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Auteur Sujet :

cherche critique chap 1 de mon roman H fantazy

n°4646366
yulara
Byte Hunter
Posté le 18-01-2005 à 11:02:09  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
arf ben zut alors ze vais pas avoir de dedicace :pfff:


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
mood
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Posté le 18-01-2005 à 11:02:09  profilanswer
 

n°4646384
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 18-01-2005 à 11:04:03  profilanswer
 

Au boulot !

n°4646400
yulara
Byte Hunter
Posté le 18-01-2005 à 11:05:36  profilanswer
 

t'as raison, faut que je retourne bosser :p
(meme si j'ai pas envie :cry: )


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4646412
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 18-01-2005 à 11:07:55  profilanswer
 

yulara a écrit :

t'as raison, faut que je retourne bosser :p
(meme si j'ai pas envie :cry: )


bon courage  :)

n°4646425
yulara
Byte Hunter
Posté le 18-01-2005 à 11:09:31  profilanswer
 

mici j'en ai grandement besoin :o


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4651774
yulara
Byte Hunter
Posté le 18-01-2005 à 20:36:41  profilanswer
 

bon allez j'attaque le chap 6.
(comme ça j'aurai rattrapper Sheratan, yaisse :sol: )


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4652525
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 18-01-2005 à 22:29:26  profilanswer
 

Allez un peu de correction pour mettre un vent à Yullie  ;)  
 
 
_"Le corps à corps devint inévitable, car les Nawoks" : supprime la virgule.  
 
_"la parfaite maîtrise à s’en servire" : "servir".
 
_"les branches dénudées, en les couvrant de givre." : supprime la virgule.
 
_"qu’il rendait responsable de ses malheurs." : "responsables".
 
_"Il remercia Moud d’avoir tracé ce chemin qui facilitait sa progression, ce qui contrastait avec la pénible avance" : "contrastant". pour plus de clarté.
 
_"sous la morsure du froid,  dans les encombrements d’Obyn, aux premiers jours d’hiver." : c'est de l'accumulation qui alourdit le texte. A mon avis, tu devrais supprimer ce qui est en bleu.
 
_"Il scruta attentivement la forêt; sachant que l’hiver les sons portaient très loin.": supprime le point-virgule. insère une virgule entre "l'hiver" et "les sons".
 

Citation :

Les Nawoks, à ce qu’il savait, ne possédaient visiblement pas la science des métaux, n’ayant que des massues, des sagaies ou de malhabiles épées de bois dur.


 
Pardon mon capitaine, mais ils ont aussi des épées en silex!
 
_"dans ces bois un son familier; qui n'était pas le fait" : supprime le point-virgule.
 
_"large clairière immaculée, où des traces" : supprime la virgule.
 
_"s’arrêtèrent soudainement,  et Pheder" : supprime la virgule.
 
_"le visait de son arme, dans laquelle" : supprime la virgule.
 

Citation :

Pheder répondit aussitôt voyant que son vainqueur lui donnait ses titres et se disposait à taire ses craintes


 
Ceci est une Balise pour continuier mes corrections plus tard!

n°4652824
yulara
Byte Hunter
Posté le 18-01-2005 à 23:01:05  profilanswer
 

mais heu j'ai meme pas encore commencé à lire :cry:


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4653326
yulara
Byte Hunter
Posté le 19-01-2005 à 00:02:42  profilanswer
 

hum hum alors chapitre 6 :o
 
je croyais que la foret d'Obyn etait assez impenetrable pourtant il peut suivre la lueur d'un feu jusqu'au village qu'il avait pas repéré :/
 
pkoi il va voir de plus le sorcier? je sais pas moi perso j'aurai pris mes jambes à mon cou à la suite d'un tel spectacle :p
 
t1 il a du frapper fort le sorcier paske Pheder il a toujours le casque avec lui non?
 
il avait rencontrer une femme la veille? où ça? je m'en souviens plus, me dit pas qu'il va falloir que je relise les 5 permiers chapitres :cry:
 

Citation :

se reposer auprès d’un petit ruisseau qui serpentaient au milieu d’un mélange d’aiguilles et de feuilles jaunâtres. Parfois, le cours d’eau, en tombant du haut des rochers à la coupe presque verticale, produisait une faible cascade qui grossirait bientôt avec les pluies, et enchantait d’une musique ensorceleuse les pas du jeune homme.


je trouve la transition bizarre. il s'arrete et d'un coup je suppose qu'il a remonté sur des centaines de metres le fameux ruisseau.
 
"fichait le camp"? bah c'est pas dans tes habitudes d'utiliser ce genre d'expression :p
 
ouais le retour de Ramej :bounce:
 
et flute une araignée. j'aime po les araignées :(
ah bah ça va, ça a été rapide :lol:
 
 
bon qu'est-ce que je fais... non ce serait pas raisonnable de ce lancer dans le 7 à cette heure-ci, donc on verra demain :p
 
Edit: j'ai fini avant Sherataneuh :bounce: j'ai fini avant sherataneuh :bounce:


Message édité par yulara le 19-01-2005 à 00:03:28

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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4653360
yulara
Byte Hunter
Posté le 19-01-2005 à 00:07:45  profilanswer
 

mais mais mais pkoi je reconnais rien dans le post de Sheratan? :(
me dis pas que tu en es au 7 :cry:


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
mood
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Posté le 19-01-2005 à 00:07:45  profilanswer
 

n°4653475
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 19-01-2005 à 00:24:58  profilanswer
 

yulara a écrit :

mais mais mais pkoi je reconnais rien dans le post de Sheratan? :(
me dis pas que tu en es au 7 :cry:


 
parce que c'est le chapitre 6 que tu lis, à la description!!!   :lol:

n°4654390
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 19-01-2005 à 08:43:06  profilanswer
 

Joie bonheur, Noël le temps des corrections est arrivé! :bounce:

n°4654525
yulara
Byte Hunter
Posté le 19-01-2005 à 09:31:44  profilanswer
 

Sheratan a écrit :

parce que c'est le chapitre 6 que tu lis, à la description!!!   :lol:


je n'ai qu'un mot à dire :  :kaola: :mmmfff:


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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4654601
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 19-01-2005 à 09:50:42  profilanswer
 

Mes amis, je conçois qu’il puisse exister entre vous une saine émulation, qui fait la force des équipes s’attaquant aux grands projets, tel cette entreprise remarquable auquel vous avez certainement la pleine conscience de collaborer. Toutefois Sheratan, prends bien garde de laisser Yulara dans l’illusion galante qu’elle pourrait éventuellement te doubler. Le constat contraire pourrait encore nous la fâcher, et je serais bernique pour sa photo. :non:

n°4658318
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 19-01-2005 à 17:55:17  profilanswer
 

talbazar a écrit :

Mes amis, je conçois qu’il puisse exister entre vous une saine émulation, qui fait la force des équipes s’attaquant aux grands projets, tel cette entreprise remarquable auquel vous avez certainement la pleine conscience de collaborer. Toutefois Sheratan, prends bien garde de laisser Yulara dans l’illusion galante qu’elle pourrait éventuellement te doubler. Le constat contraire pourrait encore nous la fâcher, et je serais bernique pour sa photo. :non:


 
Ok  ;)  
 
(voix imitant le talent d'acteur de Christophe Lambert)
 
Euh, non, pardon Yullie! C'est moi qui me suis trompé, tu es en avance...!  :D  
 
(chuchotement) ça va comme ça, Tal?  

n°4658366
yulara
Byte Hunter
Posté le 19-01-2005 à 18:01:19  profilanswer
 

Sheratan a écrit :

Euh, non, pardon Yullie! C'est moi qui me suis trompé, tu es en avance...!  :D


[mode blonde]
wouais :bounce: je suis en avanceuh :bounce: je suis en avanceuh :bounce:
[/mode blonde]


Message édité par yulara le 19-01-2005 à 18:01:35

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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4658461
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 19-01-2005 à 18:17:13  profilanswer
 

J'adore la minute blonde sur canal, c'est trop con.
Bon, malgré les aveux tardifs et partiellement justifiés de Sheratan, mon maître, il me semble qu'il avait presque achevé le 7, mais ce n'est qu'une affaire de chiffres. :na:

n°4660679
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 19-01-2005 à 22:58:52  profilanswer
 

Encore un petit bout!
 
_"mes muscles atrophiés par les années !." : supprime soit le point, soit le point d'exclamation.
 
_"aussi je les tient en respect" : "tiens".
 
_"Et le senior partit dans un fou-rire" : et pourquoi pas le "pimpant septuagénaire"?  :lol:  Je trouve que "senior" choque. Je préfèrerais "l'ancêtre", le "vieillard", "l'ermite" plus dans le registre de l'heroic-fantasy.
 
_"failli remplir leur garde-manger, si on ne l’avait pas" : supprime la virgule.
 
_"la trace des lianes" : majuscule en début de phrase.
 
_"une faible lumière, par une lucarne" : supprime la virgule.
 
_"de grimaçantes figures des gnomes trônait" : "de".
 
_"les orbites ouvertes, à côté d’un  parchemin" : supprime la virgule.
 
_"large établi de briques déjointes encombré" : ce ne serait pas plutôt "disjointes"?
 
_"leur mystérieux liquide, qui éclatait" : supprime la virgule.
 
_"Une vapeur bleuâtre, très jolie à observer, tournoyait" :  je trouve cette remarque trop directive pour le lecteur, lui imposant que c'est "joli à observer". Personnellement, je pense que ça casse l'appel à l'imagination que ce chapitre suscite chez moi. D'ailleurs, c'est excellent!
 
_"chaudron de cuivre d‘où s‘échappait de multiple becs" : "échappaient" ; "multiples".
 
_"L’objet ne pouvait être l’œuvre que d’un artisan d’Oberayan" : "L'objet ne pouvait qu'être l'oeuvre d'un artisan d'Oberayan".
 
_"leur part de métal, à côté de curieux moules" : supprime la virgule.
 
_"vola sans bruit dans la pièce; par-dessus l’épaule" : supprime le point-virgule.
 
_"sa tête privée de cou, plongée dans une corolle" : remplace la virgule par "et".
 
_"devaient provoquer les croissants roses des serres acérées du rapace." : a mon avis ce qui est en bleu provoque un surajout de compléments de nom et alourdit inutilement la phrase.
 
_" Eh bien!, scellons notre " : supprime la virgule ou le point d'exclamation.
 

Citation :

il avait posé une appétissante assiette de fromages


 
Chipotons un peu ! J'aurais plutôt dit une "assiette de fromages appétissants".
 
_"lui couvrit toute la tête,  et sortit mettre " : supprime la virgule.
 
_"un ciel ou la lumière se mourait. " : pour plus d'intensité, j'aurais supprimé le "se".
 
_"Obyn se taisait enfin vraiment,  car la chute" : supprime la virgule.
 
_"collier sur la table, à côté du sabre sacré." : supprime la virgule.
 

Citation :

Radja revint s’installer à sa place après s’être un moment occupé près de la cheminée.


 
Balise pour continuer mes corrections plus tard!
 

n°4660789
yulara
Byte Hunter
Posté le 19-01-2005 à 23:19:38  profilanswer
 

bon comme d'hab, c'est à la volée.
donc chapitre 7 :o
 
bon là aussi je trouve la transition des chapitres un peu strange. tu continues sur l'action du precedent et 2 paragraphes plus loin on a l'impression d'avoir effectué un saut dans le temps :(
 
"de malhabiles épées de bois": et pourquoi que dans le premier paragraphe elles sont en silex les épées? :o
 
"La forêt réussissait tout juste à faire passer une faible lumière, par une lucarne": ben elle est "au milieu d’une large clairière immaculée" la maison non? donc la foret devrait pas empecher la lumiere d'y entrer
 
ptdr, il est chez Merlin, y'a meme Archimede :lol:
 
« Comment vous procurez vous toutes ces merveilles ? »: ch'uis trop nulle, j'avais compris qu'il parlait des alambics and co :sarcastic:
 
arf zut deja fini :cry:
 
 
Edit: et toc fini avant Sheratan :na: (bon d'un autre coté je suis vachement moins minutieuse :whistle: )


Message édité par yulara le 19-01-2005 à 23:25:07

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Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4661560
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 20-01-2005 à 01:12:31  profilanswer
 

Les honneurs te sont rendus, Yulara!  :jap:

n°4662198
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 20-01-2005 à 08:15:42  profilanswer
 

Sheratan a écrit :

Les honneurs te sont rendus, Yulara!  :jap:


Eh voilà Sheratan qui rend les honneurs sur mon parquet, je vais encore devoir nettoyer !
 
La remarque sur déjointes m’interpelle, je me demande si c’est vraiment inemployable, faut que je cherche parce que je trouve que çà sonne mieux que disjointes.
 
Bon Yulara m‘allume encore sur les épées en bois !, ( je crois qu’en fait ils ont des désintégrateurs laser dernière génération à queue coulissante réformés guerre du Golfe 90.)
Merci beaucoup à tous les deux. Dès que je peux, je vous offre une pizza chez Tonio. ;)  

n°4662201
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 20-01-2005 à 08:18:34  profilanswer
 

par perversion, pour affoler Sheratan, le huit :whistle:  
CHAPITRE 8
L’apparition
 
 Le seigneur d’Ukbar fit une prière à Moud pour le remercier de la joie qu’il éprouvait à la sensation de dormir dans un vrai lit. En rouvrant les yeux le lendemain matin, il exprima une reconnaissance muette à Radja de lui fournir un tel abri contre la neige qui continuait à tomber abondamment. Il vit le vieux sage, encapuchonné dans sa robe brune usée, qui se penchait sur un énorme livre, sans doute un antique et précieux traité. Il régnait dans la pièce une chaleur étouffante. Pheder se débarrassa de la peau d’ours très propre que Radja lui avait prêté pour dormir. Sur les murs blanchis, la condensation humidifiait l’air et s’écoulait en longues traînées luisantes. De l’autre côté du mur, dans la forêt d’Obyn, il devait geler à pierre fendre ; ce qui n’empêchait pas Bûhck, posée sur le bois du lit, de dormir paisiblement, oscillant faiblement sur son axe, comme une quille narquoise. La poussière régnait partout en maître. Le chaudron de cuivre aux curieux bains-marie, éteint dans la nuit, ne diffusait plus ses vapeurs bleuâtres. Les bocaux eux-mêmes s’émulsionnaient d’eaux plus ternes, mais certaines mixtures continuaient de bouillir. La forte chaleur qui régnait dans la maison ne pouvait provenir seule du foyer, venait-elle de tous ces instruments aux phosphorescences bizarres ? Radja Minesh Lubitz tourna la tête vers Pheder qui se levait et s’approchait de l’aïeul pour jeter un oeil sur la lecture du sorcier. Celui-ci tenait bien devant son nez un livre antique, mais c’était un vieux tome de recettes végétariennes ! Un ouvrage qui ne reflétait pas la gastronomie d’Oberayan, plaisanta Pheder, le vieillard se fendit d’un large sourire :
- « Je vais nous faire des châtaignes aux amandes, pour accompagner ces petites girolles et ce cèpe monstrueux. Il doit même me rester quelques poireaux sous la neige. Nous allons nous régaler, si je m’y prends bien, évidemment, avec cette tarte aux champignons, à la mode d’Anamaying! »
 Pheder regardait soudain le magicien avec circonspection. Tenait-il devant lui un authentique ouvrage de la cité mythique ? L’Anamaying existait-elle vraiment ? était-elle le but de sa recherche ? Son amour inconnu, la belle à la peau brune n’était-elle pas une fille d’Anamaying ? Si le chevalier vérifiait l’origine de ce livre de recette, et si l’on considérait le cadavre rejeté par la mer d’Anyg, il se devait d’admettre la réalité d’Anamaying. Peut-être devait-il rejoindre sa douce amie dans la cité rivale... Une chose semblait certaine, il devait sauver cette femme d’un piège inconnu dont elle l’avait implorée, lui et personne d'autre, de la délivrer. Trop de ces mystères mélangeaient les idées du chevalier qui se mit à lire, pour penser à autre chose, une citation de Moud sur le linteau de la cheminée :
 
Le sabre est le doigt
De Moud
Sois l’œil de Moud
Et son oreille ouverte
 
 Près de l’âtre, posée contre le mur, une longue canne en buis tourmentée de sept nœuds, avec une dragonne en cuir nouée pareillement, appuyait sa crosse sur une étagère déboîtée. Le long bâton lui rappelait un objet qu’il avait déjà vu. C’était la réplique de la sorte de sceptre que brandissait le sorcier Nawok qui l’avait emprisonné et Pheder se mit à frémir, en déplaçant légèrement la perche aux sculptures démoniaques pour l’examiner. Il se tourna vers l’ermite d’Obyn :
- « Parlez moi des Nawoks, savant Radja... »
- « Ce sont des brutes plongées dans l’obscurité du monde. Ils appartiennent corps et âme à la forêt d’Obyn. Tour à tour clairvoyants ou médium, ce qui est bien différent, leurs sorciers ont des pouvoirs qu’il ne faut en rien minimiser. Ce peuple est tellement vieux ! Je les repousse de mes sortilèges qui leur ont causé bien des pertes, et qui fait de cette demeure une forteresse sans remparts, d’ailleurs si tu le désires, tu peux y passer l’hiver. Traverser Obyn en cette saison, c’est comme d’aller chatouiller la queue d’un dragon dans sa tanière ! Ta bien-aimée inconnue ne peut t’obliger à te suicider par amour pour elle et tu pourras utiliser ton temps pour apprendre des secrets ancestraux, à condition que tu veuilles bien oser, et apprenne à te taire ! »
 Disant ces mots Radja Minesh ouvrit une boite fabriquée dans la carapace d’une tortue pour en sortir un petit étui qu’il posa sur la table :
-  « Assied toi en face de moi ! Oublies ta main droite et fais triompher ta main gauche ! »
 Ensuite il prit la main gauche de Pheder et la plaça sur le petit tas de cartes qu’il avait retiré de l’étui. Il les battit sept fois en l’honneur des sept. planètes et les étala. Puis il brassa les cartons imagés d’un mouvement lent et circulaire et invita Pheder à en tirer treize. Il récita posément des incantations aux djinns pour qu’ils ne lui masquent pas la vue et, plaçant les cartes dans un certain ordre, il attira l’œil de Moud dans son oeil et commença enfin sa séance de cartomancie :
- « Cet as de trèfle est le talisman suprême. Le triomphe est sur ta route. Cet as annule l’influence maléfique de ce sept de pique qui le jointe. Vraisemblablement ce dernier dirige sa toile sur ce neuf et cet inquiétant as de pique qui l’accompagne. La mort tourne autour de toi ! Tous ces rois que tu as sortis sont le signe d’une protection masculine mal organisée. Je distingue l’as de carreau brisant la dame de cœur, isolée près de ce dix de pique. Le jeu reste noir et inquiétant. Il recommande la plus grande prudence... Toutefois le talisman est sortit le premier et cela veut dire que l’Oeil de Moud t’accompagne... »
 Radja se tut et rangea le jeu dans son étui. Mais la séance ne semblait pas terminée :
-  « Examinons maintenant la réponse définitive, la sentence du jeu !»
 Disant cela, Radja fit tirer trois cartes à Pheder, du talon jusque là inutilisé et les aligna côte à côte :
- « Par l’Oeil de Moud et sa paupière sur le mien si je dois commettre un mensonge. Que le grand Moud à qui je n’obéis plus m’obéisse à son tour ! »
 D’un battement d’aile Bûck rejoignit sa place diurne favorite sur une poutre apparente de la charpente poussiéreuse. Les trois cartes désignaient l’as de cœur, le valet de pique, cet ennemi inconnu et la dame de cœur. Le triomphe symbolisé par cet as de cœur était-il pour Pheder ou pour son adversaire ? Radja Minesh avança l’hypothèse que la dame de Pheder se trouvait prisonnière d’un homme. Pheder jura sur-le-champ qu’il prendrait la vie du gardien de son amour. Le jeune seigneur avait craint que la délivrance de la jeune femme n’exigea quelques enchantements : il la croyait prisonnière du bijou d’argent !
- « Les malheurs d’une femme sont tes propres malheurs ! »
 Ce furent les seuls mots qui conclurent la séance de Radja et Pheder ne se sentait guère plus avancé sur sa voie, les cartes n’étant guère exubérantes... En rangeant son jeu dans la carapace, Radja désigna le collier protecteur posé sur la table :
- « Je sais à qui appartient ce bijou. Il a été offert par la fée d’Obyn à la jeune princesse d’Anamaying, la très belle Udzina Tsuk, mais celle-ci ne l’a jamais reçue et ceci est une autre histoire... Un Nawok à qui j’ai soigné une mauvaise plaie, que je lui avais d’ailleurs moi-même infligé, m’a affirmé l’existence réelle de la cité d’Ar la divine. Il parlait d’une grotte dans le ventre d’Obyn. Cet homme parlait aussi étrangement le langage des ancêtres d’Oberayan, mais l’ancien dialecte, je lui dois d'ailleurs le peu de Nawok que je connais. J’ignore où se trouve vraiment l’Anamaying et je ne songe pas désormais à quitter le puits de jouvence, mais toi tu devras sans doute la trouver, si tu veux parvenir à celle qui ne peut être qu’Udzina Tsuk ! Le Nawok dont je t’ai parlé ne m’en a pas dis beaucoup plus car il est mort d’une infection peu-après. Ce collier a donc parlé pendant tes crises étranges, chevalier, mais n’as tu jamais songé à l’ouvrir en dehors de ces tristes moments ? Pheder du s’avouer qu’il pensait que le collier utilisait sa propre énergie et par peur d’épuiser celle-ci, il ne l’ouvrait qu’au cours de ses assauts contre sa conscience. Radja Minesh pointa l’index vers le porte-camé en tremblant le coude; sa longue barbe blanche suivant le mouvement de ses lèvres :
- « OUVRE CE BIJOU IMMEDIATEMENT ! PHEDER URSINIS, CHEVALIER DE LA GUILDE DES QUARANTE D’OBERAYAN (LA FILLE D’ANYG), SEIGNEUR DU DOMAINE D’UKBAR, FILS DE MOUD ET GARDIEN DU SABRE  DE L’AIGLE SACRE DES SAINTS ANCETRES !!! »
 Le chevalier prit le collier et découvrit le petit portrait de cire dont la vision aimée lui sauta à la figure comme un coup de poing. Aussitôt Radja entama une prière à Moud, mais formulée en Nawok parfait :
- « MOD MOD ARG ERMI LUMNEK UDZINA OÎ ! »
 Une lueur éblouissante illumina la pièce, le bijou s’éteignit brutalement et quand la lumière vive s’en alla, la prisonnière  de Pheder se trouvait en face d'eux, en chair et en os ! Elle supplia encore le chevalier pour qu’il hâte sa délivrance de ce danger invisible qu’elle ne nommait jamais.  Elle l’implora de venir la rejoindre affirmant que seul cet espoir la maintenait en vie. Hausser un cœur, disait-elle, valait mieux qu’en abaisser mille. Pheder se sentait défaillir à la vue de cette femme qui se présentait à lui entièrement nue ! Il admira le galbe velouté des menus seins, les courbes lisses des hanches dessinées par l’architecte suprême, le bel arc de son ventre étincelant de minuscules étoiles d’argent... Mais plus encore il ressentait le besoin de cette vitalité affective et généreuse, de cette force de vie qu’il voyait malmenée si durement et qui l’affligeait si péniblement. L’inconnue déambulait superbe et dévoilée, d’une démarche recherchée et élégante. Le vieux Radja toussota dans sa moustache mais ne fit pas un geste pour aller surveiller ses poireaux au jardin ! Toutes les étoiles du cosmos se donnaient rendez-vous dans le crâne du jeune homme et la pièce poussiéreuse de la vielle chaumière devenait à ses yeux le splendide palais de la légendaire Anamaying:
- « Quel est ton nom ?, » hurla Pheder au paroxysme de l’extase.  
 La belle apparition lui répondit d’une voix douce et envoûtante:
- « Je m’appelle Udzina ! »
 Sur cette révélation une gerbe de lumière dorée explosa de mille étoiles scintillantes et éphémères qui voilèrent la jeune fille aux regards en la faisant disparaître de la pièce. Lorsqu’il se réveilla du sommeil qui s’était emparé de lui après cette vision céleste, Radja venait de sortir sa tarte aux champignons du petit four d’alchimiste. Ils dévorèrent le délicieux met en silence. Ensuite, le magicien d’Obyn caressa longuement sa barbe :
- « Bravo ! beau spectacle ! Les occasions sont tellement rares de se distraire dans cette contrée ! Quelle beauté, cette Dame exotique... »
 Mais Pheder gardait ses sentiments pour lui, tant l’émotion le travaillait. Il sortit prendre l’air, et se pencha pour cueillir de la fine cisaille de son ongle un trèfle à quatre feuilles,  qui perçait la neige au milieu des renoncules. Radja le rejoignit plein d’enthousiasme en examinant le brin porte-bonheur :
- « Le talisman vu dans les cartes était bien pour toi, chevalier ! je crois que le printemps ne s’annonce plein d’imprévu, en ce qui te concerne !»
  Toutefois l’hiver que passa Pheder en compagnie de l’ermite fut très rude. Ce dernier l’initia sommairement aux mystères des catalyseurs telluriques et magnétiques, des talismans d’envoûtement et de désenvoûtement, des ondes de formes, des textes alchimiques hermétiques, des philtres à base de belladone, de jusquiame, d’aconit, de valériane, de datura, de mandragore, de pavot, de ciguë, de digitale, des multiples interprétations de la table d’émeraude, de la verge foudroyante, des contre-charmes, de la radiesthésie, l’astrologie, la numérologie, les runes, l’orinomancie, la chiromancie, l’encromancie, la cartomancie, la géomancie, des cristaux qui captent les pensées-énergies, des oracles et prophéties, des esprits errants ou protecteurs, de la métempsycose, la télépathie, du magnétisme animale, des grimoires, du microcosme et du macrocosme, de l’hypnose, des incantations et formules, des fluides, des facultés supra-normales, de l‘usage rituel du cercle magique et de l'évocation des bons esprits, de l‘athamé, la cloche, le calice, l‘épée, de la baguette, des bougies et des plumes colorées, de l‘encensoir et des triangles ...  Mais Pheder se lassa très vite de ces études mercurielles, il leur préférait les longues chevauchées à travers la forêt dénudée, juché au grand galop sur la fougueuse licorne noire. Le magicien d’Obyn remis enfin au chevalier une fiole contenant quelques gouttes d’eau de jouvence, or potable qui n’était ni rosée ni pluie, que Pheder bu aussitôt. Le liquide lui brûla la gorge comme le pire des alcools, il eut des hallucinations démentielles dans lesquelles il revécut toute sa vie en accéléré et ressentit de terribles vertiges. Quand il se remit enfin de cet état il découvrait une sensation nouvelle et merveilleuse car sa vision du monde avait changé; désormais il connaîtrait l ’éternelle jeunesse, il avait le temps...
 Voilà donc l’étrange sérénité découverte par Radja Minesh, dans son illégale vieillesse. Pheder approuvait désormais cette entorse à la loi, qui s’éloignait tant de la vérité de Moud. Les paroles d’Umesh Nader, promettant des changements imminents sur l’Oberayan, lui revinrent en mémoire. En acceptant l’immortalité, il s’éloignait de Moud, mais l’or liquide de la fiole de jouvence transfigurait sa vision même de Moud. Désormais Moud vivait dans chacune des tiges et des troncs de la sylve et dans le moindre des habitants d‘Obyn. Moud n’était pas qu’en lui et cette certitude renvoyait au néant les maléfices de la forêt qui n’abritait tout au plus que des djinns malfaisants. Contre ceux-ci Pheder possédait ses armes et la puissante magie du collier d’Udzina, que Radja avait rendu encore plus grande en le plongeant dans différents bains colorés. Mais Udzina n’avait plus jamais daigné réapparaître, clamant par là sa volonté d’inciter Pheder au départ. Voyant alors le printemps revenir, le chevalier décida fébrilement de se remettre en route. Il sella son curieux cheval qui perdait ses poils d’hiver en longues touffes poussiéreuses; la bête hennit longuement de consentement. L’étalon noir n’avait pas avalé un seul brin d’herbe depuis l’automne mais il restait splendide. La veille, Pheder avait devisé toute la nuit avec le vieux sorcier. Le chevalier le remercia d’avoir jugulé ses crises, par quelque potion mystérieuse, car il n’en avait pas connu une seule de l’hiver. Le mage, à qui Pheder devait l’immortalité  n’eut pas un geste pour le suivre sur les sentes d’Obyn; il s’était mis à parler à lui même en fixant la forêt d’un oeil absent :
- « C’est le puits, chevalier, comprends tu ? Je dois rester auprès de lui. »
 La chouette Bûck avait fait des petits dans sa niche du plafond et les oisillons ne tarderaient pas à se faire entendre. Ils diffuseraient peut-être un peu de la science de Radja, lorsqu’ils envahiraient les troncs creux,  insultant l’aigle d’Oberayan ! Avant que Pheder ne parte, le magicien glissa dans la main de Pheder deux cristaux colorés, en lui assurant qu’il tenait là les larmes de Moud :
- « Projette les sur tes ennemis en cas d’impérieuse nécessité, mais ils ne te serviront qu’une fois ! »
 L’ancêtre vivant lui remit également un curieux appareil, baptisé « l’œil de Moud » et qu’il avait confectionné grâce à deux lentilles de verre enchâssées dans un tube cylindrique. A la grande stupéfaction du chevalier ce dernier constata que l’objet rapprochait l’invisible du regard et comprit qu’on lui donnait là un cadeau très précieux. Enfin le sorcier fit ses derniers adieux à Pheder en lui rappelant que l’immortalité du puits ne le garantissait pas des maladies et des accidents, mais seulement de la vieillesse. Pheder pleura de gratitude dans les bras de l’ancien et après les salutations sur l’œil et la main de Moud  ils se sépara de son compagnon de l’hiver et frère immortel.  
 La forêt d’Obyn parsemée de fleurs l’attendait et Pheder galopa à brides abattues dans le sous-bois pour rejoindre une région montagneuse qui marquait le monde connu de Radja. Le magicien lui assurait qu’il trouverait l’Anamaying en franchissant les cols. Un jour Pheder se trouva en présence d’une vision panoramique de cette montagne qui barrait l’horizon de son grand cône boisé, divine érection sur le lit d’Obyn. Pensif, le seigneur d’Ukbar laissait le vent jouer dans ses longs cheveux blonds et se demandait si l’Anamaying se situait réellement derrière ces pics. Il lança la licorne sur cet objectif mais après une journée, la déclivité trop importante l’obligea à marcher à pied , entraînant le cheval docile derrière lui, sur des sentiers minuscules et rocailleux. Plusieurs fois, il dut s’arrêter sur quelque aplomb pour reprendre son souffle et calmer le cheval.  
 L’ascension le dégageait de l’humidité printanière qui émanait d’Obyn. A cette nouvelle altitude, l’air rafraîchissait,  mais le fait d’avoir un but donnait des ailes au chevalier,  qui fut au sommet de l’élévation le surlendemain de son escalade. Là-haut nichait l’aigle sacré qui tournoya dans le vide à l’approche des intrus, sifflant d’horreur qu’un fils de l’île des ancêtres se soit aventuré aussi loin  dans la moiteur d’Obyn. L’air d’une extrême pureté fouetta le visage de Pheder et le chevalier passa ses doigts éternellement jeunes dans la jungle de sa chevelure. La nuit tomba sur ces hauteurs où la cape orange du seigneur prit des allures de phare surveillant la lune.
 Le lendemain, les aigles plongeaient déjà dans le ciel vibrant de chaleur. Comme un djinn posé sur les cailloux surchauffés, un lézard attendait le réveil de Pheder. En montant sur sa selle, celui-ci eu un dernier regard sur l’horizon merveilleux et redescendit lentement l’autre versant. Le soleil rendait l’heure de midi suffocante. L’été serait-il arrivé, et le printemps s’était-il enfuit au cours d’une seule nuit ? Le bouclier d’argent approuvait la chose de sa surface brûlante et miroitante, accroché au flanc du cheval. Le chevalier laissa l’étalon suivre le cours d’un torrent peu profond, ce qui lui permettait d’esquiver de nombreuses difficultés du terrain. En redescendant, la chaleur devint supportable et Pheder dérangea des myriades de canards braillards et de hérons gracieux. Plus loin, un vol de cygnes volant vers l’est lui certifia la proximité de l’eau; suivant ses gracieux guides blancs aux longs cous, il parvint sur les bords d’un grand lac. La merveilleuse étendue d’un bleu argenté irriguait de la plus belle manière les jardins de Moud.
 

n°4662611
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 20-01-2005 à 10:35:50  profilanswer
 

Râââh et aujourd'hui, je ne vais pas pouvoir corriger...

n°4664497
Archibald
Mon oncle (référence...)
Posté le 20-01-2005 à 14:29:49  profilanswer
 

Ahhh! Enfin!!
 
Bon ben ça devient vraiment frustrant de s'arrêter chapitre après chapitre et de devoir attendre pour la suite...
 
Edites-le donc pour que je puisse le lire d'une traite!!

n°4667304
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 20-01-2005 à 19:41:28  profilanswer
 

Sheratan a écrit :

Râââh et aujourd'hui, je ne vais pas pouvoir corriger...


Môssieu à des priorités, Môssieu est débordé ! Mössieu estime que je devrais patienter !Môssieu va se faire salement griller par qui je sait, et ce ne sera que justice ! :sol:

n°4687751
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 23-01-2005 à 16:51:12  profilanswer
 

Et me revoilou pour des corrections!
 
 
_"et invita Pheder à le joindre au coin" : "rejoindre"
 

Citation :

 (si l’on excepte ces fieffés maître d‘armes, et cette rouée d‘Emer Soufir!)


 
Supprime les parenthèses car dans un dialogue, on ne peut pas en mettre! "maîtres"
 
_"en des jours qui ont fuient ma vaste" : "fui".
 
_"(oh ! sacrilège !)" : même remarque que ci-dessus!
 
_"et hum !, de beaucoup d’autres" : supprime le point d'exclamation ou la virgule.
 
_"Là je l’initiais aux mystères" : insère une virgule entre "là" et "je".
 
_"volée aux Elfes, selon ses dires." : supprime la virgule.
 
_"Plus tard, j’en versai quelques gouttes" : "versais".
 

Citation :

... dans ce puits qui s’adosse aujourd’hui au pignon de cette aison, car c’est la raison qui m’a fait  construire cette maison et vivre ici, pour ne plus le quitter, en somme.


 
Bien que je l'ai comprise, cette phrase est syntaxiquement chaotique. Il faut que tu la scinde en deux phrases à partir de ce qui est en bleu.
 
_"moment d’être laissée à Moud on trancha la tête" : insère une virgule entre "Moud" et "on".
 
_"Pheder rassura Radja sur le sort de son ancien élève." : "ancienne" même si le féminin est ici discutable.
 
_"en passant outre aux lois des ancêtres." : "les".
 
_"je n’avais pas et m’installai ici" : "instalais".
 
_"et même d’autres, plus terribles encore" : supprime la virgule.
 
_"dès que je j’accédai au puits" : "accédais".
 
_"de mes mains cette maison, et depuis tout" : supprime la virgule.
 
_"Pheder de ses trouées noires. Puis elle se rendormit" : remplace le point par une virgule et supprime la majuscule.
 
_"Après l’avoir caressé légèrement" : "caressée".
 
_"je restai très intrigué." : "restais".
 
_"Je remarquai que le sabre" : "remarquais".
 
_"se transforma instantanément à l’état de squelette" : "en".
 
_"Je quittai rapidement" : "quittais".
 
COMMENTAIRE GENERAL
 
J'aime bien l'ambioance de ce chapitre et le personnage auquel fait face Pheder est séduisant mais il manque de l'ambiguïté qu'on aurait pu trouver chez un "renégat" des préceptes de Moud.
 
Je reste passionné!
 
 :bounce:  :bounce:  :bounce:


Message édité par sheratan le 23-01-2005 à 16:52:02
n°4688904
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 23-01-2005 à 19:49:47  profilanswer
 

Merci encore Sheratan. Bon on va dire que Radja est trop vieux pour être franchement révolté !
 il connait pas HFR ! :lol:  
je m'absente 3 jours.
a +  :hello:

n°4688910
Profil sup​primé
Posté le 23-01-2005 à 19:50:43  answer
 

Euh c'est moi ou Sheratan a un problème avec le passé simple ? :whistle:

n°4690401
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 23-01-2005 à 22:34:52  profilanswer
 

Non! C'est une question de logique de dialogue! Tu ne parles pas au passé simple dans un dialogue. Généralement, tu parles à l'imparfait!  
C'est peut-être une idée arrêtée, mais je préfère un dialogue rédigé à l'imparfait ou au passé composé (plus vivant encore!) et réserver le passé simple à la narration. De toute façon, ce ne sont que des suggestions!
 
Imagine :
 
"_Que fis-tu ce week-end?
_J'allai à Paris pour acheter quelques BD puis, je retournai chez loi afin de les lire. Un copain vint me voir et nous allâmes jouer au foot!"
 
C'est perso, mais je trouve ça plus que bof! Je préfère le passé composé
 
 
A dans trois jours, Tal!


Message édité par sheratan le 23-01-2005 à 22:38:08
n°4690817
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 23-01-2005 à 23:08:25  profilanswer
 

zbizare, mes smilies sont résoluemment immobiles ? :??:  
CIAO TLMONDE

n°4691069
Profil sup​primé
Posté le 23-01-2005 à 23:36:50  answer
 

Sheratan a écrit :


C'est perso, mais je trouve ça plus que bof! Je préfère le passé composé


 
Tu peux préférer ce que tu veux, mais remplacer les passés simples par des imparfaits comme tu l'as fait n'a aucun sens. :)

n°4691267
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 24-01-2005 à 00:01:43  profilanswer
 

alerim a écrit :

Tu peux préférer ce que tu veux, mais remplacer les passés simples par des imparfaits comme tu l'as fait n'a aucun sens. :)


 
Soit qu'est-ce que tu attends pour te bouger et proposer une correction à Tal?  ;)  
 
Il a besoin d'aide pour son roman et il est grand pour prendre ce qu'il veut dans mes remarques!  :wahoo:  
 
Alors corrige au lieu de troller, c'est plus utile  :) ! Et si les remarques à faire te paraîsse longue contente-toi de commenter son texte!  :)


Message édité par sheratan le 24-01-2005 à 00:05:45
n°4695000
deidril
French Geek Society Member
Posté le 24-01-2005 à 14:50:25  profilanswer
 

A propos du dernier paragraphe du chapitre 7:
 
Je pense que l'emploi du passé simple est justifié et correct.  
 
Deux petites erreus relevée :  
 
 Aussitôt je m'en saisi et dès qu'il fut à ma portée, je le plongeais -> plongeai
 
Je portais -> portai.
 
Pour commenter la remarque de Sheratan, on emploit quasiment jamais le passé simple à la deuxième personne. ( que fis-tu ... ). De plus le contexte est différent entre la narration par le personnage de son passé, et un dialogue de la rue.
 
J'ai juste lu le paragprahe en question mais en zieutant celui le précédent, j'ai vu d'autres fautes :
 
Après quelque temps je décidais de quitter -> décidai. Il y en a surement d'autre mais je n'ai pas le temps de donner mes suggestions de corrections ( en plein taf )
 
 

n°4712698
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 26-01-2005 à 15:23:02  profilanswer
 

Merci Deidril, bon courage au quotidien, tu devrais venir cliquer dans le secteur + souvent ! ;)  
Bon maintenant, pour les dialogues, je crois que je vais m'imposer le conditionnel.

n°4731135
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 28-01-2005 à 14:49:40  profilanswer
 

Cher HFR
J’ai rencontré sur un forum une personne délicate et fantastique du nom de Y…..
Dois-je la laisser m’embrasser, sachant que dans ce  cas nous partagerons en moyenne 40 000 parasites, 250 types de bactéries, 0,7 g d’albumine, 0,45 g de sel et 0,7g de graisses.
Un attachement pulsionnel est-il compatible avec une soucieuse prophylaxie ?
Cher HFR, merci bien de me répondre rapidement, car je vis dans l’angoisse.
T…….

n°4732146
yulara
Byte Hunter
Posté le 28-01-2005 à 16:41:14  profilanswer
 

dsl pas eu le temps cette semaine :/
j'essaye ce we.


---------------
Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4737600
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 29-01-2005 à 11:22:36  profilanswer
 

http://img167.exs.cx/img167/570/carteo1copie8if.jpg

n°4739007
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 29-01-2005 à 15:47:23  profilanswer
 

Je voudrais signaler un film excellent et très beau dont je suis raide dingo :
« L’empereur et l’assassin » de Chen Kaige (réalisateur d’Adieu ma concubine)- 2000  
Une réflexion sur le pouvoir avec des décors somptueux…
C’est un film sur la chine ancienne, mais bonjour l’inspiration pour la Fantazy- que du bonheur ! :bounce:  
C’est un poil lent pour nous occidentaux et en V.O mais alors ! :jap:  
 

n°4752204
yulara
Byte Hunter
Posté le 31-01-2005 à 13:14:08  profilanswer
 

bon ben encore raté pour ce week-end mais j'oublie pas...


---------------
Quizz'n'Blind pour tester vos connaissances
n°4752404
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 31-01-2005 à 13:34:15  profilanswer
 

En même temps y'a pas le feu !
essaie juste de m'oublier, pour voir... :pfff:

n°4771212
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 02-02-2005 à 20:47:41  profilanswer
 

Toonnette a écrit :

Coucou :)
Si tu cherches des critiques (attention ils ont parfois la dent dure mais juste) tu peux aller là http://www.coindeslecteurs.com
Ils ont un forum dédié à la fantasy et adore donner leur avis sur les textes, et ils adorent aussi la nouveauté. Je pense que tu trouveras là bas aussi des gens prêt à t'aider.
 
(Je sais c'est pas bien de faire de la pub mais il demande lui même des critiques :p )


je viens de me faire jeter rapidos par ces chochotes aux dents carriées, mais je ne regrette rien :sol:  
VIVE HFR  :bounce:  :bounce:

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