Reprise du message précédent :
wlitw... Tes propositions sont intéressantes, effectivement, la métiste est une pierre fine (sans contrepèterie) assez commune. Les anneaux, c'est bien trouvé, la forme circulaire évoque l'éternité, pas de début...pas de fin.  
Par contre, si on vise le niveau international, n'oublie pas que les Anglo-Saxons ne considèrent pas les Nains comme des hommes.  
En effet, ils disent souvent : "Nains ? Faux man ! " On peut donc dire mi-homme, mi-nain...
Il règne une bonne ambiance sur le topic de Karn le Mendiant. N'oubliez pas d'apporter votre pierre, même deux, trois lignes à "La Forteresse du Nain Noir" !
LooSHA    Très beau pastiche de "Karn le mendiant", déjà une icone de l'HF !  

-Mais que faire, maître? répondit Peaudechambrrr de ses doigts griffus
-Je viens d'avoir une sinistre sombre idée, Peaudechambrrr. Tu vas aller la voler!

- Maître, vous savez bien… mon apparence, Dame Nature, dans son esprit farceur, me fit mi-homme, mi-lézard ce qui fait de moi le seul représentant de la race des Hommard.
- Cachez, Hommard, cette queue que je ne saurais voir… vous vous la mettez derrière l’oreille et faite comme si c’était la dernière coupe à la mode au Cap Itole de Lisle de Frange.
- Maître, votre plan est brillant… les yeux m’en brûlent, je deviens aveugle, arrrgghhhh
- Sors donc ta tête de la cheminée, imbécile !
- Oups, au temps pour moi.

Ainsi notre ami  Peaudechambrrr, revêtu du déguisement suprême – un toge en solde chez Prixbas, la queue derrière l’oreille rabattue sur le devant légèrement dégradée sur les côtés avec des mêches verdâtres sur le dessus pour un effet coiffé-décoiffé qui ne serait pas à la mode avant un bon millénaire dans la contrée de Schloren, parti vers la silhouette noire se découpant sur une lune blafarde qu’était la ville de Kiscouche (capitale du Ponant, célèbre pour ses poneys et ses juments pas farouches, à l’opposé de Kislev au Levant dont les travailleurs se levait plus tôt pour gagner pareil).

Après un bref, mais néanmoins intense, transport par télétranspondeur magique garanti contre les rencontres aléatoire en chemin, il se matérialisa devant les hauts murs sombre de la Forteresse et frappa :
- *Toc* *Toc* *Toc*
- Who’s there ?
- It’s me, Hommard !
- Myanmar ?
- No me, Hommard ! So I knock to be friendly !
- Did he said “Myanmar, also known as Birmanie” ?
- Oh putain fait chier, les traducteurs sont encore bourré !
- He don’t seem to speak our language, let’s try common : “Qui va là” ?
- Couic-Valhalla ?  Mais c’est qu’ils vont m’attaquer ces cons ! Euh… achtung, Ich bin freund ! Pas taper ! Me peace !

Un vacarme se fit entendre derrière les lourdes portes en bois metallique des forêts pétrifiées de Baal-Zah, un peu comme si un taureau enragé trainant un soc de métal avait décidé de dévaler les escaliers quatre par quatre dans un élan de rage dévastatrice. Ce qui était plus ou le moins cas en la personne de Mhôlard-Ver.

- Oh putain ! Mais c’est la soirée des petzouilles, le défilé des emmerdeurs, la collecte annuelle des casse-couilles, la revue de troupe des candidats au suicide ! Est-ce que ça serait possible de piquer un roupillon dans cette foutue baraque !
- Euh chef, on a un ressortissant birman de langage germanique prénommé Omar qui voudrait entrer. Chef !
- Et pourquoi un  ressortissant y voudrait entrer. D’une. Et de deux, pourquoi y voudrait entrer A UNE PLOMBE DU MAT’.

Sur ces mots, Mhôlard-Ver décocha un direct dans la porte de service qui sauta de ses gonds avant de s’écraser lourdement sur les pavés du pont au château, manquant de peu d’écraser Peaudechambrrr sous son poids.

- Bon, elle est où la crevette !
- Hommard, sire, je suis un Hommard ! répondit le mi-crustacé en faisant la plus belle révérence que permettent des pattes de lézards.
- Omar ? Et tu viens d’où pour mourir de si bonne heure ?
- Et bien j’étais en rade d’adresse dernièrement mais..
- Omar Rade d’Ad ?  Oh putain, les gars, je le tiens, y vient se livrer ! C’est Noel ! Y’a le sapin vert et les boules et tout et tout !
- Mais pas du tout, mais je suis pas venu me livr..
- *Schlouik*

(oui je prends un malin plaisir à buter tous les persos que vous me proposerez)

ça manque de fotes

 
Put1 t'as réussi à faire pire que la co-pine intellectuelle et pourtant  romancière de AmiFantastique  

C'est ambiance LSD la Naine ! (elle sus debout) mdr ! E-Nyar, tu frises l'AVC !!! Pense à te tremper la tête dans un bocal !    
Pour les disparitions prématurées, il y a toujours moyen de moyenner.
Peaudechambrr le cousin de Peaudechambrrr déroula le minuscule rouleau de papier que  Cid, la corneille venait de lui apporter.
"Mhôlard-Ver ma tuer" Tremblant de rage, il reconnut l'écriture de son Cousin Bien Aimé et jura de le venger !

 
J'en vends en gros et en détail  
Qui veut des mes fottes toutes fraiches    

Il est déjà passé le moment ou Karn le mendiant ,complétement sonné par l'attaque de la sorcière Marie Rouana, se fait réveiller par le grand M.arc, demi-dieu vénéré dans tout le royaume , alors qu'il erre en position fœtal à même le sol sur un lit de papier magique ?

Pendant ce temps à 10 000 kilomètres de là dans un rade obscur, Peter Mac Callaway sirotait son verre en écoutant d'une oreille distraite l'avalanche de riffs joués avec une énergie non feinte par le groupe One Less To Go, dont les ambiances éthérées et un peu foutraques n'étaient pas sans évoquer un Corbier sous acide.
Oh bien sûr, même si le bourbon l'aidait un peu à oublier, il n'était pas heureux. Son divorce 8 ans auparavant, l'alcool, le tabac et les filles faciles avaient fini de lui ruiner la santé.  
Il était flic, un flic sans histoires, juste un flic de Los Angeles comme il y en a des centaines.  
Cette nuit là il pleuvait sur Brest, mais il s'en foutait vu qu'il était toujours à L.A., et elle était entrée dans son bureau. Grande, gracile, féline et élégante, elle était blonde. Non brune. En fait c'était un mec. Non, un flic. En fait c'était un cyclitse, qui faisait du cyclimse.
Il lui avait déballé toute son histoire, de son enfance dans une petite bourgade du Texas, l'exode lors de la grande dépression et la fuite à Varennes, les vacances à Saint Malo avec des parents en maillots qui dansent sur Luis Mariano...  
Jusqu'à cette mystérieuse rose la métisse, qui appartenait à une pute qui vivait toujours dévêtue, à Ibiza.
Bon gré mal gré, Peter s'était laissé convaincre, une affaire pareille ça n'arrive qu'une fois dans une vie de flic. Il avait sauté dans le premier taxi direction le Fucking Blue Boy où il démarrait toutes ses enquêtes.

le sous titre du roman pourrait être "que la force de Peter Mac Callaway soit avec moi"  

 
Toutes ces lignes en 2 minutes 30 ? Tu as un talent certain !  

Hé hé, maurice ! Pas dégeu ton début ! Ca fait penser un peu au "Sortilège du Sorpion de Jade" de Woody Allen, un quasi chef d'oeuvre ou à "un privé à Babylone" de Brautigan, un très grand du polar déjanté.  
Il avait sauté le Fucking Blue Boy dans le premier taxi. Direction ? Où il démarrait toutes ses enquêtes.
Continue ! Qui va t-il renconter ? Son contact aura t-il le temps de le rencarder sur sa mission ou devra t-il se contenter d'une liste de course du Discount du coin et du seul mot que prononcera son client avant de tomber dans le coma ??? S'il pouvait fouiller le mec, sans doute trouverait-il un indice.
 
 
 

zoukoufxxx a écrit :
Toutes ces lignes en 2 minutes 30 ? Tu as un talent certain !  
                                                                     *****************
Doublé d'une imagination hors pair et d'un sens inné de l'humour , sortir "les Hommars, mi-homme, mi-lézard" à froid, franchement, chapeau !  
Ca, hélas, ça ne se travaille pas. C'est comme l'oreille musicale ou le sens du rythme ou des couleurs. Tu l'as ou tu l'as pas. E-Nyar, il l'a, pas de doute !  
 

karn ok il est mendiant, je veux bien, mais le magicien, c'est clair comme de la bouze d'auroch, c'est un gros pédé.
La reine s’ouvrit lentement dans un grincement sonore. Elle houspilla sa fille car qui taille une pipe perd sa chique, bien que sa fille s'en foutasse. Profitant de l'engueulade, le palfrenier se dégagea daredare de la reine et sauta dans les douves. Il tomba pile sur le caillou rose pour lequel la horde des Ourques venait de mettre le feu dans la discothèque du village. Ainsi presque maître du monde, le palefrenier se noya sans que personne ne vit sa soudaine fortune. Grog le nain s'assura qu'il n'était pas suivi, et se trouva un buisson pour se libérer de sa terrifiante gastro-entérite. Le mal le rongeait peu à peu, comme une ombre grise sur une nappe blanche, en lui faisant regretter d’être si court sur patte, car il en chiait sur ses poulaines Cardin. Pendant ce temps, la belle Marie Rouanna décida d’arrêter de s’épiler, car elle kiffait grave un barbare super bolos, pour lequel elle aurait vendu sa mère comme esclave dans un marché low-cost. Dans tous le pays des Pêllabourié, un immense éclat de rire secoua l’armée des zombies, parce que leur chef venait de se souvenir où il avait fourré la pierre sacrée et que la gastro venait de l’atteindre.

 
 
Merci, merci, n'en jetez plus ! Mais bon mon problème c'est que je peux partir très loin, très vite, mais à partir d'un point donné, je ne sais faire la même chose à partir de rien

et moi qui pensait que ce fake de topic allait fermer sous-peu !

e-nyar, il y a foultitude "d'écrivains professionnels" qui ont le problème inverse. A partir d'une base; par exemple : La naissance inattendue au sein d'un couple fragile d'un enfant autiste, parviennent à "pisser" 450 pages pour ne rien dire.  
"Romain s'interrogeait de plus en plus souvent sur l'absurdité de la vie. Cet enfant, qui allait pousser comme un arbre malingre germant sous un rocher, obligé de se tordre pour aller vers la lumière, cet enfant qui ne jouerait jamais en bas de l'immeuble avec des amis du même âge... Pourquoi ? Il ne pu retenir un sanglot et lorsqu'Evelyne entra dans la chambre il se détourna et en essuyant ses lunettes, épongea les larmes naissantes qui se préparaient à le trahir. D'une voix qu'il voulût enjouée il annonça "......   etc. pendant 500 pages. Des mecs comme Lévy, Musso et cie ils n'ont aucune idée. Leur seule arme, c'est qu'ils arrivent à remplir (ou faire remplir par un autre, des centaines de pages, si possibles tristes, c'est fastoch de tirer la larme à l'oeil. Tiens, je vous donne trois citations, donc des extraits jugés particulièrement puissants de Musso.
 
"En la regardant rire et fredonner de vieilles chansons, il avait eu la certitude que c'était elle : la femme auprès de qui il voulait vivre pour toujours. Celle qu'il saurait protéger et qui le protégerait à son tour comme si le ciel avait envoyé un ange pour l'arracher à ses tourments."                    
                                                                                                                                                   *
 
"Soigner les gens, ce n'est pas seulement rechercher les causes de leurs maladies, c'est leur donner l'espoir que demain sera mieux qu'hier."
                                                                                                                                                   *
 
"Pourquoi croise-t-on des milliers de personnes et ne s'éprend-on que d'une seule."  
 
                                                                                                                                                   *
 
"D'abord, il y'a deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent. Puis deux souffles qui se mêlent dans le froid. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre."
 
 
 
La dernière, c'est la cerise ! "deux lèvres qui s'effleurent et qui se cherchent" (que font les deux autres ?)
Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre." ???????? Do iou spik Musso ??  
Ben ce mec, c'est le recorman des ventes de bouquins à 22 euros pièce !!! Vous le croyez vous ?  
E-Nyar, tu as beaucoup d'idées, tu as une facilité d'écriture, reste la technique. Car je ne t'apprends rien, en littérature comme dans n'importe quel art majeur, il faut connaître non seulement les ruses et les trucs mais trouver "le fil rouge" l'ossature de ton récit. Comme par exemple Klapisch dans "Le péril jeune" il ne fait que raconter des anecdotes, avec talent par ailleurs, mais il articule le tout autour du décès de Romain Duris et des souvenirs qu'échangent ses potes en attendant qu'Elodie Bouchez accouche de leur enfant. Voilà, Klapisch a trouvé un "fil rouge" quand tu l'as, tu avances en sachant où tu vas.  
Sans lui, tu écris une page, deux pages, puis tu ne sais plus où aller...  
Tout cela, c'est mon avis et je n'ai participé à aucun atelier d'écriture pour justifier ces propos. La première fois où j'ai entendu parler d'un atelier d'écriture, une personne se plaignait que les exercices ne correspondait pas "à son style" !!! J'ai failli défaillir ! Au XXème siècle, on peut en parler car il est clos, deux personnes ont crée un style. Proust et Céline. J'avais devant moi un troisième génie méconnu !  
Conclusion. Canalisez vos idées, notez tout ce qui vous passe par la tête, ça servira, comme le Facteur Cheval qui ramassait ses cailloux avec en tête son Palais Idéal. Allez, je passe me vider un godet de lait de bouc fermenté à "l'Agneau égorgé" Parait qu'il y a Grog qui organise un concours de bras de fer. A ciao ! Amigos !

Drap

Ca serait bien que l'autrice du topik viennent partager avec nous sur tout ce qui a été dit

je me suis bien marré à lire tout ça, mais je reste quand même perplexe.
Comment peut-on être nul(le) au point d'oser publier un texte pareil

P.S Talbazar, Tu as passé la vitesse supérieure et tu mets du sérieux à écrire des déconnades ! Ca se ressent beaucoup, du coup, tu as des trouvailles marrantes ! "en lui faisant regretter d’être si court sur patte, car il en chiait sur ses poulaines Cardin" et ton post est agréable à lire.  
Une mise au point, quand on aime jouer au foot, ce qui n'est absolument pas mon cas, je préfère regarder le plafond, je suppose qu'on rigole plus en corpo qu'en Ligue 1. Ben nous, on se marre bien en corpo et c'est le Prince Hippal.

Tet2neu, Je flaire le fake, genre hameçon de Troll pas méchant qui balance une poignée de fourmis noires sur une fourmillière de leurs "copines" communistes !

vu comme ça ouais, ça se tient

Le jour où tu écris un bouquin, je l'achète tout de suite, je suis fan

je suis quand même étonné que l'auteur du topic ne soit pas revenu.
A mon avis l'AmiFantastique est un multi d'e-nyar, ce dernier ayant trouvé avec ce topikatroll un moyen de nous faire partager ses délires textuels

T'in ! Si c'est un coup de E-Nyar, un stratège pareil, Nikos le Sarkomancien va nous le piquer ! Histoire de se faire réélire "Nain d'Or" ! Méfi ! On va faire des tours de garde !  
Ne vous fiez à personne, vicelard comme une vipère cornue le Nikos ! Redoutable, il passe debout sous les tables. Munissez vous d'une bombe de L'abbé Gon.
Le mot de passe est... Merde, je ne peux pas le donner ! Bon, on se reconnaitra grâce à nos poulaines, celles de Nikos ont des talonnettes. Pas un bruit, pas un pet. Trouvons E-Nyar et mettons le en lieu sûr, en hauteur de préférence...  

E-nyar est déjà en auteur, en fait

Tet2neu, excellent !!!

excellent! quand je vois ce que j'écris parfois je me dis que vaut mieux pas que je le poste, certaines critiques sont très dures

euh non c'est pas "dur". En tout cas c'est amplement mérité.
On va pas faire semblant d'être sérieux très longtemps quand on nous annonce un extrait de roman qui se révèle en fait être un simple enchainement de mots mal orthographiés, mal conjugués et mal choisis.
Et c'est vrai qu'arriver à un tel point de nullité (j'avais pensé à "médiocrité" mais on serait très loin de la réalité), c'est presque un aveu de trollisme qui rend le truc beaucoup moins drôle.

J'ajoute que c'est très loin d'être le premier topic du genre. Le collégien qui se prend pour un auteur d'heroic fantasy et qui cherche des avis c'est récurrent ici, et l'accueil est totalement dépendant de la qualité du récit.
Soyons honnêtes, c'est presque toujours mauvais rarement bon. Mais on peut dans certains cas déceler un effort (ne parlons pas de talent, faut pas déconner) qui, si on a un peu de temps à perdre, peut nous pousser à faire des commentaires constructifs ( exemple )
Toujours dans un souci d'honnêteté, je confesse qu'en aucun cas on imagine que le roman existera un jour, mais si on peut encourager un(e) jeune à écrire, même si c'est maladroit, faut pas se priver.

 
toute référence à un président en exercice serait par ailleurs tout à fait fortuite.  

Drap  

@Talbazar En effet, le "Nain d'Or" et sa suite à Trent Symill est court sur pattes, mais long... à se casser !
@Tet2neu mise en abyme, J'ai lu le prologue de Nifnouflogasse ainsi que les critiques qu'elle avait souhaitées. Ton avis me semble pertinent et tu ne procèdes pas à une "autopsie" comme TAM136 avant de dire ce que tu en penses :
C'est un exercice difficile de mettre en place l'histoire.  
Faire des phrases courtes, pourquoi pas. Mais attention à ne pas hacher inutilement.  
Par exemple : "Il s’arrêta. Soudainement."  => je ne vois pas d'autre intérêt à découper cette phrase que de se donner un style, qui, au final, va alourdir le texte.
Attention aussi à ne pas tomber dans l'excès inverse :  
"Le rabat d’un large chapeau pointu affaissé, d’un noir si terne qu'il semblait poussiéreux, recouvrait son regard et une moitié de son visage si bien qu’on n’apercevait de sa figure que le sourire suffisant qu’arboraient ses lèvres ourlées"
 => un peu lourd, et du coup on se retrouve avec un mélange des genres qui peut laisser perplexe.  
Concernant l'originalité de l'histoire, n'étant pas un lecteur assidu de romans HF, je n'ai pas grand chose à dire, si ce n'est que j'attends la suite   Entièrement d'accord.  
 
On pourrait couper les gras cheveux filasses et gainés de crasse malodorante en deux fois deux parties égales.    
la "crête" et la "cime" des arbres, c'est la même chose. dis-tu concernant le passage :
"Etait-ce inscrit ? Etait-ce dans l’air ?  
En ce matin d’automne frileux, la nature silencieuse et figée taisait son secret. Le soleil faible de l’aube était voilé par une fine brume grise qui ornait la crête et la cime des arbres."
Oui, mais l'auteure veut peut-être parler de la crête de la montagne, au loin et des arbres à proximité.  
"la nature silencieuse et figée taisait son secret" ( y'a intérêt ! Sinon, c'est plus un secret !) " etc.  
J'attends avec impatience et fébrilité les critiques de ma critique sur ta constructive critique
 
TAM136, le légiste, me semble un brin psycho-rigide. Un exemple :
"le lourd silence"  
pléonasme, répétiton
 
Pas d'accord. C'est une figure de style, maladroite peut-être mais une synesthésie littéraire, comme dans  "Un langage coloré".
Faire une "critique" ne consiste pas à dénoncer tout ce qui ne plait pas ou ce que l'on juge sortir des normes afin de se retrouver avec un texte satisfaisant. On dirait que Tam136 a passé commande auprès d'un ébéniste d'une armoire qu'il examine scrupuleusement avant de payer.
"Trop de noeuds. Bouchez moi tous ces trous de ver, j'aime pas ! La teinte n'est pas terrible, on ne sait s'il s'agit de noyer ou de cerisier. Deux portes ? Répétition !!"    
Quand je lis ça, j'ai envie de chanter "Si tu n'en veux pas A a a a, je la remets dans ma culotte Ouuuu Yeah ! "
 
 
 
 
 

@Constellation06, Dis toi que tu ne proposes pas un tapuscrit chez Gallimard ou à la NRF. Si tu prends plaisir à écrire, c'est gagné à 100 % ! Je suis persuadé que si tu nous montres un texte que tu as écrit, je te piquerai, en toute honnêteté, quelques idées. En échange, sers toi de ce que tu lis. J'ai enregistré, il y a peu, une expression de ma compagne : "Il lui tendit une main alcoolisée mais amicale" Je ne vais pas la ressortir à l'identique, mais si je reparle de Grog le Nain, il est bien possible que je me souvienne de cette tournure qui m'a plu.
Sois pas "chi-chi Pompon", envoie un extrait ! Merci.

Par Horto le Graff j'avais écrit "Je suis persuadé que si tu nous montre" ! Subjonctif présent prend un "S" à la seconde personne du singulier.  
Je suis toujours indécis avec le verbe plaire... "de cette tournure qui m'a plu." ou "de cette tournure qui m'a plue."??

TAM136, C'est Djuge Dread !
 
 -Courir.  
 
Tu peux expliquer pourquoi, tu utilises de temps en temps  ces mots seuls ? Une phrase est constituée d’un sujet, d’un verbe et d’un complément.  
 
Ben mon TAM ! Heureusement que Giono, Queneau ou Céline ont échappé à ton Jugement Suprême !!!  
Une phrase nominale, c'est interdit ?  
Son emploi permet de mettre en valeur certains effets stylistiques : elle donne une impression de raccourci, d'accélération, qui permet de renforcer une idée ou une émotion. On la rencontre également dans des portraits ou des descriptions. Elle peut enfin mettre en valeur un adjectif ou un adverbe.
 Exemple : Difficile, cette leçon !
 
J'imagine TAM136 lisant la première "phrase" de Zazie dans le métro !
ou commentant cet extrait d'un chef-d'oeuvre du co-fondateur de l'OULIPO.
Le ptit type examina le gabarit de Gabriel et se dit c'est un malabar, mais les malabars c'est toujours bon, ça profite jamais de leur force, ça serait lâche de leur part. Tout faraud, il cria : "Tu pues, eh gorille. " Gabriel soupira. Encore faire appel à la violence. Ça le dégoûtait cette contrainte. Depuis l'hominisation première, ça n'avait jamais arrêté. Mais enfin fallait ce qu'il fallait. C'était pas de sa faute à lui, Gabriel, si c'était toujours les faibles qui emmerdaient le monde. Il allait tout de même laisser une chance au moucheron. "Répète un peu voir", qu'il dit Gabriel. Un peu étonné que le costaud répliquât, le ptit type prit le temps de fignoler la réponse que voici : "Répéter un peu quoi ?" Pas mécontent de sa formule, le ptit type. Seulement, l'armoire à glace insistait : elle se pencha pour proférer cette pentasyllabe monophasée : "Skeutadittaleur... " Le ptit type se mit à craindre. C'était le temps pour lui, c'était le moment de se forger quelque bouclier verbal. Le premier qu'il trouva fut un alexandrin : "D'abord, je vous permets pas de me tutoyer. – Foireux", répliqua Gabriel avec simplicité. Raymond Queneau, Zazie dans le métro, I.
 
Manuscrit perdu dans la corbeille à papier de TAM136
   

 
Y a même un topic dédié  
Histoire que ça se répande pas partout

talbazar ! Je viens de me bidonner une demi-heure avec ta moyenne Encyclopédie ! Vraiment bravo ! il y a un coté paradoxal, genre "Hara-Kiri élégant" On pense au Professeur Choron et ses "Idées de con" avec son classieux fume-cigarettes. Tes trouvailles sont très originales et souvent impayables ! Franchement, démarre un texte et on te suit !

tet2neu a écrit :
 
J'ajoute que c'est très loin d'être le premier topic du genre. Le collégien qui se prend pour un auteur d'heroic fantasy et qui cherche des avis c'est récurrent ici, et l'accueil est totalement dépendant de la qualité du récit.
 
Faut dire qu'H.P, s'il a le mérite d'avoir amené des gamins à la lecture, leur laisse penser que grâce à une branche de platane trouvée dans la cour de récré, le vilain canard bitonneux et bounoclard va se  transformer en Roger Zelazny et ch***  "Les neuf Princes d'Ambre" !
Quand il montre le résultat de ses premiers spasmes du côlon, il est dépité ou crie au génie incompris.
N.B Lequel Zelazny, associé au Grand Robert Sheckley, s'est fendu de deux pastiches d'H.F  "Apportez moi la tête du prince charmant" et "A Faust, Faust et demi" qui sont une leçon indispensable aux apprentis scriboulliards.  

 
Je pense pas que Khayvyn233 ait entendu parler des Neuf Princes d'Ambre avant d'écrire son truc (dans la plupart des cas)
 
Pour HP, le plus marrant c'est le syndrome du "ouimécépapareil". Non mais tu comprends, j'écris une histoire sur des jeunes qui vont dans une école de magie, mécépapareil, en fait c'est des vampires   et puis il y a un objet de pouvoir qu'il faut détruire, mécépaunanneau c'est une amulette  

alors que ça serait bien plus brillant avec une allumette