Mon âme égarée
" Paradis ! Non...
  Enfer ! Non...
 Rien de tout cela.
Les gens parlent sans savoir, mais ça les rassure de se dire qu'il y a un paradis après la mort. Ou dois-je dire après la vie ? Je ne sais pas.
Je suis un être de lumière , un guide , un ange ...  Tout dépend de ce que vous ressentirez en découvrant mon histoire.
Mon nom est Stewart Green, du moins avant! Vous allez me demander avant quoi? Je vais vous le dire... "
 
25 juin 2000, Stewart 15 ans est en vélo et rentre du lycée pour aller chez ses grands-parents avec qui il doit manger. Il est joyeux, il siffle sa chanson préférée, une chanson qui parle des montagnes. Cette chanson, c'est son grand-père qui lui a appris, un brave homme fier de son petit fils, ce petit jeune  dynamique et qui s'accroche dans une pèriode qui n'est pas facile à traverser pour tout adolescent!
" Je me permet de vous interrompre! Il faut que je vous parle de mon grand-père. Cette homme à donner sa vie pour toute sa famille, il vient d'une famille pauvre émigrée d'Espagne, il a travaillé toute sa vie pour gagner suffisament d'argent pour nourir sa mère, son frère et ses deux soeurs. C'est le patriarche, il est respecté de tous, famille, amis, gens du village... Mon papi, je suis tout pour lui, il est toute ma vie, même au-delà ... "
Alors que Stewart pédales à toute allure, dans le dernier virage précédent la rue de sa destination, une voiture roulant vite, très vite, percute le jeune ado de plein fer... Le choc est violent, à tel point que les gens sortent de leur maison ayant eu l'impression d'avoir entendu un coup de canon. Les grincements des pneus de la voiture font échos à travers le village. Le conducteur, d'une quarantaine d'année, ne bouge pas de son véhicule à l'arrêt. Il est inerte, ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Des larmes coules sur ses grosses joues. Stewart est à plus de 20 mètres de son vélo, ce qui témoigne de la violence de l'accident. Il est allongé, inconscient, du sang recouvre son corps, son visage n'est pas reconnaissable.  Un homme se précipite sur la victime afin de lui porter secours, mais il n'y a aucune réaction.  
Chez les Green, personne ne se doute de se qu'il lui est arrivé, mais l'inquiétude est grandissante, Stewart à plus d'une heure de retard. Tout à coup, le téléphone sonne, c'est l'hopital, mauvaise nouvelle Stewart est dans le coma ! Des cris, des larmes, la douleur de ses grand-parents est immense, le ciel vient de leur tombé sur la tête...  
"Ceci était un petit résumé, car la véritable histoire commence maintenant, et c'est moi qui vais vous la raconter.  
Et oui, c'est une épreuve difficile que de perdre un être cher, enfin presque...
Je ne suis pas mort, je suis endormi !
Etre dans le coma, c'est la plus belle chose qu'il me soit arrivé. Là, vous en déduisé que je m en suis sorti? Pas sûr...
La plus belle chose qui me soit arrivé, tout simplement parce que c'est à partir de cet instant que ma vie est vraiment devenu une vie. Je pensais etre dans un rêve, il n'en fut rien!  
Tout commence quand je suis à l'hopital. Une lumière, oui une lumière... Ma vision est trouble. Je vois le fameux tunnel, couloir, appelez ça comme vous voulez... Je me sens bien, je suis certainement au paradis, ce qui veut dire que je suis mort; mais ce n'est pas grave, je me sens bien, même très bien ! Puis ma vue reviens, ce n'est pas une lumière, mais il y a du blanc, au fur et à mesure je me rend compte que je me trouve au milieu de la chambre d'hopital. Je me rappel parfaitement de ce qu'il m 'est arrivé, comme si c'était un cauchemar et que je venais de me réveiller. En regardant autour de moi je pose un temps d'arrêt, je ne dis pas un mot pendant une minute, il me faut un petit moment pour me remettre de ce qu'il y a devant. En face de moi, se trouve...moi ! Je me vois étendu sur un lit, des tuyaux partout, un appareil montre les battements de mon coeur, je ne suis donc pas mort. Mon corps souffre mais mon âme est bien là, je me sens en pleine forme et je découvre la vie sans mon corps! C'est magique... Je me sens léger, et j arrive même à voler,il suffit de sauter légèrement et c'est un peu comme dans l'espace même si je n'y suis jamais allé, j'ai vu ça à la télé, une sensation incroyable. Je n'ai qu'une chose en tête, c'est de profiter de se nouveau pouvoir que je semble posséder.Je veux sortir de cette chambre et aller découvrir le monde. Mais avant rappellez vous ce que je vous ai dis au début. Mon nom étais Stewart Green, désormais je m'appelle l'ange blanc! C'est le nom que je me suis donné à mon âme...

Tu ne veux pas poster la fin, plutôt ? Ca changerait un peu...

Les hybrides d'Amsterdam sont un véritable danger pour la santé mentale des jeunes.

Trop de fautes (et pourtant je suis pas chiant à ce niveau), ça donne pas envie. désolé

J'ai lu 6 lignes et c'était à chier. Mais qui sait, peut-être que ça devient un putain de chef-d'oeuvre juste après, hein.
 
edit : en fait, non.

Bon ce qu'on peut retenir de cette introduction c'est "entre la vie et la mort c'est trop kikoolol". Bien. On a eu droit à la lumière, à l'effet "chéri je passe sous un tunnel", à la désincarnation, comme si le sujet n'avait pas été maintes fois rabâché non seulement dans des livres destinés aux gogos épris d' ésotérisme mais également sur des pages web tenues par d'interlopes gourous tantriques aussi fumantes que les vertus du bracelet Power Balance ou encore la théorie de la Terre creuse.
 
Si le sujet est à chier manque cruellement d'originalité, au moins que le style ne nous laisse pas sur notre faim, seulement voilà : ici, nulle trace d'une quelconque patte qui permettrait de transformer un trip pseudo-métaphysique réchauffé en début de roman digeste et plaisant à lire. Nada, que dalle, peau de zob. Avec en prime des points d'exclamation partout, comme si tout ce que tu nous narrait était vachement étonnant ou inédit.
 
Bref, le style si on n'en voit pas poindre le museau dès l'accroche, c'est la zapette direct. Et là fatalement, on zappe.

Que de fautes... c'est moche
Et la ponctuation est très mal utilisée. Sinon même avis que mouaiff, ça dure à peine 15lignes et pourtant on les subit.

Personnellement je n'aime pas vraiment  ton roman, c'est surtout la façon dans tu le raconte que  je n'aime pas. Mais si tu le raconte autrement ce sera sans doute mieux.

Pas mal l'idée du up de 1 an 1/2 pour en rajouter une couche

http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5273_1.htm