Reprise du message précédent :

 
oui c vrai c mieux comme ça !

Il y a aussi cette variante :
 
Je suis allé  
Au supermarché
J'ai acheté
Un steack haché
Je l'ai mangé  
L'était périmé !!!
ça veut dire que j'ai grave chié  
Comme un pd !
Cette journée aux wc
M'en souviendrai...

Trop facile les rimes en "é" !  

 
Si la critique vous est aisée
A la pratique êtes vous prêt ?
 

 
Peut-être, peut-être... , faudrait que je trouve ça dans mes papiers...
 
EDIT
Mettons que ma signature fera office de poème...  

Pas des poemes mais des textes écrite par un amie afin detre mis en images : http://jimpi.free.fr/Graph/Esprit  
 
je ne vous demande pas des commentaires sur les images (ceci nest pas votre role) mais sur les textes    
 
merci  

Pour moi, le lien ne marche pas...  

 
Oups dsl
http://jimpi.free.fr/graph/Esprit/

je suis tombé sur ce topic avec une ptite recherche, désolé j'ai pas lu le début. Voila ma participation sans prétention, j'ai écrit ca hier soir:  
 
Une journée pas comme les autres
 
Le soleil allait bientot se lever,  
et j'ai décidé enfin de t' embrasser,
En comptant sur ta grande volonté.
 
Aprés ce premier baiser échangé,
Au tout début de l' été,  
Mon coeur s'est mis à battre fort et à réver.
 
Comme dans une vie trop rapidement changée,
Avec un sourrire d' ange, mes yeux étaient émoustillés,
Une si belle journée allait commencé.
 
Ensuite, j'ai du attendre toute la journée,
Plongé entre beaucoup de mes idées et mes secrets,
Une femme, belle et fantasmée.
 
Et puis, commencait une nuit enchantée,  
Dont les sentiments fleurrissaient,  
Tout comme les roses au printemps, quelle beauté!

up pour un trés bon topic  

y'avait des trucs qui me chiffonnaient donc je me suis permis d'en faire une nouvelle version  
 

vla le mien :
christelle tu es belle  
comme un sac poubelle
et tu as reçu
un coup de pelle  
dans le cul
 
 

une fois dans le métro j'ai entendu un gars qui récitait un truc de Verlaine c'était super, ct du genre "ah qu'elle était douce et gentille" ou un truc comme ça, il récitait ça d'une voix un peu pathétique mais puissante ct véritablement déclamé, c sûr que si je réécoutais ça je ferais pas le fier y'avait de quoi chialer, d'ailleurs je me demande si à la fin de "Trois hommes et un couffin" (Coline Serreau, 1984), quand on voit un gars chanter dehors sur un orgue de Barbarie et que l'autre entendant ça se met à renifler lamentablement, ct pas la même chose, en tous cas ct du même genre : dans le film de Serreau c'était "elle était toute blanche" et je sais plus quoi après. Enfin bref : si quelqu'un pouvait me retrouver ce poème de Verlaine (certes les indices sont maigres ), ce serait

Oh ciel gris d'octobre,
Feuilles roussies agitées au vent,
De ta grisaille tu enrobes,
Haut dans les arbres dansants.
 
Et furtivement dans le lointain,
Se dessinent les tristes robes,
Des accacias secs et gris
Hauts dans ce ciel gris d'octobre.
 
 
 
...heu cé clair par chez moi il fait moche aujourd'hui...  
Z'en pensez koi?
 

Au commencement tout lui sourait
Jolie brune aux yeux verts avec un corps presque parfait
Brillante dans ses études, irréprochable en amour
Un amour, l'amour de ses parents, grandissait chaque jour
 
Mais un jour tout a basculé, le bonheur s'est enfui
Un beau matin d'hiver, sa mère a perdu la vie
"Si j'avais pu", se disait-elle
"Profiter de ces beaux instants
Pour aimer plus que de raison celle qu'elle croyais eternelle"
 
La vie est une chienne, aux allures d'hirondelle
La chance une illusion et le monde une vaste poubelle...
Le jour elle s'enfermait, le soir elle déprimait
Son père absent, la main tremblante, le regard alcolisé.
 
Sa femme était devenue une photo épinglée sur un mur
Une étoile s'est éteinte, laissant une trainée obscure
Sa fille ne comptait plus, il voulait juste oublier
La vie ne valait plus rien, à quoi bon continuer...
 
Ignoble destinée, doux sourires effacés
Son quotidien était une lame qui effleurait ses poignets
Le présent est un enfer, l'avenir a le gout du passé
Le calin du malin, laissant des cicatrices et des plaies
 
Plus d'amis plus de famille, tant pis elle mourrait seule
Au bout d'un mois de torture, un premier pied dans le cercueil
Une lettre pour son père, pour cloturer le drame
Un dernier coup de lame, accompagné de larmes...
 
Le sang remplit son coeur, sa vie fut terminée
Voila comment finit un destin, qui paraissait tracé
Témoins de ce mal, le regard des passants
Ces sourires qui s'affaissent, dévoilent notre faiblesse
 
Plus de foi en le bonheur, un monde remplit de perdants
Fin de nos espoirs, il n'y a plus rien à faire
Restons assis, en regardant le monde, devenir, un enfer.
 
 
 
Je sais pas si c'est réellement de la poésie, car je n'ai pas prété attention ni aux nombre de syllabes, ni à la valeur de certaines de mes rimes.... C'est sorti comme ca.
 
De plus, c'est une chanson. Mais je pense que ca vaut le coup d'etre lu.

C'est un topic tombé au fond d'un puits ??

voilà ma contribution, en vers libres../
 
hissez-haut feuillus de ma contrée,
vos étendards d'émeraude
et montrez nous au détour de l'hiver
sur vos bras noueux un signe de vitalité
 
laisser nous, humer dans vos sous-bois
l'encens de votre candeur,
et percevoir dans une joie sourde
l'écho de votre renaissance
 
timides âmes, distraits rejetons
malheureux, rejetés aux fonds des bois
vivez cachés !
dans l'attente de ce temps loitain
où la nature vous restituera
votre parure et votre dignité
 
 
 

Le métro parisien
L'âme de Paris
 
Temple de l'anonymat où toutes les vies se croisent
 
Chaque voyageur est un poète
Chaque voyageur en regardant les autres
Refait leur vie
Comme Baudelaire et sa pauvre vieille femme
 
L'autre jour j'y ai vu deux hommes
Un vieux un jeune
Qui se parlaient
Comme Socrate et un disciple
Et j'ai refait leur vie
Le métro avançait
C'était la ligne 13 une ligne
Qui coupe Paris en deux
Est-Ouest
Et j'ai refait leur vie
 
Où est l'araignée
Aujourd'hui j'irai à Montmartre car j'y veux voir Paris
J'y veux voir
Le Paris d'en haut
Le faux Paris
Le Paris des touristes
Je regarde le plan du métro
C'est une toile
Où est l'araignée
 
J'allais ce jour-là à Montparnasse-Bienvenüe
Nous passions par Plaisance et par Gaîté
Les stations de métro ont des noms si plaisants
Qu'ils donnent envie de s'y arrêter
 
J'avais envie de leur parler
Mais je n'avais rien à leur dire
J'aurais dû leur parler
Le métro déjà s'arrêtait
A Montparnasse-Bienvenüe
Bienvenue à Montparnasse
 
Où est l'araignée
 
Aujourd'hui j'irai à Montmartre
Je prendrai encore la ligne 13
Mais où est l'araignée
Je passerai par Montparnasse
Je ne m'y arrêterai pas
Mais mes deux bonshommes n'y seront plus
 
Bienvenue à Montparnasse
Tes couloirs sont un labyrinthe
Sans les gens sans les panneaux je crois bien que j'y mourrais
Tes couloirs sont un labyrinthe
Oh que j'aime ces couloirs
C'est l'âme de Paris
Des gens s'y croisent qui ne se croisent jamais
Dans ces lieux la solitude prend une autre saveur
Elle s'ouvre
Elle s'orne de gloire
 
Où est l'araignée
 
Me voilà
En route pour Montmartre en passant par Saint-Lazare
Les stations où s'arrête le métro se ressemblent toutes
Comme les gens si on les regarde de près ou de loin
Il n'y a que les noms qui changent
Quel prophète les a inventé
Quelle divinité chantent-ils
Où est l'araignée
 
Comme Blaise je suis fort mauvais poète
Mais je sens mais je sais
Qu'il y a de la poésie dans ces lieux
Elle est partout elle est
Dans les publicités
Dans la folie des architectes
Elle est partout
Dis Blaise sommes-nous bien loin de Montmartre
 
Montmartre approche Montmartre est là
Je descends à Anvers il pleut un peu dehors
 
Je me dis que dans le métro il pleut toute l'année
Le métro a la couleur des jours de pluie
 
Et maintenant je suis sur la butte
Avec les Allemands les Anglais les Japonais
Je ne comprends pas ce qu'ils disent ils ont l'air heureux
Je regarde Paris le faux Paris
J'ai envie de leur dire mais c'est en bas qu'il faut prendre vos photos
Mais ils ne comprendraient pas ils ne m'écouteraient pas
Il faut prendre vos photos dans le métro
A Montparnasse-Bienvenüe
Photographier ces couloirs qui rendent fous
Photographier ces gens qui passent ces fantômes
Et de retour chez vous refaire leur vie
Mais ils ne comprendraient pas ils me prendraient pour un fou
 
Et d'ailleurs ils auraient raison
L'araignée m'a rendu fou depuis longtemps
Elle est dans ma tête l'araignée
Elle est dans ma tête et dans la tête de tous ceux qui voient de la beauté dans le métro
Elle est dans ma tête et n'en sortira plus

Il est perdu le topik légendaire Poésie à 2 balles ? Il n'a pas survécu à blabla ?

L'amour est un bout d'chemin
Que l'on fait main dans la main.
Que sont ces quelques engueulades  
Lors de notre petite balade ?
 
Allons donc nous promener
Là où personne n'est allé
Des endroits insoupçonnés
Un amour qui fait rêver.
 
Alors arretons nous ici,
Un petit bout de paradis.
Si la passion nous ennivre,
Nous pourrions bien y vivre...
 
 
 
Beurk j ai perdu la main !
Faut que je m y remette...

L'amour est un sortilège dont je suis le jouet,
Un pouvoir si puissant qu'il m'a ensorcelé.
Dans tes bras mon esprit semble s'envoler,
Vers des contrées jusqu'alors insoupsonnées.
 
 
Je t'aime de tout mon corps de toute mon âme,
De tout mon être, je suis cette ardente flamme,
Qui brûle pour toi, ne l'oublie pas.
Fragile, j'espère que pour toujours elle sera.
 
Dans tes bras j'ai senti mon coeur s'emballer,
Tu m'as donné plus que ce que j'avais imaginé.
Je t'aime de cet amour sans détours
Celui qui n'attend rien en retour.
 
Serre moi contre toi, je ne veux pas te quitter.
L'amour est ma prison, tu m'as emprisonné.
Je ferai tout pour t'entendre vibrer,
Sentir ton coeur battre, l'entendre s'emballer.

La Mort
 
Tel un guide vers l'autre monde  
Lorsque tout près son appel gronde  
 
Les âmes fauchées s'en vont lentement  
Au dela des cieux pour le grand jugement  
 
Habillée de son grand manteau noir  
Sa faux brillante tel un mirroir  
 
Quoi que l'on fasse le destin est plus fort  
La dernière fois que l'on s'endort  
 
Elle fauche, elle fauche toujours plus fort  
Car grand est son pouvoir, la Mort.

Mouais.. En voyant nos "oeuvres", Baudelaire, Apollinaire et les autres ont de quoi se retourner dans leur tombe..

Si Baudelaire, Apollinaire et les autres avaient raisonné comme ça dans leur jeunesse, ils ne seraient jamais devenus ce qu'ils sont.

Je trouve ce topic plutot interessant, puisqu'il permet à tout le monde de montrer sa poésie. Mais encore faudrait-il que tout le monde la lise, et ne pense pas uniquement qu'à poser son texte. Enfin...

 
En fait je pense qu'il vaut mieux exposer ce genre d'oeuvre (pour peu qu'on estime qu'elle le mérite) à ses amis plutôt qu'aux inconnus de blabla.

 
Après l'avoir montré à ses amis, pourquoi ne pas partager ces "oeuvres" avec des gens capables de l'apprecier, meme si ce sont des gens de blabla (avec tout le respect qui leur est du...) ?

ben si vous trouvez que le lieu compte
je peux vous proposer un forum sur les arts http://www.savarts.com
 
je vous mets aussi un des miens
pas souvent  de rimes j'ai jamais aimé ça mais des fois quand même mais je travaille plus sur la rythmique chacun son style
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Que des Larmes
 
Je n'ai que des larmes sur mes doigts mouillés
Qui tombent de charme dans ton décolleté
Je n?ai que des larmes
Je n?ai que des larmes
 
Parmi vous je ne suis jamais
Qu?un ange bien niais
Qui brille sans briller
Je n?ai plus d?ailes je les ai brûlées
 
Sur ton sein mouillé un souffle de soie
Que couvre à peine l?ombre de mes doigts
Ton mont de Vénus me rendra heureux
Si tes lèvres closes accèdent à mes v?ux
 
Je n'ai que des larmes sur mes doigts mouillés
Qui tombent de charme dans ton décolleté
Je n?ai que des larmes
Je n?ai que des larmes
 
Car vois tu ma Dame si j?ai tant pleuré
Et que je me retrouve à tes pieds
C?est que je supporte plus ces voleurs
Qui me prennent tes doux baisers
 
Je veux pouvoir t?aimer sans jamais cesser
Des heures à brûler dans les ombres de ton lit
Chevaucher les ondes bruissantes de nos sangs
Et ne finir que par des cris de plaisir hurlants.
 
Sur ton sein mouillé un souffle de soie
Que couvre à peine l?ombre de mes doigts
Ton mont de Vénus me rendra heureux
Si tes lèvres closes accèdent à mes v?ux
 
Je n'ai que des larmes sur mes doigts mouillés
Qui tombent de charme dans ton décolleté
Je n?ai que des larmes
Je n?ai que des larmes
 
 
Pant 2003-12-10

soyez gainsbarrrr c'est plus vivant

etre soi c'est deja assez difficile
alors meme si on vise haut
je serai jamais gainsbourg meme pas le quart de la moitié du dizieme de son talent des mauvais jours

un tit écrit pour une de mes séries pas gai du tout cause humeur et sujet de l'histoire :
 
Des larmes de sang qui trainent sans cesse
But my heart boom
S'il peine hurlant des hauteurs  
Les âmes de tout mes saigneurs sans chaines
But my heart boom
 
Limaces collants les arthropodes débilités par le temps
Onéreuses détresses d'un stress qui se cache à lui même
Sans cesse je cherche un baiser qui couvrira ma faim
But my heart boom
 
Tu étais la femme princesse qui tentait mes nuits
Tendresse mêlait son rêve à l'envie
Cheveux d'elfe qui volaient dans le vent de la lune
But my heart boom
 
La guerre toujours les armes les bombes les morts
Et l'envie de crever vagabonde
Défendre son pays comme une détresse
Un besoin de sang pour tracer le mot liberté
Pas assez de sang je ne trouverai de toute façon
Dans mes veines tout est vain et je bois sans raison
Ivre de haine je dérive à la tentation
Liberté à écrire alors que c'est amour que j'ai enfoui en moi
But my heart boom
But my heart boom
 
pant 2003

Je viens de retomber dessus (je crois l'avoir écris début 1993)
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Ode au polochon
 
Seul sur ma couche, à l'heure où le sommeil appelle,
Transi sous la lourde courtepointe, et perclus;
Rampe et vient à moi, mystérieux et abstrus,
L'oblong paquet gangué que l'étoffe, annelle.
 
Et s'émacie la forme ventrue chaque nuit
En un être sylphe, tant charnu que lippu,
Qui se presse lascif et me trouve résolu.
Licite incartade, tandis que la lune luit.
 
Aussi, la plume se révèle, et trépide
Lorsque mon corps membru, d'un estoc pubescent
Apaise les affres, sous l'astre opalescent.
 
Confiné dans la moiteur, le suint fétide,
De ma thébaïde expurgé, je te bénie
Replet polochon, l'atrabile tu lénifies !

Le Futur m'attirait d'une force infinie,
le Passé était Présent pour me faire revenir sur terre:  
que c'était dur de trouver l'équilibre !
Mais maintenant que j'ai une idée de la lumière
Je suis Libre !
 
Entre le regret et la satisfaction J'étais cloisonné
quand l'un surpassait l'autre, le Désespoir était là pour me le rappeler
Maintenant que j'ai trouvé le juste milieu
Tout tend vers le mieux
 
Lis dans et entre les mots et tu trouveras aussi la voie...
Et si tu t'en fais une idée tranmsets-la !

 
Bravo ! A part quelques erreurs dans la versification c'est joliment fait ! (Maintenant euh, consacrer ton talent à des oeuvres un peu plus ambitieuses qu'un polochon me paraît plus souhaitable mais tu fais comme tu veux )

Bon en fait c'est une chanson.
 
dans cette nuit sans étoiles
terré de peur comme un animal
qui cherche en vain à te plaire
mais qui ne sait guère comment faire
je voudrais croire en ma bonne étoile
et à la façon de ne plus te faire de mal
je n'arrive plus à me souvenir
du jour où tu as décidé de fuir
 
ce matin le même cirque recommence
tu voudrais savoir où va ma préférence
entre la flèche et le canon
pour en finir avec moi pour de bon
mais je ne te donnerai pas ce plaisir
car on vit une époque formidable ma chérie !
et je veux en jouir à n'en plus finir
avant que la source ne soit tarie
 
je n'ai pas quitté ces yeux là
ho j'y suis à jamais resté fidèle
en alerte un seul claquement de doigts
comme un chien qui veut qu'on l'appelle
mais je sens sur toi plus d'un parfum
de ces hommes qui de ton lit
ont tous pris le chemin
de ceux qui sont devenus tes parasites
je me demande bien
pour qui tu existes
 
Quelle jeunesse

J'ai mangé de la bidoche
Elle puait c'était moche.
Pourtant j'avais vachement faim
Mais là c'était pas malin.
C'était dans un restau à Répu :
Je suis sorti de là pas repu.
Ah qu'il est vilain de se faire arnaquer
Quand tout content on s'en va bouffer.

 
Il est toujours agréable de lire un commentaire flatteur. Seulement, le talent n'est à mon sens pas la chose la mieux partagée et j'en réclamerais bien volontiers davantage

tiens zou allez hop, un vieux "poème" par vraiment en ver et sans rime que j'avais écrit vers 17 ans ( vache, y a 10 ans maintenant !!!! )
 
Le petit garçon s?approcha de l?Ange,
Qui pleurait et riait à la fois.
 
Il lui demanda : ?Oh bel Archange,
Votre visage est plein de larmes, pourquoi cela ??
? Parce que le monde est triste .?
Et il expliqua :
 
? Regarde autour se toi,
Observe le ciel, et tu verras le gris,
Les hommes ont peur d?attendre
Et essaient de tuer le temps,
Le monde est fait de murs
Tristes et nus, sans lumière.
N?as tu jamais vu la douleur dans ces regards
Attirés vers l?infini ?
Ils veulent briser l?échéance,
Espérant que jamais les choses n?atteignent la fin ;
Le monde est fait de faux,
De parodies et d?illusions,
Il se ment à lui même
Et fini par se croire vrai,
La création de son imagination.?
 
L?enfant alors lui répondit :
? Mais alors pourquoi tu ris ? ?  
 
?Parce que la vie est belle,
Chaque instant passé est pour moi
Un instant gagné.
Je savoure chaque seconde  
De l?expérience qu?elle m?apporte,
La vie me permet d?apprendre et de connaître,
D?aider ceux qui en ont besoin ;
J?apprécie chaque jour
De pouvoir regarder autour de moi,
J?aime écouter, et j?aime aimer.?
 
Après avoir réfléchi quelques instants,
Vinrent alors ces quelques mots de l?enfant :
? Mais toi tu n?es pas vraiment un Ange ;
Tu l?es parce que tu veux aider,
Parce que tu veux aimer,
Mais tu ne le seras jamais
Car tu as besoin qu?on t?aide,
Car tu as besoin qu?on t?aime.?

Jolie voix au téléphone
Physique à faire l'aumône
 
 
C'était ma contribution aprés une énorme déception.

« Lettre à . »  
 
Voila vous avez certainement rejoint Morphée au pays des rêves. Je donnerais n'importe quoi pour veiller sur votre sommeil. Attendre paisiblement à vos côtés le lever du jour, en ayant toute une nuit pour vous admirer, pour succomber à la douceur de votre visage, une nuit pour vous dire merci de vos sourires, une nuit pour envier l'homme de vos rêves, une nuit pour vous souhaiter de le rencontrer un jour... Si dans le futur j'ai l'immense chance de vivre un jour cette nuit féerique, je vous l'avoue, Seigneur, après j'aurais presque envie de croire en vous.  
Mon but n'est pas que tu tombes amoureuse de moi. Au fond de moi, je n'éprouve pas de plaisir plus grand que d'initier chez toi les prémices d'un rire, une envie profonde et irrésistible de vouloir te protéger, d'être votre éternel abonné, savoir se faire petit, voire invisible, quand sa princesse trouvera son prince.  
Quel plaisir de sentir son coeur battre comme un adolescent, de se rendre compte qu'à 20 ans on a encore le coeur d'un enfant, je pensais avoir perdu cette sensation, d'avoir la triste impression d'être devenu un adulte et d'aimer comme tel, avec de la passion mais surtout avec beaucoup de raison.  
Merci d'avoir donné une définition à tous ces mots : douceur, raffinement, élégance, charme, gentillesse...  
Vous avez un don, celui de provoquer le bonheur, merci de l'avoir utilisé à mes dépends. Je profite aveuglement de cet instant présent, égoïstement peut être..  
Si vous saviez comme je pense à vous, je ne vous veux que du bonheur mais je ne pense pas avoir votre don. Au plus profond de mon être, je n'éprouve que l'envie, celle de vous rendre heureuse.  
Ce texte peut vous paraître d'un romantisme assez désuet et je ne peux qu'acquiescer d'un signe de la tête mais pour ma défense, sachez qu'il est fruit d'une admiration débordante et sans limite pour la plus belle des princesses.  
A travers ces mots, c'est mon coeur qui parle, qui exprime ses sentiments, ni voyez aucune demande, comprenez par là qu'il vous remercie de ne plus être un volcan éteint.  
 
 
Merci  
Laurent  
 
« Quoique je fasses,  
Où que je sois  
Rien ne t'efface,  
Je pense a toi. »  
JJ-Goldman : Pas toi  
 
« Moi, je t'offrirais des perles de pluies venues de pays où il ne pleut pas.  
Je ferais un domaine où l'amour sera roi, où l'amour sera loi, où tu seras reine. »  
Brel : Ne me quitte pas  
 
« Je n'ai pas fait grand-chose dans ma vie  
A vrai dire une petite vie comme tout le monde  
Mais un jour j'ai rencontré ....ie  
Et par la même occasion la 8ème merveille du monde. »  
Laurent : Lettre à .  
 
 
Ps1 : C'était la touche poésie du site, c'est de moi et ceux qui critique, je vous merde.lol  
Ps2 : Ce texte peut vous servir à condition que votre copine aie un prénom qui termine en « ie »  
Ps3 : A posteriori ce poème marche, comprenne qui pourra. :-)  
Ps4 : Quelques mois plus tard, je lui en ai écrit un autre lorsqu'elle m'a quitté :  
 
« T'en va pas Ginette  
Où je t'éclate la tête  
Je sais que la vie est dure  
Raclure  
Mais qu'est ce que tu veux que j'y fasse  
Poufiasse  
Allez on fait la paix, reviens  
Boudin »