Reprise du message précédent :
Putain les gars qui se prennent la tête sur un psychologue
 
3 mois

T'es sûr d'avoir lu plus de deux posts ?
 
Ce n'est pas un débat d'idées contradictoires qui est mis en cause.
 
Bref...
 

Faut pas te sentir visé hein
 
C'est juste le combat d'infirme des derniers posts qui m'a interpellé.
 
Bref comme tu dis

C'est le confort et la facilité de juger quand on n'est pas impliqué, et donc distant, qui me gêne...pas le reste.
 
Tant qu'à Psychorêve, il doit avoir des multis ici  puisqu’il sait ce qu'on dit de lui malgré son ban.
J'ai vu, de manière fortuite, qu'il a essayé de me pourrir sur le forum doctissimo...c'est entre lui et lui sur ce coup.

 
 
On ne peut pas regarder sans être connecté quand on est ban?

Tu as peut être raison, je n'en sais rien.
Sans importance.

Pour changer de sujet, en restant dans le thème, juste à titre d'info pour les courageux, deux textes témoignant d'approches distinctes d'interprétation des rêves. Texte un peu orienté mais intéressant.
http://www.sitemed.fr/reves/5jung.htm
 
Et un peu de pratique.
http://www.sitemed.fr/reves/7etude.htm

non, c'est de la merde ça  

A tes souhaits.

Mon rêve de cette nuit...
 
Nous sommes en vacances avec ma femme et les enfants; je ne suis pas sûr de leur age dans mon rêve, mais le deuxième est encore dans le ventre de sa mère IRL. Là ils sont clairement grands et autonomes.
Nous sommes probablement au Mexique, ou dans la zone d'Amérique Centrale.
Une jungle, dans un centre de vacances "familial" (un concept un peu baba-cool, où on participe à l'ensemble des tâches.)
 
Avant de partir, j'ai repéré sur Google Earth les traces d'une ville abandonnée en bord de mer à environ 5 km de jungle de notre centre.
Curieusement, aucune mention d'en est faite nulle part, ni dans la doc du centre de vacances, ni sur Internet.
 
Les vacances se passent bien et nous décidons d'affronter les 5 km de jungle pour visiter la "ville".
Nous avons tenté d'en parler aux locaux du centre, mais personne n'en a entendu parler.
 
Pour une raison non déterminée, nous partons avec un gros chariot chargé de jouets. Entre 100 et 200 au total, pour tous les ages.
La traversée de la jungle se fait sans soucis et bientôt nous voilà dans la "ville".
Alors effectivement il y a bien une ville, couverte de végétation, genre cité aztèque. Des murs épais, des pyramides à étages.
Et des enfants... plein d'enfants. Uniquement des enfants.
Des asiatiques, des blacks, des gaulois, des bruns, des blonds, des tous petits de 2 ans, de jeunes ado. On dirait une pub Benetton.
 
Ils nous accueillent joyeusement "ouais, des grands !", on demande où sont les adultes, ils ne savent pas. Ils sont là depuis longtemps.
Au cente de la ville, il y a une grande table, comme celle du banquet d'Astérix. On dépose le chariot chargé de jouets au milieu du cercle, on attaque le dîner.
L'ambiance est joyeuse, mais le vent commence à souffler vers la mer. Que nous n'avons pas encore vue depuis que nous sommes arrivés.
Les enfants deviennent nerveux et commencent à réclamer leurs cadeaux ("les cadeaux, les cadeaux !" )
 
Je commence la distribution par un gros ballon rigolo gonflé à l'hélium.
Mais le ballon m'échappe des mains et le vent le pousse vers la mer. Je ne veux pas le laisser partir, je pars à sa poursuite.
Les enfants essayent de me retenir "c'est pas grave, ne va pas à la mer..."
Je ne les écoute pas, je veux récupérer ce putain de ballon.
 
J'arrive au bord de la mer. La "rue" qui y conduit arrive environ 5 ou 6 mètres au-dessus de la plage et descend en une dune escarpée.
Sur la plage, il y a une machine. Grosse comme une camionnette, en acier inox et céramique blanche. Difficile à décrire.
Un réservoir en inox, des tuyaux, des gros manomètres baroques. Tout cela connecté à une espèce de baignoire, remplie à ras-bord d'un liquide noir et épais, qui bouillonne doucement.
Au-dessus de tout ça, un tableau (une peinture) de grande taille, environ 3 mètres de large et 5 mètres de haut. Il flotte en l'air.
Dedans, des images qui changent; une île paradisiaque, une montagne enneigée, une plaine vallonnée où l'on fait pousser du blé, une forêt de chênes, des îles encore...
Je me rends compte que les enfants m'ont suivi, ma femme aussi avec le chariot de jouets.
Les enfants me supplient toujours de ne pas y aller, de revenir, de leurs donner leurs cadeaux.
 
Je me retourne de nouveau vers le tableau et cette fois un visage, géant, est "peint".
Il n'est pas humain, presque mais pas humain. Quelque chose ne va pas.
"Quelque chose ne va pas" dis-je à voix haute.
"Qu'est-ce que c'est que ce truc ?"
"Je suis le vúx" répond il.
La voix me parle dans ma tête, pas par les oreilles, mais je vois que tous les enfant tremblent... de peur ? de rage ?
"Et c'est quoi le vúx ?" demande-je.
"Je suis un collectionneur."
"Ah, et de quoi ?"
"De gens qui s'aiment."
"Euh oui..."
"Regarde"
Et là se succèdent plein de tableaux animés, avec des couples, des vieux, des jeunes. Des asiatiques, des blacks, des gaulois, des bruns, des blonds.
Je dis tableaux, mais en fait ce sont des images "vraies", en direct, mais avec un rendu de peinture. Ils se baladent, ou sont assis en train de discuter, ou de s’embrasser.
Et on peut dire une chose : ces gens s'aiment. Ils sont les personnes les plus heureuses d'être ensemble que j'ai jamais vu.
"Et donc, c'est quoi pour moi ?"
"Je vous invite à rejoindre le vúx !"
"Euh..."
Je me retourne vers ma femme, vers les enfants.
Mais il n'y a plus d'enfants; il n'y a plus que des monstres aux visages tordus par la haine.
Mes enfants font parie des monstres, du monstre.
"Nous ne vous laisserons pas partir sans nous donner nos cadeaux !" disent-il d'une seule voix.
Je regarde ma femme, elle ne comprend pas; je crois qu'elle ne voit pas.
Je tente un pas vers la plage, de l’entraîner vers la baignoire de liquide noir qui s'est mis à bouillonner furieusement. Les enfants se rapprochent.
Je saute sur le chariot de jouets, j'attrape une épée en plastique.
Je fais de grands moulinets avec pour tenir le monstre au loin, il rit.
"C'est le mieux que tu puisses faire ?"
Il me presse, je vais succomber sous le nombre. Succomber à quoi, je ne sais pas...
 
====
 
Et ma greluchette de 20 mois me réveille à ce moment.
Je ne connaîtrai pas la fin je suppose.
 
Je me suis réveillé avec le sentiment d'un rêve bizarre, mais impossible de m'en souvenir.
Je m'en ouvre à ma femme et d'un coup le mot 'vúx' me revient. Et là tout le rêve se déroule d'un coup.
Clairement dans mon rêve le terme 'vúx' est associé au mot 'vox' (voix en latin.)

Je sais pas ce que tu fume, mais j'veux la même, surtout pour se souvenir aussi bien

C'est franchement pas mal, en plus.  
Quand je pense que les rares fois où je cauchemarde ça se limite à croire que je suis à la bourre ou à me tataner avec des ours, je suis un peu vert.

Cette nuit je me suis fait froidement abattre dans une sorte de Hunger Games dans un entrepôt Alors que la nana qui m'avait tiré dessus en loupant les organes vitaux se faisait éclater la tête par un pote à coup de Pc portable, un autre nana m'a tiré un pruneau dans la tête
 
J'ai vécu le rêve à la troisième personne après c'était bizarre
 
J'aurai pas du jouer à Mario Party avant d'aller au lit

Je fais souvent des rêves très puissants et fertiles niveau insolite/imagination, et ce depuis que je suis gosse. J'hésite à en faire un recueil et vendre ça avec un titre humoristique du genre "scénars pour films de série B et +".

En voici un récent, vous avez du taf pour quelques jours pour interpréter:

Ca se passe dans un contexte de guerre mondiale néo-apocalyptique.
On me charge d’aller récupérer un type chez lui et de le protéger jusqu’au point d'exfiltration.
La raison: il est le dernier sur Terre à savoir faire une omelette.

J'arrive chez lui assez facilement, c'est un japonais geek. Il me dit que sa recette d'omelette il la connaît par cœur grâce au jeu vidéo Pokémon, quand Pikachu doit remplir un défi de cuistot face à Salamech (ou un truc comme ça). Il me délivre un secret: il ajoute 1 jaune d’œuf en plus des œufs battus.

Un sniper de l'autre côté de la rue tire, il me touche je tombe au sol, je dis à mon objectif mission de se planquer et d'attendre. Je fais le mort plusieurs jours durant, laissant suffisamment de temps pour m'assurer que le sniper me croit mort et parte ailleurs. Il m'a tiré quelques fois desssus pour voir si je réagissais mais en faisant craquer mes dents j'expulsais un antalgique très puissant qui faisait baisser mes fonctions vitales, conscient tout en état dans un faux coma.

Le type que je devais protéger a disparu. Je retire les balles avec un couteau que j'ai stérilisé au briquet, je tire en rafale pour faire chauffer le canon et l'enfoncer dans mes plaies pour les cautériser. Et c'est reparti.

Je suis sa trace grâce à des lunettes calibrées pour tracer un marqueur génétique du mec. J'arrive sur un camp de rétention, les gens sont enfermés dans un stade, séparés par des cages en grillages.

J'observe plusieurs jours pour choisir le moment opportun. Chaque jour ils balancent une dizaine de chiens affamés dans une cages sur des familles complètes.

J'arrive à chopper un chien, le chef de meute, je casse mes lunettes de marqueur génétique, récupère l'électrode et la plante dans le cerveau du chien avec un marqueur génétique de son maitre. Ca fou le bordel, j'en profite pour retrouver mon gars et on se casse.
Voila!

A vrai dire je le dépasse Bernie, facile même.

Lourdeur aggravée  sur le topic Jung *** = 3 mois de bannissement.  
 
*** Dixit un HFRien

Jcette nuit j’ai rêvé que je cultivais des épinards qui hurlaient de douleur quand je les cueillais.

Tu as vu aussi comme tu récoltes tes feuilles d'épinard ?

Parmi les milliers de rêves que j'ai eu à connaître je n'ai jamais rencontré un tel "phénomène". Dire que certains affirment que le rêve naît d'un fonctionnement aléatoire du cerveau ! Rudement structuré l'aléatoire.

Es-ce que vous pensez que nos rêves révèlent toujours quelque chose de vrai chez nous ?
Je rêve assez souvent à une fille que j'ai quitté et du coup ça me fait dire que j'ai fait une connerie (en tout cas que mon sub-conscient me le fait remarquer).

Ce qui est sur c'est que ca veut dire que tu penses à elle, après que tu aies fait une connerie ou non est une autre chose, ne pas confondre

OK.

Alors, rapport de cause à effet ou non ?

J'ai déjà rêvé que je déménageais moi même ma maison, au sens propre:

elle avait la forme d'une soucoupe volante façon OVNI, toute blanche, et je la faisais rouler sur la tranche en la poussant avec mes mains tout en marchant. J'avais un immense sac à dos sur les épaules avec toutes mes affaires. Ca pesait rien.

Plus je marchais, plus mes dents faisaient des trucs bizarres: elles démangeaient comme des insectes sur les jambes, puis craquaient quand je serrai la mâchoire, jsuqu'à péter en miettes en ressemblant aux biscuits apéro 3D. J'aimais bien le goût, le même que les 3D, alors je mâchais mes dents jusqu'à avoir que des gencives.

Je croise la même maison que la mienne, je décide de poser la mienne par dessus l'autre, le tout fusionne et se transforme en une sorte d'aéroglisseur doté d'un amplificateur d'air que je devais alimenter en soufflant dessus en continu pour avancer

Sinon d'autres fois j'ai conscience que je rêve, enfin dans ma tête une voix me dit un truc du style "tout ça n'est pas réel", du coup j'en profite pour foutre des tas de belles femmes à poil qui forniquent de partout avec moi et/ou entre elles  

j'ai fait un calin à un koala  

J'ai rêvé que je voyais mon pédiatre de quand j'étais môme, que j'ai pas revu depuis facile 20ans. Il avait les cheveux très longs et me disait de bien chier plusieurs fois par jour, avec son fort accent allemand.
 
En sortant de son cabinet je me retrouve seul humain entouré d'animaux qui accouchent: lapines, chattes, truies, biquettes, canards. Tous les bébés qui naissaient étaient des animaux de tailles adultes mais sans poils ou plumes.  
 
Un lapin nouveau né vient vers moi avec un énorme sourire et les yeux dilatés, il me fait peur mais j'écoute ce qu'il a à me dire. Il me dit "tu ne mourras pas de la dernière pluie" et repart en sautant avec un fou-rire sadique qui résonne.  
 
 

Cette fois-ci j'ai rêvé que je faisais des slaloms et du stunt (acrobaties) sur une moto rouge (une ducati) entre les tables et chaises d’une terrasse de café. Pendant ce temps une blonde, qui à priori devait être ma copine, parlait toute seule dans le vide en disant qu'on ne faisait jamais rien au lit alors elle me trompait avec son frangin à elle et niquaient 5 fois par semaine (je suis fan de game of throne faut dire).

Et moi, tranquille à continuer à faire du stunt entre les tables et chaises de la terrasse, en mode osef de même pour les clients du café....

Ben pas vraiment, s'il l'a quitté il devait y avoir une raison. Parfois on a envie de choses qui ne sont pas vraiment bonnes pour nous  
Il peut très bien avoir envie de la revoir tout en ayant bien fait de la quitter

J'ai rêvé que 5 filles me collaient dans la rue tard le soir, des filles de l'est. Elles étaient aguicheuses et avançaient avec moi, me collaient, me pelotaient, me faisaient signe de les suivre etc...

Je savais que c'était un piège mais je les suivais quand même, irrésistiblement attiré. On arrive à pieds comme ça dans une cité, une cité que j'ai jamais vu IRL et pourtant j'ai déjà vu cette cité dans un autre rêve où je rêvais qu'on m'avait piqué ma bécane (y a de ça quelques mois).

Derrière moi une foule de jeunes de cités se forme, sans un bruit telle une marche silencieuse. Puis les filles s'arrêtent de marcher, c'est l'obscurité totale. Elles se retournent avec des couteaux et me demandent mon portefeuille. Je leur donne. Je suis en fait accusé d'être un ancien nazi qui se planque.

Des jeunes de cités sont constitués partie civile et le plus vieux du groupe plaide coupable. Le maire de la ville vient appuyer cela en donnant plusieurs fois ma prétendue vraie identité et invente des exemples prouvant ma culpabilité. Ensuite c'est un plombier qui vient attester avoir vu des effigies nazies chez moi sous l'évier de la cuisine.

Moi j'explique que c'est un malentendu, qu'ils se gourent de personne etc.. mais à chaque fois toute la foule hurle "c'est ce que dirait un coupable". Alors je dis "à quoi sert ce tribunal si vous m'avez déjà condamné avant même que la séance ne commence?".

Ce à quoi le juge répond "au vu de ces éléments, je vous déclare coupable". Ma sentence est d'être condamné à me battre dans une cave contre 7 pitbulls. Si je m'en sors, alors je serai acquitté.

Dans cette cave je vois ma vie défiler quand ils lâchent les 7 chiens. Ce flashback me fait notamment voir un passage de ma jeunesse fictive où je vois ma grand mère imaginaire faire une incantation pour avoir des mains de plombs afin de retirer les frites qu’elles me faisaient, sans se blesser.

Je fais l'incantation, mes yeux se révulsent et mes mains se transforment en marteaux de Thor. Avec mes "mains" de plomb je fais éclater les têtes des chiens, puis les murs m'emprisonnant.
Après je me rappelle plus.

Non, juste ses cendres

Cette nuit j'ai juste rêvé que je faisais du vélo sur un chemin de terre qui se trouve au centre d'une rivière.
 
Puis me suis réveillé, comme d'hab, puis me rendors, et là je rêve de choses olé olé qu'on peut faire avec une femme sauf que le réveil sonne au moment le plus intéressant
 
 
La nuit d'avant j'ai rêvé que je me suis perdu dans un pays inconnu et que comme je le trouvais si mal foutu et en bordel, j'avais décidé de devenir le président.

Je sais pas vous mais les rêves les plus bizarres je les fais quand j'ai pas assez mangé

Alors cette nuit j'ai eu :

Je surfais sur HFR quand j'ai vu qu'on avait changé mon pseudo en DØMZ  
J'avais une copine pilote de chasse.
Des trucs olé olé dans une douche collective entouré de personnes
Et pour terminer un repas dehors avec un discours du général de gaulle (qu'est ce qui fout la lui ?   ) qui se termine avec 3 mecs qui meurent électrocute par la foudre

génial

J'ai fait un rêve lambda y a 3j.
Et cette nuit j'ai rêvé que je racontais ce rêve fait y a 3j à un des frère Bogdanov, j'étais allongé sur un divan. Mais il en avait rien à foutre il parlait au téléphone en faisant les 100 pas dans sa salle pendant que je lui racontais mon rêve fait réellement 3j avant.

Putain cette inception.

 
     
Y'a de quoi faire un bon film avec ça.  

J'ai fait le pire des cauchemar, celui où tu rêves que t'arrives pas à dormir.
Vers 1h30 du matin, il y a mon détecteur de fumée qui me réveille, il bippe parce que les piles sont presque HS (du coup je lui ai retiré, je remettrais des piles que si un jour j'ai un contrôle de la police des détecteurs de fumée). Je me recouche. Et là, je ne sais pas où est la frontière entre le rêve et la réalité, mais j'ai l'impression de me tourner dans tous les sens sans réussir à dormir pendant des plombes. Du coup je me lève, je m'habille et je sors de chez moi pour marcher un peu (là on est dans le rêve). Je marche jusque chez un rebeu pour lui acheter une pêche. Je la mange. Je continue de marcher dans la rue et à un moment je me perd. Puis je vois au loin que le jour se lève et que les camions poubelles sont de sortie. Je me dis "bon je vais aller me recoucher, sinon demain je vais être éclaté". Je retourne chez moi me coucher. A peine au pieu, la lumière s'allume, ma mère entre dans la chambre (on est toujours dans le rêve, ma mère n'habite pas chez moi). Elle me dit "je vais juste voir mes mails". Elle se pose sur mon PC, l'allume et me dit "tiens c'est quoi ces photos de cul ?" Je lui explique que c'est un copain qui m'a envoyé un virus dans un mp3. Au bout d'un moment elle se barre pour me laisser dormir. Je me recouche. Et j'ai l'impression que 30 seconde après, mon réveil sonne. Et là c'était vrai. Résultat je me suis réveillé explosé en ayant l'impression de pas avoir dormi.

Un rêve lucide c'est pour ainsi dire toujours à la première personne. Un rêve normal ça peut-être les deux.

Vue du dessus, avec décors pré-calculés