Madame, Monsieur,
 
 
Ma compagne et moi utilisant régulièrement la ligne reliant Aix en Provence à Martigues et nous sommes ce que l’on peut décrire comme étant des clients fidèles. Ce dernier Vendredi 28 décembre, à 19h40, je prenais depuis Martigues la navette en direction d’Aix en Provence. Le chauffeur en poste alors se prénomme Christophe (je l’ai appris alors qu’il téléphonait à un de ses responsables), et la discussion que j’ai eue avec votre standardiste m’a permis d’apprendre que cet homme n’en était pas à son premier incident.  
 
Voici la situation :
Arrivés à environ  mi-chemin du trajet, je me retrouvais seul dans le car avec le chauffeur. C’est alors que celui-ci allume la radio et met le volume à son niveau maximum. J’avais un début de migraine qui n’en demandait pas plus pour se renforcer et en devenir extrêmement douloureux. Pensant que le chauffeur allait se rendre compte rapidement du problème et baisser le volume, j’ai ruminé quelques minutes ma douleur. Voyant qu’il ne réagissait pas, j’ai alors entrepris de lui demander « si ça ne l’ennuyait pas de réduire un peu le volume », qui me dérangeait. Un long silence. Je le relance, pensant qu'il ne m'avait pas entendu. Il me répond alors que « oui, ça l’ennuie ».
Surpris, je lui rétorque après avoir repris mes esprits que donc, si j’ai bien compris, « il n’en a rien à foutre que ça me donne mal à la tête » (pardonnez-moi l’expression, mais la situation était déjà surréaliste). Il me répond encore que « en effet, il n’en avait rien à foutre de moi».  
Je ne sais pas si l’utilisation de radio est autorisée chez vous, ou juste tolérée, mais il ne me semble pas que cela constitue un élément que le chauffeur doit ou peut imposer à son client, encore moins quand ç’en arrive à un tel niveau d’inconfort.
Le trajet s’est poursuivi sans réaction du chauffeur à mes tentatives de négociation.
Il a également sur ce même trajet été impliqué dans un léger accident avec un véhicule quelques minutes après.
Bien que la nuit ne m’ait pas permis de voir correctement la scène, je ne peux m’empêcher de penser que s’il avait été mieux concentré, l’accident aurait pu être évité.
En remontant dans le car, cette personne se permet d’ajouter que c’est « son dernier jour avant les vacances » et qu’il « était en droit de faire ce qu’il veut ». Autorisez-vous réellement vos employés à faire ce qu’ils veulent la veille de leurs repos ?  
 
Pour conclure, il a refusé de me donner son identité et m’a ri au nez lorsque je lui ai annoncé que je ferais ce courrier (« écrivez même au Président si ça vous chante »). Cet homme est-il intouchable au sein de votre compagnie ? Il ne semblait pas, en tout cas, craindre grand chose de sa hiérarchie.  
Enfin, lui et d’autres chauffeurs ignorent volontairement les arrêts qu’on leur demande parfois (Aix La Duranne et Aix Centre de Vie), sûrement afin de gagner du temps et éviter le moindre détour.
Avec tout ceci, j’espère que vous saurez faire le nécessaire pour que ce genre d'incident ne se reproduise plus.

Madame, Monsieur,
 
Merci de lire ce courrier avec toute l’attention nécessaire, et d’y réagir professionnellement en prenant en conséquence des mesures qui je l’espère ne seront pas sous-évaluées.
Un de vos chauffeurs est une véritable insulte à votre enseigne, et je vais vous l’expliquer au mieux.
 
=> Intro bof
 
Ma compagne et moi utilisant régulièrement la ligne reliant Aix en Provence à Martigues, nous sommes ce que l’on peut décrire comme étant des clients fidèles.
 
=> Mouais, les gens qui prennent les TEC, c'est pas pour le plaisir ou pour faire plaisir à la boite, c'est par nécessité ... donc "clients fidèles" ça colle pas
 
Ce dernier Vendredi 28 décembre, à 19h40, je prenais depuis Martigues la navette en direction d’Aix en Provence. Le chauffeur en poste alors se prénomme Christophe (je l’ai appris alors qu’il téléphonait à un de ses responsables)
 
=> On s'en fout de savoir comment tu l'as appris. Il s'appelle Christophe, point.
 
, et la discussion que j’ai eue avec votre standardiste m’a permis d’apprendre que cet homme n’en était pas à son premier incident.  
Voici la situation :
Arrivés à environ  mi-chemin du trajet, je me retrouvais seul dans le car, avec le chauffeur. C’est alors que celui-ci allume la radio et mets le volume à son niveau maximum, et croyez moi, le son résonnait vraiment très fort dans le car. J’avais un début de migraine qui n’en demandait pas plus pour se renforcer et en devenir extrêmement douloureux. Pensant que le chauffeur allait se rendre compte rapidement du problème et baisser le volume, j’ai ruminé quelques minutes ma douleur. Voyant qu’il ne réagissait pas, j’entreprends alors de lui demander (poliment) « si ça ne l’ennuyait pas de réduire un peu le volume », qui me dérangeait.
 
=> Gros pâté inutile :/ Dis clairement que le chauffeur à foutu la musique à fond, et que lorsque tu lui as fais remarqué, il t'as ignoré...
 
Un long silence. Je le relance, la musique ayant probablement, pensai-je, étouffé ma voix (même si j’étais à la limite de crier).
 
=> On dirait une phrase tirée d'un roman
 
Il me répond alors que « oui, ça l’ennuie ». Surpris, je lui rétorque après avoir repris mes esprits
 
=> ... "après avoir repris mes esprits" ... no comment
 
 que donc, si j’ai bien compris, « il n’en a rien à foutre que ça me donne mal à la tête » (pardonnez-moi l’expression, mais la situation était déjà surréaliste). Il me répond encore de manière surprenante que « en effet, il n’en avait rien à foutre de moi». Nous sommes là face à un manque de respect flagrant envers un client, ainsi qu’une non obtempération à une requête simple et justifiée qu’il n’était pas en droit de refuser.  
 
=> blablabla ... raccourci tout ça !
 
Je ne sais pas si l’utilisation de radio est autorisée chez vous, ou juste tolérée, mais il va de soi qu’elle ne constitue absolument pas un élément que le chauffeur peut imposer à son client, encore moins quand ç’en arrive à un tel niveau d’inconfort.
Le trajet s’est poursuivi sans réaction du chauffeur à mes tentatives de négociation.
Il a également sur ce même trajet été impliqué dans un léger accident avec un véhicule, quelques minutes après.
Bien que la nuit ne m’ait pas permis de voir correctement la scène, je ne peux m’empêcher de penser que s’il avait été mieux concentré (NDR : sans bruit de fond si intense), l’accident aurait peut-être pu être évité.
 
=> Bof
 
En remontant dans le car, cette personne se permet d’ajouter que c’est « son dernier jour avant les vacances » et qu’il « était en droit de faire ce qu’il veut ». Autorisez-vous réellement vos employés à faire ce qu’ils veulent la veille de leurs repos ? J’ose espérer que non, et qu’il n’était pas non plus sous alcool.  
Pour conclure, il a refusé de me donner son identité et m’a ri au nez lorsque je lui ai annoncé que je ferai ce courrier (« écrivez même au Président si ça vous chante »). Cet homme est-il intouchable au sein de votre compagnie ? Il ne semblait pas, en tout cas, craindre grand chose de sa hiérarchie.
 
=> ça c'est plutôt sympa
 
Enfin, lui et d’autres chauffeurs ignorent volontairement les arrêts qu’on leur demande parfois (Aix La Duranne et Aix Centre de Vie), sûrement afin de gagner du temps et éviter le moindre détour.
Avec tout ceci, j’espère que vous saurez faire le nécessaire pour rendre justice à des clients lésés.

Madame, Monsieur,
 
Merci de lire ce courrier avec toute l’attention nécessaire, et d’y réagir professionnellement en prenant en conséquence des mesures qui je l’espère ne seront pas sous-évaluées.
Un de vos chauffeurs est une véritable insulte à votre enseigne, et je vais vous l’expliquer au mieux.
Ma compagne et moi utilisant régulièrement la ligne reliant Aix en Provence à Martigues, nous sommes ce que l’on peut décrire comme étant des clients fidèles. Ce dernier Vendredi 28 décembre, à 19h40, je prenais depuis Martigues la navette en direction d’Aix en Provence. Le chauffeur en poste alors se prénomme Christophe (je l’ai appris alors qu’il téléphonait à un de ses responsables), et la discussion que j’ai eue avec votre standardiste m’a permis d’apprendre que cet homme n’en était pas à son premier incident.  
Voici la situation :
Arrivés à environ  mi-chemin du trajet, je me retrouvais seul dans le car, avec le chauffeur. C’est alors que celui-ci allume la radio et mets le volume à son niveau maximum, et croyez moi, le son résonnait vraiment très fort dans le car. J’avais un début de migraine qui n’en demandait pas plus pour se renforcer et en devenir extrêmement douloureux. Pensant que le chauffeur allait se rendre compte rapidement du problème et baisser le volume, j’ai ruminé quelques minutes ma douleur. Voyant qu’il ne réagissait pas, j’entreprends alors de lui demander (poliment) « si ça ne l’ennuyait pas de réduire un peu le volume », qui me dérangeait. Un long silence. Je le relance, la musique ayant probablement, pensai-je, étouffé ma voix (même si j’étais à la limite de crier). Il me répond alors que « oui, ça l’ennuie ». Surpris, je lui rétorque après avoir repris mes esprits que donc, si j’ai bien compris, « il n’en a rien à foutre que ça me donne mal à la tête » (pardonnez-moi l’expression, mais la situation était déjà surréaliste). Il me répond encore de manière surprenante que « en effet, il n’en avait rien à foutre de moi». Nous sommes là face à un manque de respect flagrant envers un client, ainsi qu’une non obtempération à une requête simple et justifiée qu’il n’était pas en droit de refuser.  
Je ne sais pas si l’utilisation de radio est autorisée chez vous, ou juste tolérée, mais il va de soi qu’elle ne constitue absolument pas un élément que le chauffeur peut imposer à son client, encore moins quand ç’en arrive à un tel niveau d’inconfort.
Le trajet s’est poursuivi sans réaction du chauffeur à mes tentatives de négociation.
Il a également sur ce même trajet été impliqué dans un léger accident avec un véhicule, quelques minutes après.
Bien que la nuit ne m’ait pas permis de voir correctement la scène, je ne peux m’empêcher de penser que s’il avait été mieux concentré (NDR : sans bruit de fond si intense), l’accident aurait peut-être pu être évité.
En remontant dans le car, cette personne se permet d’ajouter que c’est « son dernier jour avant les vacances » et qu’il « était en droit de faire ce qu’il veut ». Autorisez-vous réellement vos employés à faire ce qu’ils veulent la veille de leurs repos ? J’ose espérer que non, et qu’il n’était pas non plus sous alcool.  
Pour conclure, il a refusé de me donner son identité et m’a ri au nez lorsque je lui ai annoncé que je ferai ce courrier (« écrivez même au Président si ça vous chante »). Cet homme est-il intouchable au sein de votre compagnie ? Il ne semblait pas, en tout cas, craindre grand chose de sa hiérarchie.  
Enfin, lui et d’autres chauffeurs ignorent volontairement les arrêts qu’on leur demande parfois (Aix La Duranne et Aix Centre de Vie), sûrement afin de gagner du temps et éviter le moindre détour.
Avec tout ceci, j’espère que vous saurez faire le nécessaire pour rendre justice à des clients lésés.