Cette clause n'a rien d'abusif, elle est de plus totalement évidente : comment un VPCiste est-il supposé connaitre la totalité des cas d'incompatibilité qui peuvent exister sur les produits qu'il vend ?
La seule exception serait un cas où une des données à valeur contractuelle (fiche produit par exemple) fournies par le VPCiste serait erronée (par exemple, si le support était vendu commme un support autonome).
Par contre, cela n'entrave pas le droit de rétractation, comme il a été dit plus haut.
(Je ne suis pas juriste de formation, mais je travaille dans la VPC et je connais bien le cadre juridique de l'activité)