Reprise du message précédent :
Salut à tous,

Ras le bol de la Finbox où les accès sont à refaire fréquemment... Une alternative à conseiller svp ??

 
Finary ou banking

Topic Banques

Plutôt d’accord avec Finary d’après les captures d’écrans que j’ai pu voir.
En revanche, Bankin’ me semble plus axé sur le suivi des dépenses et la gestion de budget que la gestion patrimoniale.
 
Édit : après réflexion, tout dépends aussi l’utilisation que tiboc59 a de LaFinBox

Ah bon ?
 
La fin box, finary, c'est plus pour de la gestion de patrimoine, on n'y gère pas sa baguette de pain !

Depuis la mise à jour de la finobox et leur changement radical (plus de suivi, plus de graphique d'un seul coup d'œil...) , j'ai supprimé tous mes comptes et supprimé l'application.

Portfolio Performance

Je ne trouve ni finary ni portfolio sur le Play Store, normal?

CR rachat total ING Vie:
 
Courrier envoyé le 9/02
Mail d'accusé de réception reçu le 17/02
Virement reçu le 12/03

Si on est pressé, on ne peut pas faire :
Rachat partiel de 90 ou 95% (dans un 1° temps   )
Le solde... quand tu as reçu ton 1° virement.. qui en général ne prend que 2-3 jours  

Ils ont dû avoir un problème avec le data center d'ovh qui a brûlé, comme finary...

Finary est une web app, tu pourras faire un raccourcis sur ton home screen Android.
 
Personnellement, j'ai abandonné lafinbox car le développement n'a pas bougé en trois ans et il manque les bases d'un bon suivi de patrimoine.
 
Finary semble vouloir combler ce manque, mais je pense que l'agrégation bancaire bien qu'elle ait été améliorée n'est pas encore au point. En plus on ne peux pas faire d'historique. Et je pense que Finary va en profiter pour faire une offre premium dans pas longtemps (ils ont fait un sondage à ce sujet !)
 
Concernant portfolio performance, c'est un soft de pc, tu ne le trouvera pas sur le playstore. Ça a ses avantages et inconvénient : pas de récupération automatique comme avec l'agrégation, gratuit, possibilité de remonter dans le temps en inscrivant toutes ses transactions, on est maître de ses données, pas de risque que la plate-forme disparaisse ou change ses conditions. Voir en signature pour plus de détails

Oui c'est le prestataire de l'agrégation bancaire qui était hébergé la bas, c'est ce que finary a dit dans leur mail, ils ont aussi été touchés.

Donc hébergé sur un seul site, sans backups....
Reste a espérer que leur gestion de la sécurité soit meilleure que leur gestion de la redondance et des sauvegardes.

A partir de 0.
Cela dépend aussi et surtout des perspectives (capa d'épargne et capa d'endettement).

Mais pas sûr que ce soit intéressant

Certains backups ont été perdus dans le sinistre OVH, malgré la souscription d'un service payant de backup et de redondance hein....

redondance dans le conteneur d'à côté

Difficile de juger pour le moment, mais il me semble que ce n'est pas de la responsabilité des clients car ils n'étaient pas informés de la localisation physique dans le conteneur d'à côté. C'est plutôt un fail d'OVH que des clients...

Il n'y a pas de raison que ce soit meilleur.

Excel.  

 
+1, ça prend un poil de temps au début à comprendre les objets et leurs liens (rien de bien méchant non plus) et derrière c'est  très complet et pas gourmand
 
avec le lien vers le topic dédié dans la signature d'un membre ici, tout est expliqué !

 
Mon conseil pour bien tenir psychologiquement pour son patrimoine c'est pas d'app. Rien qui te permette de checker en 3x par jour.
 
Conclusion un simple fichier Excel mis à jours tous les 3 mois est ton meilleur allié. Tout agréger est le synonyme de stress bien souvent.

Heu non c’est un fail des 2 côtés. OVH pour faire de la redondance dans le même site ( ) et les clients pour n’avoir pas fait leur due-diligence ( c’est quand même la première question à poser sur ou ce trouve le DR center ).

Hello,
 
Question concernant la paperasse reçue par les assurances-vie : conservez-vous tous les documents envoyés ? J'ai 7 contrats maintenant entre Madame, les enfants et moi. Cela commence à faire pas mal de docs dans le classeur. Je peux tout mettre au poêle et me contenter de retrouver les infos si besoin dans les interfaces clients, non ? Au pire, je peux télécharger les PDF de relevé de situation annuelle.  
 
Merci d'avance de vos retours, mais si je préférai finalement ne pas recevoir tout ce papier.  

Je conserve uniquement le contrat. Les documents d'arbitrage, je jette. Je scanne les relevés annuels et je jette.

 
En papier, je ne garde que les conditions particulières et le dernier état de situation de chaque contrat.
En PDF, je garde tout.

Poubelle pour tout. Sauf le document d'ouverture du contrat au début, avec les CG et le numéro du contrat.

Merci de votre retour, je viens de tout basculer en PDF via Genius Scan et j'ai tout balancé dans le Cloud d'Apple.

T'as vérifié que le Cloud Apple a des backups dans des centres de données séparés ?  

J'essaie aussi de scanner tout ce qui arrive et sauvegarde sur le DD Réseau de la maison.

J'aimerais faire un backup cloud mais je sais pas lequel a assez d'espace et si possible gratuit..

Franchement ça sert à rien de scanner ses avis d'arbitrage. Vous vous faites chier pour rien.

+2, tout conserver en PDF, avec un scanner à défilement en quelques minutes c'est bouclé.
Et Suravenir est le seul ou presque à n'envoyer que du papier, tous les autres mettent à disposition les infos en PDF.

Il faut gérer soit même la sauvegarde à plusieurs endroits, pas seulement faire confiance à un tiers (en général on préconise 3 exemplaires, 1 courant, 1 sur un support physique différent, et 1 dans un autre lieu... cf. l'exemple d'OVH récent :
https://www.journaldunet.com/web-te [...] ein-coeur/

Le cloud "haut de gamme" sauvegardé... dans la pièce d'à côté...

Bilan des courses ?

Quand j'étais étudiant suite à un crash disque j'ai perdu l'ensemble de mes données quelques jours avant un examen. J'ai compris la leçon...

 
C'est ça : en dehors de mon contrat avec Suravenir, tout est mis à disposition sur l'espace client donc pas de scan nécessaire.
 
Je suis perplexe aussi devant le fait de balancer ses documents persos sur un serveur, surtout en l'absence d'un autre exemplaire.

 
 
on est en 2021, faut penser à s'équiper d'un NAS  

Sauf erreur, un NAS N'EST PAS un BACKUP
ET NE DISPENSE PAS DE BACKUP...
Vous voilà prévenu...

Un couple de disques externes USB suffit, à synchroniser de temps en temps (au moins s'il y a perte, ce ne seront pas les documents de toute une vie, mais de quelques semaines/mois)

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Il faut aller voir dans le document de référence du fonds.  
C part capitalisante, D distribuante, I pour les Institutionnels, etc...

A minima je recommande de conserver les documents pendant deux ans, ce qui correspond au délai de prescription pour une action en justice concernant un contrat d'assurance-vie, ainsi que les relevés annuels de situation sans limite de durée (pendant la vie du contrat, ou rachat total/échéance + 10 ans), car y figurent un certain nombre d'informations importantes, dont la valeur de rachat du contrat qui a une valeur contractuelle.

 
Désolé pour ma réponse tardive, pas mal de boulot en ce moment.
 
1) La définition actuelle de la stabilité des prix dans la zone euro, c'est une inflation inférieure à, mais proche de, 2% sur le moyen-terme. L'interprétation de cette définition va être un peu différente selon les membres du Conseil des Gouverneurs de la BCE : pour faire vite, la Bundesbank sera généralement OK si l'inflation tourne autour de 1,5%, alors que les Français et Italiens préfèreraient coller l'inflation juste en dessous de 2%.
 
Dans le contexte de la révision stratégique de la BCE (je précise que je n'ai aucune info confidentielle), certains proposent de définir la cible d'inflation de façon symétrique, c'est-à-dire de tolérer de la même manière des déviations au-dessus de 2% qu'en dessous de 2%. Ce serait un changement stratégique majeur pour la BCE (même si j'ai bien conscience que pour le public ça semble superficiel).
 
2) Oui, dans la zone euro on est un peu trop en-dessous de la cible d'inflation ces dernières années. Mais cette situation ne justifie pas de prendre des mesures ayant un impact inflationniste incontrôlable - par exemple l'annulation de la dette publique détenue de la BCE. Au contraire, on préfère des mesures facilement calibrables et avec un impact inflationniste contrôlable, comme le QE. L'helicopter money est entre les 2 : perso, alors que je suis plutôt orthodoxe en politique monétaire, j'étais plutôt pour dans le contexte de la pandémie (plutôt que de creuser la dette publique), mais manifestement les banques centrales craignent de créer un précédent compromettant leur indépendance à l'avenir.
 
(Note : helicopter money = injection de cash au niveau des ménages par la banque centrale - et non par l’État)
 
3) Personne (ni l'UE, ni la BCE) n'a obligé la France à supprimer l'ISF et à établir un prélèvement fiscal unique à 30% - des mesures favorables aux gros détenteurs de patrimoines (je ne m'en plains pas, j'en profite aussi). ça a été un choix politique purement national, par les électeurs français en 2017. Le degré de redistribution par la fiscalité reste très largement du ressort national, on ne peut pas reprocher à l'UE (encore moins à la BCE) les injustices économiques, si on les trouve excessives. (Bon, si on regarde les chiffres en France, les coefficients de Gini pour les patrimoines et les revenus sont globalement stables depuis plusieurs décennies - contrairement aux USA - donc ça se discute.)
 
4) Oui, tu peux dire qu'il y a une idéologie derrière le modèle dominant de politique économique, et notamment de politique monétaire. Mais bon, les idéologies survivent ou au contraire meurent au contact de la réalité. Les belles idées de gauche tendent à tomber dans la 2e catégorie malheureusement (je ne me moque pas, même si ce n'est pas mon camp politique, car en démocratie on a bien sûr besoin d'idées mobilisatrices pour tout le monde, et notamment les pauvres).
 
L'idée que la banque centrale doit être indépendante, qu'il faut mettre le service public de la monnaie à l'abri des interférences politiques, repose sur une longue expérience historique (la prise de contrôle de la Reichsbank par les nazis, les crises inflationnistes enclenchées par les manipulations monétaires des États etc.), et fait maintenant l'objet d'un quasi consensus droite/gauche (si on enlève les extrêmes).
 
Perso je ne fais pas de politique dans mon job, j'applique et j'étends la doctrine qui correspond au niveau actuel de la connaissance économique et au consensus "idéologique" actuel. C'est toujours le cas pour un fonctionnaire, même si dans d'autres domaines on se rend moins compte de l'idéologie sous-jacente (mais en termes de politique de l'éducation, de la sécurité etc., il y a bien un sous-jacent idéologique, qui correspond à la convergence des idées et des expériences au fil du temps).
 
On peut toujours remettre en cause l'idéologie dominante, dans tous les domaines ; c'est plutôt sain et même nécessaire. Mais pour le faire de façon crédible, il faut faire des propositions qui (i) ne risquent pas d'avoir des conséquences économiques catastrophiques, et (ii) peuvent rassembler politiquement une majorité de gens. Dans le domaine monétaire, cela signifie, à mon avis, respecter les principes de stabilité monétaire et d'indépendance de la banque centrale. De ce point de vue, je ne crois pas que l'annulation de la dette publique détenue par la BCE soit pertinente, mais dans ce cadre on peut trouver d'autres idées "de gauche" avec de meilleures chances de succès (par exemple un recours à l'helicopter money bien cadré juridiquement et économiquement).
 
Globalement, bcp de commentateurs de gauche ne font pas l'effort intellectuel nécessaire pour faire des critiques et contre-propositions crédibles, et se limitent à un discours yakafocon populiste et peu crédible (e.g. Mélenchon). Pour trouver de la critique de gauche intelligente il faut creuser et faire du tri, il y a parfois des bonnes idées (ou en tout cas des propositions crédibles) chez Varoufakis, Piketty, Zucman, etc. (Krugman, j'en suis moins convaincu)

 
Oui, que ce soit pour l'idée de l'annulation de la dette publique détenue par la BCE ou l'helicopter money, il y a un double problème économique et politique :
1) l'incertitude sur les effets économiques
2) le risque de créer un précédent exposant la banque centrale à des pressions et des interférences avec son indépendance
 
Le problème de dire "on va prendre telle mesure de façon exceptionnelle parce qu'il y a une situation de crise inédite et exceptionnelle", c'est que ça crée forcément des attentes pour l'avenir. Parce que des crises exceptionnelles, il y en a tout le temps. La crise systémique de 2008 était aussi exceptionnelle. La crise de la zone euro en 2011-2015 était exceptionnelle. On a tout le temps des catastrophes naturelles ou autres (guerres, terrorisme) qui sont qualifiées par les médias, les responsables politiques, d'"exceptionnelles".
 
Une pandémie ce n'est pas exceptionnel, hein, on en a depuis la nuit des temps des pandémies, et souvent de biens plus meurtrières que ça (e.g. les épidémies de choléra au 19e siècle).
 
D'un point de vue politique, le problème est de savoir qui décide si une crise est "exceptionnelle" : si c'est le politique (et c'est bien le cas, en pratique - cf. l'allocution de Macron en mars 2020 appelant Lagarde à faire davantage), alors l'indépendance de la banque centrale est en péril.
 
Du coup, cela entraîne un certain conservatisme dans les mesures anti-crise des banques centrales, même si pour le coup, elles ont plutôt fait le job pendant cette pandémie, avec notamment d'énormes volumes de QE.
 
C'est difficile et dangereux pour une banque centrale d'"expérimenter", quand bien même ce serait parfois nécessaire face à une crise inédite, car elle doit penser avant tout à la préservation de son indépendance et de crédibilité sur le long-terme, bien au-delà de l'horizon de la crise. Donc les banques centrales prennent des initiatives et des risques pendant les crises, mais de façon contrôlée.

Je vais continuer le fichier Excel alors. La mise à jour mensuelle me plaît pas mal.