Reprise du message précédent : Pour ce qui est du conseil (pas SI), une des plus grosses banques Françaises vient de couper la plupart de ses missions jusqu'à nouvel ordre.
Ca ne sent pas très bon.
Pour ce qui est du conseil (pas SI), une des plus grosses banques Françaises vient de couper la plupart de ses missions jusqu'à nouvel ordre.
Ca ne sent pas très bon.
Ce confirmerait l'idée (répandue?) que les premiers budgets coupés en temps de crise sont le conseil et la publicité.
erwan128
Posté le 25-04-2008 à 00:42:59
je confirme, dans une très grosse banque française, les budgets sont refusés, des départs non remplacés, des projets annulés, des personnes en période d'essai virées....
jsorel
Posté le 29-04-2008 à 11:06:53
Bon c'est pas très rassurant tout ça... mais peut-être n'est-ce qu'un cas isolé...
Merci pour vos avis
capitaineigloo
Posté le 29-04-2008 à 12:10:25
hormis la BNP, toutes les grosses (CALYON, NATIXIS, SOC GEN) se sont cassées la gueule en 2007 (pour des raisons différentes)
passager
Posté le 30-04-2008 à 17:16:25
Citation :
je confirme, dans une très grosse banque française, les budgets sont refusés, des départs non remplacés, des projets annulés, des personnes en période d'essai virées....
Je confirme aussi,ca commence à licensier en masse, les prestataires sont les premieres victimes.
Message édité par passager le 30-04-2008 à 17:24:15
xasyl
Posté le 30-04-2008 à 17:28:54
C'est méchant à dire, mais c'est pour cela que les grosses structures font appel aux prestas : quand cela ne va pas, c'est plus facile à s'en "débarrasser" ...(je suis presta)
C'est méchant à dire, mais c'est pour cela que les grosses structures font appel aux prestas : quand cela ne va pas, c'est plus facile à s'en "débarrasser" ...(je suis presta)
ca n'a rien de méchant, c'est une réalité. Un presta n'a pas vocation à rester dans l'entreprise client, bien au contraire sinon ca serait un délit de pret de main d'oeuvre
L'étude montre aussi un regain d'intérêt pour les projets réputés pour leur capacité à réduire les coûts du système d'information comme la virtualisation serveur (deuxième priorité haute), la consolidation des serveurs physiques (cinquième), les architectures SOA (neuvième position) et l'hébergement d'applications sur le modèle SaaS (dix-huitième).
Le passage à Vista n'est toujours pas d'actualité
Bien que le retour sur investissement ne soit pas démontrable, investir dans l'informatique décisionnelle reste la priorité haute numéro un des grands comptes. « Nos membres cherchent à créer de la valeur avec l'informatique décisionnelle et l'optimisation des processus [le BPM est la huitième priorité, NDLR] »