Reprise du message précédent :

C'est belge, tu peux pas comprendre. Leur humour n'a pas de limite.  

Ben y'a juste que derrière chaque taxe normalement y'a un semblant de justification (vraie ou fausse), mais là avec la meilleure volonté du monde je vois pas  

Je pense qu’il parle de la taxe sur le fait d’avoir une télévision qui a un tuner pour regarder les chaînes publique > taxe. Évitable avec du matos informatique.  
 
Taxe transformée en taxe immondice il me semble maintenant  

Je continue mon exploration des jeux de combat, j'ai terminé 1984.
 
J'en ai oublié quelques-uns dans les années précédentes
 
 

 
Samurai (arcade, Sega)
Un samouraï se bat contre d’autres samouraïs identiques sauf leur couleur ; un coup d’épée qui entre en contact avec l’adversaire l’élimine directement, mais ça marche pour nous aussi. Un ninja envoie des étoiles ninja depuis le toit au-dessus, un autre lance un grappin par-dessous, et des guerriers protégés sur les côté nous provoquent avec des fourches. Eliminer tous les ennemis d’un tableau fait apparaître un boss, toujours un samouraï identique. Le gameplay est très simple mais les nombreux pièges et ennemis qui nous agressent de toute part rendent l’action assez intense. C’est un peu trop simple pour être conseillé aujourd’hui, mais l’année de sa sortie, dominée par les shmups suite au succès de Space Invaders, c’est assez novateur.
 
 

 
The Big Pro Wrestling (arcade, Technos)
Deux binômes de lutteurs s’affrontent à un contre un, en essayant de bloquer l’adversaire au sol pendant 3 secondes (c’est du catch, quoi). On peut se déplacer sur le ring, changer de lutteur en allant chercher l’autre dans le coin, et on a une barre d’énergie qui remonte si on change de personnage. Les contrôles sont assez étranges : un bouton sélectionne l’attaque et l’autre bouton l’effectue, il faut aller chercher l’adversaire et l’attraper au bon moment, et on ne peut effectuer l’attaque que sous certaines conditions ; on n’a donc pas réellement un contrôle direct sur l’action. Ce n’est pas terrible, trop étrange et pas assez clair.
 
 

 
Urban Champion (NES, Nintendo)
On contrôle une brute qui se bat dans la rue contre une brute identique en tous points, sauf ses couleurs. On se bat au pied d’un immeuble (qui change à chaque écran), et chaque touche fait un peu reculer l’adversaire, jusqu’à ce qu’il sorte de l’écran : on le suit alors jusqu’au pied de l’immeuble suivant, et on recommence, jusqu’à ce que notre stamina se vide, ou jusqu’à l’ennui. De temps en temps quelqu’un sort d’une fenêtre au-dessus pour nous balancer un pot de fleurs sur la tête, ou bien la police passe dans la rue, et les deux combattants s’arrêtent et se mettent à siffloter. Les boutons font des frappes rapides ou puissantes, on peut monter ou baisser la garde (et le niveau de la frappe) et on peut se reculer pour éviter une frappe : c’est à peine plus évolué que Knockout sur Atari 8 bits, et seuls l’environnement et l’ambiance le démarquent un peu. A l’époque c’était sans doute correct, aujourd’hui c’est quand-même assez ennuyeux, et trop basique pour maintenir l’attention bien longtemps.
 
Champion Boxing (arcade / SG1000, Sega)
Dans le même moule que Knockout sur Atari 8 bit, Champion Boxing est extrêmement basique : un bouton sélectionne un coup parmi trois (rapide, moyen, puissant), et appuyer sur haut ou bas permet de régler la hauteur des coups (et de la garde). On se contente de bourriner les coups en essayant de trouver une ouverture dans la garde de l’adversaire (toujours identique d’un combat à l’autre), jusqu’à ce qu’il s’énerve brutalement et enchaîne des coups variés bien plus rapides que ce que l’on peut porter ou bloquer. En plus de ça il est assez moche, même pour l’époque, la borne se basant sur la SG-1000, la console de Sega sortie en même temps que la NES mais bien moins puissante. Aujourd’hui c’est très basique, et vraiment pas pratique à contrôler, c’est largement inférieur à Urban Champion.
 
Syusse Oozumou (arcade, Technos)
Des mêmes développeurs que The Big Pro Wrestling, c’est un gros pas en avant : sur un simple plan 2D, deux sumos se font face et cherchent à pousser l’autre hors du ring, oui lui faire toucher le sol avec autre chose que les pieds. On peut mettre des claques, attraper l’adversaire pour essayer de le repousser, ou même faire des esquives pour qu’il trébuche, et de nombreuses autres techniques. Le problème principal, c’est que tout est en Japonais, et que les règles du sport me sont totalement inconnues, le fonctionnement est donc très obscur. Cela dit, le gameplay est réactif et semble relativement précis, les graphismes sont très corrects, les adversaires sont différents, ça semble être un plutôt bon jeu, et si j’y comprenais quelque chose, je suis sûr que je le trouverais encore assez moderne, du niveau de Karate Champ.
 
Kung-Fu Master / Spartan X (arcade, Irem)
L’année de sa sortie, Kung-Fu Master est une petite révolution technique : nombreux sprites, action intense et nerveuse, scrolling fluide avec des arrière-plans détaillés alors que la plupart des jeux se déroulaient sur des écrans fixes (à l’exception des shmups), design inspiré des films de Bruce Lee, voix numérisées, tout ceci est assez incroyable pour l’époque, marquera de nombreux joueurs et inspirera de nombreux clones. Niveau gameplay en revanche, je comprends bien que tous les codes du beat’em up étaient à inventer, mais quand-même : ce n’est vraiment pas très évolué, même pour l’époque. On avance dans des couloirs plats et sans vie, et on tape en boucle sur des hordes infinies d’ennemis identiques, avec seulement deux coups (poing, pied, plus les variations haut/bas) ; parfois on évite divers pièges et obstacles. Et une fois le grand méchant vaincu, on recommence, en encore plus difficile. Il est aujourd’hui beaucoup trop basique pour retenir l’attention plus de cinq minutes.
 
Appoooh (arcade, Sanritsu)
Un jeu de catch avec des personnages caricaturaux, Appoooh joue sur le côté drôle et exagéré du sport, avec des petites animations rigolotes. Malheureusement, le gameplay ne suit pas : c’est raide, on ne comprend pas trop ce qu’on doit faire ni comment le faire, et c’est assez frustrant. C’est meilleur que The Big Pro Wrestling l’année précédente, mais la barre était placée vraiment très bas.
 
Great Swordsman (arcade, Taito)
Great Swordsman propose trois épreuves de combat à l’épée : de l’escrime, du kendo, et un combat de gladiateurs. Le gameplay plutôt classique avec des frappes hautes, moyennes et basses, on cherche la distance pour toucher sans se faire toucher en retour, on recule pour esquiver, on avance pour contrer. Les touches peuvent être faites à la tête, au corps ou aux jambes, avec une détection relativement précise ; chaque touche fait repartir en position et fait gagner un point ; en escrime il faut gagner 5 points, en kendo 2 points, et la moindre touche d’un gladiateur fait perdre le match. J’ai du mal à évaluer son intérêt à l’époque tant il est différent des jeux de boxe, karaté et catch qui dominent le genre cette année-là, mais aujourd’hui il n’est pas mauvais, même si le concept est très proche de Swashbuckler sorti 3 ans plus tôt, en à peine plus évolué.
 
Karateka (Apple II / Commodore 64, Broderbund)
Karateka est un jeu très cinématique, avec beaucoup d’animations très détaillées, une belle mise en scène, c’est très bien fait sur Apple II, un peu moins sur C64, mais mon émulateur Apple II ne capture pas les vidéos. Assez complet avec trois niveaux de poings et de pieds, il est plus complexe que beaucoup d’autres jeux de l’époque, mais n’ayant pas de blocage, on se contente de bourriner l’attaque en priant pour que ça passe. Il est aussi très répétitif, avec juste un enchaînement d’ennemis identiques, sauf les casques (je comprends pas trop pourquoi ils en ont un). Et ça rame ! Un peu sur Apple II, beaucoup sur C64, c’est limite injouable. C’est beaucoup plus propre sur les ordinateurs plus récents comme l’Atari ST ou l’Amstrad CPC (encore heureux) mais le gameplay y perd un peu, c’est plus nerveux et moins délibéré, moins posé. A l’époque il a dû mettre une claque technique, aujourd’hui il n’est pas assez profond pour retenir l’intérêt plus de quelques instants.

Ptain faut être patient pour les jeux sur les vieux ordis, avec les émulateurs qui simulent la durée des accès disques

Bah utilise l'avance rapide dans ces cas-là.

Faut que je trouve où c'est

Si c'est sur RetroArch c'est la barre d'espace.

Plus qu'à trouver la barre d'espace sur ma manette

Non je déconne je suis sur Pi400 (avec un clavier intégré) mais sur les ordis la barre d'espace ça fait... espace

Forcément, quand tu t'attends à un jeu de combat et que tu as un shoot them up, ça doit faire bizarre

Shoot ?
 
C'est un beat'em up certes, mais les beat'em up et les versus fighters sont étroitement liés : j'étais parti pour les différencier mais ça n'a pas toujours de sens, par exemple Karateka est vraiment à mi-chemin entre les deux.

Non non je persiste et signe : Spartan X est plus proche d'un shoot them up que d'un beat them up
 
Tu avances, tu tires frappes un coup par ennemi et tu avances encore.
 
Franchement le feeling, c'est vraiment du shmup.
 
Mais là je suis trop fatigué pour développer
 
Heureusement, mon gars sûr, Guillaume, est là pour moi :
 

https://mag.mo5.com/actu/33369/edit [...] technique/

Très très sympa ton dossier cosmoschtroumpf
J'ai rapidement parcouru ta liste et mes souvenirs, manque selon moi 2 jeux qui m'ont marqué
(mais je comprends que ta liste ne soit pas exhaustive )
Bruce Lee sur Atari 800 XL qui était fou pour l'époque    
Target Renegade, un excellent Beat sur Amstrad CPC ou autre
 
Tu vas y venir, mais j'viens de checker sur YourTube, j'suis bluffé par la qualité de IK+ sur C64, cest beau    
J'ai connu que la version Amiga qui déchirait la rétine, mais sur la génération d'avant c'était déjà superbe    
 
Superbe boulot en tout cas merci
 

Encore mieux en version homebrew
 

 
https://www.youtube.com/watch?v=QxjiuPWoqI4

Je comprends l'idée mais je ne suis absolument pas d'accord. Dans un shmup il y a une notion d'évitement, de navigation d'environnement, etc, et tout ça n'est absolument pas présent dans Kung Fu Master.
 
A moins que la traduction soit mauvaise, et que le monsieur parlait en fait des "shooting games" qu'ils appliquent un peu pour tout et n'importe quoi, qu'il aurait plutôt fallu traduire comme "run & gun" (comme Contra) et là je comprends et j'accepte on retrouvera d'ailleurs le concept dans Green Beret l'année d'après.
 

Merci
 
Je suis preneur de références que j'aurais pensé peu intéressante en survolant la liste il y a des milliers de jeux, j'ai noté ce qui me parlait de nom, et ce qui m'avait l'air chouette avec les descriptions et les images.
 
Je note Bruce Lee, je vais tester les différentes versions (en 84 il est sorti sur Apple II, Atari 8 bits, C64 et les ordis Japonais du moment).
 
Target Renegade semble être un simple portage de Renegade (que je testerai en arcade), à moins que tu me dises qu'il est sensiblement différent ?

J'ai testé Bruce Lee, et je le classerait plutôt dans les jeux de plateforme (et d'exploration), mais c'est vrai qu'il a l'air très bon. Je le note pour quand je ferais les jeux de plateforme

Je l'avais sur Amstrad CPC et j'en garde un bon souvenir
Effectivement c'est de la plateforme pour moi si on parle de celui-ci:  
 

Oui en tout cas c'est celui que j'ai trouvé. C'est vrai que les combats se font à base de coups mais c'est trop "anecdotique" par rapport au reste du jeu pour moi pour le classer dans les jeux de combat (même au sens large). Mais j'ai continué à jouer quelques écrans après m'être dit que ça ne collait pas, donc c'est qu'il a quelque chose

 
Ah oui beau taff    
 

 
Pour Bruce Lee, effectivement ca passera mieux en plateforme, forget it    
 
Target Renegade est la suite (officielle ?) de Renegade dispo uniquement sur ordinateurs.
A la difference de Renegade, tu peux castagner en compagnie d'un autre joueur   et le jeu ressemble à un Double Dragon, tu avances avec scrolling horizontal ou Renegade lui est en écran fixe (je viens de checker, en arcade il y a un scrolling mais limité à 2-3 "tableaux" )  

Alors après une petite recherche, effectivement Target Renegade est un autre jeu, développé par Ocean parce qu'en faisant leurs portages ordi de Renegade, ils ont acquis les droits d'utiliser la licence pour faire leurs propres suites (ahlala les années 80 )
 
Je l'ajoute dans ma liste

 
me fait penser parfois à un truc qui m'avait marqué à l'époque,  personne ne se souvient de ce reportage dans un journal télé?   un couple très pauvre vivait dans une caravane bachée et leur fils faisait de la programmation sur un atari st,   ils espéraient qu'il réussisse sa vie.
 
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et un autre truc passé sur canal+ un été vers 20h, juste vu qq instants et j'aimerais trop voir ce reportage...    en Urss des jeunes squattaient les sous-sols d'un immeuble pour l'électricité et faire des lanpartys sauvages.

J'ai continué 1985, pas encore terminé mais je m'en rapproche.
J'ai pas encore préparé mes captures, je le ferai dans la journée/soirée.
 
Pour rappel tout est là, avec des vidéos pour la plupart des jeux, et mes commentaires à jour (ils évoluent parfois en fonction de ce que je vois après ou ce qu'on me dit) : https://www.cosmo0.fr/retrogaming-h [...] ns-combat/
 
 
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⭐ Yie Ar Kung Fu (arcade, Konami)
On commence à entrevoir des jeux un peu plus modernes avec Yie Ar Kung Fu : la borne n’a que deux boutons (pied et poing), mais 16 coups sont possibles en utilisant les huit directions, ce qui deviendra une composante importante des jeux de combat par la suite. On peut également sauter au-dessus de l’adversaire en utilisant simplement une direction, une nouveauté tellement importante qu’elle est indiquée par un sticker à-côté de l’écran ! Il y a bien d’autres innovations : des adversaires qui utilisent des techniques totalement différentes plutôt qu’une succession de clones toujours plus difficiles ; les impacts gèlent l’action quelques instants pour marquer la frappe ; et les deux combattants ont une barre de vie qui ne fait que descendre : avant ça, les jeux en 1 contre 1 avaient soit un système de points, soit une jauge d’énergie qui pouvait remonter. Yie Ar Kung Fu est un jeu fondateur, assez révolutionnaire à l’époque ; aujourd’hui c’est assez spécial, le manque de blocage est très frustrant, et la linéarité (5 adversaires toujours dans le même ordre) réduit la rejouabilité malgré une difficulté très élevée, mais ce n’est pas mauvais.
 
Mat Mania (arcade, Technos)
Un jeu de catch à un contre un dans lequel on peut, comme toujours dans ces jeux, se déplacer partout sur le ring. Un bouton frappe avec le poing, l’autre avec le pied, et certaines combinaisons de boutons et de directions font divers mouvements, en fonction de la proximité à l’adversaire. Une fois attrapé, on peut utiliser les boutons et les directions pour inverser la prise, mais impossible de vraiment comprendre comment sortir les techniques de manière fiable : le jeu semble faire un peu ce qu’il veut et on n’a pas un contrôle total sur l’action, peut-être pour simuler l'aspect "chorégraphié" du sport. A part ça c’est très bien techniquement pour l’époque, les sprites sont détaillés, il y a du scrolling, c’est très propre. C’est sans aucun doute le meilleur jeu de catch vu jusqu’ici, mais il faut bien avouer que la barre était placée très bas, et il y a eu bien mieux depuis.
 
⭐ The Way of the Exploding Fist (Amstrad CPC / Commodore 64, Melbourne House)
Un jeu qui a marqué les esprits sur ordinateurs 8 bits, The Way of the Exploding Fist n’est rien de moins qu’une copie totale de Karate Champ : le concept est identique, la palette de coups est quasiment identique, les réactions sont quasiment identiques… Forcément, la technique est largement inférieure, les coups sont beaucoup moins précis et les stages bonus ont disparu, mais le jeu compense par une plus grande variété des environnements, et surtout des contrôles infiniment plus compréhensibles, même s’il y a toujours cette absurdité de retournement non-automatique. Encore plutôt sympathique à jouer aujourd’hui, même si la difficulté est vraiment très relevée.
 
Galactic Warriors (arcade, Konami)
Derrière un gameplay extrêmement mauvais, imprécis et totalement déséquilibré, se cachent deux bonnes idées : c’est tout simplement le premier jeu de combat à proposer le choix entre plusieurs combattants réellement différents ; et les différentes arènes de combat possèdent diverses propriétés, comme un combat dans l’espace en gravité zéro. Le jeu n’a pas grand intérêt en-dehors de ces innovations qui n’auront pas suffi à marquer quiconque à l’époque.
 
Shanghai Kid (arcade, Data East)
Totalement inconnu aujourd’hui, Shanghai Kid est pourtant novateur à plus d’un titre. Outre les désormais classiques multiples adversaires instaurés par Yie Ar Kung Fu, il utilise un système complexe de cible de coups et de blocage, mais surtout, il inaugure les combos, intitulés ici “rush”, ainsi que les coups spéciaux, notamment un coup de pied tournoyant qui s’envole à un coin de l’écran avant de revenir sur l’adversaire. Malheureusement, le reste du gameplay ne suit pas vraiment : c’est tellement raide et lent qu’on a parfois l’impression de jouer à un jeu au tour par tour, et on n’a pas l’impression de pouvoir faire ce que l’on veut, car le jeu limite les actions possibles.
 
Onna Sansirou / Typhoon Gal (arcade, Taito)
Double originalité : un jeu de judo, dans lequel on incarne une fille ! On va de dojo en dojo pour latter des gens à coup de planchette Japonaise, juste pour prouver qu’on est la meilleure, et on élimine des adversaires un par un qui arrivent en boucle jusqu’à pouvoir affronter le maître du dojo qui sert de boss. Le gameplay est assez unique : une fois l’adversaire attrapé, un bouton permet de le repousser pour l’affaiblir un peu, et l’autre permet d’effectuer une technique comme une projection, un coup de pied sauté (au judo ?!) ou une toupie pour l’envoyer en l’air (très réaliste, comme vous pouvez le constater), tout en cherchant le bon moment pour la placer, sous peine de se faire contrer. Très original, c’est une variante du “combat 3D” sur un ring qu’on voit dans les jeux de catch, mais le jeu est aussi assez répétitif avec peu d’ennemis différents et assez peu de techniques possibles.
 
My Hero (arcade, Sega)
Un beat'em up dans la droite lignée de Kung-Fu Master avec des hordes d'ennemis identiques à éliminer qui nous arrivent dessus en ligne droite, mais beaucoup plus complexe : des ennemis nous lancent des projectiles depuis les fenêtres, les décors changent au fil de la progression, il y a des passages de plate-forme où l'on doit éviter divers pièges, et les boss des niveaux sont bien plus résistants que ceux de son inspiration et demandent une vraie stratégie. Dans le haut du panier des clones de Kung Fu Master de l'époque, et encore plutôt correct aujourd'hui.

J'ai hâte d'avoir ton avis sur Panza Kick Boxing !

1990 ! Au rythme où je vais, ça sera l'année prochaine
 
J'ai joué vite fait à Best of the Best Championship Karate (la suite, aussi sortie sur SNES/GBA/MD) ça m'avait l'air bien cool, dans le même genre que Karate Champ/Exploding Fist.

Oui et d'ailleurs les deux joueurs peuvent se castagner l'un l'autre, au grand désarroi de mon petit frère à l'époque.

Putain ouais

je trouve que le poster de  "Renegade 3 final chapter"  déchire grave   ,   m'en suis fait imprimer un en  80x60
 

 
C'était bien une taxe sur les moniteurs d'ordinateurs. Je crois que le prétexte était écolo. J'ai acheté mon 17" la veille. Il y avait de files dans les magasins pour éviter la taxe. La région avait parlé bien avant de taxer les ordinateurs tout court (et pas qu'un peu) en expliquant qu'elle avait toujours taxé le travail et la force motrice et que le travail s'étant déplacé vers les ordinateurs il était logique de les taxer. Levée de boucliers à l'époque. France, Danemark, Belgique, les trois champions mondiaux des taxes et impôts.

en espagne ils ont créé l'amstrad cpc 472   pour outrepasser le cpc464.... pour éviter la taxe sur les ordinateurs de 64ko...    une petite carte bidon pour contourner la loi..
 
 

 
 
Ah Cosmo c'est ouf t'es toujours la!    j'étais tout minot que tu m'avais déjà aidé en MP pas mal pour Arcanum ici même, et oui je me rappelle de ton site aussi!  
Dire qu'aujourd'hui j'ai la trentaine passée  

Championship Manager 4 <3

haha ^^
 
J'ai toujours de la visite sur mon site, c'est fou ^^ J'ai mis le forum à jour et je l'ai réouvert mais il est resté fermé trop longtemps, y'a plus personne dessus

Salut tout le monde    
 
Dites je suis à la recherche d’un jeu auquel je jouais avec mon père étant petit, mais je me souviens de très peu de choses.  
 
Jeu d’aventure / plateforme. Bonhomme qui doit traverser l’écran de gauche à droite en évitant les pièges.  
 
Genre des trous ou encore des espèces de boule qui ressemblent à des flacons de neige blanc.  
J’ai souvenir également de passage de plateforme en plateforme, de saut de corde en corde.
Je me souviens aussi qu’il fallait ramasser des pommes rouges.  
 
J’ai tjrs cru que c’était Pitfall, mais j’ai jamais vu dans les screen / vidéos sur YT les éléments que je viens de décrire. Du coup j’ai un sérieux doute.  
 
Je me souviens plus quelle machine c’était.  
Je sais que c’était branché sur la télé et que ça fonctionnait avec une cartouche.  
Niveau époque j’y jouais milieu - fin des années 80
 
Si qqun se souvient de ce jeu...  

Jungle Hunt sur Atari peut être ?

J'y ai pensé aussi mais y'a pas de pommes dans Jungle Hunt si ?
 
Le problème de souvenirs si anciens c'est que d'une part t'as tendance à mélanger des trucs (genre plusieurs jeux) ou t'imaginer des choses qui n'existaient pas, et d'autre part tu ne comprenais pas forcément tout. Genre les pommes ça pouvait être totalement autre chose qui était rouge, pareil pour les flocons.

Non je pense pas qu'il ait des pommes, mais c'est vrai que les machins rouges à ramasser c'est tellement générique  

Et Jungle Hunt va principalement de droite à gauche  

 
https://www.youtube.com/watch?v=mrVhYC-4rns
 
?
 
 

C'est le premier jeu que j'ai eu en tête avec une description si générique .

 
tu pourrais nous dire sur quelle plate forme ? PC ?