Reprise du message précédent :
N'est insolente que l'insolence © environ Forrest Gump

You ugly motherfucker©

I know kung-fu

Moi je connais Fouk Mi et Fouk Iou

J'ai une mauvaise nouvelle, ils étaient dans un bateau, il a heurté un iceberg et Fouk Mi a coulé. Il reste que Fouk Iou

²

En effet, Tatort sait tout, c'est comme ça qu'il résoud ses enquêtes.

pour les cadrages de Michael Bay, c'est quand même ultra désagréable de voir une scène avec 12000 plans par secondes, la caméra qui tremble de partout, au final tu vois que dalle et t'as mal au crane.
Dans The Island dès que ca bouge un peu ca devient comme ca, donc oui ca nuit au plaisir de voir de film et ensuite à son intéret.
 
Et à force d'aller au ciné, et de lire des critiques (sur ce forum et ailleurs) sur la technique, je me suis rendu compte que j'appréciais beaucoup certains films à cause du style utilisé, ce auquel je ne faisais pas particulièrement attention avant. Evidemment je ne me base pas que sur ca quand je vais au ciné, mais ca me permet d'apprécier la recherche esthétique, totalement absente chez Michael B, ou plutot trop m'as tu vu/tape à l'oeil/j'en fais des tonnes/j'me la pète.

c'est le résultat de ses années de clip et de pub + ses nuits d'amour avec Bruckheimer

 
vla la gueule du bébé aussi

N'empêche que dans the Island les décors sont très bien fait, le mobilier et salles-ordis-machines sont superbes! Le film aurait dû s'arrêter au moment où
 

 
Sinon je trouve les poursuites et scènes d'action souvent superbes.

c'est toujours les mêmes (voir bad boys)
le pire venant de cette scène qui vient flinguer définitivement le film
 

Parce que tu as réussi à voir quelque chose, toi?  

dans la famille bay, y'a que anchor qui sorte des trucs potables.

Tout +1

 
Ah le truc dont la comm a été pris en charge par une assoc de cathos ?
 
Prodigy

Vu H2G2 hier soir.
L'exercice était périlleux, très, même et un tel décalage et burlesque pouvait donner les pires résultats. Assurément c'est ce que pense ma femme qui a préféré la lecture du bouquin assortie de l'habituel imaginaire qui enjolive souvent les choses à notre façon dans pareil exercice, quant à moi j'ai trouvé qu'au final le réalisateur s'en est bien sorti même si j'ai senti des passages à vides pendant la projection.
 
Je le classe dans la liste des films à voir par curiosité.

 
Hein ?

le site de flash de The Corpse Bride de Tim Burton a été mis à jour et y'a un nouveau trailer (caché) dessus... il y a qques images en plus que sur les anciens. Bref : j'ai hate

C.S.Lewis était chrétien revendiqué, ses bouquins sont "chrétien friendly"
rien de grâve

 
Mouais...sauf si y a des sarrasins de tués par kilo  

Rien de grave sauf que c'est un truc pour les mômes qui va être bourré de références cathos et dont la comme est géré par une boîte bien fondamentaliste, mais rien de grave
 
Prodigy

Ben ouais rien de grave dans la mesure où j'y donnerai pas un kopec

Disney est Disney et fait du Disney depuis toujours, ils font du "famillial WASPien"
 
les références judéo-bibliques dans les films c'est monnaie courante, ex: si on devait faire la liste des films montrant un "élu" délivrant sont peuple esclave ... on serait encore là demain a les énumérer

Sinon The Jacket c'est pas mal du tout. Au niveau de l'histoire ca fait pas mal penser à l'Effet Papillon, sauf que c'est beaucoup plus glauque, claustro. Bref j'ai beaucoup aimé

Bon Gilou si cela ne te convient pas, tu t'abstiens de la lecture de ce qui suit. Enfin si tu le lis, peut-être comprendras tu que je n'ai pas "plagié" les critiques des sites, vu que le film ne sort que dans un mois
 
Les âmes grises de Yves Angelo
 
Si les dernières productions cinématographiques de cemois se sont caractérisées par l'emphase et le clinquant (Qui a dit The Island ?), le film de Yves Angelo se distingue par la sobriété et la délicatesse. C'est l'histoire de la mort, qui se présente au premier abord dans ce faux film policier. Celle qui frappe les milliers de soldats sur le front ouest de la Grande Guerre, celle qui contamine aussi l'esprit et le quotidien de toute une société villageoise qui vit repliée dans l'espoir de retrouver les siens, dans la quête d'une hypothétique fluidité sociale qui caractérisait le milieu avant guerre.
 
Désillusion ? Très certainement. Le film nous brosse un portrait relativement fidèle de la société française du début XXe siècle - et c'est là sa seconde qualité, où les classes sociales s'entrechoquent (cf. audition du juge et de la "récupératrice" ), et dans lesquelles les différents groupes sociaux cultivent une phase de repli. C'est dans cette phase de crispation où les élites pratiquent ce qu'on appelle la défense du corps, et où chacun entretient désespérément son habitus (protection des traditions, de ses habitudes culturelles, sociales, Cf. Myerck) que les protagonistes s'isolent (le procureur) pour mieux fuir les nouvelles réalités sociales à venir (bouleversement social né de la guerre où les anciennes élites aristocratiques sont frappés durement).
 
Pour nous peindre de façon réaliste ce microcosme rural, le cinéaste a choisi une mise en scène académique où la caméra se fait douce et carressante, de manière à se pencher au plus près du vécu des différents acteurs. Rien ne serait efficace sans la direction exemplaire d'acteurs de talent : d'un côté, un procureur campé par un Jean-Pierre Marielle impérial, au personnage légèrement cambré (le poids du temps), reflétant tristesse et désarroi ; de l'autre, un magistrat inique et cynique, condescendant et détestable, interprété merveilleusement par Jacques Villeret. La photographie quant à elle, est en parfaite adéquation avec le point de vue ; elle sait se faire pluvieuse et brumeuse, tout en se étant très lumineuse sur les visages des acteurs, de sorte que la tête, l'esprit (la force des hommes) sont détachés pour mieux mettre en valeur ce qui importe dans cette histoire : le poids des mots.
 
De ce film fort et froid, on en retient un grand moment d'humanité, une étude pointilleuse du genre humain dans ses phases les plus extrêmes et contradictoires (de l'amour à la haine, de la violence à l'espoir) mais complémentaires, ces mêmes passages transitoires qui justifient le beau titre du roman de Philippe Claudel et du film de Yves Angelo.

 
Des fois je me demande si je cause français
 
Prodigy

en passant...
 
Gozu (2003)
 
Découvrir un film de Takashi Miike est toujours un plaisir - curieux, malsain (comme vous préfèrez) - tant le réalisateur est imprévisible et capable de tout. Il est intéressant à juste titre, car il demeure parmi les rares cinéastes notoires à s'aventurer dans des domaines insolites, dont il a lui seul le raison et le secret. On connaît le metteur en scène de l'ultra-violence (Ichi the Killer, Dead or Alive); avec Gozu, nous voici en présence d'un Miike "lynchien" qui nous raconte une histoire de yakusas dans une atmopshère lancinante, oscillant en permanence entre fascination et dégoût. Si le film est regorgé de surprises visuelles de taille (dont une ouverture et un final complètement déjantés), l'histoire manque néanmoins de tension dramatique. Comme à l'accoutumée chez le réalisateur nippon, le film a des problèmes de rythme; les longs plans-séquences qui s'enchaînent ont parfois fonction de somnifère. Si les acteurs sont convaincants et la photographie plutôt réussie (dans son caractère ocre), l'ensemble demeure plutôt inégal et laisse un arrière-goût de déception, voire de frustration quand on connaît les capacités de l'auteur. On en retiendra un film curieux, au climat envoûtant pour un public averti.
 

allongez vous et dites moi tout    
d'ou vient votre haine contre Disney© ?

a chier

a ce sujet je viens de voir Arsène LUPIN
liguons nous pour que Jean-Paul Salomé n'approche plus une caméra de sa vie  

 
Aucune haine contre Disney, perso...
 
Prodigy

the jacket c'est dommage que le scénar ai des gros trous sinon ca aurait été bien

Et des trous dans une veste c'est comme ça qu'on attrape froid
 
Prodigy

 
Mais non c'est pour passer les bras
Ca tombe bien il me fallait quelque chose pour descendre les poubelles.
 

http://www.resetmag.com/HTML/news.asp?InfoID=9585

Good news pour ma part, en espérant que le successeur me réconcilie avec l'agent secret de sa majesté.

 
 
c'est quoi une boite bien fondamentaliste ?    

a pas comprendre ta premiere reflexion    
ça fera quand même 80€ pour la scéance

a une époque Clive OWEN était sur les rangs pour le rôle
 
mais aux dernieres nouvelles il renonce au rôle
 

 
Bluff ? wait and see
 
EDIT, je reviens de la pêche aux nouvelles et le dernier poisson pour le rôle serait...
...
http://www.thespiannet.com/actors/ [...] ran/gv.jpg
 
Goran Visnjic
 
EDIT 2: les producteurs ont une liste de 4 noms
 
et dans la liste il y aurait "ça":

Henry Cavill, un poupon de 22 ans   un James Bond de 22 ans

Je le connais pas très bien mais vu son nom, il ne me semble pas tout à fait désigné pour avoir l'accent (corrigez-moi si je me trompe).

Mario t'y piges queud.
 
Le gus a joué dans plusieurs saisons d'ER et dans Hypnotic plus récemment.