Reprise du message précédent :
"Caramel, le gentil petit caniche"
Bon OK ça fait un peu minable vu de loin mais j'avais 10 ans et c'est le 1er livre que j'ai vraiment lui (après les Martine) et depuis j'ai adoré lire
 

tartine

"l'ennui est une femme à barbe" de barcelo
 
et 20 mille lieues sous les mers
qui m'ont redonné le gout de la lecture  

pif gadjet

changé ma vie ? aucun, faut relativiser...Mis une sacrée baffe, y en a un paquet...Ado, j'étais dans la "terreur" à mort, donc "Les Rats" de J.Herbert restera gravé à jamais...Dans les 5 dernières années, je dirais que ça se joue entre "La Pierre et le Sabre" de Eiji, "Le Bruit et la Fureur" de Faulkner, "Lolita" de Nabokov et n'importe quel tome du cycle du Disque-Monde de Pratchett...

le journal d'Anne Franck

conversation avec Dieu   de Neale Donald Walsch
Le Guerrier Pacifique     de Dan Millman
l'alchimiste          Coelho

l'herbe bleu

César l'éclaireur... je me rapelle plus de l'auteur..

L'oeuvre de Dieu, la part du Diable de John Irving
Ca m'a confirmé que quelques soient mes efforts pour essayer de devenir auteur, jamais je n'atteindrai ce niveau de précision et d'intensité émotionnelle avec mes mots

Très bien ce bouquin de Irving, mais pas joyeux joyeux, le sujet est assez difficile mais très bien traité et effectivement avec beaucoup de sensibilité.

 
Il parait qu'ils en ont fait un film. Tu connais ?
Irving a d'autres bouquins pas mal du tou (Le monde selon Garp, Un mariage poids moyen...) mais celui la m'a vraiment marquée

Un que j'ai adoré c'est "une prière pour Owen", en fait c'est le premier que j'ai lu de lui.
Le film je n'en ai pas entendu parlé, je ne sais pas ce qu'il vaut.

L'assassin royal de Hobb, il m'a redonné envie de lire apres 6 ans sans avoir ouvert un livre. Maintenant j'en devore un par semaine.

C'est bizarre, je suis en plein dedans en ce moment ! Je viens de dépasser le passage sur la crèche vivante.
Irving est admirable sur un point : quand je le lis, je visualise très précisément les scènes, on croirait presque voir un film. Le seul problème c'est que j'aime tellement que je les lis assez vite et je suis très triste et énervée à chaque fois que j'en finis un
Pour le film, la couverture du livre correspond à l'affiche du film : un jeune homme portant une jolie blonde sur ses épaules

C'est le tout début ça non? Enfin à vrai dire je me souviens essentiellement de la fin quand il .......... je rigole, je ne te raconte rien
C'est vrai qu'il a tendance à écrire des pavés et pourtant ils se lisent vite, on est pris par l'histoire. C'est vrai que l'on visualise bien les scènes qu'il raconte, il doit être assez possible de faire des adaptations au cinéma, c'est peut être bon signe pour le film l'oeuvre de dieu la part du diable

[quotemsg=6660322,263,231911]C'est le tout début ça non? Enfin à vrai dire je me souviens essentiellement de la fin quand il .......... je rigole, je ne te raconte rien
quotemsg]
Ne me raconte rien mais j'ai juste une question : j'ai lu 5 bouquins d'Irving et le point commun entre les 5 c'est qu'il y a forcément un des personnages qui à un moment ou un autre a un problème de 'chaude pisse', te souviens-tu si c'est le cas dans "Une priere pour Owen" car là ce serait trop fort qu'il réussisse à placer ce détail dans chacun de ses romans.
(Au fait, pas mal Nicky Larson, ca ne nous rajeunit pas vraiment )

Non je ne m'en souviens pas, mais ça n'est pas impossible vu la manière dont ça s'attrape... en effet ça revient souvent (si pas à chaque fois), Irving a dû être tromatisé par ça à un moment dans sa vie si ça se trouve.
(Ben je suis resté très jeune, et si tu aimes bien je te conseille de lire les mangas qui sont plus drôles que le dessin animé)

'L'oeuvre de Dieu, la part du Diable', le docteur a un problème avec la prostituée au début, 'L'épopée du buveur d'eau', ca dure presque tout le livre, 'Liberté pour les ours', il y fait allusion (c'est le moins bon de ses livres d'après moi)...
C'est plus du tromatisme, ca vire à l'obsession.
(jamais lu de mangas, mais le dessin animé, je peux passer des heures devant même si le temps du club Dorothée est bien révolu)

C'est son premier "liberté pour les ours", c'est sans doute pour ça que c'est le moins bon. Mais je viens de regarder sa bio, il a fréquenté les bordels de Viennes dans sa jeunesse... il a peut être eu quelques soucis ou au moins rencontré des gens avec ces soucis.
(tu les as? )

Je pensais que c'était 'l'hotel New Hampshire' son premier, impossible de mettre la main dessus.
En fait c'est la première fois que je m'intéresse autant à un auteur au point de lire tous ses livres, enfin la majorité. C'est étrange comme sensation de chercher les ressemblances d'un livre à l'autre (la lutte, les dortoirs d'école privée pour garçons...). J'ai l'impression de psychanalyser l'auteur.
(Non je ne les ai pas mais je crois que ca passe sur AB1 en ce moment)

http://authologies.free.fr/irving.htm
Et le lien qui se trouve en bas de page, il y a pleins d'infos si ça t'intéresse.
 
En effet la lutte et les écoles ou universités ce sont des choses qui reviennent très souvent, mais c'est son sport favori, il l'a pratiqué il me semble et ses fils aussi. Il a aussi été prof je pense. J'avais vu un reportage sur lui un jour, mais là aussi ça date.
(j'ai pas la télé )

Je viens de jeter un oeil : super ! super ! super ! Merci pour tout (je ne suis pas une fan de la recherche sur internet, donc quand c'est servi comme ca sur un plateau...)
Je ne savais qu'il n'avait pas de père. C'est vrai que la recherche du père est également une obsession qu'on retrouve dans tous les romans.
(comment ca t'as pas la télé ? Moi je suis gravement atteinte, je ne comprends donc pas ta situation)

Chroniques Martiennes de Bradbury à 12 ans.
Ne me demandez pas pourquoi, j'ai eu l'impression d'avoir fini mon enfance en terminant ce livre, d'être quelqu'un d'autre.

Mon ami frederic de Hans peter richter  quand j'etais au college, je l'ai trouvé par hasard ds le placard de la salle de classe, j'ai du le relire 5 à 6 fois, il m'a fait prendre conscience que le monde etait pas tout beau tout joli et que y a pas si longtps que ça ben c t l'horreur en europe

A part le cycle de Dune qui me passionne toujours, les bouquins qui m'ont vraiment marqué sont l'étranger de Camus (lu qu'une fois dans mon adolescence mais je ressens encore le trouble ressenti au moment de refermer le bouquin.
 
Et le petit prince, tout bêtement.  
 
Je pourrai ajouter certains Corto Maltese, aussi. Ce sont 3 bouquins, des personnages qui me reviennent frequemment en mémoire dans des moments heureux ou malheureux, légers ou capitaux.

Le cycle de Dune et L'étranger  

Y'en a pleins comme ça, mais  
"Le tunnel", d'André Lacaze. Dégoté dans une bibliothèque, au pif, je l'ai lu en deux jours, pas pu le lacher.

Y'a un paquet de bouquin qui ont, non pas changé ma vie (je ne suis pas con à ce point là pour permettre à d'obscurs taffioles dandinant du postérieur devant un portrait de Victor Hugo de boulverser ma vie avec deux-trois phrases ridicules éjaculées sur une page plus ou moins blanche pour se prouver à eux-même que leur cerveau est plus gros que leurs couilles de changer ma vie)... Heu... Qu'est-ce que je disais ?..
 
Y'a un paquet de bouquins qui ont, non pas changé ma vie, mais l'ont éclairé d'une lumière crue et m'ont permis de découvrir des pans entier de sa réalité. Le dernier d'entre eux est "Lunar Park" de Brett Easton Ellis. Ce qui est étonnant avec ce livre, c'est qu'au départ on pense suivre une histoire mi-fantastique mi-policière, on se pique au jeu d'un récit mêlant aventure et horreur, et en bout de course, des choses vraies sont dîtes qui replacent l'ensemble dans l'optique d'une cruelle métaphore, inspirée de l'experience vécue de l'auteur.

Pour moi c'est sans aucun doute la serie Le disque Monde de Terry Pratchett    
C'est pas vraiment les histoires qui m'ont marqué mais plutôt le style de l'auteur, sa façon qu'il a de montrer les travers de l'humanité comme si de rien n'y était. Quand j'ai lu ses livres je me suis tout de suite reconnu dans sa vision de la vie, je n'avais jamais été aussi proche de la manière de penser d'un auteur.
En tout cas maintenent lire d'autre livre me parrais presque fade.

 
Je suis actuellement en train de lire "le parfum: portrait d'un meurtrier" et il me captive complètement.
Je le lis car une personne me l'a recommandé et en plus il va sortir en film prochainement mais j'ai un peu des doutes sur la réussite du film.
Sinon j'adore Chattam!!!
Et vous, qu'en pensez vous?
 
Mais le livre qui m'a le plus marquée, c'est peut être "Cujo".

Fear and Loathing in Las Vegas  -  Hunter S. Thompson
Fight Club - Chuck Palahniuk

Voyage au bout de la nuit, peut-être.

Dans les non cités :
 
Le démon d'Hubert Selby Jr (monsieur Retour à Brooklyn aka Requiem for a dream )
 
 
J'aurais jamais cru que je puisse ressentir physiquement un bouquin aussi fortement, je n'ai rien lu pendant des mois suite à cette lecture, les autres livres entamés me semblaient terriblement fades, c'est un peu passé mais je ressens toujours des frissons à évoquer cette lecture, difficile de sortir indemne de cette histoire dont la fin est inéluctable dès la première page et qui nous happe de bout en bout avec force et fracas...
 
 
Pour le reste, évidemment les 1984, Meilleur des mondes ou Farenheit 451 pour le questionnement sur nos sociétés, l'étranger de Camus pour ce qu'il est, les livres d'Ellis (et plus particulièrement Moins que Zéro) pour tout, quelques nouvelles de Buzatti parues dans le receuil intitulé le K et surtout "Pauvre petit garçon" parce que c'est une grande leçon de la vie contenue en si peu de pages...

Les élégies de Duino de Rilke
 
La lecture est difficile mais si on s'acharne un peu,
On referme le livre en se disant : COMMENT peut-on vivre
Sans connaître ce qu'il nous dit ?

Le Chercheur d'Or de Jean-Marie Le Clézio et les Pensées de Blaise Pascal

Les 42 tomes de Dragon Ball    
Sinon dans un genre plus sérieux: Candide. Disons que je suis pas un grand lecteur  

C'est vrai que dans ce bouquin de Buzzati, il y a pas mal de perles.
 
Je me souviens aussi de "chasseur de vieux" qui m'a pas mal marqué aussi.
 
[HS]4000ème post [/HS]
 

dans un premier temps :  
"Oms en Série" de Stefane Wul, qui m'a ouvert au genre de la science fiction, et aussi a se poser des questions sur l'évolution de l'homme.
 
"Ubik" de Phillip K. Dick, qui reste mon livre phare Je trouve l'univers décrit complètement dément ... et j'aimerais un jour voir une adaptation cinéma de ce bouquin (réalisé par Uwe Boll bien sur   )
 
et "Le monde du Ã" de Van Vogt, qui offre une vulgarisation scientifique du non Aristotélicisme. Et qui reste un des titres les plus originaux que j'ai lu.
 
 
wallou

Jacques le fataliste et son maitre de Diderot