si on parle de réalisateur français (pas forcément de film français), Michel Gondry avec Eternal Sunshine of the Spotless Mind, mais je suppose que tu connais déjà.

Sinon, en fantastique-inclassable français et de réalisateur français, tu peux tenter Holy Motors.
( edit)

C'est TON analogie. Blockbuster = burger du coin.
L'autre cinéma (on ne sait pas lequel d'ailleurs) = chef étoilé.
 
Et elle me choque dans les deux cas. Pour la cuisine, ou le cinéma.
Tu crées une différence entre les deux, et c'est une position élitiste.
Des types font un film, avec des tas de gens, et des gens vont le regarder. C'est du cinéma.  
 

 
Tu regardes de tout mais tu sembles en avoir honte.
"j'ai très certainement davantage financé la création scénique ou la restauration de films, que les gros blockbusters industriels"
 
Ce message se lit "Oui mais contrairement à vous, moi j'ai aussi participé à d'autres trucs" alors que ce n'était pas la question. Et ça aussi, c'est élitiste.
 
Tu l'es, et tu sembles ne même pas t'en rendre compte.
 
 

 
Je n'ai pas mis de guillemets, je reformulais donc l'impression que ton message renvoie. "Bizarrement, ça ne réagit pas" = "c'est élitiste et donc le peuple ne risque pas de répondre car il ne connaît pas vu que c'est pas Marvel.".
 
Quant à "l'attaque" de gregouf, tu y vois une attaque car tu es mal à l'aise à l'idée qu'on puisse te dire que tu regardes des blockbusters et finance aussi cette industrie.
Alors que c'est un constat.
Tu la finances.
 
Mais si môssieur Gros Boulet, dans sa grande mansuétude, finance aussi la "création scénique" et la "restauration de films", alors il faut qu'il nous le dise, comme pour atténuer l'effet salissant du blockbuster.
 
Tu regardes des blockbusters, quoi. De temps en temps, on a compris. Mais t'en regardes.
Pas la peine d'essayer d'atténuer le truc, je t'assure que ce n'est pas sale.

Non, mais il est dans mon radar.
 

 
J'ai vu qu'il était dispo en blu-ray dans la collection Artificial Eye de chez Curzon.
https://www.curzonartificialeye.com/holy-motors/

Tu essaies de detourner de la conversation de tes propos initiaux. Tu te plains sur plusieurs posts de cette uniformisation du cinema, ce manque de prise de risque, ce produit servi... Je peux parfaitement comprendre ce point. Ce que je trouve paradoxal c'est de s'en plaindre et de pourtant y contribuer. Ça n'a rien a voir avec un manque d'ouverture d'esprit, un rejet de la culture populaire ou une mise en opposition avec des films plus "artistiques" ce sur quoi tu sembles chercher a te raccrocher.

Il n'y a aucune attaque, ni jugement de valeur, juste une interrogation de pourquoi se plaindre d'une chose a laquelle on contribue...

J'ecrivais ca il y a quelques jours:

Pour moi, les Star Wars, Marvel & Co, c'est exactement ca. Des produits bien calibres qui plaisent car sans surprise et sans risque. Hollywood a toujours "produit", on ne change pas une recette qui gagne. Ca n'a rien de negatif. Les films d'actions des 90s avec Stallone, Arnold & co suivaient la meme recette et on est tous tombes dedans avec plaisir, et on y replonge avec nostalgie et sourire. Rien ne sert de cracher dans la soupe et de plaindre qu'elle a un gout bizarre.

Il y a une différence entre les différentes approches que les différents acteurs d'un domaine peuvent avoir. Dans la création, dans la prise de risques par exemple. La formulation peut sembler provocante, elle n'est pas forcément sans fondement.

Au passage, j'avais parlé de l'échoppe du coin, pas du McDo par exemple (bon, maintenant je l'ai fait, vas-y)... ce n'était pas une analogie directe.

J'écris ça parce que mon interlocuteur me reproche de financer une approche que je déplore...

Je n'ai pas prétendu ne pas être "élitiste". Si c'est élitiste de s'attrister quand certains (pas forcément sur ce topic, hein...) refusent de voir un film des années 50 parce que c'est en format 1.37 et en noir et blanc, oui, je suis élitiste.

C'est un constat factuel sur ce topic: sur un post qui mentionnait deux films, ça a beaucoup plus réagi sur l'un que sur l'autre... au point d'occulter l'autre.

Il écrit "paradoxal" pour conclure... ce qui n'est pas un constat, hein, mais un jugement.

Je répondais juste à Môssieur Gregouf que je ne finançais pas que le gros blockbuster, et qu'il n'y avait donc pas de "paradoxe" dans mes visionnages contrairement à ce qu'il prétendait.

Quant à Môôôssssieeeur Emzy, j'ai bien vu qu'il souhaitait consacrer beaucoup d'efforts pour m'attaquer personnellement dès qu'il en avait l'opportunité, tout en déclarant sporadiquement que "tout le monde s'en fout" en ce qui me concerne. Visiblement, l'hypocrisie ne tue pas...

PS: Je préfère encore passer pour un sale élitiste, que pour un rancunier en croisade personnelle. Car c'est la seule chose qui me semble transparaître de tes réactions.

Ce qui n'a rien a voir avec mon post, mais c'est pas bien grave a cette heure avancée...

Quand tu parles de "paradoxe" avec le smiley à côté, c'est bien une attaque, au moins oblique. Mais passons...

J'en reviens à ce que j'écrivais: pour pouvoir évaluer, il faut regarder. On ne peut décrier quelque chose qu'on n'a pas vu.

Sauf que, à l'échelle historique, ce n'est qu'en partie vrai. Oui, Hollywood a toujours cherché à engranger des recettes. Mais ça n'a pas empêché l'expression de la créativité et du talent des auteurs restés dans le système - screwballs de l'âge d'or, westerns de Ford ou Hawks, thrillers d'Hitchcock, etc... et avant ça, les films de Chaplin, en plein dans la formule et même la franchise, mais pourtant d'une ambition artistique incontestable.

On peut "produire" sans que le produit soit complètement insipide. À force de recruter des conseillers, mon hypermarché a fini par produire un meilleur pain que certains boulangers... quoique d'autres hypermarchés font du pain pourri.

Cet aspect là, il me semble qu'Hollywood l'a de plus en plus perdu, le contrôle réduisant de plus en plus l'espace de liberté.

Même si certains (à commencer par Spielberg) tentent encore de combiner les deux. Même si, et c'est paradoxal, un Rian Johnson a quasiment eu une liberté d'auteur dans un film de très grosse franchise (mais avoir la liberté ne suffit pas à réussir). Même si, et ça en est surprenant alors que ça aurait dû rester la norme, une entité attachée au plus gros studio mondial a parfois pu proposer (au moins partiellement) des contenus d'une ambition supérieure à ce qu'on aurait usuellement attendu d'elle (Pixar).

Mais faut regarder pour constater, hein...

Ton propos est paradoxal, c'est indéniable. Le smiley est sous le tag "étrange", qui exprime ma surprise. Vraiment rien de plus. Quel age as tu? Je pencherai pour une personne plus âgée, qui semble voir dans la contradiction quelque chose contre soi, or ce n'est que l'expression d'une opinion différente. N'oublions pas que nous sommes sur Internet, dans la section Loisirs d'un forum informatique...

Et tu cherches a reecrire l'histoire. Ce que tu ecrivais et sur lequel je reagissais c'est ca:

On pourrait même dire que c'est une règle, depuis facilement plus de 40 ans et on peut trouver cette approche par similarité dans énormément de période sur énormément de type de films depuis bien plus longtemps.

L'expression de la créativité elle existe toujours, sauf qu'elle ne se retrouve pas dans des films a plusieurs centaines de millions de dollars ou l'enjeu financier est critique. C'est pourtant un element simple a comprendre, si tu dépenses > 150 millions $ dans un film ce qui n'est pas un budget surprenant pour un blockbuster, tu es moins a meme de pouvoir faire le funambule. Les differentes sociétés de Production veulent rentrer dans leur frais, donc demande du cadré, de la recette qui a fait ses preuves et qui peut toucher le plus large public et depuis quelques années, qui peut permettre de s'exporter en Chine, dans les rares films qui ont le droit d'y être diffusés.

Pour trouver de la créativité, il faut descendre sur des films a plus petits budgets, et je pense qu'elle est tout autant présente qu'avant, sans doute plus diluée car moins "visible" en salle, ce dont on parlait deja.

Quand a regarder pour constater, oui. Je ne viens pas parler de Star Wars 7, 8, Avengers Endgame et consorts car je ne les ai pas vu. Par contre, je ne suis pas surpris que les gens y retrouvent peu de creativite. Pour avoir épongé quelques films de cds franchises, je vois bien que la recette est la même. Elle ne me convient pas, donc je lui donne pas/plus d'argent pour contribuer a sa perennite... Le paradoxe que je mentionnais *

*: L'utilisation de ce smiley n'est pas une attaque personnelle, mais l'expression de la constatation que nous avons atteint la conclusion initiale, telle une vaste boucle qui aurait pu rester brève...

Vu Alien (1979) et Aliens (1986). Dans l'attente de voir les 4 autres de la série.

Le premier Alien est sympa, plutôt psychologique avec une longue introduction et un rythme posé. Le film est un peu plus long que Aliens mais je m'y suis moins ennuyé.
Il y a quelques facilités scénaristiques à la fin pour faire durer le suspense, avec le chat, des aller-retour.

Aliens, par contre, c'était un action-movie pas très agréable. Le machisme des deux gus (le blond et Velasquez) de l'armée avec leurs répliques est à se pendre, plus gênant que drôle. Beaucoup d'action qui implique un scénario un peu con-con pour caser des scènes sympas. Cette fois-ci Cameron s'est dit qu'une petite fille parlerait plus au spectateur qu'un chat. Peut-être pas.

 
les deux sont exellents, par contre enchainer la saga alien faut être prêt à voir des films qui n'ont que peu de rapport à part avoir un ou des aliens dedans.  
 
Et oui Alien 2 c'est un film d'action bourrin mais c'est excellent, un classique, c'est sûr que c'est moins fin que le premier mais pour moi faut juste le prendre pour autre chose.

 
Cette époque de merde qd même
 
(j'espère qd même que tu as noté que Velasquez est une gonzesse parce que comme tu l'as écrit on a un doute)

C'est Vasquez dans le film, Velasquez c'est  

Je pense que tu me fais un faux procès, c'est justement mon type humour. Mais dans le cas d'Aliens c'était hyper lourd, à dessein pour caractériser les personnages. Ça aurait pu nous faire rire, on a trouvé ça mauvais, ça nous a pas fait rire. Point.

 
Une note culturelle qu'il est bon de souligner  

Ah je me disais bien qu'il y avait un truc qui clochait

Soldat Première Classe Jenette Vasquez, jouée par Jenette Elise Goldstein, il faut le savoir hein.

 
Tu l'aurais vu y a 20 ans, t'aurais apprécié, comme tout le monde

c'est sûr qu'il y a des films qui vieillissent plus ou moins bien culturellement.
 
Par exemple Willow pour moi c'est ce qui se fait de mieux en fantasy, mais bon tu le montre à quelqu'un aujourd'hui apres les LOTR ou autre GOT bah ils vont dire "c'est nul lol".
 
Alors que c'est un chef-d'oeuvre  

Theatrical Cut pour Alien et Special Edition (Director's Cut) pour Aliens. C'est possible que pour ce dernier il y ait eu des rajouts sur les marines lourdingues; j'ai oublié de noter plus haut le jeu fabuleux de Bill Paxton.

Curieux de voir ton avis sur les 2 autres de la série.
(Alien, c'est une tétralogie et pis c'est tout!   ).

Je l'ai vu il y a 20 ans justement (et le film en avait déjà 15 ) et perso j'ai pas apprécié non plus. Enfin, moins que les autres dans la saga. J'ai trouvé ça dommage après le 1 de transformer ça en "simple" film d'action bourrin. Et surtout, le twist scénaristique avec Ripley qui se perd dans l'espace pendant 80 ans, comme ça hop, on peut lui faire perdre sa fille et du coup la faire s'attacher à Newt mais aussi transformer la planète EZ PZ. C'est vraiment très artificiel et un peu trop facile. Après, le film en lui-même, détaché de la "saga" (qui n'en ai pas vraiment une, c'est plus 4 films et autant de variation autour du monstre et de Ripley finalement) est très bon, mais je sais pas, j'ai pas cet attachement que j'ai pour les autres. C'est d'ailleurs celui que j'ai le moins revu.

Nan je ne crois pas qu'il y ait des ajouts de ce côté-là. Et on ne dérespecte pas Bill Paxton bordel
 
_Hé Vasquez, on t'a jamais pris pour un mec ?
_Nan et toi ?
 
_Je sais pas si vous avez maté le match à la télé mais on s'est fait TORCHER LE CUL !
 
 
Rien que pour ces répliques il mérite son rôle (ainsi que son doubleur car moins bien en anglais sur la seconde).

Au contraire, Cameron a réussi a faire le meilleur shoot-em-up au cinema. L'alternative aurait ete un remake du 1, mouais bof.

A propos des différentes éditions, j'ai trouvé intéressant de voir aussi la director's cut de Alien (même si pas vraiment le terme approprié étant donné que Scott préfère son montage d'origine) car on voit déjà le cocon, ce qui permet une meilleur continuité avec le 2 dans le comportement des aliens.  

Mouif, pas forcément. Regarde le 3, c'est plus proche du 1, pour autant j'ai pas l'impression de voir un remake du 1. Après je pense surtout que c'est moins mon style, je ne remets pas fondamentalement en cause le choix de Cameron, d'autant qu'effectivement c'est malin de s'éloigner du premier pour éviter de tomber dans le piège de faire la même chose que le film précédent.

C'est pas que culturel, ça touche aussi et surtout le ressenti. Qui plus est sur des films horreur ou fantastique qui peuvent engendrer une réaction passionée chez l'enfant ou l'ado mais plus vraiment une fois adulte.
The 5,000 Fingers of Dr. T, vu gamin, j'en ai toujours gardé un souvenir effroyable. Je l'ai revu il n'y a pas longtemps et ça ne fait plus le même effet, même si je décèle maintenant des thématiques autrefois abstraites.

Willow j'en garde un bon souvenir mais pareil, je suis pas certain d'être aussi apeuré ou subjugué par les péripéties avec le poids des années.

Le film de gosse le plus traumatisant ça a été les Ewoks - La bataille pour Endor. Y a Warwick dedans aussi.

Dans le genre films fantastiques que j'ai vu très jeune et qui m'ont marqué:
- Taram et le Chaudron Magique.
- Dark Crystal
- Dune
 
Les années 80, il y avait ce petit coté horrifique qu'on retrouve nettement moins maintenant. C'est plus lisse.

Gandahar.