Salut !    
 
Voilà un texte que j'ai écrit récement. J'aimerai avoir quelques avis...    
Merci d'avance    
 
                           Une mort certaine
 
 
     Qui a dit que la vieillesse est synonyme de mort ? Je suis jeune et usée, jeune et amoindrie. N’est-ce pas une façon de se rassurer ? « On a le temps de profiter, la mort est loin devant nous ! ». Si tel est le cas, je démens ces personnes.  
     Du haut de mes 17 ans, la mort me traque. Je la sens gagner du terrain de jour en jour. Dans mon cas, elle creuse mes joues et émacie mon corps.  
     Les jeunes filles d’aujourd’hui veulent toutes devenir aussi fines… que dis-je ! Maigres que les mannequins. Elles ne se doutent en aucun cas que ces filles mettent leur santé en danger et, parfois, en meurent. Ces femmes, malheureusement, idéalisées sont les modèles d’innombrable adolescentes.    
     Leur volonté les fera, certes, maigrir, mais elle les fera aussi périr en sombrant dans l’anorexie. Moi, mes forces m’ont abandonnées après tout ces kilos perdus. Je suis faible et épuisée, jeune et exténuée.  
     Je vous avoue que la prise en conscience de mon état est récente. Il y a encore un mois, Alors que j‘avais la peau sur les os, je me croyais énorme. Même après l’enchaînement de mes crises d’hypoglycémie, allant jusqu’à 4 fois par jour, mes yeux ne m‘ont guère montré l‘illusion. À présent, il est trop tard. Je suis irrécupérable et je le sais.
     Certains pensent que c’est un choix, d’autres une maladie. Pour moi, cela commence par un choix et finit par une maladie. Un choix qui est motivé par le regard des autres. Plus important, foudroyant et radical qu’on ne le pense. Chaque geste du quotidien est incité par ce regard. Sinon, pourquoi se coiffer ? Pourquoi se maquiller ? Pour se plaire à soi-même, me direz-vous ? Hum… je ne pense pas. Ça c’est ce que la société vous apprend, même inconsciemment.  
     Le médecin, que je connais depuis toute petite, m‘a appris la gorge séchée et les yeux larmoyants :  
     « Si tu ne fais rien dans le mois qui suit tu ne tiendras plus longtemps. Ce ne sera plus qu’une question de jours… »
     Il m’a vu grandir et vivre heureuse. Il est presque comme un ami de la famille et il a peur que je parte. Je lui fais de la peine et je m’en veux.
     Ce choix, je n’aurais jamais dut le faire. Tant de personnes s’effondrent pour moi, tant passent leur temps sous les pleurs que je me sens coupable.
     Malheureusement, je ne peux plus rien y faire. Je le sais, je le sens. La seule chose que je puisse faire est de leur offrir leur meilleur moment en ma compagnie, pour le mois qui suit.

Euh, c'est tout?

C'est un texte, pas une nouvelle  

Nan, c'est une blague ?
 
Bon y en avait d'autres avant mais là j'ai arrêté de lire
 
Quand on se la joue littéraire on utilise un correcteur orthographique. (quoique ça devrait même être inutile)
 
Moi ? Agressif ? Non mais bon voilà quoi.

Aïe !    C'est la version non corrigée... Ce n'est pas la définitive ! Désolé j'arrange ça tout de suite !  

Je trouve ça très bien !  
C'est magnifique et touchant!

J'en pense que pour 17 ans tu écris pas mal, et que tu ne fais pas de fautes ce qui est hautement appréciable à notre époque post-orthographique.
 
Sur le fond je n'en pense rien d'autre que les poncifs habituels que tout le monde va te ressortir sur HFR : va consulter un psy, tu as la vie devant toi, la mort jeune n'est qu'une solution définitive à un problème passager etc.

L'important c'est qu'elle en soit consciente. Une bonne étape de franchie en comparaison de toutes celles qui se voilent la face.

 
 
C'est peut etre pas autobiographique remarque!
Il n'y a pas que des "Madame Bovary c'est moi"!

Ouais enfin, écrire à la première personne si ce n'est pas autobiographique, je trouve ça moyen...
 
Attention... Dans le meurtre de Roger Ackroyd, ça rend très bien  

Merci pour vos avis ! Par contre, ce n'est pas un récit autobiographique   Je ne suis pas anorexique... C'est juste que je connais une personne qui l'est, malheureusement.  
Je n'ai pas 17 ans, non plus. Mais je le prend quand même comme un compliment, puisque j'aurai mes 16 ans le 21 décembre de cette année. Il est rare que je dis mon âge. Je ne veux pas que les personnes jugent mes textes par rapport à mes 15 ans... Mais bon, maintenant c'est dit !
J'ai écrit ce texte à la première personne, justement pour qu'il soit plus touchant...

En même temps, personne ne connait réellement la part de vérité et la part romancée...   (EDIT Confirmed    )
 
Sujet sensible que celui-ci en tout cas.  
 
C'est très (trop) bref pour pouvoir apprécier, vaguement brouillon, le vocabulaire manque un peu de corps et de relief, il y a quelques expressions malheureuses, le récit se dissout quelques peu au début pour enfin éclater sur la fin. Mais en réalité, tous ces petits défauts sont secondaires et seront réglés avec le temps(et grâce à tes lectures que je te souhaite nombreuses). Ton vrai point fort: le souffle de ton style: Tu as compris comment on fait un roman et ça, c'est le plus important.
 
Mais une nouvelle de 30 lignes, là, tu exagères...    
 
 
 
 
 
 
 
 

Merci pour ton avis !    Ce n'est pas une nouvelle, c'est un texte . J'ai écrit beaucoup de nouvelles. Je suis en ce moment entrain d'écrire une antho et un roman.  

 
 
Pour un correcteur bonjour les dégats ! A mourir de rire.... hahahahahahahahaha....    

Pourquoi j'ai jamais eu les couilles d'écrire ?

Essaie avec un stylo, ou bien avec Word. Ecrire avec les couilles c'est acrobatique.

   
 
non je plaisante :-p
 
j'ai trouvé ca bien écris et agréable à lire.

Pas d'autres avis ?????            

Ca suffit maintenant.

Une mort certaine  
 
 
     Qui a dit que la vieillesse est synonyme de mort ? Je suis jeune et usée, jeune et amoindrie. N’est-ce pas une façon de se rassurer ? « On a le temps de profiter, la mort est loin devant nous ! ». Si tel est le cas, je démens ces personnes.  
     Du haut de mes 17 ans, la mort me traque. Je la sens gagner du terrain de jour en jour. Dans mon cas, elle creuse mes joues et émacie mon corps.  
     Les jeunes filles d’aujourd’hui veulent toutes devenir aussi fines… que dis-je ! Maigres que les mannequins. Elles ne se doutent en aucun cas que ces filles mettent  
 
/qu'elles mettent (répéter filles ici éloigne le lecteur de l'intimité du je)
et en même temps on ne sait plus bien de quelles filles tu parles.
Les filles ou les mannequins, les jeunes filles ?
On complique par ces femmes ? Femmes ou filles, les mannequins ?
 
Pourquoi la narratrice ne dit-elle pas qu'elle est mannequin ou qu'elle a voulu imiter les mannequins, ce serait plus simple.
/
 
leur santé en danger et, parfois, en meurent. Ces femmes, malheureusement, idéalisées sont les modèles d’innombrable adolescentes.    
     Leur volonté les fera, certes, maigrir, mais elle les fera aussi périr en sombrant dans l’anorexie. Moi, mes forces m’ont abandonnées après tout ces kilos perdus. Je suis  
 
/abandonnée
tous ces
/
faible et épuisée, jeune et exténuée.  
     Je vous avoue que la prise en conscience de mon état est récente. Il y a encore un mois, Alors que j‘avais la peau sur les os, je me croyais énorme. Même après  
 
/alors (pas de majuscule derrière une virgule)
/
l’enchaînement de mes crises d’hypoglycémie, allant jusqu’à 4 fois par jour, mes yeux  
 
/jusqu'à quatre par jour (les chiffres en lettre jusqu'à dix, le fois est superflu)
/
 
ne m‘ont guère montré l‘illusion. À présent, il est trop tard. Je suis irrécupérable et je le sais.  
     Certains pensent que c’est un choix, d’autres une maladie. Pour moi, cela commence par un choix et finit par une maladie. Un choix qui est motivé par le regard des autres. Plus important, foudroyant et radical qu’on ne le pense. Chaque geste du quotidien est incité par ce regard. Sinon, pourquoi se coiffer ? Pourquoi se maquiller ? Pour se plaire à soi-même, me direz-vous ? Hum… je ne pense pas. Ça c’est ce que la  
 
/utile le "me direz-vous ?" ?
/
société vous apprend, même inconsciemment.    
     Le médecin, que je connais depuis toute petite, m‘a appris la gorge séchée et les yeux larmoyants :  
     « Si tu ne fais rien dans le mois qui suit tu ne tiendras plus longtemps. Ce ne sera  
 
/qui vient (pour éviter la répétition avec le suit plus bas)
/
plus qu’une question de jours… »  
     Il m’a vu grandir et vivre heureuse. Il est presque comme un ami de la famille et il a peur que je parte. Je lui fais de la peine et je m’en veux.  
     Ce choix, je n’aurais jamais dut le faire. Tant de personnes s’effondrent pour moi,  
 
/dû
/
tant passent leur temps sous les pleurs que je me sens coupable.  
 
/utile ce deuxième tant ?
/
 
     Malheureusement, je ne peux plus rien y faire. Je le sais, je le sens. La seule chose que je puisse faire est de leur offrir leur meilleur moment en ma compagnie, pour le mois qui suit.
 
/un texte d'actualité. Bien tourné.
 
Un peu confus au niveau des mannequins. C'est son seul point faible
 L'Amibe_R Nard
 

C'est quoi ton problème ....Word ou les couilles ?...      
 
Moi je trouve que son texte n'est pas parfait mais non pas dénué d'intérêt...  

Bof les mots employés sont vraiment d'une maturité qui ne depasse pas ton âge je trouves.
Ensuite cela ne sert vraiment a rien d'employer un vocabulaire peut etre coherent dans la phrase mais qui n'a pas de fond propre surtout dans un texte de ce type renforcant encore le sentiment de " texte infantile ".
Bref tu m'apparait juste comme un enfant qui a voulue attirer un peu d'attention car ton texte n'a pas de but réel a part de faire dire de lui " c'est bien " ou " c'est pas bien "  
Voila je t'ai parlé comme a un adulte maintenant reagis comme tel.
 
Ecoute L'Amibe_R Nard qui a l'air d'un bon observateur .

 
 
Salut
 
Infantile ?
 
Non, pas vraiment.
Destiné à un public plutôt jeune. Oui.
Et chaque auteur choisit son public cible, et le langage adapté à ce public.
 
Un texte juste un peu court, un peu anorexique peut-être... ce qui cadre bien avec le sujet.
 L'Amibe_R Nard

 
He bien si tu y regarde une personne mal dans sa peau ne diras pas " du haut de mes 17 ans " ce que je voulais pointer c'etais le manque d'implicite car les profondes emotions sont indescible on ne peut pas les ecrires.
Et le " je met tous les mots de plus de 6 syllabes que je connais dans le texte " ce n'est pas franchement quelque chose de tres ... enfin bon.
Ce qui explique la longueur du texte c'est que l'auteur ne pouvait pas maintenir le niveau du vocabulaire et le rallonger en changeant de registre aurait été... ridicule.
Je me trompe ?

 
Salut
 
Non, tu as raison pour le "du haut de mes 17 ans", personne de "vrai" ne l'écrirait ainsi.
Cependant, il est très bien vu, puisqu'il va introduire le monde des mannequins montés sur pointes.
 
Pour l'implicite, le texte est trop court pour le développer
 

 
Pas vu ce passage sur ce post.
Ni noté pléthore de mots à six syllabes dans le texte  
 

 
Ton impression me semble basée sur l'âge de l'auteur, plus que sur le texte lui-même.
 
Pour moi, l'âge de l'auteur n'a strictement aucune importance.
Et puis, que l'on soit vieux ou jeune, seul compte le nombre d'heures passées à travailler son écriture.
 
Ici, le texte est bien travaillé.
Court, mais bien travaillé.
 
L'auteur serait-il capable de poursuivre son texte et de maintenir le niveau ?
La réponse est oui.
Ce qui demanderait de creuser un peu plus le côté mannequin, les visites chez le docteur, de comprendre qui sont les gens qui pleurent... autant dire les relations de la narratrice avec le reste du monde... au risque de perdre la simplicité anorexique du texte.
 
Bref, pas forcément mieux.
 
La côté non intimiste est explicable, l'auteur connaît quelqu'un qui vit ce problème.
Et, comme tu l'as senti, ce texte est en retrait par rapport au côté intime. Il ressemble à une photographie détachée du problème, et la narratrice (qui n'est pas l'auteur ) n'exprime aucun regret, aucune souffrance de faire du mal aux autres. Il s'agit d'un constat, elle va mourir.
 
C'est un choix de narration, un choix de point de vue (celui de l'anorexique).
 
Si l'auteur avait choisi un autre point de vue (celui d'une amie rendant visite à l'anorexique), alors on aurait pu aller dans l'intimiste, dans la douleur, dans ce que tu avais envie de lire.
Mais c'est plus difficile à écrire, et bien plus douloureux quand on connaît vraiment une personne dans ce cas. C'est aussi en dire beaucoup sur soi.
 
Donc, peut-être pas un texte que l'on veut partager sur un forum aussi public que celui-ci.
 L'Amibe_R Nard

j'ai lu 1 ligne. c'etait assez chiant

 
 
Salut Cyclonix
 
Lire une ligne et perdre plus de dix fois ce temps à écrire que c'est chiant. Au moins, on peut dire que tu sais perdre ton temps.    
 
 
Question pour TheRuiner
 
Le rapport avec le texte ?
Et quel morceau des Linkin
http://www.lacoccinelle.net/artiste-97.html ?
    l'Amibe_R Nard
 
 
 
 

Emo powââ.

Du point de vue du style, c'est pas trop mal.
Après, je trouve le traitement peu convaincant. Tu dis que ton personnage est une anorexique, que la mort la traque, elle est donc dans une situation douloureuse, oppressante.
Généralement, quand on est dans ce cas, notre esprit n'est pas claire, pas forcément lucide, et il est difficile de prendre du recul. Un anorexique est comme "enfermé", et malgré que tu dises qu'elle a pris conscience de son état, ce n'est pas très réaliste. Jamais une anorexique ne dira :  
 
"Les jeunes filles d’aujourd’hui veulent toutes devenir aussi fines… que dis-je ! Maigres que les mannequins. Elles ne se doutent en aucun cas que ces filles mettent leur santé en danger et, parfois, en meurent. Ces femmes, malheureusement, idéalisées sont les modèles d’innombrable adolescentes.    
Leur volonté les fera, certes, maigrir, mais elle les fera aussi périr en sombrant dans l’anorexie."
 
On dirait que ton personnage est complètement exterieur à la scène. Ta narratrice dit "Les jeunes filles, "elles", sans jamais s'inclure dedans, alors qu'elle même connait les mêmes problèmes que ces filles. En fait, tu la fait parler comme une personne "normale", qui se permet, en quelque sorte, de faire la morale à ces femmes. On dirait qu'elle écrit un article de journal sur ces "cas".
Personnellement, je te le dit, je n'y crois pas du tout. Il y a comme un problème de crédibilité. Surtout un sujet comme l'anorexie, qui doit être traité avec de la finesse, nécessite que ton récit ait une atmosphère, un ton réaliste.
Bref, ce n'est que mon opinion  

 
 
Voilà la raison pour laquelle je ne dis JAMAIS mon âge. On juge un auteur sur son texte, et non sur l'âge. Or dans tes posts tu me considères comme un gamin de 8 ans… Tu me dis de te répondre comme un adulte, alors que tu ne me considères pas comme tel. Je te remercie d'avoir laissé un commentaire auquel, bien sûre, je me dois de répondre. Si le vocabulaire et peu riche c'est que la narratrice n'a que 17 ans, et que je veux qu'elle ressemble à "Madame tout le monde". Ainsi, chacun peut se sentir visé.  
Le mot "enfant" me déplaît, je suis un adolescent. Apparemment tu n'as pas dû lire le début des posts, tu saurais que ce texte a un but réel. Comme le dit L'Amibe_R, je connais, très bien, une anorexique . Je veux faire réagir toutes ces ados, les prévenir de ce danger. Tu ne peux pas savoir l'effet qu'elle me donne lorsqu'elle a une crise. Elle pleure, ne cesse de répéter qu'elle a peur, qu'elle va mourir et elle reste sur le sol prise de convulsions et de nausées. C'est atroce. C'est choquant.
Voilà, j'ai juste voulu t'éclairer un peu. J'espère que tu ne prendras pas cette réponse comme une agression, loin de là mon intention.    
 
PS : L'Amibe_R a raison, ce texte cible les ados... Qui sont, comme tu dois le savoir, les plus touchés par cette maladie.    
 

Et je la respecte, je suis d'accord avec toi. Ja vais modifier un peu ce texte et le reposterai.  
 
 
Pour le reste je remercie L'Amibe_R qui a répondu, plus que correctement, à ma place. Il a directement compris le message que je veux faire passer   Et merci pour son avis développé  
 
 
Et, bien sûre, un GRAND merci à tous pour vos avis !
 
Edit. tardive : pour Punchnows : Je viens juste de voir ton profil et à ce que je vois tu es à peine plus vieux que moi !  

Tu n'as que 8 mois de plus que moi ! Je suis né le 21 décembre 1990...

Pas d'autre avis ???        

Pas mal, j'aime bien justement le fait que la fille semble totalement extérieure à la situation qu'elle vit, elle dresse un constat, elle n'y peut rien, maintenant est-ce que c'est vraiment voulu ?  
Après y a quelques lourdeurs, la phrase plusieurs fois citées "du haut de mes 17ans la mort me traque" je trouve que ça fait très grandiloquent, bien qu'à la fois ça peut coller au personnage encore assez jeune.
Malgré tout une chose ressort du texte : cette fille se prend au sérieux, ça me fait un peu penser à tous ces ado "carpe diem" qui pensent au suicide parce que ça le fait    
En fait je me demande surtout si le texte est vraiment recherché, ou sans plus.  

C'est peut être le but aussi?
Contrairement aux médecins, j'ai, par ma profession, le temps de discuter avec les malades...
J'ai eu l'occasion de "suivre" des personnes du début de leur maladie jusqu'à la fin (pas des anorexiques, des cancéreux, des diabétiques, des dialysés... [maladies évolutives en tout genre]).  
A la fin, ils portent assez souvent un regard critique sur eux même, les causes de leur maladie (notament le tabagisme), leur mort toute proche... D'une façon très détachée, presque analytique.
Pour moi cette partie du texte me semble assez crédible.    
 
Quant au reste, je ne pense pas avoir les compétences nécessaire pour en juger.
Je dirais juste que,
Le fil me semble bon, mais la forme manque de ... "maturité?" Ce qui n'a pas vraiment de rapport avec l'âge de l'auteur; certains écrivains en herbes plus agés me semble tout aussi (voir plus) "immature?".
Amha, l'écriture c'est comme le reste: faut bosser, bosser en encore bosser pour arriver à qqch de satisfaisant pour soi

Pour la narratrice, qui est extérieur à la scène, je n'ai fait que retranscrire la réaction de la fille que je connais. Elle a du mal à se considérer comme telle et, il est vrai, les juge souvent d'un regard extérieur.  
Oui, mon style manque de maturité, c'est indéniable ! C'est vrai, l'écriture ça se bosse et à n'importe quel âge !  
Cela fait un an que j'écris et d'ordinaire j'écris plutôt de la fantaisie. Mais j'aime beaucoup écrire des récits, comme ça, qui font réfléchir.  

C'est dommage que ce soit une nouvelle

Et refaire le même en plus court?

 
Ce n'est pas une nouvelle, c'est un texte   Je ne pense pas que cela pourrait être le sujet d'un roman, puisque l'anorexie c'est comme le suicide on tourne vite en rond...    
 
 

 
Je pense que pour traiter de ce sujet, j'ai fait le minimum. Sinon, on ne peut rien dire. Mais je pense que tu le disais ironiquement  

 
C'est dommage que ce soit un texte