Ca n'y va pas de main morte, entre guerre civile et autres. ...
Est-ce que les medias sous-estiment la "gravité" de la situation ?
http://www.unionrepublicainepopulaire.org/
La rébellion musulmane doit être mâtée - par Union Républicaine Populaire le 2005.11.06 - 11:49
Est-ce le début d'une guerre civile ? Tandis que règne la censure des media français qui essayent désespérément de dissimuler la gravité des tragiques évènements de la nuit dernière qui ne cessent de prendre de lampleur dheure en heure, en ajoutant à la « minimisation » des faits, la démagogie manipulatrice dune intense politique de communication mettant en avant ici des « appels à la paix », là des « musulmans » exemplaires servant de faire valoir au discours de « lexplication sociale », le pays sombre dans les émeutes.
Pour sinformer donc objectivement sur le déroulement des évènements, il convient désormais de sorienter vers les media étrangers, ainsi El Mundo en Espagne ou le Sueddeutsches Zeitung en Allemagne qui rapportent comment les jeunes musulmans revendiquent leurs actes sur des blogs et forums, et ne cachent plus leurs motivations profondes : « chaque nuit nous faisons Bagdad ».
De CNN au Frankfurter Allgemeine, en passant par FOXNEWS, MSNBC, le Washington Times, CBS News et les dépêches en continue de lAP notamment sur Yahoo US News, il ne peut plus être permis de douter. Nous vivons en France, cette fameuse « levée de la rue musulmanes » que craignait tant Paris pour justifier son refus dintervenir en Iraq en 2003.
Ainsi que lavait énoncé la cruelle lapalissade de Winston Churchill, malgré donc leur choix du déshonneur pour éviter la guerre, voilà donc les gouvernants français pris au piège du déshonneur et de la guerre civile. Otages de leurs peurs intérieures, les français nont cessé dabdiquer depuis des années devant leurs minorités musulmanes, leur concédant un communautarisme de plus en plus puissant, et finalement de plus en plus institutionnalisé en dotant au cur de la République lislam dun pouvoir occulte auquel autre religion naurait même osé prétendre : le CFCM
La puissance de la deuxième religion de France éclate donc de toute sa puissance auprès dune population française tétanisée, qui sort dun long aveuglement où lavaient plongé les élites politiques, culturelles, économiques, sociales, et médiatiques du pays, chantres de la collaboration à lassaillant intérieur. De la justice devenu linstrument du communautarisme et de la censure de toute critique contre lislam et la montée en puissance du pouvoir musulman jusquau cur de nos institutions républicaines, à la télévision et aux journaux essayant de maintenir le peuple au moins dans lignorance, au pire tentant de lendoctriner dans sa logique collaborationniste
Ce matin encore, alors que les media du monde entier font le constat de la rupture entre lislam et la République, et de ce premier acte du tant craint, mais inéluctable, conflit des civilisations prenant des allures de guerre civile en Europe où les minorités musulmanes tentent de simposer, les radios et télés françaises tentent encore de tromper les français, évoquant les « grands frères » tentant de rétablir la paix, ceux là même qui dans un communiqué jeudi soir présentaient leurs « revendications » et leurs « exigences ».
Média qui mettent en avant les « appels à la paix » des imams et du CFCM, ceux là même qui ne cessent de justifier les violences en ne cessant daccuser les « paroles » dun ministre, le « racisme » de la société (et donc des français), Dalil Boubakeur allant jusquà témoigner sa « solidarité » avec ses « frères musulmans », ce qui ne pouvait être interprété autrement que pour un soutien implicite aux violences. Le même Boubakeur qui comme dautres musulmans « exigent » des excuses de la république pour une grenade jetée accidentellement dans une mosquée, oubliant que si les émeutes navaient pas eu lieu, il ny aurait pas ce type de dégât collatéral.
Il faut être clair, la rébellion musulmane doit être mâtée. Le communautarisme musulman qui est la source du mal, doit être défait, le CFCM dissout, et les politiques de discrimination positive stoppées sans délai. La politique du recul et des concessions doit cesser définitivement.
Des français de toutes les origines souffrent aussi du chômage, comptent aussi des familles modestes, victimes de la précarité sociale et de la pauvreté, sans pour autant sombrer dans de telles violences. Il ne peut plus être fait prétexte des problèmes économiques et sociaux du pays pour justifier une telle rébellion qui nest en rien sociale, mais musulmane, il suffit de constater dailleurs qui en sont les auteurs. Le constat est général, le constat est mondial et décrit comme des « émeutes islamistes » sans ambages par lensemble des media du monde entier.
Il serait enfin totalement incompréhensible, une fois le calme rétablit, doctroyer une quelconque rançon aux émeutiers en cédant de nouveaux plans et autres fonds financiers pour les banlieues. Ce serait céder à la violence, au chantage du terrorisme social que tentent dimposer les minorités musulmanes. Ce serait trahir le peuple français une seconde fois après avoir été incapable de le protéger de telles émeutes islamistes pendant des jours et des nuits qui nen finissent plus.
Si nous ne prenions pas dès à présent des mesures de maîtrise de lislam en France, et de la communauté musulmane à qui doit être imposé sans faiblesse le choix simple de lintégration ou du départ, nous hypothèquerions gravement lavenir et nous exposerions à une guerre civile dont nous avons ici les prémisses, et que nous pouvons encore éviter avant que ne triomphe la barbarie de la rue dont seuls les pires extrémismes, l'islamisme, le racisme, le croissant et la croix gammée seraient les vainqueurs.
Quant à la démission de Sarkozy, elle est évidemment inacceptable, quelles que soient ses fautes, ce serait céder au terrorisme, ce qui n'est pas acceptable en soi. Mais ce n'est qu'une question de principe vis à vis d'un ministre de la République, en aucun cas un soutien quelconque aux thèses sarkozystes qui sont plus que d'autres, prises dans la boite de pandorre qu'elles ont ouvertes.
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Est-ce le début d'une guerre civile ? Tandis que règne la censure des media français qui essayent désespérément de dissimuler la gravité des tragiques évènements de la nuit dernière qui ne cessent de prendre de lampleur dheure en heure, en ajoutant à la « minimisation » des faits, la démagogie manipulatrice dune intense politique de communication mettant en avant ici des « appels à la paix », là des « musulmans » exemplaires servant de faire valoir au discours de « lexplication sociale », le pays sombre dans les émeutes.
Pour sinformer donc objectivement sur le déroulement des évènements, il convient désormais de sorienter vers les media étrangers, ainsi El Mundo en Espagne ou le Sueddeutsches Zeitung en Allemagne qui rapportent comment les jeunes musulmans revendiquent leurs actes sur des blogs et forums, et ne cachent plus leurs motivations profondes : « chaque nuit nous faisons Bagdad ».
De CNN au Frankfurter Allgemeine, en passant par FOXNEWS, MSNBC, le Washington Times, CBS News et les dépêches en continue de lAP notamment sur Yahoo US News, il ne peut plus être permis de douter. Nous vivons en France, cette fameuse « levée de la rue musulmanes » que craignait tant Paris pour justifier son refus dintervenir en Iraq en 2003.
Ainsi que lavait énoncé la cruelle lapalissade de Winston Churchill, malgré donc leur choix du déshonneur pour éviter la guerre, voilà donc les gouvernants français pris au piège du déshonneur et de la guerre civile. Otages de leurs peurs intérieures, les français nont cessé dabdiquer depuis des années devant leurs minorités musulmanes, leur concédant un communautarisme de plus en plus puissant, et finalement de plus en plus institutionnalisé en dotant au cur de la République lislam dun pouvoir occulte auquel autre religion naurait même osé prétendre : le CFCM
La puissance de la deuxième religion de France éclate donc de toute sa puissance auprès dune population française tétanisée, qui sort dun long aveuglement où lavaient plongé les élites politiques, culturelles, économiques, sociales, et médiatiques du pays, chantres de la collaboration à lassaillant intérieur. De la justice devenu linstrument du communautarisme et de la censure de toute critique contre lislam et la montée en puissance du pouvoir musulman jusquau cur de nos institutions républicaines, à la télévision et aux journaux essayant de maintenir le peuple au moins dans lignorance, au pire tentant de lendoctriner dans sa logique collaborationniste
Ce matin encore, alors que les media du monde entier font le constat de la rupture entre lislam et la République, et de ce premier acte du tant craint, mais inéluctable, conflit des civilisations prenant des allures de guerre civile en Europe où les minorités musulmanes tentent de simposer, les radios et télés françaises tentent encore de tromper les français, évoquant les « grands frères » tentant de rétablir la paix, ceux là même qui dans un communiqué jeudi soir présentaient leurs « revendications » et leurs « exigences ».
Média qui mettent en avant les « appels à la paix » des imams et du CFCM, ceux là même qui ne cessent de justifier les violences en ne cessant daccuser les « paroles » dun ministre, le « racisme » de la société (et donc des français), Dalil Boubakeur allant jusquà témoigner sa « solidarité » avec ses « frères musulmans », ce qui ne pouvait être interprété autrement que pour un soutien implicite aux violences. Le même Boubakeur qui comme dautres musulmans « exigent » des excuses de la république pour une grenade jetée accidentellement dans une mosquée, oubliant que si les émeutes navaient pas eu lieu, il ny aurait pas ce type de dégât collatéral.
Il faut être clair, la rébellion musulmane doit être mâtée. Le communautarisme musulman qui est la source du mal, doit être défait, le CFCM dissout, et les politiques de discrimination positive stoppées sans délai. La politique du recul et des concessions doit cesser définitivement.
Des français de toutes les origines souffrent aussi du chômage, comptent aussi des familles modestes, victimes de la précarité sociale et de la pauvreté, sans pour autant sombrer dans de telles violences. Il ne peut plus être fait prétexte des problèmes économiques et sociaux du pays pour justifier une telle rébellion qui nest en rien sociale, mais musulmane, il suffit de constater dailleurs qui en sont les auteurs. Le constat est général, le constat est mondial et décrit comme des « émeutes islamistes » sans ambages par lensemble des media du monde entier.
Il serait enfin totalement incompréhensible, une fois le calme rétablit, doctroyer une quelconque rançon aux émeutiers en cédant de nouveaux plans et autres fonds financiers pour les banlieues. Ce serait céder à la violence, au chantage du terrorisme social que tentent dimposer les minorités musulmanes. Ce serait trahir le peuple français une seconde fois après avoir été incapable de le protéger de telles émeutes islamistes pendant des jours et des nuits qui nen finissent plus.
Si nous ne prenions pas dès à présent des mesures de maîtrise de lislam en France, et de la communauté musulmane à qui doit être imposé sans faiblesse le choix simple de lintégration ou du départ, nous hypothèquerions gravement lavenir et nous exposerions à une guerre civile dont nous avons ici les prémisses, et que nous pouvons encore éviter avant que ne triomphe la barbarie de la rue dont seuls les pires extrémismes, l'islamisme, le racisme, le croissant et la croix gammée seraient les vainqueurs.
Quant à la démission de Sarkozy, elle est évidemment inacceptable, quelles que soient ses fautes, ce serait céder au terrorisme, ce qui n'est pas acceptable en soi. Mais ce n'est qu'une question de principe vis à vis d'un ministre de la République, en aucun cas un soutien quelconque aux thèses sarkozystes qui sont plus que d'autres, prises dans la boite de pandorre qu'elles ont ouvertes.