Reprise du message précédent :
Dites, je sais que les Jurassic World ne sont pas des chef d’œuvre, mais sait-on ce que sont devenu les dinosaures du Site B (Le Monde Perdu) au moment où peu avant Jurassic World ?

J'ai vu le film plusieurs fois mais je n'aurais reconnu aucune de ces quotes  

Je suis pas ouf de ce film mais j'irai pas l'attaquer sur ses influences et références, ou alors on démolit aussi Star Wars qui en est tout aussi imprégné, ça nous "dérange" sans doute moins vu que la source vient de tout un pan de la culture ciné américaine qu'on connaît très peu en Europe (et sans doute également peu connu des jeunes Américains) mais qui a beaucoup marqué les ados des années 50, les serials d'aventure.

J’ai regardé ça lô

 
Putain, j’ai rien pigé.
Enfin un minimum avec le synopsis.
Mais sinon c’est imbitable.
Tu te doutes que c’est génial. Mais c’est trop opaque pour comprendre ce que le gars a fait.

C’est un des plus wtf de Tarkovski oui
Rien pigé non plus mais j’ai aimé  
 
 « heureux sont ceux qui ont l'esprit simple car le royaume des cieux leur appartient »
 

Sérieux ????        
 
A part le truc des photos, les trois autres sont connus, surtout Moultipass et Supergreen!
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=Kdh7A4oOusc
 
https://www.youtube.com/watch?v=lOMnqiBx_Z8
 
https://www.youtube.com/watch?v=B0bKFghuIFY

C'est à SW que je pensais justement y en a qui suivent.
Qui peut discuter à ma table et me citer un grand film qui n'a pas grandement pompé sur d'autres œuvres ? (j'ai pas dit que le 5e élément était un grand film )

En dehors des premiers films "de genre" :
2001.

Marche pas: "....inspired by Clarke's 1951 short story "The Sentinel" and other short stories by Clarke"

Du début à la fin. Rien. Pigé.
Enfin tu comprends qu'il y a une réflexion sur sa vie passée et son rôle de mère.
Mais ça m'a fait le même effet que Inland Empire, presqu'en pire.
 
J'ai commencé à regarder Le Sacrifice aussi.
Un peu moins WTF. Mais quand je lis les analyses dessus, je comprends pas comment on peut conclure ce genre des conclusions extrêmement philosophiques.
Enfin ou alors j'arrive pas à lire entre les lignes..

J'en profite pour ressortir ce lien avec sa filmo : https://www.rtbf.be/culture/cinema/ [...] id=9854515
L'article dit que les films ne devaient plus être accessible sur Youtube mais c'est toujours le cas...

Personne ne disait "Aziz, LUMIÈRE !" quand quelqu'un devait allumer la lumière dans ton collège ?  

Tu viens de la planète Flushton, de la constellation de l'ange ?  

 

Tout à fait
À côté Stalker et Solaris c’est easy

Ah d'accord, fallait comprendre "n'importe quelle œuvre, pas seulement ciné".

Dans le cas de 2001 : A Space Odyssey, c'est un peu plus complexe.
Le scénario a été écrit en collaboration par Kubrick et Clarke, même si l'inspiration vient en effet de la nouvelle "The Sentinel" de ce dernier.
En parallèle du film, Clarke a écrit le roman du même nom qui sortira juste après la première du film et qui diffère de celui-ci.
 
Ca a été une vraie collaboration et les deux ont échangé durant toute l'élaboration du projet, s'inspirant mutuellement et opposant leurs divergences sur la forme et le fond.

Dans la vision extrême, "rien" n'est jamais fait strictement ex-nihilo, vu qu'on va reprendre des éléments de langage(s), de théories, de concepts... déjà existants.

Au sens strict, peu d'innovations ont vraiment eu lieu sur le langage cinématographique une fois passé l'âge des pionniers-théoriciens (les Méliès, Koulechov, Griffith, Eisenstein... qui ont établi et appliqué tous les fondamentaux).

Mais à la base, il y a de grosses différences sur le niveau d'utilisation / d'inspiration / d'emprunt / de reprise voire plagiat... selon les œuvres.

En matière d'audiovisuel (dont fait partie le cinéma, et aussi les vidéos YouTube), d'une part le fond a tout autant d'importance que la forme. Donc, oui, on peut critiquer une vidéo sur des aspects de forme.

Et bien souvent, quand il n'y a que de la forme qui est en évidence, on peut déjà se demander si on n'a pas un exercice de style un peu vain... Et plus encore quand cette forme est non pas originale (ce qui pourrait caractériser un auteur), mais un gimmick de l'époque (donc dénote un faible niveau de création).

D'autre part, chier sur un commentaire en partant uniquement sur des considérations d'âge ("vieux", "dépassé" ), ça relève tout de même d'un jeunisme décérébré (derrière lequel on a souvent un mélange d'arrogance et d'incompétence crasse, vu qu'on évite ainsi d'argumenter et de raisonner).

rien que pour le terme "en mode", déjà je regarde pas

Au-delà de la forme, le fond est souvent très très faible.
 
Hier je regardais vite fait un critique sur Retour vers le Futur : https://www.youtube.com/watch?v=S-DjGpReNz8
Le mec te dit quand même que c'est un chef d'oeuvre, et probablement son film préféré all-time..
 
J'ai rien contre Retour vers le Futur (même si ça reste un film correct, sans plus), mais de là à dire que c'est un chef d'oeuvre ou ton film préféré..
Ça te décrédibilise totalement
Et après derrière y'a aucun argument.
C'est juste un pote de beuverie qui te parle du film qu'il préfère.
Y'a AUCUN intérêt cinématographique à ce genre de chaine Youtube.

1. Personne chie sur le mec, on mentionne les éléments qui rendent ce type de vidéo sans intérêt pour certains
2. Tu te permets d'insulter les intervenants parce qu'ils ne partagent pas ton avis

Faudrait revoir ton expression ecrite, parce que te faire passer pour une victime alors que c'est toi qui essaie de tacler a tout va, en qualifiant ici encore les gens de "boomer", je vois pas trop ce que tu cherches. Tu peux donner ton avis sur la video, plutot que de vouloir troller comme un lapin de six semaines. C'est pas JV.com ici bas.

Insultes, carrément
Bref, on va pas épiloguer là-dessus on n'est pas d'accord et puis tant pis.
 
Hier j'ai re-regardé Le Loup-Garou de Londres de John Landis que j'avais vu il y a des années et dont je n'avais plus aucun souvenir, bah c'était vraiment chouette.
 
J'aime beaucoup le ton du film, ni totalement comique, ni totalement horrifique, et les effets spéciaux sont quand même de qualité pour l'époque.
 
Je me rappelle plus du Loup-Garou de Paris, est-ce que ça vaut le coup?

Oscar du meilleur maquillage.
Saturn awards du meilleur maquillage.

Y'a de quoi
Même en 2020 ça tient largement la route.

Oui!  
 
T'as vu la version de 2018, remastérisée en 4K sous la supervision de John Landis ?

Atame ! (Attache Moi), Pedro Almodovar – 1989
 
Film de « jeunesse » de Almodovar que je n’avais jamais vu avec une musique très Hitchcockienne signée Ennio Morricone. Une plus que charmante Victoria, une réalisation intéressante, qui rendent le film plutôt agréable sans atteindre la qualité formelle ou d’écriture de ses grands films.
 
Imdb: https://www.imdb.com/title/tt0101026/?ref_=ttcrv_crv_tt
 

 
 
Dernier film de Almodovar dans la période des années 80, qui arrive après les deux bons La Loi du desir et Femme au bord de la crise de nerf, avec ses acteurs classiques Antonio Banderas et Victoria Abril. Deux personnages perdus, l’un sortant d’un hôpital psychiatrique et l’autre, ex-star du prono et droguée, Almodovar y développe une bien étrange histoire d’amour le fou (d'amour) kidnappant la droguée. La grande qualité du film est visuelle (et pas seulement parce que Victoria Abril y est souvent nue) avec des couleurs explosives tout du long, un travail intéressant sur les cadres et la lumière. Des trouvailles de charme comme ce plongeur en plastique et ces plans de la belle Victoria dans sa baignoire qui vaudront au film d’être classé X aux US, ca ne s'invente pas    
 
Le film malgré le thème assez lourd est léger (ah ah  ), jovial, et plutôt candide sur la naissance de cette amour entre le kidnappeur et sa victime. On frôle presque le Tex Avery par moment. Vision assez étrange du syndrome de Stokholm, Almodovar semble indiquer que la relation hétérosexuelle naît dans la souffrance et le traumatisme. C’est un peu rapide sur la fin et ça laisse pleins de trucs en suspens avec cette chanson scandée a tue-tête « Resistire »
 
Petit film agréable pour qui parcoure la filmo de Pedro Almodovar, la bande son de Ennio ne m’a pas particulièrement laissé un souvenir impérissable…

Non, perds pas ton temps.

 
J'avais bien aimé au cinéma quand j'étais pré ado.  
 
Je ne sais pas du tout comment ça a vieilli.

 
Tout pareil j'avais trouvé cela divertissant ok vu (bien sur moins bon que Le loup garou de londres) à l'époque
Mais pas revu depuis sa sortie ciné

Eh bien n'hésitez pas, regardez-le à nouveau.

 
Metascore de 37, Imdb de 5.1, 1.9 sur Allocine et actrice principale Julie Delpy... C'est tentant en effet  

Je préfère Julie Delpy à Marion Cotillard.

Je la préfère à Arielle Dombasle, mais je ne vois vraiment pas le rapport.

 
Peut-etre que c'est elle qui joue le loup-garou parisien. Faudrait analyser la scene de la mort de la bete  

 
Je me rappelle d'une scène avec elle dans le film en effet    

Notez qu'il y a aussi Thierry Lhermite hein dans Le loup-garou de Paris

J'étais à la fac quand le film est sorti.
Je dis pas que j'ai pas aimé le voir hein, mais faut croire que j'étais déjà trop vieux pour que ce soit un film marquant  

Ah oui ça joue beaucoup, j'aurais découvert ce truc à 20 piges, je m'en souviendrais même pas je pense.

Revu hier soir Elephant Man en 4K restauré.
Man Diou que ce film est beau!!! Cette image! Ce N/B!! Ce grain!!!
Pis Hurt, Hopkins, Bancroft, Gielgud Quelle finesse dans leur jeu! Toujours sur le fil, mais parfaits!  
Et la réalisation de Lynch bien sûr, maestria!
Et le Londres dans cette époque Victorienne. Crade, plein de suie et de charbon, de sueurs, de fumées, de... Mais si beau, ce Londres
 
Vu seul, et il valait mieux  

Bonne surprise ce film ouais avec une chouette B.O

Blade Runner 2049
 

Films vus récemment :  
 
Voodoo Man (1941) de William Beaudine.
 

 
Toby, un jeune scénariste d'Hollywood, tombe en panne d'essence alors qu'il se rend je sais plus trop où. Il est pris en route par une jeune femme, mais leur voiture s'arrête. Toby part chercher de l'aide, et lorsqu'il revient, il se trouve que la femme a disparu, et qu'elle n'est pas non plus rentrée chez elle. Les soupçons se tournent vers le docteur Marlowe, dont les sombres desseins n'ont d'égal que les pouvoirs obscurs...
 
C'est un film mineur de Bela Lugosi (d'ailleurs il dure seulement une heure), très obscur, mais pas dénué d'intérêt. Lugosi joue le méchant, quasiment constamment éclairé d'en-dessous pour renforcer sa présence. Faire de lui un espèce d'hypnotiseur est une excellente idée, car sa voix et son regard envoûtants s'y prêtent très bien. On est déjà (malheureusement) presque sur sa fin de carrière, puisqu'il ne fera qu'une dizaine de films après (contre plus d'une centaine avant), et je trouve qu'il n'a déjà plus la force de ses débuts. Mais c'est toujours agréable de le voir jouer un méchant.
 
Sinon, l'histoire est sympa, classique, mais pas désagréable. Il y a du vaudou, une imagerie assez à la mode à l'époque (I walked with a zombie, 1943 ; King of the Zombies, 1941) et à laquelle Bela Lugosi avait déjà participé avec White Zombie (1932). D'ailleurs, ça m'a surtout donné envie de voir White Zombie, que je n'ai pas encore vu.
 
C'est court, et pas désagréable !
 
The Jewel of the Nile (1985) de Lewis Teague. Le diamant du Nil, chez nous.
 

 
Après leurs aventures avec le diamant vert, Joan Wilder et Jack Colton ont continué de parcourir le monde. Cependant, Joan n'arrive plus à écrire ses romans à l'eau de rose, maintenant que sa vie a changé. Ainsi, lorsque Omar Khalifa, un émir sur le point d'être promu "Empereur du Nil", lui demande d'écrire sa biographie, Joan y voit une occasion de renouveler son style et de repartir du bon pied. Évidemment, rien ne va se passer comme prévu.
 
Je dois avouer que j'ai vraiment eu un coup de cœur pour Romancing the Stone / A la poursuite du diamant vert. J'avais surtout accroché aux deux personnages, du coup c'était un plaisir de les retrouver. Ainsi, j'ai beaucoup aimé la première partie du film, qui nous montre les contradictions de leurs modes de vie, leurs ambitions, et le semi-échec de leur relation malgré les promesses faites au début.
Après, le bât blesse : Robert Zemeckis n'est plus là, et Lewis Teague (dont le principal fait d'arme restera Cujo) n'a pas son talent, loin de là. Le montage est mou, souvent à court de rythme (beaucoup de séquences sont intéressantes mais sont rendues ennuyeuses par un montage mal foutu), et les acteurs ont du mal à savoir ce qu'ils font vraiment. Je pense que Michael Douglas s'en fout un peu, d'ailleurs.
Heureusement, on a toujours l'excellente Kathleen Turner, ainsi que Danny DeVito, qui pourrait de toute façon voler la vedette à n'importe qui.
 
L'histoire est moyenne, pas toujours très claire (même si le déroulement est, lui, limpide) ni très intéressante. En fait, il reste surtout nos deux héros et leur relation, et c'est vraiment la seule chose qui m'a fait tenir. Mais cette partie-là était satisfaisante !

10s c'est impressionant, on a plutot tendance a voir dix plans par seconde