Reprise du message précédent :

M'en fous, y en aura 3 qui auront mauvaise conscience et qui se lèveront quand même
J'aime bien faire relever ce qui se sont dépêché de courir pour avoir la seule place dispo, aussi  

Je note l'idée au cas où. Merci.

Avec mon gros manteau on pourrait pas savoir si je suis enceinte ou non
Je vais tenter ton astuce

 
Tu as bien raison. Je ne laisse ma place que si on me le demande avec le sourire.
 
Explication : Je ne propose plus ma place depuis que je me suis fait agresser par une vieille qui m'a répondu qu'elle tenait encore debout (et pas sur le ton de la plaisanterie) et une grosse qui m'a fusillé du regard, j'ai compris qu'elle n'était pas enceinte.
 
Maintenant, faut demander sinon, je ne bouge pas.

Go topic honte

C'est un classique ça
Moi dans le doute je regarde la personne, en général tu vois vite le regard de détresse genre   qui montre que la personne a besoin de s'asseoir

 
la meme    
les 2 la meme journée    
 
depuis: niquez vous  

Tu peux enlever les redface, c'est la vérité vraie 'ro  

J'ai fait ma journée hedomadaire de télétravail hier tiens. J'étais bien et j'ai bien avancé.  

 
N'importe quoi.
Nous ce sont les BB qui le réclament justement

 
Les gens qui l'ont refusé pour ma part était tous des 45 ans +, avec pour excuse que "la technologie n'est pas encore sûrs"
 
Cest aussi nulle que "je me connecte pas a ma Banque en ligne car des pirates vont me voler de l'argent"

Question de la semaine : votre pire souffrance au boulot de toute votre expérience ?

Ouhlà, ça a l'air high level ta story.
Je veux les détails, le contexte (sauf si ça te fait encore mal d'en parler), l'issue de l'histoire sur mon bureau ce soir

Pareil harcèlement moral, un mec qui venait de passer chef et qui supportait pas que je sois plus diplômé que lui. Il m'a pris en grippe direct, alors que mes diplomes je m'en branle sérieusement et j'en parle jamais sauf si on me pose la question. Seul fois où j'ai été chialer aux chiotte du bureau.

Expérience qui m'a fait drapaliser ce topic pour des conseils : femme chef acariâtre qui me reprochait quotidiennement le fonctionnement incorrect de mon programme batch en recette et qui ne m'écoutait pas. J'ai pleuré aux toilettes pendant une semaine avec la non envie de retourner au boulot à six mois de la fin de la mission.

Le pleur aux chiottes, putain c'est 2 ans plus tard que j'ai compris que c'était du harcèlement.  Bon maintenant je m'en fous un peu mais j'espère ne plus jamais recroiser ce mec médiocre qui avait besoin de rabaisser les autres pour se sentir important.

Ça marque mine de rien. Moi ça m'attriste quand j'y repense parfois.
Par contre je me suis rendue compte que deux ans après que j'avais été victime de misogynie. Bon ça ne m'empêche pas de dormir.

 
Le manque de considération. Je suis l'expert technique sur le truc, c'est même les chefs qui l'ont dit.
Mais derrière, mon avis n'est pas souvent écouté voire je ne suis même pas consulté. Et quand ça ne marche pas (comme je l'avais prévu et alerté), c'est à moi de réparer les pots cassés, et vite.
Je dois assumer les mauvaises décisions prises par d'autres personnes qui ne voient pas où est le problème.
Et quand je gueule, on me dit que je ne suis pas constructif ou on me dit de fermer ma gueule. Je dois prendre sur moi, mais pas les autres.
Je ne suis pas mis au courant de tout. C'est con, je pourrais apporter pas mal de choses dès le début alors que quand je les découvre c'est plus tard et ça retarde le projet le temps de trouver une solution alors que ça aurait été plus simple si j'avais pu le signaler dès le début.
J'ai aussi pris des responsabilités supplémentaires depuis plusieurs mois, mais je n'ai pas eu l'augmentation/la promotion qui allait avec: je fais le job mais sans avoir le titre/salaire qui va avec.
 
L'autre problème, c'est que j'aime ce que je fais et que j'ai une conscience professionnelle (trop?) développée. Trop bon trop con...
 
Je me suis retrouvé avec 19 de tension début 2016, à 32 ans. Ca s'appelle une hypertension artérielle sévère précoce. Je ne sais pas si c'est causé par le stress du boulot ou autre chose, mais mon hypertension est apparue au moment où c'était super chaud sur le projet. Depuis, je suis sous traitement. Ma tension est redescendue grâce au traitement et aussi parce que j'essaie de prendre du recul mais j'ai encore du mal. Le traitement est potentiellement à vie.
 
Actuellement je suis en arrêt de travail suite à un autre soucis de santé découvert lors du bilan pour l'hypertension. J'ai du me faire opérer et je suis actuellement en repos post-opératoire. Je reprends début janvier. Je profite de tout mon temps libre pour réfléchir à mon boulot et mes conditions de travail.
Mon entretien annuel est prévu juste après ma reprise, j'en profiterai pour parler de tout ça. Et je mettrai les choses au point concernant mon boulot et tout. J'attends de voir ce que ça va donner, mais si ça ne bouge pas je démissionnerai. Je n'ai pas envie d'en arriver là, mais s'il ne me reste que cette solution...
 
Une dernière anecdote: quelque jours après mon opération, j'ai envoyé un mail à mes collègues pour donner quelques nouvelles et dire que ça allait. Certains ont répondu me souhaitant un bon rétablissement, mais pas mon donneur d'ordre. Sympa.
Tant que j'étais dans mes mails j'ai vu passer une énormité sur le projet. Du coup j'ai prévenu l'équipe du problème qui pouvait potentiellement se poser. Réponse du donneur d'ordre: t'es en arrêt alors ta gueule (ok, c'était pas dit comme ça mais c'est l'impression que j'ai eue). Je sais qu'il n'a pas tord sur le fond, mais la forme...
Le seul mail qu'il m'a envoyé n'a pas été un "bon rétablissement" mais un "ta gueule"

Sans vouloir l'excuser, il engage sa responsabilité (y compris potentiellement pénale) s'il te fait bosser alors que tu es en arrêt. Par écrit, sa réponse ne pouvait pas être autre chose, même un "merci" pouvait passer pour une approbation que tu bosses, et il ne peut pas. Après, ca n'empêche pas le "bon rétablissement" ou le coup de fil informel pour dire "ok, merci de tes remarques, mais on prend la suite, repose toi", on est d'accord

 
Oui. J'aurai pas du envoyer ce mail boulot et attendre mon retour pour retrouver le tas de problèmes (un peu plus, un peu moins... ), je le reconnais. Mais un "bon rétablissement" aurait aidé à faire passer la pilule.

Franchement, cherche ailleurs. Ça ne vaut pas le coup de se tuer à cause du taf. J'espère que tu as mis ton CV à jour.

 
7 minutes à pied, c'est bien Paris La Défense, je vois pas ce que vous y reprochez
 
Contrepartie: je loue une chambre chez des retraités qui ont un 5 pièces avec la chambre de leurs enfants libres.
 
Bon, faut aimer habiter chez des gens, quoi. Je fais ça 2 semaines pas plus, hein!   Pour un célib' habitué a son chez-soi ça change un peu...

+1 pense à ta santé

sur le moment on se dit que ce n'est pas possible de partir, que l'on n'a besoin de nous mais c'est faux. C'est nous qui nous nous mettons des barrières dans nos tetes.

Pour l'avoir vécu je sais qu'il y a quelque chose de frustrant quand la tete et le corps s'opposent surtout quand on aime son taff. Mais si le corps lache ce n'est pas un hasard. Après tes problèmes peuvent venir d'autres circonstances mais si tu as eu du stress intense antérieurement ça joue pas mal aussi.

Partir est parfois une nécessité, c'est loin d'etre de la lacheté ou de la faiblesse (je sais pas facile quand on est perfectionniste ). De toute façon si les conditions de travail et l'ambiance sont restés pareils, ton corps te relachera encore et peut-etre meme plus violemment.

Travailler en open-space.
 
Mes collègues téléphonent sur leur portable en parlant très fort (correspondants à l'étranger avec une réception médiocre), le bruit empêche toute concentration et c'est très énervant. En gros, quand un commercial fait un appel, l'entreprise entière s'arrête de travailler. Généralement, ils font ça tout en déambulant dans les bureaux en mode zombies donc ils gênent aussi la circulation. La politesse serait de mettre son portable professionnel en mode silencieux ou volume faible, de téléphoner assis à son bureau ou dehors et de parler à un volume modéré.
 
En plus, en open-space mes supérieurs m'ont toujours à l'œil et me fliquent. Avant, j'avais un bureau individuel. Je pouvais faire ce que je voulais (sans abuser), régler la climatisation à mon convenance, j'étais tranquille et surtout efficace dans mon travail car je pouvais me concentrer. Aujourd'hui, si je veux par exemple passer un coup de fil personnel (5 min dans la journée, c'est pas la mort), je suis obligé de sortir et là j'ai les supérieurs sur le dos qui me demandent où je vais, pourquoi...

ils sont radins en pause aussi on dirait

J'ai connu l'open space en face à face avec une teutonne. Une avocate qui négocie (durement) en allemand. Je crois que même les allemands ne méritent pas ça .

J'ai jamais pu bosser pendant ses coups de fil, ma productivité a aussi explosé quand j'ai eu mon bureau tout seul

Oui

Voila. Mes collègues parlent allemand aussi, c'est une langue qui se parle fort on dirait

Merci pour vos conseils.
 
Il est bien ce topic, on peut parler
 
 
Pour l'open-space, je connais moi aussi
 
Heureusement ils ne sont pas trop chiants sur les pauses et les horaires, je peux prendre les pauses que je veux tant que j'abuse pas (et que le boulot avance ).
 
Mais le bruit... Entre les mecs qui téléphonent, ceux qui discutent entre eux, qui rigolent... Ceux qui téléphonent vont et viennent loin de leur bureau pour pas déranger leurs collègues proches mais ils ont oublié qu'à l'autre bout du plateau y'a mon bureau.    
Mais je reconnais que moi aussi je fais du bruit: moi aussi je parle, moi aussi je rigole, moi aussi il m'arrive d'oublier de baisser le volume de ma sonnerie.
Du coup, je mets un casque et de la musique. J'ai jamais autant écouté de MP3
(statistique rigolote, il parait que 28% de la consommation de bande passante d'un des sites c'est que du youtube , le reste c'est de l'internet normal et les applis pro)
 
Sans oublier nos fameux box de réunions qui n'ont pas de plafond    
Je m'explique: sur le plateau, le plafond est à 4 mètres de haut. Au milieu des bureaux, on a des box de réunion dont les cloisons montent à 2,50 mètres de haut. Mais ils n'ont pas de plafond parce sinon ils ne seraient pas ventilés comme il faut. Du coup, quand les mecs sont en réunion ils ont l'impression d'être isolés et parlent fort (voire s'engueulent ), et à côté on subit

Puté
L'ambiance que tu veux pas
 

 
- Le petit job temporaire de merde payé au SMIC où une équipe est montée vite fait avec le responsable RH qui s'en branle et a embauché sans les rencontrer les pires cassos que lui a fournis la mission locale du coin. Travailler avec des gens violents/fous/fainéants/débiles légers/déconnectés du monde a été... compliqué. Et plus ça allait, pire c'était : on avait des "pauses techniques" le temps que notre matériel soit réinstallé en plein milieu de la journée, parfois ça durait de 3 à 4h, durant lesquelles on était obligés de rester au bureau MAIS pour lesquelles on était pas payés. Et parfois on faisait des journées de 12h sans pause. Six jours sur sept. J'étais en désespoir total, j'y ai travaillé plusieurs mois, au début avec blinde d'heures supp ça payait le max, mais après quelques temps ils nous dégageaient dès qu'on avait fait nos 35h et embauchaient d'autres pauvres paumés pour continuer. Mais j'ai pas tellement souffert au final, j'étais jeune et je prenais sur moi. Quand j'y pense maintenant, l'inspection du travail y aurait fait un putain de carnage...
 
- la distribution de bons de réduction dans la rue. Pas de sondage ou quoi, je faisais pas non plus la manche pour une asso, je distribuais des bons de réduction... Huit heures debout avec le monde qui t'évite, te regarde l'air dégoûté, t'ignore, t'envoie chier, certains se sont même moqués de moi. Et à la fin c'est toi qui dois ramasser les papiers que les gens ont jeté par terre, sinon tu te fais engueuler. Bien sûr tu fais ça une fois les heures terminées, donc c'est pas payé... J'ai tenu 3 jours sur les 4 prévus de la mission. Abominable. Pourtant j'étais en dèche ultime, mais j'ai préféré rester dans la mouise que continuer. Pire expérience de ma vie je pense.  
 
- le job pas si naze dans l'ex-boîte d'un chef d'entreprise aujourd'hui devenu millionnaire. Le gars était une sale pute. Un jour je lui ai posé une question toute innocente (j'étais là depuis 3 jours, je ne savais pas tout des rouages de l'entreprise), le mec m'a défoncée, insultée, un truc de malade. J'ai rompu la période d'essai le lendemain, il m'a dit qu'il était déçu, que s'il m'avait engueulée c'est que je l'avais mérité, et que si je pouvais pas encaisser les critiques j'irais pas loin. Ouais va te faire enculer, t'es ptêt millionnaire, mais j'ai vu des fesses moins moches que ton visage et quand tu parles ça fait des bruits de WC qu'on débouche.
 
- le job dans un bureau d'étude d'un grand FAI. Y'avait rien à foutre, alors pour justifier l'existence du poste, on rebasculait les appels du service clientèle vers mon poste à moi. Sauf que je bossais dans le bureau d'études qui posait des câbles et des antennes quoi... J'avais ni les compétences, ni le matériel pour aider les clients "grand public". Qui, pour la plupart, sont vraiment ultra-débiles. Bon, je me suis aguerrie avec le temps, j'ai réussi à tenir la majorité en respect, mais c'est mortifiant quand même.
 
Voilà  

 
Une collègue en congé maladie et pas de remplaçant alors qu'on était déjà en sous-effectif. Pas de soutien de la hiérarchie qui faisait comme si notre boulot était si facile qu'on pouvait se passer de nous, qui nous dénigrait. Du coup, on me reprochait de ne pas assurer 2-3 postes de surveillance en même temps (impossibilité physique : on n'a pas encore inventé un duplicateur et à mon grand regret je ne suis pas omnisciente ni capable de me dédoubler).
Comme les autres : craquage et pleurs dans les toilettes. J'ai même pleuré à la vue de mon repas de midi, je riais en même temps tant c'était une scène ridicule.

Mon N+1 sachant qu'on travaille en binôme donc on est que tous les 2
 

• Il est poli mais les réflexions désobligeantes sont récurrentes malgré tout, genre hier un truc à faire tombe à 16h55 et il me dit "non mais pars, tu finis à 17h00, je ne voudrais pas te retenir"  

• On partage le même bureau. Dès que je téléphone, il se tourne pour écouter, me demande qui c'est tel un concierge, se mêle des conversations.

• Flicage non-stop. A l'époque, je bossais en parfaite autonomie avec pas mal de souplesse (horaires, pauses...) et le boulot était fait correctement. Aujourd'hui, je suis fliqué. 50 "t'es sur quoi ?" par jour, regards sur l'écran... Me mettre sous pression me démotive. Paradoxalement, le boulot est moins bien fait que quand on me lâche la grappe. C'est tellement contradictoire de donner à quelqu'un le pouvoir de représenter la boîte, d'engager commercialement et techniquement l'équipe sur des chantiers énormes et risqués juridiquement, de conduire des véhicules à xk€, d'acheter/vendre pour des centaines de k€ par jour mais de surveiller le temps de pause pour pas qu'on gratte 5 min. Comment se sentir adulte dans un cadre infantilisant ?

• A ses yeux et par rapport à ses horaires à lui, je ne suis présent à l'entreprise que très brièvement : 35h. Donc le peu que je suis là, il me fout la pression pour obtenir 200 % de moi. Le détail c'est que ce n'est pas moi qui ai demandé à avoir ces "horaires de fonctionnaire", c'est le PDG. Jamais on ne m'a proposé de faire plus d'heures ou d'être cadre. Il faut pas confondre volonté de la direction et manque de volonté du salarié.

• Le matin, il commence à 9h00 contre 8h30 pour moi, donc il m'appelle sur la route pour faire un brieffing, comme si ça ne pouvait pas attendre d'être au bureau.

• Quand il est absent, on pourrait croire que c'est tranquille mais c'est pire car il appelle toute la journée pour des choses sans importance (envoyer un mail à Untel...), en vérité pour foutre la pression et s'assurer que je suis à mon poste.

• + plein de petits détails : le matin, il me dit "b'jour" sans me regarder. Ses équivalents hiérarchiques ont droit à un "salut, tu vas bien" débordant d'enthousiasme. Quand au boss, là c'est euphorique. Il y a cette connivence/complicité entre cadres parce qu'eux font tourner la boîte, par rapport à nous simples parasites qui sommes là pour faire nos heures et toucher notre paie.

 
Deux anciens N+1...
 
le premier, clairement maintenant qu'il a changé de fonction, on s'entend bien, je lui ai clairement dit que c'était un connard avant, il en convient  
mais du temps ou il etait chef...
harcelement, non respect de la vie privée, reflexions désobligeantes regulièrement, j'en passe et des meilleures.
j'avais d'ailleurs commencé un dossier pour les prud'hommes...  
il a d'ailleurs à son actif un certain nombre de procès prud’hom. C'est je pense une raison pour laquelle la haute direction l'a fait changer de poste
 
Mon deuxieme N+1
au début nickel, puis un jour, ca a glissé...
j'avais une sinusite carabinée, fièvre toussa, j'étais en arret, mais je savais qu'il y avait des deadlines, du coup j'avais refusé l'arret complet à mon toubib, afin de retourner au taf finaliser. Grossière erreur...
bref, retour au taf, forcement des tonnes de dossiers, et rien de valider par mon N+1. Et genre le mec se pointe a 14h pour une deadline à 16h... avec mon collegue, on lui sort un truc genre "ah bah enfin" mais bon en se marrant, vraiment le truc pas méchant... et la, le mec il a peté un cable. Mais littéralement. Il m'a incendié, m'a accusé d'avoir choisi de prendre un congé maladie à cette période, et qu'il fallait que j'en assume les conséquences, blablabla... j'avais encore pas mal de fievre, tout ca, je me suis mise en PLS
 
bref, au bout d'un moment, ca s'est tassé, mais le monsieur avait la rancune tenace.... Et genre 6 mois plus tard, a faire des trucs en douce, il m'a reproché de ne pas faire mon taf (qui n'était pas le mien à la base, mais qu'en fait, vu ce qu'il faisait en douce, j'aurais du comprendre que maintenant c'était mon taf )... Résultat, c'est encore monté dans les tours, sauf que moins d'une semaine après, je recevais une mise en garde @home par AR
bon j'étais DP, je me suis foutue en arret, courrier aux RH, inspection du travail, etc etc, période sympa, et pas du tout stressante
 
maintenant il est plus la et c'est pas plus mal

Surtout la première...
En spécimen de N+1, y'a aussi celui qui veut une réponse immédiate à son mail méga urgent qui peut pas attendre. Alors que le sujet n'est pas forcément simple à traiter à la va-vite.
Tu te donnes tout pour le satisfaire et lui envoie tranquillou la réponse au client 15 jours plus tard...
 
Mais le pire N+1, c'est celui qui n'est jamais dispo pour toi :  
Qui te programme un "point" à 14h, puis décale à 15h, et finalement te proposes de le faire à 18h quand tu plies les gaules...
Qui préfère répondre au téléphone ou aux mails quand justement tu as réussi à l'attraper pour faire un point,
Qui te répond vaguement à une question à laquelle il est censé avoir la réponse, réponse dont tu as absolument besoin pour avancer...
Bref qui préfère surtout avancer sur ses propres tâches pour se rendre visible plutôt que de faire avancer son équipe.  

Racontée sur quelques posts à partir d'ici : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t39112102

Merci pour ces lectures à la fois drôles & tristes, je me suis reconnue dans pas mal de récits, mais pas dans tous (heureusement )
Si vous en avez d'autres hésitez pas, ça fait souvent du bien

Je connais aussi
 
Ton N+1 c'est comme ton client, il veut tout, tout-de-suite. Jamais il ne te dira "mets ça de côté pour le faire tranquillement quand tu auras un moment".
 
Le problème c'est quant tout est urgent, plus rien ne l'est. On avait mis en place des ordres d'urgence pour les tâches avec 3 niveaux, et là encore tout était en priorité maximale donc aucun intérêt car ça ne permet pas de prioriser.

Répondre au téléphone pendant une réunion, décaler les réunions au point qu'elles ne commencent jamais à l'heure voulue, je connais aussi. Deux exemples de manque de respect.
 
A mon boulot précédent, je faisais des réunions avec le PDG lui-même, c'était bref mais durant ce lapse de temps, il était 100 % consacré à ce qu'on faisait, ne répondait pas au tél, etc.

Le plus énervant :
Tu as un responsable du même acabit que décrit par Bafnim. Donc le gars tu galères à caler une réunion avec lui.
Et il a des moments d'absence car il lit ses mails ou check son téléphone pendant ledit point
Et toi tu sais pas quoi faire en attendant Donc tu attends.