Reprise du message précédent :
Jim Morisson également, jetez vos baignoires, elles sont maudites et puis ce n'est pas écologique de prendre un bain...

Ca dépend de la durée de la douche qu'on prend

 
Oui mais généralement on prend une douche après le bain car un bain ne lave pas , ca délasse, ca détend mais ca n'est pas spécialement hygiènique donc il vaut mieux prendre une douche de 100 litres qu'un bain de 100 litres + une douche de 50 litres

Ca c'est sûr que Claude François était un bien meilleur conducteur qu'Ayrton Senna    

un tuc a la con pour économiser l'énergie: quand vous voulez décongeler quelquechose, mettez le ds le frigo , ca reposera le moteur ...
 
source: les rois du système D (tf1)

Euh comment ca ?
 
Ca degage encore de la chaleur, alors je vois pas trop en quoi ca repose le moteur

Ben non, quand tu mets un truc à -20°C dans une ambiance à 4°C, il va se réchauffer, et donc en même temps refroidir le frigo. Du coup le compresseur a moins de travail à fournir pour garder la température constante

il faut juste prevoir la veille ce que tu vas manger le lendemain

Mmh ... Mouais

Merde, ça veut dire que j'ai jamais été propre de ma vie...

c'est pas grave, utilise un concombre

 
Notons qu'il jouait au foot avec des journalistes francais  

 
Avec le potentiel qu'il avait pourtant .. Jamais il n'aurait du retoucher (la) terre !
 
En même temps, le courant alternatif naissant le menait à sa propre perte ...  

 
Ah, excuse moi, ca me paraissait logique de se rincer après avoir trempé dans son jus

Ah. bah pas pour tout le monde  

 
  eh ben tant mieux, ca fait des économies d'eau

 
Soyons précis, en 1975.
 
La tournée européenne qui suit l'Exodus débute en mai 1977 par un concert à Paris.  Sa maison de disque organise un match de foot entre les Wailers renforcés par qq journalistes locaux et une équipe du show business parisien baptisée les Polymusclés.
 
Marley y participe malgré une blessure contractée à l'orteil lors d'un match de foot à Trench Town en 75. Au cours du match, il reçoit un coup sur ce même orteil lors de la 1e mi-temps et doit sortir du terrain. Il consulte le médecin de l'hotel qui constatant que l'ongle a été arraché lui recommande de ne pas marcher le temps que ça cicatrise. Mais il y a des contrats à honorer à Londres. A la fin du concert au Rainbow, en coulisse lorsqu'il enlève sa chaussure il s'aperçoit qu'elle est pleine de sang. Il se résout à consulter un spécialiste qui fait des prélèvements. Le lendemain il apprend qu'il est atteins d'un cancer. A la fin du même mois il est amputé du gros orteil. Ca ne suffira pas ; le 21 sept 81 il monte sur scène pour la dernière fois. Le reste de la tournée est annulée pour cause d'épuisement. Il est hospitalisé à Miami ou on lui révèle qu'il est également atteint au poumon et à l'estomac. Les médecins lui donne 5 à 6 semaines à vivre. Il se fait baptiser sur la demande de sa femme Rita à l'église orthodoxe éthiopienne, le 4 nov 80, sous le nom de Behrane Sélassié, "lumière du Saint Esprit". Qq jours plus tard il est admis à la clinique Sunshine House du Dr Josef Issel, dans les Alpes bavaroises. Cet ancien officier SS est considéré comme un charlatan par la communauté médicale allemande. Il obtient toutefois quelques résultats avec des séance d'hyperthermie très douloureuses  et des injection de substance anticancéreuses. Début février 81, il fête ses 36 ans en compagnie de sa mère Cedella, de sa femme et de qq amis. En mars, il ne pèse plus plus que 35 kg. Le Dr Issel déclare forfait et il est rapatrié à l'hopital Cedars of Lebanon a Miami où il meurt le 11 mai. Son corps est rapporté en Jamaïque et un deuil national est décrété. Quarante mille Jamaïquains viendront lui rendre les derniers hommages.
 
 
a+
 
 
burned par Arkolloman qui a aussi lu le Librio de Francis Dordor, je vois
 

 
oui en gros c'est ce que j'ai dit ...

Nan mais j'me rince avec le jet de la douche en sortant du bain mais pour moi c'est pas assimilé a prender une douche
Et puis si on prend un bain régulièrement, a moins de passer la journée a faire dse trucs suants y'a pas de raison d'être "dans son jus"

 
J'avais pas lu    

Euh ouai c'est ce que j'ai ecrit quoi

 
Mais la question initiale étant "qu'estce qui consomme le plus d'eau, un bain ou une douche ?", je pense que c'est la douche maintenant loin de moi l'idée de critiquer les habitudes de chacun...  
Excusez moi si vous avez trouvé mes remarques désobligeantes...  
   

 
 
  Nan nan, tout est de moi      

Y'a pas de mal, mais dans mon cas, je reste, en général, 1/4 d'heure, 20 minutes sous la douche et une heure dans le bain.
 
Etant donné que les chiffres donnent pour une douche 90 litres pour 5 minutes... Je pense qu'en un 1/4 d'heure j'fais péter le compteur d'eau...

Ha non tu consommes bien plus avec un bain qu'avec une douche.

Ca dépend

bain jusqu'au oreilles / bain style fond de baignoire

douche express-je-suis-a-la-bourre-un-lundi-matin / douche d'une1/2 heure en charmante compagnie...

Oui, je sais master of the obvious, toussa

Hmm. un bain, disont 150 litres (c'est une baignoire moyenne, je peut pas m'allonger compètement dedans, et je fait 1,70 mètres). Je remet de l'eau chaude, disont que ça fait 160 litres environ
une douche c'est 60 litres pour 4 minutes environ. Je reste 1/4 d'heure jet allumé, ca fait 240 litres environ.

 
OUI, bien sur, je me suis trompé !! je le dis depuis le début que c'est le bain

Une douche de 15min??? tu fais quoi dedans?  

Bon ben tout le monde consomme plus d'eau avec la douche alors ?
bon ben alors prenez des bains, c'est bon pour la nature ! ( ca fait bizarre quand même ...)
moi de toute facon, j'ai po de baignoire

Non.

 
heureusement !

Bah j'aime bien la flotte, c'est tout. J'trouve ça agréable. Et encore, 15 minutes... Je suis gentil en disant ça, ça m'est arrivé de prendre une douche d'une demi-heure... On voit pas le temps passer dans l'eau.

 
 
C'est pas faux
 

Une phrase à la con:
Esope reste ici et se repose

elu par cette crapule

 
Et juste avant il disait : À l'étape, épate-la !  
 
voila ce que c'est que de vouloir courir le marathon

Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal.
Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse.
Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire !
L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'…).
Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
 
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla :
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ?
Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.
L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh… rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
 
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés :
Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire..
Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile.
Foudre.
Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa :
Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale;
Volcan. Roc : tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei…
Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur !
 
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées…
S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira…), stérile, dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez.
N'obéir.
Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège.
Ipéca… : lapsus.
Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
 
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable.
Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum !
 
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
 
 
 
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.