Reprise du message précédent :

 
 
ce smiley la -->    c'est pas un smiley qui pleure hein..

La vie est belle
Philadelphia  

devant warrior seulement, c'est pas un film mais ca en a la qualite
 
sinon je me suis retenu en general (tombeau des lucioles...)

jamais mais j'ai du me retenir devant le tombeau des lucioles,la vie est belle aussi,et iti!

 
c'est plus exactement un smiley qui transpire (sweat)
 
: ' ( ou :'( attaché est celui qui pleure...
 
edit: je t'avoue qu'on s'en bat les couilles

 
Chui bien d'accord
 
Content que quelqu'un ait vu ce film ! (on parle bien du téléfilm anglais sur la guerre au Kosovo hein ? )
 
Prodigy

 
oui c'est bien ca :'(
il y a meme deux topics fait dessus

Tombeau des lucioles, Nell, Bienvenue à Gattaca, une version jap de la petite sirène qui finit mal...

tombeau des lucioles faut se retenir oui  

y'en a trop ...
 
- casablanca    
- exodus    
- la grande évasion    
- un monde parfait    
- jakob le menteur    
- la liste de schindler    
- nuit et brouillard    
- le dictateur    
- braveheart    
- légendes d'automne    
- the crow    
 
 
sinon "train de vie" aussi ... alors celui-là il est traître le bougre : on se fend la gueule pendant 1 heure 29, et à la dernière minute on prend un baffe dans la gueule ...
 
Par contre étrangement, certains films "larmoyants" m'ont plutôt fait bien rire, genre titanic  

 
Quand ils chantent la Marseillaise pour contrer le chant allemand :'( :'(
 
Prodigy

Taxi 1
Taxi 2
Taxi 3
Independance day

A noter qu'il s'agit d'une scène émouvante, mais pas "larmoyante"... et que notre nationalité française renforce probablement cet aspect. [cela dit, c'est aussi une métaphore de l'engagement progressif de l'Amérique]

 
C'est clair  

 
Et que la France représentait aussi une force de résistance, le choix de la Marseillaise n'est pas un hasard
 
Prodigy

Mais non, y'a rien à noter on parle ici d'émotion.
Les larmes n'ont pas besoin de caution, on ne planifie pas le moment où l'on va pleurer ni celui où on ne va pas le faire.
 
Tu ne dois pas pleurer souvent, ou alors seulement pour de grandes occasions qui en valent la peine ...
 
 
 
Lâche-toi un peu.

Enfin, je doute très fortement que le film ait pu être distribué dans la France de Vichy, hein...
 

Ca peut aussi s'obtenir par de grosses ficelles.
 

Et alors ? De quel droit veux-tu dicter sa conduite à une autre personne ?

 
Z'ont bien fait Le Corbeau
 
Prodigy

Oui mais bon...

Dans Chevalier quand William retrouve son pere.
Et aussi à la fin quand la foule l'acclame

C'est précisément ce que je te reproche, d'ailleurs tu en remets une couche avec ton "Ca peut aussi s'obtenir par de grosses ficelles". Et alors ?
 
Ce que je tente de dire c'est qu'on a pas a juger les larmes ni l'émotion qui les provoque ... sous prétexte qu'on ne ressent pas la même chose.
 
Le topic s'appelle "Avez vous déja pleuré devant un film ?" et si tu regardes bien, tu verras que la grande majorité des posts ne porte aucun jugement, ne contient aucune analyse, ce sont simplement des témoignages.  
 
Si quelqu'un pleure devant "la petite maison devant la prairie" ses larmes n'ont pas à être jugées. D'ailleurs la cause apparente a souvent peu de rapport avec la cause réelle (le facteur déclenchant), c'est la résonnance qu'ont certains évènements en nous qui provoque les larmes, voilà pourquoi il n'est pas utilise d'analyser la "cause apparente" tel ou tel film, puisque chacun, en fonction de son vécu, de sa sensibilité, du moment, le vivra différemment.

Même que des fois je pleure à la fin d'un film ou je suis ému et je sais même pas pkoi (genre Mulholland Drive)
 
Prodigy

Bah voilà ...
 
On pleure d'abord et on analyse après (facultatif).
 
De toutes façons si on analyse avant, on ne pleure pas en principe ...

danse avec les loups

et cercle des poete disparu

J'effectue un constat, et je ne les empêche pas de pleurer. (à noter, il me semble, que certains ont écrit que si on ne pleurait pas, on était un être froid et insensible, etc... peut-être pas sur ce topic, mais ce n'est pas la première fois que le sujet est abordé).
 
Et j'ai souvent trouvé des films "larmoyants" à grosses ficelles dans les listes de "meilleurs films".
 

Par "grande majorité", tu sous-entends l'existence d'une minorité.
 

Je constate cependant que certaines ficelles marchent très bien. Et qu'en fin de compte, les émotions sont parfois obtenues assez mécaniquement. Cela n'exclut pas des cas où il n'y a pas de "mécanique", mais il me semble que les businessmen gérant les studios ont très vite compris l'intérêt de faire pleurer le public et comment y parvenir sans trop de mal, et qu'ils ne s'en sont pas privés.

On peut analyser pendant, aussi.

Et alors(²) ?  
 
J'ai très bien compris ce que tu voulais dire et ne le nie pas, je dis simplement que ce n'est pas une raison pour s'empêcher de pleurer lorsqu'on en a envie et encore moins pour juger les larmes des autres(²).  
 
Et puis si on ne pleure pas, tant pis.

 
Le terme grosses ficelles me gêne un peu. Ca n'est pas passk'un film est émouvant pour le plus grand nombre que c'est forcément des "grosses ficelles". Ou ça n'est pas passke c apparent pour toi que ce sont aussi des grosses ficelles. Bien sûr certains films versent dans le pathos pur, et cherchent par tous les moyens de provoquer la larme. Mais ce qui ne te touche pas (on parle d'un film normal, là) peut toucher quelqu'un d'autre, est-ce que pour autant c'est roublard, etc ? Lars Von Trier est-il un "génie" dans Dancing in the Dark, encensé par une partie de la critique, alors que les mêmes attaquaient Titanic, qui use des mêmes ressorts mélodramatiques ?  
 
C'est difficile de juger quelque chose d'aussi subjectif et personnel que l'émotion ressentie devant un film, une oeuvre d'art, en écoutant un morceau de musique, etc. Je pleure en écoutant le Requiem de Mozart, cela veut-il dire qu'il utilise des grosses ficelles ?
 
Et puis parfois tu est touché par un film à la première vision (condition psychique, contexte, tout ça joue), pour mieux détermimner au bout de plusieurs visions les 'trucs' parfois grossiers qui t'ont fait pleurer, et que tu n'avais pas vu au début. Mais encore une fois, sont-ce des grosses ficelles pour autant ?  
 
Bref
 
Prodigy

Non, c'est incompatible ...
 
Il y a un moment où il faut s'abandonner à l'émotion, mais tout le monde n'en est pas capable.

 
Ca dépend de ton humeur au moment X, quand même, et du film, aussi
 
Prodigy

Là, je parlais de façon générale.
 
On ne peut pas être dans l'émotion et au même moment prendre du recul sur cette même émotion. Enfin, on peut choisir de le faire mais l'émotion va avoir tendance à s'effacer au profit de la réflexion. Ce que je trouve dommage.

Certes. Mais bon, gros violons + manichéisme + "c'est trop injuste", ça me semble assez gratiné, surtout dans un cas comme The Green Mile.
 

D'accord, et c'est de ça que je parlais. Des cas où un nombre assez important de "méthodes" est employé, ce qui ne laisse plus de doute sur les intentions du réalisateur.
 

Si c'est exagéré, oui, c'est roublard. Si c'est sincère et ne semble pas relever du "Comment faire pleurer dans les chaumières en 10 leçons", OK.
 

Sur ce point de vue, je descends les deux.
 
J'aurais même plus tendance à descendre davantage Dancer in the Dark, qui utilise l'acharnement thérapeuthique sur son héroïne (ça aussi, c'est une méthode : la loi de Murphy poussée à son extrême, ou comment, dans une situation donnée, ce sera forcément le pire cas qui surviendra), ce que Cameron ne fait pas.
 

La musique, c'est quand même plus abstrait que le cinoche.
 

Si c'est grossier et utilisé avec la finesse d'un marteau-piqueur, oui. Et ça me fera descendre le film.

Là, c'est plutôt au niveau du bas ventre et de l'entrejambe qu'elle se trouve, l'émotion.
 
Désolé.

 
Nous sommes bien d'accords (dans le cas de la Ligne Verte). C d'autant plus bizarre que Darabont était plutôt sobre dans Les Evadés
 

 
Par exemple la nana qui devient aveugle et qui est injustement condamnée à mort ?
 

 
Là je suis plus partagé : qui te dit que ce que tu trouves roublard et "gros" ne va pas passer pour sobre et retenu chez quelqu'un d'autre... C là où c'est particulièrement difficile.
 

 
Bien
 

 
D'où la difficulté de juger, et pour moi c pareil au ciné
 
Moi la fin de Vol au dessus d'un nid de coucou m'émeut beaucoup, je tombe sur un gars qui la trouve bien mais pas du tout émouvante, je lui dis koi ? Coeur de pierre ? Je me fais avoir par les "ficelles" du film ?  
 
Subjectif
 
Prodigy

Ca a déjà été cité comme film mais quelqu'un ira-t-il dire que "Sam, I am Sam" c'est pas des ficelles ?
Ca me semble quand même clair.

 
Moi c'etait de douleur apres m'etre pris un coup de boule...
La derniere fois que je ferais louer un DVD d'un film dont j'ai eu de bons echos sur le forum

Par exemple.
 

Fond + forme, et contexte (et donc, le nombre de méthodes employées). Un plan sur un visage en larmes, ça passe, si le reste du film est sobre, et que le thème du film va au-delà de la simple crise de larmes. Si on en a quarante, avec des violons tristes, du manichéisme à ras bord et de l'archarnement thérapeuthique, j'appellerai ça une grosse ficelle.
 

Je juge quand ça saute vraiment aux yeux... quand c'est "limite", j'ai plutôt tendance à chercher des excuses.
 

S'il la trouve "bien", il n'y a pas de grosses ficelles.
 

Oui, dans certains cas. J'étais ému en voyant le ballet spatial de 2001 : A Space Odyssey, pourtant que je crois pas que le but était d'émouvoir le public.

 
Heing ?    
 
Prodigy

 
Qui sait ? on peut s'attendre à tout avec ce gaillard de Stanley