nathalou12 a écrit :
Les problématiques de mal être au travail et de souffrance morale ont questionné ma pratique de psychologue. C’est la raison pour laquelle je réalise une étude auprès des personnes ayant souffert moralement au travail. Cette étude me permettrait de proposer un soutien psychologique de qualité à ces personnes en souffrance. Pour cela, j’aurais besoin de votre participation pour répondre à un questionnaire. Ce questionnaire me permet de mieux apprehender le lien entre souffrance morale et soutien psychologique mais également de cerner au mieux vos besoins et vos attentes. Je garantis l’anonymat des participants et la confidentialité des réponses.
Si vous êtes intéressé pour y participer, je vous transmets le questionnaire par mail, pour cela il suffit d’abord de me contacter : lladonathalie@gmail.com puis de m’envoyer à nouveau le questionnaire complété.
Je vous remercie par avance de votre participation.
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En quoi consiste ton soutien psychologique de qualitay que tu désires apporter aux personnes qui souffrent au travail ? Parce que moi je souffre terriblement, rien que le mot travail me fait du mal, normal quand on prend conscience de son sens véritable.
Selon Alain Rey[1], le mot travail (apparu vers 1130) est un déverbal de travailler, issu (vers 1080) du latin populaire tripaliare, signifiant « tourmenter, torturer avec le trepalium ».
Sous l'Antiquité, le terme bas latin trepalium (attesté en 582) est une déformation de tripalium, un instrument formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir. Cependant, si cet instrument est bien désigné par le mot travail, il se dit au pluriel des travails et non des travaux.
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Le salarié est la chair à canon de la guerre économique.