Une nouvelle expérience.
Chaque participant au forum peut compléter l'histoire (une phrase par jour).
 
Avant de continuer le texte, faites un copier-coller du précédent écrit.
 
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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment
le monde tournait près de chez lui.
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A vous !  

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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment
le monde tournait près de chez lui. En ouvrant la porte, il découvrit devant chez lui un chat, un gros
matou de pelage gris portant autour de son cou un morceau de papier ...
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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment
le monde tournait près de chez lui.  
 
A ce moment là, une énorme explosion retentit : la fin du monde.  
Johan fut brûlé vif comme le reste de la planète.
 
 

     
Pauvre Johan

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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes  
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment  
le monde tournait près de chez lui.  
 
A ce moment là, une énorme explosion retentit : la fin du monde.  
Johan fut brûlé vif comme le reste de la planète.  
Soudain, c'est le drame.  
Là, sous ses yeux, la fusion Suez-GDF se fait en un instant, jetant des milliers de prolétaires à la rue !
 
Ce genre de pensée était son quotidien. Il se sentait tellement dépassé par la vie au dehors. Non,  
il devait vraiment sortir et affronter le quotidien quel qu'il soit...
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Je me réserve le droit d'effacer les phrases qui ne respecteront pas un certain ensemble.
Chaque utilisateur du forum me réserve les droits d'utlisation ou non de celles-ci

Tu veux pas non plus qu'on fasse rédiger un contrat de cession des droits d'auteur devant huissier, non ?

L'utilisation était plus dans le sens que les phrases soient effacées ou non ;o)

Ah non !
Et pourquoi tu effacerais ?
Alors que cela nous a demandé des heures de réflexion...

 
Une vie de geek quoi.
 

l'idée n'est pas mauvaise

 
le cadavre exquis ? c'est typiquement le genre de topic que je trouve sans interet
comme les topics liste ou "meilleur de"
si c'est pour ecrire des histoires et faire marcher son imagination il y a des topics beaucoup mieux pour ca:
 
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 3435-1.htm
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 1174-1.htm

 
Un sujet que vous trouvez tellement inintéressant que vous prenez même la peine de le lire et, qui plus est, de le commenter    
 
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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes  
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment  
le monde tournait près de chez lui.    
   
A ce moment là, une énorme explosion retentit : la fin du monde.    
Johan fut brûlé vif comme le reste de la planète.  
Soudain, c'est le drame.  
Là, sous ses yeux, la fusion Suez-GDF se fait en un instant, jetant des milliers de prolétaires à la rue !  
 
Ce genre de pensée était son quotidien. Il se sentait tellement dépassé par la vie au dehors. Non,  
il devait vraiment sortir et affronter le quotidien quel qu'il soit...  
Le moyen-orient, la corée du nord, le darfour, guantanamo, le flop du dernier BHL,  
tous ces drames n'allaient pas l'empêcher de vivre sa vie de jeune,  
d'envoyer des SMS à Josie en espérant secrètement tremper sa nouille  
imberbe dans son nombril, parce qu'il n'avait aucune idée de ce qui se touvait dessous.  
Ce genre de pensée le hantait d'ailleurs de plus en plus mais il n'osait l'avouer. Il espérait de toute façon  
pouvoir construire une relation fantastique avec Josie mais était-elle capable de le comprendre ? Et puis, il y  
avait la différence d'âge... Lui n'avait que 16 ans et elle devait sans doute avoir dépassé la trentaine...  
 
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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes    
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment    
le monde tournait près de chez lui.    
   
A ce moment là, une énorme explosion retentit : la fin du monde.    
Johan fut brûlé vif comme le reste de la planète.    
Soudain, c'est le drame.    
Là, sous ses yeux, la fusion Suez-GDF se fait en un instant, jetant des milliers de prolétaires à la rue !  
   
Ce genre de pensée était son quotidien. Il se sentait tellement dépassé par la vie au dehors. Non,    
il devait vraiment sortir et affronter le quotidien quel qu'il soit...  
Le moyen-orient, la corée du nord, le darfour, guantanamo, le flop du dernier BHL,    
tous ces drames n'allaient pas l'empêcher de vivre sa vie de jeune,    
d'envoyer des SMS à Josie en espérant secrètement tremper sa nouille  
imberbe dans son nombril, parce qu'il n'avait aucune idée de ce qui se touvait dessous.    
Ce genre de pensée le hantait d'ailleurs de plus en plus mais il n'osait l'avouer. Il espérait de toute façon  
pouvoir construire une relation fantastique avec Josie mais était-elle capable de le comprendre ? Et puis, il y  
avait la différence d'âge... Lui n'avait que 16 ans et elle devait sans doute avoir dépassé la trentaine...  
Il descendit rapidement les escaliers puis manqua presque de renverser un vieux monsieur qui semblait perdu devant la porte d'entrée.
"Je peux vous aider ? Vous cherchez quelqu'un ?"
Johan n'avait jamais été quelqu'un de particulièrement préoccupé par les autres mais la détresse de quelqu'un l'avait toujours marqué profondément. D'ailleurs, depuis qu'il était enfant, il ne supportait pas de voir une quelconque tristesse sur le visage de quelqu'un. La moindre chose le faisait verser mille larmes.
"Je ne sais pas, je recherche Mr Johan Paulik. Mais je ne trouve pas son nom sur les sonnettes. Pourtant, je suis convaincu qu'il habite ici !"
 
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Et tout commenca un mardi après-midi à 16h. Johan venait d'écrire quelques phrases insignifiantes    
sur un forum trouvé au hasard du net et il se décida enfin à sortir de chez lui afin de voir comment    
le monde tournait près de chez lui.      
     
A ce moment là, une énorme explosion retentit : la fin du monde.      
Johan fut brûlé vif comme le reste de la planète.    
Soudain, c'est le drame.    
Là, sous ses yeux, la fusion Suez-GDF se fait en un instant, jetant des milliers de prolétaires à la rue !    
   
Ce genre de pensée était son quotidien. Il se sentait tellement dépassé par la vie au dehors. Non,    
il devait vraiment sortir et affronter le quotidien quel qu'il soit...    
Le moyen-orient, la corée du nord, le darfour, guantanamo, le flop du dernier BHL,    
tous ces drames n'allaient pas l'empêcher de vivre sa vie de jeune,    
d'envoyer des SMS à Josie en espérant secrètement tremper sa nouille    
imberbe dans son nombril, parce qu'il n'avait aucune idée de ce qui se touvait dessous.    
Ce genre de pensée le hantait d'ailleurs de plus en plus mais il n'osait l'avouer. Il espérait de toute façon    
pouvoir construire une relation fantastique avec Josie mais était-elle capable de le comprendre ? Et puis, il y    
avait la différence d'âge... Lui n'avait que 16 ans et elle devait sans doute avoir dépassé la trentaine...    
Il descendit rapidement les escaliers puis manqua presque de renverser un vieux monsieur qui semblait perdu devant la porte d'entrée.  
"Je peux vous aider ? Vous cherchez quelqu'un ?"  
Johan n'avait jamais été quelqu'un de particulièrement préoccupé par les autres mais la détresse de quelqu'un l'avait toujours marqué profondément. D'ailleurs, depuis qu'il était enfant, il ne supportait pas de voir une quelconque tristesse sur le visage de quelqu'un. La moindre chose le faisait verser mille larmes.  
"Je ne sais pas, je recherche Mr Johan Paulik. Mais je ne trouve pas son nom sur les sonnettes. Pourtant, je suis convaincu qu'il habite ici !"  
"Mais, c'est moi !" lui répondit Johan aussi surpris que son interlocuteur qui semblait d'ailleurs avoir toutes les peines du monde à le croire à voir la façon dont il dodelinait la tête.
Il était d'ailleurs assez élégant malgré un vieux pardessus gris sale et un chapeau froissé. L'élégance lui venit sans doute d'une profession élévée qu'il avait dû pratiquer ou qu'il pratiquait encore sans laisser de place pour rien d'autre au monde.
"Vous paraissez si jeune... Mais vos traits me paraissent si purs, une telle beauté chez un jeune homme." répondit-il un petit sourire au coin des levres. "J'ai un message pour vous, mais pourrions-nous nous voir dans un endroit plus calme ? Il faudra aussi que je vérifie votre identité car ce que j'ai à vous dire est trop important pour des oreilles étrangères..."
Johan, bien qu'amusé par cette rencontre inédite, souhaitait en savoir plus sur cette rencontre fortuite et si rare dans sa petite vie à présent...
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[...]  
Ce genre de pensée le hantait d'ailleurs de plus en plus mais il n'osait l'avouer. Il espérait de toute façon    
pouvoir construire une relation fantastique avec José mais était-il capable de le comprendre ? Et puis, il y    
avait la différence d'âge... Il n'avait que 16 ans et il devait sans doute avoir dépassé la trentaine...    
Il descendit rapidement les escaliers puis manqua presque de renverser le vieux monsieur du troisième qui semblait perdu devant la porte d'entrée.  
"Je peux vous aider ? Vous cherchez quelqu'un ?"  
Johan n'avait jamais été quelqu'un de particulièrement préoccupé par les autres mais la détresse de quelqu'un l'avait toujours marqué profondément. D'ailleurs, depuis qu'il était enfant, il ne supportait pas de voir une quelconque tristesse sur le visage de quelqu'un. La moindre chose le faisait verser mille larmes.  
"Je ne sais pas, je recherche Mr Johan Paulik. Mais je ne trouve pas son nom sur les sonnettes. Pourtant, je suis convaincu qu'il habite ici !"  
"Mais, c'est moi !" lui répondit Johan aussi surpris que son interlocuteur qui semblait d'ailleurs avoir toutes les peines du monde à le croire à voir la façon dont il dodelinait la tête.
Il était d'ailleurs assez élégant malgré un vieux pardessus gris sale et un chapeau froissé. L'élégance lui venit sans doute d'une profession élévée qu'il avait dû pratiquer ou qu'il pratiquait encore sans laisser de place pour rien d'autre au monde.
"Vous paraissez si jeune... Mais vos traits me paraissent si purs, une telle beauté chez un jeune homme." répondit-il un petit sourire au coin des lèvres. "J'ai un message pour vous, mais pourrions-nous nous voir dans un endroit plus calme ? Il faudra aussi que je vérifie votre identité car ce que j'ai à vous dire est trop important pour des oreilles étrangères..."
Johan, bien qu'amusé par cette rencontre inédite, souhaitait en savoir plus sur cette rencontre fortuite et si rare dans sa petite vie à présent...
Et puis, la perspective d'une  relation sexuelle furtive sous la porte cochère de son immeuble, l'excitait au plus haut point.
Son trouble devait se deviner car le voisin du troisième proposa à Johan de prendre un thé dans son appartement.  
Johan accepta en bégayant ; il croyait être dans un rêve. Mon dieu, pensa-t-il, je suis en train de me transformer en petit salope soumise. Cet homme a une influence incontrôlable sur moi.
Mais je bande !
 
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Ben alors ?
Y a plus personne pour continuer l'oeuvre ?
 
Bon, allez, je finis par la chute...
 
[...]
— Mais je bande !
— Quoi ? Qu'est-ce qui y a ?
— Rien, rien, chérie. Rendors-toi, j'ai fait un cauchemar.
— Humm, il devait bien être terrifiant ton cauchemar, t'as éjaculé dans les draps...