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Le services militaire aurait du être obligatoire pour les filles ?




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Auteur Sujet :

Service militaire. raconter vos bons et mauvais souvenirs.

n°49739718
temoignage
Posté le 14-05-2017 à 13:36:54  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

Yvick a écrit :


 
Je viens d'une famille plutot aisé avec une particule à mon nom...
Se retrouver dans un chambre de 10 etc... ça été une grande découverte.
Mon père tenait à ce que je fasse mon service, entre le lycée et la fac.
Du point de vue humain ça été un bonne experience de rencontrer des personne de tous les horizons, et surtout hors du milieu qui était le mien.
 
Comme mauvaise blague, pendant la FIG (les chasses, je crois que c'était formation individuelle générale) on m'a pris mes affaires ( sous-vêt et serviète) qui était posé a cheval sur le haut de la porte de la cabine de douche. tout le peloton attendait que je sorte, certains avec un appareil photo...
 
En 10 mois de service, j'ai connu plusieurs type de douches :
- FIG : des cabine individuelle avec porte,  
- en escadron : plus de porte mais une demi planche sensée caché notre anatomie (mon oeil),
- en camps des douches collectives pour le peloton entier (30 gars) là il y avait de l'ambiance, je me rappelle d'un concours de masturbation double décimètre à la main pour mesurer, je vous direz pas mon classement...
- en manoeuvre on a du se laver dans dans une rivière.
 
CQFD : suis entré hyper pudique à l'armée. Quand je suis sortie, je ne l'était plus du tout.
 
 


 
 
      Il y a 45 ans c'était pire !  Les fils de famille de la haute société étaient mis à poil devant tout le monde, aussi bien que tous les autres.  
  Et plus un nouveau était coincé et pudique, plus il y avait droit. C'était mon cas.  
Nous c'était des chambrées de 28 lits, toutes les origines sociales mélangées, venant de toute la France.  
 Dans des casernes ou des camps de 500 soldats, les nouveaux appelés de 20 ans étaient toujours groupés ensemble dans la même chambrée.  
C'était des engagés de 30-35 ans, et les fins de 16 mois qui organisaient les " bizutages - formation " quotidiens et qui venaient exprès pour ça, et qu'on ne voyait qu'à ce moment là.  
 
   Selon les casernes ou les camps:  
 Les douches étaient toujours collectives. Vestiaires et salles de douches collectives. Toujours plusieurs dizaines à poil ensemble, et toujours avec des engagés et des fins de 16 mois qui n'étaient pas là par hasard.
   Ou des cabines de douche individuelles, que chacun pouvait utiliser à tout moment quand il voulait. Mais cabines sans aucune portes, et d'accès entièrement libre à n'importe qui. Donc n'importe qui pouvait venir assister à la douche de n'importe qui. A chaque fois qu'il y en avait un qui partait avec sa serviette sur l'épaule, d'autres le suivaient uniquement pour assister au spectacle.  
    A chaque fois : commentaires, attouchements, examens et reniflages des grands slips coton blanc sales (à l'époque il n'en existait pas d'autres), etc.  
 
     Dans la première caserne où j'ai été pendant 6 semaines, les douches étaient dans un petit bâtiment isolé à l'écart au fond de la caserne qui ne servait qu'à ça. Uniquement un rez de chaussée en ciment avec 2 parties, le vestiaire et la salle de douche, 2 salles mitoyennes. Le toit était une terrasse qui était aussi le plafond des 2 salles entièrement en briques de verre transparentes, qui illuminait les 2 salles.  
    Le vestiaire collectif et la salle de douche collective, étaient séparés par un mur en béton brut massif de 1,50 mètre de haut, et de trois mètres de large. Avec une arête à angle droit pour empêcher complètement des gens nus de le franchir.  Ce mur en béton massif de 1, 50 mètre de large redescendait de l'autre côté dans la salle de douche collective par un escalier. En haut de ce mur il y avait une petite plate forme de 1,50 mètre de large, avec un rideau composé de lames de caoutchouc verticales, exactement comme dans les stations Karcher pour laver les voitures.  
   La seule façon de passer du vestiaire à la salle de douche, était de monter tout nu, et de parcourir tout nu devant tout le monde, une planche en bois très longue d'au moins cinq ou six mètres de long, recouverte de caoutchouc. Qui reposait sur le sol carrelé du vestiaire, et qui montait jusqu'à 1, 50 m de hauteur. Cette planche caoutchoutée était très étroite, et pliait sous le poids d'un corps. Donc on ne pouvait y passer que un par un. Et il fallait marcher lentement, car elle était étroite et pliait beaucoup de façon inquiétante, mais avec souplesse.  C'était fait exprès.  
    Dans le vestiaire il y avait tout autour des lavabos avec des glaces. Et uniquement des bancs pour poser les vêtements. Ce qui obligeait à empiler ses vêtements les uns sur les autres, par ordre de déshabillage, donc le slip sur le dessus de la pile.  
Dans le bas de la longue planche ils avaient laissé libre un espace d'au moins deux mètres de côté. C'était là qu'ils " préparaient " les nouveaux à monter sur la planche.    
    Il y avait du caoutchouc partout, par ce que les matières synthétiques sont arrivées en France à la fin des années 50, et 15 ans après le plastique n'était pas encore d'une utilisation facile et généralisée.  
    Il y avait une seule douche par semaine uniquement le vendredi après midi. Tous les vendredis vers 15h30 on nous conduisait au local douche. Les gradés refermaient la porte à double vantaux derrière nous, et laissaient seuls les 25-30 nouveaux appelés avec un quinzaine ou une vingtaine d'engagés de 30-35 ans. Il n'y avait pas d'heure de sortie de prévue. Le quartier libre et le week end suivaient. On avait tout notre temps. Les nouveaux appelés qui voulaient manger à la caserne à 18h, étaient donc obligés d'accepter de subir tout de suite.  
    En arrivant on se mettait tous tout nus. Les vêtements étaient posés sur les bancs, donc en piles, avec tous les slips sur le dessus. Grands slips coton blanc très sales, car 8 jours sans douche et sans changer de slip, avec les marches et autres séances sportives. Et ensuite commençait l'épreuve de la planche. Les engagés s'arrangeaient pour faire passer en premier sur la planche uniquement tous les nouveaux appelés. Tout le monde se mettait autour de la planche pour regarder de près celui qui allait la parcourir.  
    En bas de la planche personne n'était pressé de la monter, et dans l'espace libre en bas de la planche c'était un concours interminable à qui allait la prendre en dernier ! En essayant d'obliger les autres à monter en premier. C'était ce que les anciens attendaient. De toute façon les anciens se mettaient à l'entrée de la planche pour nous empêcher de monter spontanément, et pour organiser les passages sur la planche. Et l'espace dans le bas de la planche avait été laissé libre exprès pour ça. Les commentaires pleuvaient, les attouchements, reniflages des slips, claques sur les fesses, véritables fessées pour nous obliger à prendre la planche ce qui voulait dire que notre tour était arrivé.  
    Il y avait les anciens qui se lavaient les mains en prenant leur douche en dernier. Et il y avait ceux qui attendaient le retour après la douche pour profiter des corps propres. Comme ça il y en avait pour tous les goûts !  
 
      Je suis passé 6 fois sur la planche, 6 semaines de suite !  
 A 20 ans j'étais d'une pudeur extrême, presque maladive, depuis ma naissance. Et ça a commencé à changer, mais très peu, après mes 25 ans !

mood
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Posté le 14-05-2017 à 13:36:54  profilanswer
 

n°49739862
temoignage
Posté le 14-05-2017 à 13:59:06  profilanswer
 

   Il faut rappeler que dans les années 1950, 60 et 70, quantité de jeunes appelés de 20 ans revenaient du service militaire estropiés ou morts.  
   C'était un défilé de familles éplorées, et les avocats leur répondaient : " Il y a une tradition, une habitude, on ne porte plainte que si le jeune appelé revient mort, si le jeune appelé revient estropié mais vivant, on se contente de faire un procès ! ".  
     
    A partir de 1972, et jusqu'à la fin des années 80, il y a eu une épidémie de sodomies forcées dans quantité de casernes en France.  
   Vers 1976, et une nouvelle fois vers 1986, le Figaro a titré un article de 1/2 page : " Où va la moralité de la jeunesse ?? ". Les familles et les familles encombraient les tribunaux surchargés de procès. Pour un seul motif : déchirure de l'anus. Et à partir de 1985, avec le sida en plus !  
   Le brevet colonial sous une autre forme, plus en rapport avec l'ambiance de la société des années 60 et 70, puis des années 80 complètement à l'opposé.  

n°49740185
temoignage
Posté le 14-05-2017 à 14:26:11  profilanswer
 


j'ai remarque qqch : c'est plus tu es pudique plus tu es victime de ce genre de truc.
Moi aussi j'étais très pudique et je crois que les autres le sente.
 
Le jour on on m'a foutu à poil pour me faire une bite au cirage, il y avait plusieurs victimes potentielles. On revenait juste des douches (tout propre...). Moi j'étais en bas de survet et t-shirt, un autre avait juste sa serviète autour de la taille et arrivé dans notre chambre l'a enlevé pour se rhabiller. un troième était en caleçon. Les mecs qui chercher une victime aurait pu facilement chopé qui était nu devant eux en train de se rhabiller quand ils sont entrés dans notre chambre, ou celui en calbut. Non il m'ont choisi moi.[/#f0000e
 
[#0000ff]Montrer une faiblesse à l'armée c'est déjà se positionner en victime potentielle
.[/quotemsg]
 
 
  Parfaitement exact !! J'en sais quelque chose, c'était mon cas !  
    Dès notre arrivé ils repéraient ceux qui allaient être leurs victimes.  
Nous c'était toujours le soir au coucher, aux wc et au moment de la douche. Les seuls moments où on était obligé de nous déshabiller nous mêmes. Ils attendaient qu'on soit déshabillés pour agir.

n°49740293
temoignage
Posté le 14-05-2017 à 14:38:37  profilanswer
 

Yvick a écrit :


 
Ca c'est vraiment dégeuuuuulasssssse !!! :non:  :non:  :non:  


 
 
    Absolument sordide !!!  
 
   Nous ils ne nous endormaient pas du tout. Comme ça les spectateurs pouvaient profiter de la tête de la victime.  
 Au contraire ils nous sortaient du lit à 21h.  
   Pour la circonstance, il y avait du monde. Une vraie cérémonie religieuse.  
 
     Des cabines wc avec des portes de 1 mètre de haut sans aucune serrures. J'ai connu aussi des cabines de wc sans portes. Et très à l'écart. Tout était possible sans être vu.  
  En plus dans ces années là, toujours des cuvettes à la turc très rehaussées. C'est à dire que la cuvette des wc se trouvait jusqu'à 25, 30, ou même 35cm de hauteur par rapport au sol de la cabine. Tellement haut qu'il y avait fréquemment une marche.

n°49740410
temoignage
Posté le 14-05-2017 à 14:50:17  profilanswer
 

Phil009 a écrit :


Dans mon cas je n'ai pas ete le premier a y passer donc au moment ou j'ai ete choisi pour subir une bite au cirage je savais que je ne pourrais pas faire autrement que d'y passer. J'ai ete chope tres rapidemment et comme c'est le cas souvent lorsqu un des mecs a dit..."les mecs on lui fait une bite au cirage" plusieurs mecs ont eu l'air excite et motive pour m'attraper. Donc une fois immobliser au sol sur le dos, ils ont commencer a me defroquer. Treillis et slip ont rejoins les chevilles et ensuite pelotage de la queue pour te faire bander et ensuite passage au cirage. Au moment ou tu es chope, tu stress, pareil lors de la mise a l'air. Le baissage du slip etait accompagne de commentaires et des cris d'ecouragement. Puis quand tu commences a bander, la c'est la honte. Le pire c'est une fois relache, tu dois te relever la queue raide et noire et te diriger vers la douche au bout du couloir.  
 
Et toi tu as dis que tu etais passer a deux doigts de la bite au cirage. Ont ils reussi a te foutre a l air?


 
 
    Nous c'était une équipe d'anciens, très organisés. Il y avait 4 costauds pour nous empoigner solidement, les bras et les jambes. Avec un petit chef style intello. C'était lui qui baissait les slips devant tout le monde, et qui dirigeait selon l'évolution de la situation.  
 
 On ne nous cachait pas que l'infirmerie et les hôpitaux militaires étaient très accueillants. Et que nous y envoyer ne posait aucun problème.  
 
    Ils savaient qu'ils ne risquaient absolument rien.  
 
  Ca se passait toujours dans le silence le plus complet.  

n°57356456
Berceker U​nited
PSN : berceker_united
Posté le 20-08-2019 à 18:35:17  profilanswer
 
n°58154092
fiend41
why not !
Posté le 22-11-2019 à 12:37:28  profilanswer
 

la classe, Zoran  :D .      
 
le fait c'est que le service militaire on ne choisissait pas les con-génères présents..   le taux de cassos  (c'est la 1ere fois que j'entendais ce terme..)  peut être bien élevé.   tu rajoutes à ces petits cons, leur sens de la magouille avec des chefs véreux  et te voilà bien servi si tu ne croyais que passer tranquille !    le népotisme s'appliquait aussi à la grâce des chefs, même dans une affectation pourrie.
 
3ans avant la fin du service obligatoire on nous l'avait bien fait à l'envers.  sur tout le contingent présent, un seul avait été exempté !    
 
le regret surtout, c'est la rupture durant des études supérieures,  le blabla comme quoi on pouvait reporter n'était pas respecté  (plusieurs cycles courts).   presque une année à se faire prendre la tête par de sérieux abrutis, pour rien au final !. et renvoyé à se démerder de retour chez soi et tenter reprendre un cycle d'études interrompu, c'était pas gagné..


Message édité par fiend41 le 22-11-2019 à 12:40:07
n°61912586
chienBlanc
Posté le 21-01-2021 à 23:10:45  profilanswer
 

Tout est dans le titre.  :)

n°61912587
chienBlanc
Posté le 21-01-2021 à 23:18:18  profilanswer
 

Première anecdote gentille sur le terrain (pour ceux qui ne connaissent pas, c'était aller jouer à la guerre pendant une semaine en dormant dehors) :
 
Un pote conducteur de Berliet avait oublié qu'il y avait la citerne d'eau potable qui était attelée à son camion. DU coup, il fait une marche arrière et roule dessus !  :lol:  
--> 2 semaine de gnouf ! (prison de la caserne)
 
 [:clooney24]

n°61912588
axklaus
Posté le 21-01-2021 à 23:23:28  profilanswer
 

On s'entraînait au tir a 300m quand on entend halte au feu, un autre groupe passait derrière les cibles en toute tranquillité ... Bordel les cons on a eu du bol pas de blessés
 
Sinon lors d'un autre exercice certains étaient trop proches et au moment d'ouvrir le feu ils s'envoyaient les douilles éjectées brûlantes l'un sur l'autre  :lol:  l'un brûle derrière le cou, l'autre en a eu dans l'œil et a été en arrêt quelques mois
 
Le lancer de grenades toujours épique, certains laissant tomber la grenade à leur pied, heureusement que le mur d'entraînement était adapté à cette éventualité...


Message édité par axklaus le 21-01-2021 à 23:28:33
mood
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Posté le 21-01-2021 à 23:23:28  profilanswer
 

n°61912589
chienBlanc
Posté le 21-01-2021 à 23:28:13  profilanswer
 

Le tir, c'était le seul truc intéressant.  :love:  
 
FAMAS, Pistolet automatique, et grenades !  [:nushku:3]

n°61912590
chienBlanc
Posté le 21-01-2021 à 23:36:12  profilanswer
 

Il fallait faire la garde du bâtiment des munitions. 7J/7, 24h/24.
On était 3 à se relayer pendant 3 jours de mémoire. Le truc bien chiant.

 

On était armé de FAMAS, avec ordre de tirer après sommation si un ennemi s'approchait (peu de chance le truc était en plein mileu d'un terrain militaire de 100 ha, lui même gardé  [:clooney24] ).
Une nuit, un copain de chambré qui s'emmerdait a vu des lapins qui s'approchaient. Il leur a tiré dessus avec son FAMAS ce con !  :lol:

 

-> 3 semaines de gnouf   [:junk1e:3]

 


Message édité par chienBlanc le 21-01-2021 à 23:41:34
n°61912591
chienBlanc
Posté le 21-01-2021 à 23:52:29  profilanswer
 

A vous maintenant !  :)

n°61912592
viniw
geek repenti
Posté le 22-01-2021 à 00:14:00  profilanswer
 

[:skaine:5]
https://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 9104_1.htm
sur le photo de groupe de mon peloton j'étais le seul bras ballant

n°61912593
Darth Caro​tte
Jeune bleubite
Posté le 22-01-2021 à 08:12:02  profilanswer
 

Ptin le service militaire...
 
Je me souviens encore de la semaine en tant que Caporal de semaine à pas rentrer chez soit le week end, mais j'étais habitué)... Le capitaine qui passe le mercredi matin pour les promotions, appelle mon nom en mode "Caporal Carotte" me colle le grade de Caporal Chef... puis 2h après, vient m'annoncer que cette semaine, je faisais sergent de semaine.  [:delpotromonoeil:5]  
 
Se lever une demi heure avant tout le monde pour aller les réveiller à grand renfort de "ESCADRON REVEEEEEEEEEEEEIIIIIIIIILL" à coller des coups de Rangers dans le lit des récalcitrant... Et surtout l'inspection des TIG. [:l0ser]  
 
Ce moment où tu pouvais être sympa avec tes potes et être une pute avec les casses couilles pendant l'inspection... Obliger les mecs à nettoyer 3 fois la chambre à chaque inspection à grand renfort de coton tige dans les prises électriques, de main gantés en blanc dans les aérations et de bérets jeté à travers la chambre en mode "tu vois, il reste de la poussière. [:lucy-fair]  
 
Faire des rondes et trouver le chef de corps complètement pété à la sortie du Mess et le raccompagner dans ses quartiers pendant qu'il gerbe sur la voie et l'entendre gueuler le lendement qu'il est inadmissible de vomir partout dans le camp et designer des volontaires pour nettoyer. :whistle:  
 
Défiler le 14 Juillet sur les champs, à taper du talon dans la merde de cheval. La sécurité Civile cette année là n'était représenté que par des appelés arrivés en Juin, des sous off, un lieutenant, un capitaine et un lieutenant colonel. [:kiosquec]  
 
Puis ensuite il y a eu les campagnes feu de forêt en Corse, avec mon pote qui a rien trouvé de mieux que laisser ses bottes de feu trainer au sol en allant se coucher et qui a eu la super idée de les mettre sans regarder dedans avant. Une magnifique piqûre de scorpion qui l'a fait douillé pendant facile 2 semaines. [:delarue5]  
 
Se lever le matin et te faire trimballer sur un site en feu avec des flammes de 40m de haut, à entendre les pommes de pin éclater et les voir partir comme des grenades incendiaires et les voir tomber derrière toi [:aufeu] ...
 
Puis partir en Turquie pour un tremblement de terre, sortir des gens des décombres avec les équipes cyno, cette odeur que tu n'oublieras jamais après 2 semaines sur place, les gens sous les décombres en train de se décomposer et apprendre la technique du vicks sous les narines. En mettre beaucoup trop et gerber... [:bakk11]  
 
Puis la grande tempête de décembre 1999 avec intervention en Charente Maritime pour aider les populations... Fêter Noël avec des étrangers content que tu sois là pour les aider... Et passer ton 1er Janvier 2000 à déblayer un cimetière dont les tombes ont été fracassées par la chute des arbres. [:trunchy -]  
 
 
Je faisais parti de ces glands qui étaient VSL, 2 mois de plus pour une solde doublée. De toute façon, j'avais 20 ans et pas de boulot fixe à l'époque.


Message édité par Darth Carotte le 22-01-2021 à 08:15:20

---------------
Mon essai routier de la nouvelle Honda CB750 "Hornet" :o
n°61912594
Darth Caro​tte
Jeune bleubite
Posté le 22-01-2021 à 08:17:10  profilanswer
 

Bien sur, c'est aussi là que j'ai pris mes pires bitures, que j'ai appris à rouler des joints de plus de 3 feuilles et que j'ai detesté les mecs qui jouaient du Djembé :o


---------------
Mon essai routier de la nouvelle Honda CB750 "Hornet" :o
n°61912595
fdaniel
Modérateur
Have you got a 27B/6 ?
Posté le 22-01-2021 à 08:18:21  profilanswer
 

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