Yeah salut les copinoux.
On est bien rentré des Eurock avec Thierry. Il n’y a pas à dire, les Eurock, c’est de la beuballe. On a beaucoup bu, on a beaucoup fait la fête, et surtout, on a pris beaucoup de plaisir. Surtout Thierry quand le guitariste de Dionysos à fait un solo de perceuse, allez savoir pourquoi. On a aussi beaucoup pris la pluie, mais que serait les Eurock sans un bon gros orage. J’avoue qu’en tant que sudiste, je n’étais pas du tout préparé. Je suis plutôt stuffé sandale que botte en plastique.
Mais nous voilà rentrer. Le temps de ranger les valises et de bosser un peu sur des vrais projets (ceux qui payent le loyer par exemple), et nous re-voila sur notre chère xbox.
Toutes les pièces ont posées leurs valises elles aussi. On peut commencer les choses sérieuses : soit l’intégration du contrôleur de flux.
Alors d’abord, on lui a CUUUUUUUUUUUUUT les deux bras. Parce qu’ils étaient trop long, et parce qu’il fallait bien donner un truc à Thierry pour l’échauffer. Ce qui est cool, en plus d’avoir satisfait notre soif de sang sur ce frêle morceau de plastique, c’est que maintenant il y a moyen de rentrer le nouveau découpé dans la bobox.
« Pas de bras, pas de chocolat »
Alors je sais, avec Thierry, on est nettement plus fort pour faire des trous, ou pour couper des bras, que pour faire du rafistolage. ON EST PAS DES DOCTEUR QUINN HEIN THIERRY HEIN BORDEEEEEL !!!!
Après s’être tapé virilement dans la main (high five poto !), on a mis tout cela en place. Ça commence à prendre forme.
« Si quelqu’un sait à quoi servent les 2 petites meules en coussiné trouvé dans la boite de Thierry je suis preneur. »
On peut admirer ces courbes magnifiques, ces chicanes et ces virages à 90° qui vont optimiser à mort notre débit.
Je zoom parce qu’il est important de voir à quel point les condensateurs me casse les coui*****. Impossible de faire passer le contrôleur de flux autre part.
On continue avec la sonde, ou là aussi le jeu des embouts me force à faire de la magie. Mais maintenant, c’est l’heure du gros greffon. La passe d’arme qui fera de Thierry un vétéran du ring. IT ‘S TIMEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE TO FIIIIIIIIIIIIIGHT
Elle est hargneuse, elle a déjà perdu le match allé, et elle en veut. Elle en veut tellement, qu’elle est prête à tout, elle ne connait plus la peur. Sa préparation a été minutieuse et pendant que Thierry et moi on était sous la pluie a se la coulait douce, sa balancait sévère :
« Thierry, il est juste bon à me faire cuire un steack ! »
« les dremels c’est tous des gros nazes. Ils tournent en rond les gars, pas d’avenir »
Bobox est dans son combat. Sa carcasse d’acier brille de mille feux. Elle s’est entrainé dur et elle ne compte pas rater son rendez-vous.
OOOOOO MMMMMMMMMMMMM GGGGGGGGGG
IT’S AMAZIIIIIIIIIING !!!
Quel headshot terrible. En à peine 2 minutes, Thierry envoie un enchaînement droite-gauche foudroyant. Le KO est direct, la bobox est à terre. Elle n’est pas prête de revenir disputer la ceinture.
« La ceinture du titre »
Alors on va bientôt pouvoir faire un test. Vu l’agencement des tuyaux je pense filmer le contrôle de flux pour avoir votre avis sur le débit. N’ayant jamais eu de watercooling, je n’ai aucune idée de si celui-ci sera « suffissant ». Je m’en fou qu’il ne soit pas ultra optimisé, je n’ai pas la place que je souhaite. Je veux juste ne plus entendre cette box. Alors si ça doit lui couter 5 ou 10°, ça m’ira.