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Auteur Sujet :

[ livres ] - Le livre qui a changé votre vie ?

n°10763795
ShoTo
... fuck ... mother fucker ...
Posté le 26-02-2007 à 17:19:17  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
1)
 
http://www.coranix.com/biblio/feynman1.gif  
Un des livres autobiographique de Feynman, pour ma part le plus grand homme du 20e siecle,  
Wouah quel personnalité il avait !  :love:  
 
2)
 
 
http://aubry.free.fr/flash.jpg  
 
 
C'est l'histoire vrai d'un homme qui fait le tour du monde en essayant toutes les drogues, passionnant meme pour les gens comme moi qui n'ont jamais pris de drogue

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Message édité par ShoTo le 25-08-2012 à 01:09:11
mood
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Posté le 26-02-2007 à 17:19:17  profilanswer
 

n°10902062
merie
Chokran
Posté le 13-03-2007 à 13:05:40  profilanswer
 

 J'en ai des dizaines:"Le Pacte Holcroft"de Robert Ludlum,pour l'intrigue et le suspense le plus extraordinaire(pour moi)de l'histoire du roman d'espionnage."Alexandre le Grand"de Gerhart Ellert,sans savoir pourquoi,je suis raide dingue de ce book.....

n°11362067
fiacrebleu
Posté le 30-04-2007 à 11:09:16  profilanswer
 

Sans hésiter le seigneur des anneaux. Voilà un livre qui m'a fait un choc la première fois que je l'ai lu.

n°11362093
fiacrebleu
Posté le 30-04-2007 à 11:11:50  profilanswer
 

enfin ... de là à dire qu'il a changé ma vie !?

n°11964025
Magicpanda
Pushing the envelope
Posté le 28-06-2007 à 01:49:22  profilanswer
 

http://ouvertlanuitfermelanuit.typepad.com/fr/images/la_nause.jpg
 
Sartre voulait appeler le livre "Melancholia" avant de changer d' avis, la mélancholia étant la plus célèbre et aussi la plus belle gravure de Dürer.
 
Un petit passage :
 

Citation :


« J'étais tout à l'heure au Jardin public. La racine du marronnier s'enfonçait dans la terre, juste au-dessous de mon banc. Je ne me rappelais plus que c'était une racine. Les mots s'étaient évanouis et, avec eux, la signification des choses, leurs modes d'emploi, les faibles repères que les hommes ont tracés à leur surface. J'étais assis, un peu voûté, la tête basse, seul en face de cette masse noire et noueuse, entièrement brute et qui me faisait peur. Et puis j'ai eu cette illumination. Ça m'a coupé le souffle. Jamais, avant ces derniers jours, je n'avais préssenti ce que voulait dire "exister". J'étais comme les autres, comme ceux qui se promènent au bord de la mer dans leurs habits de printemps. Je disais comme eux "la mer est verte; ce point blanc, là-haut, c'est une mouette", mais je ne sentais pas que ça existait, que la mouette était une "mouette-existante"; à l'ordinaire l'existence se cache.
 
Et puis voilà: tout d'un coup, c'était là, c'était clair comme le jour: l'existence s'était soudain dévoilée. Elle avait perdu son allure inoffensive de catégorie abstraite: c'était la pâte même des choses, cette racine était pétrie dans de l'existence. Ou plutôt la racine, les grilles du jardin, le banc, le gazon rare de la pelouse, tout ça s'était évanoui: la diversité des choses, leur individualité n'était qu'une apparence, un vernis. Ce vernis avait fondu, il restait des masses monstrueuses et molles, en désordre, nues, d'une effrayante et obscène nudité. J'étais là, immobile et glacé, plongé dans une extase horrible. Mais, au sein même de cette extase quelque chose de neuf venait d'apparaître; je comprenais la Nausée, je la possédais. A vrai dire je ne me formulais pas mes découvertes.
 
L'essentiel c'est la contingence. Je veux dire que, par définition, l'existence n'est pas la nécessité. Exister, c'est être là, simplement; les existants apparaissent, se laissent rencontrer, mais on ne peut jamais les déduire. Il y a des gens, je crois, qui ont compris ça. Seulement ils ont essayé de surmonter cette contingence en inventant un être nécessaire et cause de soi. Or, aucun être nécessaire ne peut expliquer l'existence: la contingence n'est pas un faux-semblant, une apparence qu'on peut dissiper; c'est l'absolu, par conséquent la gratuité parfaite.
 
Tout est gratuit, ce jardin, cette ville et moi-même. Quand il arrive qu'on s'en rende compte, ça vous tourne le coeur et tout se met à flotter.»


 

Citation :

Il est en bras de chemise, avec des bretelles mauves;il a roulé les manches de sa chemise jusqu'au-dessus du coude. Les bretelles se voient à peine sur la chemise bleue, elles sont tout effacées, enfouies dans le bleu, mais c'est de la fausse humilité: en fait, elles ne se laissent pas oublier, elles m'agacent par leur entêtement de moutons, comme si, parties pour devenir violettes, elles s'étaient arrêtées en route sans abandonner leurs prétentions. On a envie de leur dire: "Allez-y, devenez violettes et qu'on n'en parle plus." Mais non, elles restent en suspens, butées dans leur effort inachevé. Parfois le bleu qui les entoure glisse sur elles et les recouvre tout a fait: je reste un instant sans les voir. Mais ce n'est qu'une vague, bientôt le bleu pâlit par places et je vois réapparaître des îlots d'un mauve hésitant, qui s'élargissent, se rejoignent et reconstituent les bretelles. (...)


 

Citation :

La chose, qui attendait, s'est alertée, elle a fondu sur moi, elle se coule en moi, j'en suis plein. - Ce n'est rien: la Chose, c'est moi. L'existence, libérée, dégagée, reflue sur moi. J'existe.
J'existe. C'est doux, si doux, si lent. Et léger: on dirait que ça tient en l'air tout seul. Ça remue. Ce sont des effleurements partout qui fondent et s'évanouissent. Tout doux, tout doux. Il y a de l'eau mousseuse dans ma bouche. Je l'avale, elle glisse dans ma gorge, elle me caresse - et la voila qui renaît dans ma bouche, j'ai dans la bouche à perpétuité une petite mare d'eau blanchâtre - discrète - qui frôle ma langue. Et cette mare, c'est encore moi. Et la langue. Et la gorge, c'est moi.
Je vois ma main, qui s'épanouit sur la table. Elle vit - c'est moi. Elle s'ouvre, les doigts se déploient et pointent. Elle est sur le dos. Elle me montre son ventre gras. Elle a l'air d'une bête à la renverse. Les doigts, ce sont les pattes. Je m'amuse à les faire remuer, très vite, comme les pattes d'un crabe qui est tombé sur le dos. Le crabe est mort: les pattes se recroquevillent, se ramènent sur le ventre de ma main. Je vois les ongles - la seule chose de moi qui ne vit pas. Et encore. Ma main se retourne, s'étale à plat ventre, elle m'offre à présent son dos. Un dos argenté, un peu brillant - on dirait un poisson, s'il n'y avait pas les poils roux à la naissance des phalanges. Je sens ma main. C'est moi, ces deux bêtes qui s'agitent au bout de mes bras. Ma main gratte une de ses pattes, avec l'ongle d'une autre patte; je sens son poids sur la table qui n'est pas moi. C'est long, long, cette impression de poids, ça ne passe pas. Il n'y a pas de raison pour que ça passe. A la longue, c'est intolérable... Je retire ma main, je la mets dans ma poche. Mais je sens tout de suite, à travers l'étoffe, la chaleur de ma cuisse. Aussitôt, je fais sauter ma main de ma poche; je la laisse pendre contre le dossier de la chaise. Maintenant, je sens son poids au bout de mon bras. Elle tire un peu, à peine, mollement, moelleusement, elle existe. Je n'insiste pas: ou que je la mette, elle continuera d'exister et je continuerai de sentir qu'elle existe; je ne peux pas la supprimer, ni supprimer le reste de mon corps, la chaleur humide qui salit ma chemise, ni toute cette graisse chaude qui tourne paresseusement comme si on la remuait à la cuiller, ni toutes les sensations qui se promènent là-dedans, qui vont et viennent, remontent de mon flanc à mon aisselle ou bien qui végètent doucement, du matin jusqu'au soir, dans leur coin habituel


J.-P. SARTRE,
"La Nausée", (1938)
 
 
Tout est là, le fond, la forme, l' art et la manière. C' est aussi le cas dans ses autres ouvrages, mais pas autant que dans ce roman d' initiation philosophique.
j' ai lu ca à 15 ans, après ca a été la boite de pandore pour triturage de cerveau en philo, en politique, en sociologie.
Je dit qu' il a changé ma vie parce que je pense que c'est le bouquin qui m' a le plus structuré intellectuellement avec l' existentialisme "en acte"


Message édité par Magicpanda le 28-06-2007 à 02:03:41

---------------
" Quel est le but du capital ? Le but du capital c'est produire pour le capital. L'objectif, lui, est illimité. L'objectif du capital c'est produire pour produire." - Deleuze || André Gorz - Vers la société libérée
n°11964899
tree
That's all in your head.
Posté le 28-06-2007 à 05:49:57  profilanswer
 

À 16 ans :  
 
http://francite.net/education/lecture/img312.jpg
 
pour ça :  

Citation :

Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais.


:sweat:
 
...et puis pour le pouvoir de l'humour et de la dérision dont il y est si bien fait preuve.


Message édité par tree le 28-06-2007 à 06:25:49
n°12154265
leatherhof​f
afraid of monsters
Posté le 18-07-2007 à 22:51:36  profilanswer
 

Las vegas parano.... une tourné avec les amis à maastricht, on prend le chargent et en prends sur place (des acide quels saloperies démoniaque, sa vous fout des chocottes tellement c'est crapuleux) ensuite on repart mais on se rend compte à mi chemin (Paris-Maas) qu'on a oublier Toma (il s'est arrêté sois disant pour discuter avec une prostituer hmhm avec 2gramme dans le sang), vu qu'on est fatigué on loue une chambre d'hôtel c'est la que le lsd et la ketamine rentre en jeu, résultat chambre à vécu en une soirée les tsunami, la guerre en irak et de nombreux tremblement en tout genre, bref même "word crade center" après l'attentat étai en meilleur état que notre abri de fortune, je crois qu'après cette nuit nombreux avait un mal de cul épouvantable (on se demanderai pk?). Mon seul souci dans tout ça, c'était l'éther. Je ne connais rien au monde de plus pitoyable, et irresponsable, et dépravé, qu'un étheromane en vadrouille, malgré ce souci on a réussit à monter dans le train totalement défoncer et déchirer. Même maintenant je sais toujours pas par quelle force de dieux on a reussit à prendre le bon train .  
C'est seuleument à Paris la ville de lumieres que j'ai fus frappé par les profondeurs de la drogue et je suis devenu un Prototype personnel de Dieu, mutant à l'énergie dense jamais conçu pour la production en série, trop bizarre pour vivre et trop rare pour mourir.

n°12193340
Skyheroes
Pilote Fou
Posté le 23-07-2007 à 12:48:47  profilanswer
 

Aucun livre "scolaire" n'a changé ma vie ou ma perception du monde...
En revanche la saga "L'épée de vérité", elle, m'a appris énormément sur la nature et la "psychologie" humaine. En même temps que l'on se régale à suivre les pérégrinations aux buts multiples et au danger croissant de Kalhan et Richard, on apprend énormément.
L'auteur à une culture très conséquente, on le voit notamment lorsqu'il emploie toujours le vocabulaire approprié, lorsqu'il décrit les stratégies de guerre, la politique etc...
 
Ce qui m'étonne le plus c'est que lorsque je fais une connerie ou lorsque je me fais "avoir" dans la vie courante, en réflechissant je me rend compte que c'est toujours après avoir violer une des leçons du sorcier. Aussi bête que ça puisse paraitre, ces dernières constituent l'essence même de la série, qui mérite d'être lue rien que pour les leçons qu'elle apporte. Naïf que j'étais, elle m'a ouvert les yeux sur la barbarie humaine et sur la capacité des gens à en manipuler d'autres. De plus depuis que je lis cette série je pense toujours en me demandant "Qu'est-ce qu'aurais fait Richard à ma place?", et croyez moi ou pas mais le plus souvent ça marche. Utilisez les leçons du sorcier car en plus d'être précieuse à notre héros préféré, elles peuvent en certains cas nous être précieuses à nous...

Message cité 1 fois
Message édité par Skyheroes le 23-07-2007 à 12:49:52
n°12488410
pachamama
Posté le 24-08-2007 à 00:10:44  profilanswer
 

à lire ce topic, on se demande quels bouquins on vraiment changé la vie de leurs lecteurs ? En tout cas aucun qui n'a changé de vie !
 
Personnellement j'ai lu les Carnets de Vertige de Louis Lachenal à l'âge de 10 ans (ok ce n'est pas de la littérature au sens noble du terme) mais suite à cela j'ai commencé à escalader tous les reliefs qui se présentaient à moi jusqu'à préparer une liste de courses pour devenir guide de haute montagne. Un échec, une nana et d'autres perspectives professionnelles m'ont détourné de ce boulot mais je continue à pratiquer la montagne dès que l'occasion se présente.
 
D'autres bouquins d'aventures ont également contribué à m'ouvrir les yeux sur des projets réalisables. Ainsi Slocum lu il y a plus de 10 ans m'a mis en tête un projet de tour de monde à la voile que je réaliserai, j'ai encore du temps et petit à petit ce projet se construit. Mon rêve ultime étant d'allier voile et alpinisme.


Message édité par pachamama le 24-08-2007 à 00:11:50
n°12500908
athena714
Posté le 25-08-2007 à 12:12:21  profilanswer
 

Tout les lovecrafts, qui n'ont pas vraiment changé ma vie mais qui m'ont appris qu'on pouvait avoir peur avec de simples mots (j'en ai des frissons rien que d'essayer de m'en souvenir, et pourtant je les ai lu ya 5 ans).
 
Sinon LE livre qui a changé ma vie, qui est resté mon livre de chevet pendant 3 ans, c'est le Pendule de Foucault de Umberto Eco. Ce bouquin m'a ouvert les yeux pendant mon adolescence, et il m'a appris à ne pas croire tout ce qu'on entends et à remettre en question chaque chose. De la j'ai pu apprendre à remettre tout en perspective et à profiter de la vie pleinement. Depuis je suis juste heureux :)

mood
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Posté le 25-08-2007 à 12:12:21  profilanswer
 

n°12556189
paulo-53
Posté le 31-08-2007 à 00:14:30  profilanswer
 

Aucune livre n'a changé ma vie, mais j'ai bien aimé Le Procès de Kafka, dont on avait fait l'analyse en classe, et qu'on avait comparé avec le film d'Orson Wells :)
 
L'atmosphère, le non-sens, le destin tracé de K., impliqué dans les rouages d'un système dont il ne peut s'échapper, vouer à la mort, ses tentatives vaines...  :love:  
Je vous conseille le bouquin, et le film  :jap:  (pour comparer les nuances, toussa... Wells s'approprie une version de l'oeuvre, avec quelques variantes par rapport au livre de Kafka, intéressant  ;) )


---------------
Feed-back : http://tinyurl.com/kmwycda
n°12634348
PIC$OU
Posté le 08-09-2007 à 19:10:04  profilanswer
 

paulo-53 a écrit :

Aucune livre n'a changé ma vie

Idem ; des livres m'ont fait prendre conscience de certaines choses mais n'ont pas changé radicalement ma vie. Au delà des livres c'est plus de auteurs qui m'ont donné un vision de la vie
 
Parmi eux : Zweig, Barjavel, Huxley, Appolinaire, RL Stevenson, Michaux, Jodorowsky, De Quincey, Poe, Artaud, Coelho... Entre autre pour la littérature et la poésie
 
http://terresdefemmes.blogs.com/photos/uncategorized/amok.jpg
 
http://perso.orange.fr/symbuli/images_site/couvertures/faim_tigre.jpg

n°12941269
caribouuu
Posté le 11-10-2007 à 14:55:35  profilanswer
 

Le monde selon Garp  
 
 
(faudra vraiment que jlise ce fameux Barjavel un de ces quatre depuis le temps qu'on me parle de lui)

n°13135397
ptitemel
I'm the Metatron
Posté le 31-10-2007 à 21:41:05  profilanswer
 

"Hannibal" de thomas Harris. Je suis literallement tombé amoureuse de ce bouquin! En plus lue par hasard et ben pas regretté mmon choix.


---------------
It was the best of time, it was the worst of time.
n°13188098
youna and ​jinnas1
Posté le 06-11-2007 à 22:48:05  profilanswer
 

A la croisée des mondes lise le  honnetemment ....

n°13219755
cyril67fr
Posté le 09-11-2007 à 20:24:35  profilanswer
 

Personnelement, un livre que j'ai particulièrement dévoré est Malevil de Robert Merle, c'est l'histoire de quelques survivants d'une explosion nucléaire qui a tout ravagée

n°13618630
Tyler
Posté le 27-12-2007 à 17:07:19  profilanswer
 

Fight Club - Chuck Palahniuk
Ce livre a incontestablement changé ma vision des choses...Et le film qui en résulte est un telle réussite... :love:

 

Sinon merci pour le tomic je viens de commander quelques oeuvres, je posterai mes impressions...

 

Conversations avec Dieu- Neale-Donald Walsch
Substance mort- Philip K. Dick
Le Parfum : Histoire d'un meurtrier- Patrick Süskind
Et L'alchimiste- Paulo Coelho que je n'ai toujours pas lu, tout comme la trilogie des Fourmis entre autres même si je sais pas si j'accrocherai mais on verra! Il me reste du Bret Easton Ellis aussi, il faut que je me lance...

 

Edit : UP!

 


Message édité par Tyler le 27-12-2007 à 17:07:43
n°13677893
Fused
Posté le 04-01-2008 à 14:29:28  profilanswer
 

Quand à moi je pense que c'est "La nuit des temps" de Barjavel, je l'ai lu très jeune et y ai découvert beaucoup de choses, et un roman passionant bien sûr ! Je crois que c'est le seul livre que j'ai lu deux fois !

n°13693594
x-roman-ti​ik
Comme un poisson dans l'herbe.
Posté le 06-01-2008 à 12:29:28  profilanswer
 

Le souffle des dieux, de B. Werber.

n°13703560
Fused
Posté le 07-01-2008 à 16:37:59  profilanswer
 

Je viens de le finir, en ce qui me concerne, j'ai été plutôt déçu, ayant lu tous les autres livres de Werber, je trouve que ça se répète pas mal dans ce livre. Je préfère de loin la trilogie des fourmis ou les thanatonautes.


Message édité par Fused le 07-01-2008 à 16:38:29
n°13703729
Bobslebret​on
Posté le 07-01-2008 à 16:59:58  profilanswer
 

+1
 
 
http://adelineneveu.blog.rhonealpesjob.com/public/la_r_volution_des_fourmis_p.jpg
 
 

n°17653911
elletsen
l'écriture aide à être libre
Posté le 25-02-2009 à 23:10:48  profilanswer
 

"Ensemble c'est tout" (Anna Gavalda) et "Les arcanes du Chaos" (Maxime Chattam)


---------------
Les gens qui n'écrivent pas ont sur l'écriture des idées toutes faites.
n°17654044
boblion
Posté le 25-02-2009 à 23:29:47  profilanswer
 

Pas vraiment de livre qui ont changé ma vie, mais il y en a plein qui font réfléchir. Tout particulièrement:

 

- A l'Ouest rien de nouveau ( Erich Maria Remarque):  réflexion sur l'horreur et l'absurdité de la guerre à l'échelle de l'individu.
- Le zéro et l'infini ( Arthur Koestler ): les dérives du totalitarisme soviétique.
- La ferme des animaux ( George Orwell ): Une fable sur la mise en place du totalitarisme soviétique encore.
- 1984 ( George Orwell ): toujours à propos du totalitarisme, sous une nouvelle forme.
- Le meilleur des mondes ( Aldous Huxley ): totalitarisme consumériste et eugénisme.
- Fahrenheit 451 ( Ray Bradbury ) totalitarisme encore et toujours avec abrutissement télévisuel et interdiction des livres.
- Des fleurs pour Algernon ( Daniel Keyes ) réflexion sur la nature des rapports humains et l'intelligence.
- Le joueur ( Fedor Dostoïevski ): La vie, le jeu et le tilt.
- Les raisins de la colère ( John Steinbeck ): Très beau bouquin sur l'importance de la famille et sur une période noire pour les classes populaires aux USA.
- L'étranger ( Albert Camus ): l'incompréhension et l'absurde peuvent nous amener à faire des erreurs.
- Si c'est un homme (Primo Levi ): pas grand chose à expliquer, un témoignage de l'horreur.

 

Et un bon paquet d'autres que je dois oublier. Sinon à un moindre niveau j'aime bien plein de nouvelles de SF parce qu'elles aboutissent toujours à une situation originale et ça fait cogiter pas mal. Chronique martiennes est un livre vraiment génial à mes yeux avec plein de variations autour du concept de "martien", qui peut être à la fois extraterrestre ou bien le nouveau être humain qui s'installe etc ...  ou encore l'homme illustré ( toujours de Bradbury) sont excellents dans ce genre.

 

Sinon après pas mal de classique plus enfantins pour tout ce qui est du merveilleux ( le hobbit :love: ).

Message cité 2 fois
Message édité par boblion le 25-02-2009 à 23:43:17
n°17654102
Betcour
Building better worlds
Posté le 25-02-2009 à 23:38:37  profilanswer
 

boblion a écrit :


- La ferme des animaux ( Une fable sur la mise en place du totalitarisme soviétique encore )
- 1984 ( toujours à propos du totalitarisme, sous une nouvelle forme )


C'est marrant c'est les deux que j'allais citer. Le premier ne parle pas que de totalitarisme, il parle aussi du communisme (où comment il est facile au nom des grandes idées et de la révolution d'asservir les autres).
 
Perso y'a toute l'oeuvre d'Asimov qui m'a beaucoup marqué: sa vision optimiste et positive du progrès et de la science.


---------------
"They will fluctuate" (J.P. Morgan) - "Whenever you find yourself on the side of the majority, it is time to pause and reflect." (Mark Twain)
n°17681019
Bartimer
Posté le 28-02-2009 à 22:43:35  profilanswer
 

klendatul a écrit :

La trilogie des Fourmis de Werber
 
Ca m'a beaucoup fait reflechir sur la place de l'homme sur terre.


 
Oué , mais moi je préfère la suite avec la série des Dieux

n°17682776
Fitzal
Posté le 01-03-2009 à 09:42:01  profilanswer
 

Franchement, aucun livre n'a changé ma vie.
 
Enfin, ils ont failli y arriver :
Le meilleur des mondes, l'Etranger, Candide, Attala : j'ai vraiment eu des envi de suicide en les lisant. Pis en les étudiants, j'ai comaté  un bon moment  :o  
 
Je confirme que j'aime lire, mais pas ça.

n°17684465
boblion
Posté le 01-03-2009 à 16:05:04  profilanswer
 

Pour pas arriver à lire le meilleur des mondes et l'Etranger faut être un vrai bon wisigoth quand même :o
Je sais pas ce que t'aimes mais on doit pas avoir des goûts compatibles...
Fin bref [:prozac]


Message édité par boblion le 01-03-2009 à 16:06:08
n°17685601
benbibop
Posté le 01-03-2009 à 19:16:33  profilanswer
 

Volta a écrit :

personne lovecraft ?
 
sur hfr ca m'étonne  :??:


 
Si. Première lecture vers 11 ans, et c'était "Dans l'abîme du temps". M'en suis-je jamais remis... trouvées par hasard dans des bouquins qui devaient me venir de mon père, ces quatre nouvelles ont constitué un renversement bouleversant pour mon "monde intérieur" (j'ai toujours été plutôt introverti, il me semble, pour autant que l'on puisse "objectivement" se juger soi-même).

n°17685685
benbibop
Posté le 01-03-2009 à 19:26:05  profilanswer
 

boblion a écrit :

Pas vraiment de livre qui ont changé ma vie, mais il y en a plein qui font réfléchir. Tout particulièrement:
 
- A l'Ouest rien de nouveau ( Erich Maria Remarque):  réflexion sur l'horreur et l'absurdité de la guerre à l'échelle de l'individu.
- Le zéro et l'infini ( Arthur Koestler ): les dérives du totalitarisme soviétique.
- La ferme des animaux ( George Orwell ): Une fable sur la mise en place du totalitarisme soviétique encore.
- 1984 ( George Orwell ): toujours à propos du totalitarisme, sous une nouvelle forme.
- Le meilleur des mondes ( Aldous Huxley ): totalitarisme consumériste et eugénisme.
- Fahrenheit 451 ( Ray Bradbury ) totalitarisme encore et toujours avec abrutissement télévisuel et interdiction des livres.  
- Des fleurs pour Algernon ( Daniel Keyes ) réflexion sur la nature des rapports humains et l'intelligence.
- Le joueur ( Fedor Dostoïevski ): La vie, le jeu et le tilt.
- Les raisins de la colère ( John Steinbeck ): Très beau bouquin sur l'importance de la famille et sur une période noire pour les classes populaires aux USA.
- L'étranger ( Albert Camus ): l'incompréhension et l'absurde peuvent nous amener à faire des erreurs.
- Si c'est un homme (Primo Levi ): pas grand chose à expliquer, un témoignage de l'horreur.
 
Et un bon paquet d'autres que je dois oublier. Sinon à un moindre niveau j'aime bien plein de nouvelles de SF parce qu'elles aboutissent toujours à une situation originale et ça fait cogiter pas mal. Chronique martiennes est un livre vraiment génial à mes yeux avec plein de variations autour du concept de "martien", qui peut être à la fois extraterrestre ou bien le nouveau être humain qui s'installe etc ...  ou encore l'homme illustré ( toujours de Bradbury) sont excellents dans ce genre.
 
Sinon après pas mal de classique plus enfantins pour tout ce qui est du merveilleux ( le hobbit :love: ).


 
Des Fleurs pour Algernon ! Quelle claque celui-là... un livre que je relis toujours avec plaisir. Et puis il y a cette espèce de construction en crescendo/decrescendo qui pèse sur le caractère tragique. Et cette fin en chien de faïence ! Est-il plus heureux, l'est-il moins... Où est la "vie bonne"...  
 
Un livre propre à susciter de belles réflexions.

n°17686356
Sharen Mor​gan
Blonde à forte Personnalité
Posté le 01-03-2009 à 20:49:54  profilanswer
 

L'alchimiste (Paulo Coelho) apparemment je suis loin d'être la seule, ce livre à la côte  :)  
La légende de la septième vierge (Victoria Holt) Un vieux bouquin, lu en plein début d'adolescence, je suis devenue fan de l'auteur.
Ensemble c'est tout (Anna Gavalda) j'arrivais pas à me sortir de ce livre, je l'ai lu 3 fois avant de pouvoir passer a autre chose. (par contre le film est :pfff: )
La baleine blanche (jacques Lanzmann) et d'autres du même auteur dont "le têtard"  
Et si c'était vrai (Marc Levy) rien à dire j'adore...
et pendant que j'y suis : la nostalgie de l'ange (Alice Sebold) un livre qui m'a touché.


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Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière !
n°17686569
Tyler
Posté le 01-03-2009 à 21:16:32  profilanswer
 

[:the este]

n°17687133
boblion
Posté le 01-03-2009 à 22:14:12  profilanswer
 

[:cytrouille]


Message édité par boblion le 01-03-2009 à 22:15:13
n°18445107
steven des​chains
il y a d\\\'autres mondes
Posté le 11-05-2009 à 19:28:31  profilanswer
 

POINT DE VUE EN QUATRE POINGS (j'arrive à replier mes orteils d'une façon très... manuelle ou simesque, c'est pour ça, le "g" à "." ):
 
(Comme à l'école: thèse, antithèse, synthèse, foutaise)
 
 
 
1) Bizarrement, le livre qui a """changé ma vie""", enfin si on veut, et avec beaucoup de guillemets, est un livre que je n'ai pas vraiment aimé.
 
C'est Fight Club, Chuck Palahniuk.
 
N'étant pas un grand lecteur, je l'ai choisi à la bibliothèque car j'avais adoré le film. Vu 2 fois au ciné, plusieurs fois en dvd.
 
Et là j'ai été déçu, trouvé ça quelconque.
 
(bémol positif: la critique de la société, ok, les exemples sont bien choisis, c'est certes défendable.)
 
Et puis, je me suis dit que je me trompais de toujours pencher du côté de la critique, pas assez des solutions (ado, mon père m'a re-re-re-répété cette phrase: "la critique est facile, mais l'art est difficile"; je ne dois pas être le seul dans ce cas, d'ailleurs!)
 
Depuis, je me désintéresse des choses sombres, du "choquer pour choquer", et cherche à aller vers ce que j'aime, plutôt que de me plaindre de ce qui ne va pas, de me morfondre dans le malaise... et de ne surtout pas TOUT CASSER comme dans une révolte adolescente ( utopie à la con, avec le recul! ) !!!
 
Je sais que certains d'entre vous ont cité Fight Club en ayant un point de vue totalement différent du mien.
Votre point de vue est tout aussi honorable que le mien.
Mon analyse est peut-être erronée... mais c'est la mienne! ... du moins jusqu'à ce que je change d'avis (si je.)(on ne sait jamais).
(y'a répétitions et/ou pléonasmes qui se sont glissés quelque part ci-dessus, mais je sais pas trop où.)
 
 
 
2) Une série qui a eu une grande influence sur ma perception: les analyses psychologiques de Christie, surtout les "Poirot".
J'ai apprécié constater l'évolution en un demi-siècle, ou un siècle, des relations humaines.
Alors que ce fut stable un long temps ( immobilité géographique, classes sociales figées,... ), les gens ont considérablement changé (du moins dans les pays occidentaux).
 
 
 
3) Enfin, les livres qui ont considérablement changé ma vie... sont ceux que je n'ai pas lu!
 
Quand je LIS les titres de tous les livres que vous citez, je n'en ai pas LU 10% (et encore je suis généreux).(au passage, en verlan, ça fait Lully, célèbre peintre ou musicien.)
Je me rends compte que j'ai raté beaucoup d'infos qui auraient pu me faire progresser, mais la facilité m'a fait stagner.
(ha la télé, l'internet passif, les guides, Que j'ai aimé ne plus réfléchir par moi-même!)
 
 
 
4) Tous les livres changent ma vie!
Maintenant que j'ai plus ou moins repris la lecture ( je dois en être à plus de 12 par an... pas de bataille de chiffres, svp, chacun sa progression: je pars de zéro),
je pense que je peux retarder au maximum le moment où je vais devenir un beauf. Ca, ça change une vie.
C'est pas gagné, mais en tout cas j'essaye! ou j'essaie (oui, je sais, c'est lourd voire balourd)
 
 
Pour finir, citation d'un grand auteur comique (grand... en entrées en salles ciné, du moins...): "IL FAUT LIRE; TU VAS T'EVADER"
(précision: Danyboon, pour ceux qui ont pas reconnu l'interprète.)
 
 
Ah, j'allais oublier: lire donne envie d'écrire.
Bonnes lectures, bande de cultivés!
(chapeau bas à ceux qui ont lu en entier mon intervention pleine de parenthèses et de style... spécial (ou sans style); peut-être cela a-t-il changé vos vies...
...euh, non, j'crois pas, en fait!)

n°18449038
Mere_noel
Posté le 12-05-2009 à 00:34:18  profilanswer
 

Des livres qui ont changé ma vie .. il y en a tellement !!!
Tout d'abord Amok (Stefan Zweig), j'ai eu le coup de foudre pour la seconde nouvelle : lettre d'une inconnue. J'ai du pleurer toute les larmes de mon corps sur ces quelques pages.
 
Anna Karenine (tolstoi) : Je n'ai jamais autant aimé et admiré une héroïne. J'ai mis une semaine a me remettre de la fin du bouquin -_-" ( oui je suis une petite nature)
 
Jane eyre : Grace a Charlotte Bronte, je connais enfin le nom du prince charmant : Mr Edward Rochester =D
 
Persuasion de Jane austen, Avec vue sur l'Arno de Forster, Eugenie  
Grandet et Beatrix de Balzac, la symphonie pastorale de gide, A la croisee des mondes et bien d'autre encore !!! =D
 

n°18467934
globodayne
Posté le 13-05-2009 à 16:03:11  profilanswer
 

Bon il y a pas de livre qui a vraiment changer ma vie mais qui ma bouleverser ..!  
je me souviens du livre 11 minutes de paolo kuilio qui est l'histoire d'une petite brésilienne vivant dans le monde de la prostitution et c'étais fort avec les révelations et les découvertes de cet écrivain qui touche le côtés sentimentale corporelle et sensationnelle de cette fille ça m'a fait changer un peu ma vision envers ce genre de fille .
le bouquin meeting of charle'k holmes with segmond fruid de Nikolas meyer sa force et le mélange du côté pschicologie purement scientifique du medecin d'une narration tellement simple avec la sciences de la crimes qui révele de l'intelligence et le flaire de l'inspecteur .
c'étais vraiment trés intéressant et captivant .

n°18632319
ichh
Come with us
Posté le 28-05-2009 à 13:38:42  profilanswer
 

la bete humaine de zola
les chants de maldoror de lautréamont
corps exquis de Z brite
 
et un poeme  aussi : le dormeur du val de rimbaud


Message édité par ichh le 28-05-2009 à 13:41:03

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Les souvenirs d'enfance sont le regret de la maturité.
n°18635674
harryp75
Posté le 28-05-2009 à 17:20:08  profilanswer
 

moi c'est Harry Potter : j'ai grandi avec :love:

n°18654167
CastorTroy​01
Posté le 30-05-2009 à 07:29:56  profilanswer
 

Citation :

Le livre qui a changé votre vie ?


C'est une grande affirmation ; je dirais "éclairé" à un moment, "connaître" ce qui a été et "développé" le présent :
 - Ca de Stephen King : ce groupe de gamins marginales dans les friches mortes correspondait parfaitement à ce que je vivais avec des amis étant gamins (on avait nos "friches mortes", avant qu'on lisait ce bouquins).
 - 1984 : La logique implacable du monologue du "méchant", impossible de le mettre en tort, les annexes sur le novlangue très pertinentes malgré le coté révoltant (et valable aujourd'hui encore).
 - H.P. Lovecraft : pour la Peur, étant ado. Avec des mots, comment décrire l'indicible de ce qui nous fait Homme (Peur = remise en question face à l'inconnue, nos faiblesses reconnues malgré le savoir accumulé) : plus on apprend, moins on a d'appuis.
 - Le Seigneur des Anneaux : Le sophisme de la lecture : le fond bête comme ses pieds mais d'une forme excellentissime.
 - Le maitre du Haut château de P.K.Dick : sans atteindre la qualité sémantique de Tolkien, Dick le surpasse dans la narration d'une histoire et de ces idées : Terriblement humain, tout en questionnant la réalité. Ce qu'elle est, ce pourquoi on agit et notre interaction avec ceux qui doutes autant que nous : on agit pas face à des données pour contrer/aller dans un sens, on interagit avec vers un nouveau/autre chemin.
 
Je ne suis pas un gros lecteur, mais les livres ont une sacrée force qui, à défaut de changer la vie, permette de l'appréhender un peut mieux (en exagérant quand même un peu).

n°18787994
Olivier_h
Posté le 10-06-2009 à 19:00:28  profilanswer
 

Je l'ai pas encore vu tomber, alors jle lance :  
 
La conjuration des imbéciles de John Kennedy Toole.
 
Sinon quelques titres :
 
La Malorée  de David Eddings  
L'Edda de Snorri Sturluson
Quartier lointain de Jirô Taniguchi (d'accord, c'est un roman/manga, mais m*rde, quelle claque ! d'ailleurs, "Le journal de mon père" est pas mal non plus )

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