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Auteur Sujet :

[Sécu] Réforme de la sécu

n°1193816
Osama
Posté le 18-09-2003 à 20:11:36  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Une vérité complètement tabou dans les médias français : les grands responsables du déficit de la sécu sont les régimes spéciaux, c'est à dire les régimes de sécurité sociale spécifiques à certaines professions.  
 
Indice : ce sont les mêmes que ceux qui font des grèves préventives


Message édité par Osama le 18-09-2003 à 20:12:03
mood
Publicité
Posté le 18-09-2003 à 20:11:36  profilanswer
 

n°1193824
com21
real men don't click
Posté le 18-09-2003 à 20:13:48  profilanswer
 

:lol:  ouais c'est la fautes aux cheminos et aux prof.
 
 
Pour infos ce sont les médecins qui prescrivent, un patient ne force pas son médecin à lui donner plein de médicaments inutiles et dont les génériques existent.
 


---------------
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n°1193838
vyse
Yaissssseee
Posté le 18-09-2003 à 20:16:26  profilanswer
 

les génériques ca tue la recherche........
 
quand dans 20 ans, yaura pas de nouveaux médicaments (alors que les maladies elles auront bien évoluées) on se souviendra que 20 ans avant, on voulais du générique....


Message édité par vyse le 18-09-2003 à 20:17:16
n°1193857
phenos
Parti un jour...
Posté le 18-09-2003 à 20:18:58  profilanswer
 

Vyse a écrit :

les génériques ca tue la recherche........
 
quand dans 20 ans, yaura pas de nouveaux médicaments (alors que les maladies elles auront bien évoluées) on se souviendra que 20 ans avant, on voulais du générique....


 
Ouais enfin bon, les labos ont 20ans pour rentabiliser un medoc.


Message édité par phenos le 18-09-2003 à 20:19:06

---------------
Ce ne sont pas toujours les meilleurs qui partent en premier.
n°1194127
Nico [PPC]
Posté le 18-09-2003 à 21:04:36  profilanswer
 

Il y a un député UMP qui a proposé une nouvelle baisse de remboursements de certains médicaments...  
 
Il n'a pas compris qu'une grosse majorité de français possédant une mutuelle, la consommation sera quasiment au même niveau [:kiki]

n°1194134
Nico [PPC]
Posté le 18-09-2003 à 21:05:27  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :


 
30 ans. [:aloy]
Dérogation sur la loi des brevets pour les médicaments.
J'accepterai ce genre d'argumentation quand les dépenses en recherche des grands labos pharmaceutiques seront plus importantes que leur dépenses en marketing et publicité. Ce qui n'est pas le cas actuellement.  
 
Coucou Phénos  :bounce:  


 
:non:
Phenos a raison, c'est 20 ans :)

n°1194149
Nico [PPC]
Posté le 18-09-2003 à 21:06:58  profilanswer
 


 
20 :fuck: :o


Message édité par Nico [PPC] le 18-09-2003 à 21:07:16
n°1194182
phenos
Parti un jour...
Posté le 18-09-2003 à 21:12:04  profilanswer
 

20 ou 30, de toutes facons l'argument de la rentabilité ne tient pas


---------------
Ce ne sont pas toujours les meilleurs qui partent en premier.
n°1194184
phenos
Parti un jour...
Posté le 18-09-2003 à 21:12:27  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :


 
Coucou Phénos  :bounce:  


 
[:cupra]


---------------
Ce ne sont pas toujours les meilleurs qui partent en premier.
n°1194187
vyse
Yaissssseee
Posté le 18-09-2003 à 21:12:49  profilanswer
 

briseparpaing a écrit :


 
30 ans. [:aloy]
Dérogation sur la loi des brevets pour les médicaments.
J'accepterai ce genre d'argumentation quand les dépenses en recherche des grands labos pharmaceutiques seront plus importantes que leur dépenses en marketing et publicité. Ce qui n'est pas le cas actuellement.  
 
Coucou Phénos  :bounce:  


 
elles le sont, c'est mon prof de galé qui viens de me le dire ya 3 heures  :o

mood
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Posté le 18-09-2003 à 21:12:49  profilanswer
 

n°1712896
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 22-12-2003 à 15:08:15  profilanswer
 

Citation :

Les scénarios noirs du Haut Conseil de l'assurance-maladie
LE MONDE | 22.12.03 | 13h04

 
 
Selon un document de travail des experts nommés par le gouvernement, la croissance ne suffira pas à redresser les comptes de la "Sécu". Sans réforme, le besoin de financement des dépenses de santé devrait atteindre, selon eux, 640 milliards d'euros en 2020.
 
 
Le haut conseil pour l'avenir de l'assurance-maladie est entré dans le vif du sujet. Et à en croire la teneur de ses travaux sur l'évolution des dépenses de santé ou sur la qualité du système de soins, il n'est pas sûr que l'analyse sur laquelle il devait travailler lundi 22 décembre, toute la journée, serve, autant qu'il aurait pu le souhaiter, les desseins du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin.  
 
En installant, à la mi-octobre, cette instance de consultation, qui doit lui remettre un "diagnostic partagé" sur le système de santé français le 22 ou le 23 janvier 2004, le premier ministre lui avait donné une feuille de route (Le Monde du 15 octobre 2003). Il avait fait remettre à ses 53 participants un document de 72 pages comportant des "éléments de diagnostic" et évoqué, à leur intention, "six pistes de réflexion", dont la responsabilisation accrue des assurés. Il y est favorable, comme son ministre de la santé, Jean-François Mattei.
 
Mais, après des débuts laborieux, le Haut Conseil, qui s'est trouvé une méthode de travail, a décidé d'élargir le champ de ses réflexions. Quitte à prendre quelques libertés avec la commande de M. Raffarin, à la satisfaction générale de ses membres, qui craignaient parfois d'être "instrumentalisés" par les pouvoirs publics. Et s'il confirme avec force la nécessité d'une réforme et chiffre, pour la première fois, le besoin de financement de la branche maladie à l'horizon de 2020 - autour de 3,2 points du PIB -, il nuance et, parfois même, infirme certains des présupposés gouvernementaux.
 
Dans un document de travail sur "Les principaux paramètres financiers et économiques du système de santé", qui tient compte d'une première série d'échanges à l'intérieur du Haut Conseil, son président, Bertrand Fragonard, analyse la situation financière de l'assurance-maladie. Et s'inscrit en faux contre la thèse, défendue par M. Mattei, qui expliquait, lors de la présentation du budget de la Sécurité sociale le 25 septembre : "Nous connaissons une période de croissance plus faible. C'est la principale cause de la détérioration des comptes."
 
Or, pour 2003, le Haut Conseil estime qu'"un quart du déficit de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) (soit 2,7 milliards d'euros) est imputable à la conjoncture, ce qui signifie que les trois quarts du déficit de l'assurance-maladie sont aujourd'hui d'origine structurelle." "A partir de 2002, un écart de plus de 3 points est apparu entre la croissance des produits et celle des charges. Le maintien d'un tel écart au cours de trois années successives ne s'était jamais produit au cours des vingt dernières années", précise le document travaillé par M. Fragonard, qui est un spécialiste reconnu des questions de protection sociale (il a travaillé dans les cabinets de Simone Veil et dirigé notamment les caisses nationales d'assurance-maladie et d'allocations familiales).
 
PROJECTIONS
 
Non content de rappeler l'impasse financière actuelle de la Sécurité sociale -"l'ensemble des déficits cumulés du régime général s'élèvera ainsi à près de 49 milliards d'euros fin 2004"-, M. Fragonard et son équipe ont esquissé des projections pour les années à venir. En partant du déficit de 10,9 milliards d'euros retenu pour la branche maladie dans la dernière loi de financement de la Sécu et en retenant trois hypothèses de croissance des dépenses d'assurance-maladie - 1 point, 1,5 point, 2 points de plus que le PIB -, ils ont élaboré différents scénarios. Leur conviction ? "Le déficit tendanciel à l'horizon 2010 serait compris entre 27 et 39 milliards d'euros constants 2002, et en 2020 il serait compris entre 60 et 105 milliards d'euros constants 2002."
 
Les magistrats de la Cour des comptes qui travaillent avec M. Fragonard, lui-même président de chambre dans cette institution, se sont attardés sur deux scénarios. Dans le scénario médian, qui retient pourtant une progression des dépenses d'assurance-maladie inférieure à son niveau actuel, le déficit serait quand même de l'ordre de 2 points de PIB en 2013 et de 3,2 points de PIB à l'horizon 2020. Le financer supposerait, par exemple, soit de diminuer drastiquement la prise en charge publique des dépenses de santé (de 77 % à 55 %), soit de doubler en 2020 le taux de la CSG. Aux mêmes dates, l'accumulation des déficits représenterait plus de 260 milliards d'euros en 2013 (13,6 % du PIB) et 640 milliards d'euros en 2020 (29,8 % du PIB). "Accepter un tel scénario déboucherait très vraisemblablement sur des tensions insoutenables", insistent les auteurs. Ils font aussi remarquer que "la pression sur les prélèvements obligatoires serait telle qu'elle risquerait de conduire à un effet d'éviction massif au détriment des autres besoins collectifs", comme le logement, la dépendance ou l'éducation.
 
L'autre scénario, plébiscité, suppose qu'une action "méthodique et résolue" soit entreprise "pour mieux organiser le système de soins autour d'un meilleur rapport qualité/prix". Mais il faudra des années pour infléchir le rythme des dépenses, et, même dans l'hypothèse d'un retour à l'équilibre en 2010, la dette accumulée atteindrait alors 80 milliards d'euros.
 
Le Haut Conseil ne juge pas "pertinent d'accroître l'endettement de l'assurance-maladie". Ce qui revient, en creux, à se prononcer contre l'allongement de la contribution de remboursement de la dette sociale (CRDS). Surtout, il préconise d'agir "simultanément" dans deux domaines : "la refonte du système de soins", sur la nécessité de laquelle il insiste beaucoup, et "le réexamen des systèmes de recettes et de prise en charge publique".
 
Deux mesures ont été plus particulièrement travaillées : l'élargissement de l'assiette de cotisation des fonctionnaires, via l'intégration de leurs différentes primes, qui rapporterait entre 1,5 et 2 milliards d'euros ; et l'alignement du taux de CSG des retraités et des chômeurs sur celui des actifs, ce qui ferait rentrer 7,5 milliards dans les caisses. Matignon, pour sa part, évalue à 3 milliards les rentrées supplémentaires liées à l'alignement des retraités sur les actifs.
 
Toutes ces pistes feront l'objet, dans les prochaines semaines, d'un intense travail de mise en forme et de réflexion. Avant la rédaction du rapport final, qui, de l'avis de certains participants - tel Etienne Caniard, vice-président de la Mutualité française -, devrait être suffisamment resserré et "musclé" pour pouvoir être connu du plus grand nombre et faire ?uvre de pédagogie.
 
Claire Guélaud


---------------
Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.
n°1712906
Mattusud13
Il est propre mon chat
Posté le 22-12-2003 à 15:12:37  profilanswer
 

Pour réduire le deficit il faudrai peut être faire une verification de la personne que l'on soigne/opère.
Par exemple ce matin mon père est allé se faire "checker" et a aucun moment (de la prescription du soin jusqu'a l'operation en elle même) une piece d'identité n'a été reclamé.
Je ne sais pas si beaucoup de personne utilise cette "faille" pour soigner de la famille ou des amis dans des pays etranger mais si oui, cela peut faire debourser pas mal d'argent à la sécu.  
Lorsque vous allez vous faire operer, vous demande t-on vous papier ?

n°1712993
capulechat
Posté le 22-12-2003 à 15:28:07  profilanswer
 

perso je pense , comme caleb , que c'est une histoire de responsabilisation ...medecins avec les generiques et de moins grosses prescriptions ...malades avec leur maladie imaginaire ou pas besoin d'aller chez le medecin tout le temps (ca fait trois ans que je n'ai pas ete chez le medecin ...pourtant j'ai eu de bonnes fievres mais rien de mortel  :o ) ...arreter de sortir des arrets maladies a tout va (ca coute un max a la secu ) , c'est pas une petite fievre ou un petit mal de bide qui empeche d'aller au boulot (hein les branleurs  :o ) ...labos avec leur medocs hyper cher (la secu rembourse sur le prix des medocs donc medocs moins cher = remboursement moindre)qui se font plein de fric sur le dos de la secu et donc du peuple !  ...
je pense que l'automedication est une bonne chose pour les petites maladies habituels genre gastro , rhume/fievre etc...  
un peu d'aspirine ou de paracetamol , un petit fervex ou actifed font l'affaire en general ...enfin je suis pas medecin mais avec moi ca marche !! bon bien sur si la maladie dure plus de 3 jours sans baisser d'intensité , la faut pas hesiter pour le medecin .  
je sens que le lobby des medecins va venir m'agresser  :o

n°1713172
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 22-12-2003 à 15:56:07  profilanswer
 

Citation :

malades avec leur maladie imaginaire ou pas besoin d'aller chez le medecin tout le temps (ca fait trois ans que je n'ai pas ete chez le medecin ...pourtant j'ai eu de bonnes fievres mais rien de mortel  :o ) ...arreter de sortir des arrets maladies a tout va (ca coute un max a la secu ) , c'est pas une petite fievre ou un petit mal de bide qui empeche d'aller au boulot (hein les branleurs  :o )


 
t'es un vrai warrior toi [:kunks]


---------------
Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.
n°1713180
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 22-12-2003 à 15:56:47  profilanswer
 

capulechat a écrit :

perso bon bien sur si la maladie dure plus de 3 jours sans baisser d'intensité , la faut pas hesiter pour le medecin .  
je sens que le lobby des medecins va venir m'agresser  :o  


 
Avec une ptite meningite en 3 jours t'es mort :D


---------------
Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.
n°1713428
capulechat
Posté le 22-12-2003 à 16:18:02  profilanswer
 

Yop ma caille a écrit :


 
Avec une ptite meningite en 3 jours t'es mort :D  


 
enfin j'ai jamais eu de meningite mais a mon avis tu dois etre inquiet et bien secoué des le debut ...tu sens quand meme si t'es bien malade ...mais ces vrai chuis un warrior  :o

n°1713447
ChtiGariX
Retraité
Posté le 22-12-2003 à 16:20:02  profilanswer
 

drapo


---------------
Retraité de discussions
n°1713647
sir_lune
B3LYP/6-31++G** powered
Posté le 22-12-2003 à 16:56:21  profilanswer
 

C'est 20 ans et surtout c'est à partir du dépot du brevet pour la molécule c'est à dire avant les essais thérapeutiques. Donc déjà de 20 ans de commercialisation on passe à 13-14 ans maxi...
Bah oui une AMM ça s'obtient pas comme ça :)
 
Sinon je pense aussi que cet argument de l'amortissement du médicament ne sera valable que quand les labos pharmaceutiques arréteront de couper dans les budgets de recherche

n°3566327
Profil sup​primé
Posté le 26-08-2004 à 13:26:48  answer
 

briseparpaing a écrit :


J'accepterai ce genre d'argumentation quand les dépenses en recherche des grands labos pharmaceutiques seront plus importantes que leur dépenses en marketing et publicité. Ce qui n'est pas le cas actuellement.


Effectivement : d'après le Hors-Série du Diplo L'Apartheid de la Santé, 70% du coût d'un médicament est constitué de publicité - car les labos en font auprès des médecins, et pas qu'un peu. Les écoles du quartier récoltent les kilos de stylos, bloc-notes, feutres et babioles offerts par les labos à mon père. Le pompom : un lecteur DVD de salon et un Palm Pilot (le Palm a fini chez l'instit :D) pour une étude sur un médoc - c'est généreux.
 
Le meilleur est tout de même qu'une partie de la recherche est assurée par les Universités - sous contrat bien sûr.
 
Le beurre, l'argent du beurre, et si possible se taper le cul de la cremière.

n°3566345
tailindil
Blood, Toil, Tears and Sweat.
Posté le 26-08-2004 à 13:28:52  profilanswer
 

Stephen a écrit :

Effectivement : d'après le Hors-Série du Diplo L'Apartheid de la Santé, 70% du coût d'un médicament est constitué de publicité - car les labos en font auprès des médecins, et pas qu'un peu. Les écoles du quartier récoltent les kilos de stylos, bloc-notes, feutres et babioles offerts par les labos à mon père. Le pompom : un lecteur DVD de salon et un Palm Pilot (le Palm a fini chez l'instit :D) pour une étude sur un médoc - c'est généreux.
 
Le meilleur est tout de même qu'une partie de la recherche est assurée par les Universités - sous contrat bien sûr.
 
Le beurre, l'argent du beurre, et si possible se taper le cul de la cremière.


 
joli up de derrière les cageots. c'est le topik Cesare Battisti qui t'as donné envie?  [:tartalap]


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La raison de vivre de la la Philosophie est de nuire à la bêtise [Nietzsche]
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