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| Auteur | Sujet : Trails et courses de montagne |
Naxos \o/ | Reprise du message précédent :
--------------- [Folio Photos] |
Publicité | Posté le 20-10-2025 à 15:58:46 ![]() ![]() |
Loreak |
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Amraz Martyr nigaud et aventurier | C'est récent. (2 ans?) --------------- France = triple championne du monde de rugby 1995-2011-2023 |
Loreak | 3 jours. |
EvilTyler ex-Consultant Hippie |
Message édité par EvilTyler le 20-10-2025 à 17:24:15 --------------- More GG, more skill |
EvilTyler ex-Consultant Hippie |
Marrant tout ce stress, mais GG pour le chrono ! Après comme tu es du coin, tu es peut être plus dans la perf que dans la contemplation, contrairement à un trail montagnard ou tu kiffes le paysage ? Message édité par EvilTyler le 20-10-2025 à 17:28:56 --------------- More GG, more skill |
wintrow | Bravo Chou pour l'enorme perf! Tu devrais faire le 80 km du Saint-Jacques, je pense que tu y ferais un super classement...et qui sait, peut-être un top3 pour qualif CCC. |
Chou Andy Would you know my nem |
Ah oui c'est pas bête. J'avoue que j'ai bien aimé la roulance. Bon j'ai regardé les résultats, top 3 c'est un peu chaud Bon par contre les inscriptions sont marquées "Temporairement complètes, veuillez réessayer plus tard" --------------- J'aurais voulu être un businessman |
Neuf 2i | Faut voir avec l'orga |
Amraz Martyr nigaud et aventurier | Vous avez des trails qui sont en duo en tête ?
--------------- France = triple championne du monde de rugby 1995-2011-2023 |
Publicité | Posté le 21-10-2025 à 21:22:49 ![]() ![]() |
pulpipi Un ours cé relativement gros | La PTL.
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Le_Rescator | La Pierra Menta mais c’est en 2 ou 3 etapes. Et pas donné non plus. --------------- Plus tard, c'est souvent trop tard |
Chou Andy Would you know my nem | L'Aravis trail --------------- J'aurais voulu être un businessman |
Chou Andy Would you know my nem | Grand Trail des Templiers - 80km 3400 D+ Le Festival Dernière grosse course de la saison, 4 semaines après un Wildstrubel très réussi. Dans cet intervalle, je cale du repos et deux semaines assez chargées à 80-100 km avec quelques séances diverses. La course a lieu dimanche, mais j'arrive sur place dès le jeudi. C'est une sortie club, et malgré beaucoup de désistements on se retrouve à une quinzaine pour courir les différentes courses du fameux festival des Templiers. On dort dans une chambre de 7 qui accueille également l'ami PlayTime (DNS pour cause de fracture de fatigue). Le vendredi il y a 2 courses, le 100 et le 60. Je fais l'assistance de 2 copains, déposé par PlayTime au ravito de Saint-André de Vézines au 56ème kilomètre. C'est la première fois que j'assiste, je suis un peu stressé. On s'est fait un peu embrouiller par les pointages défectueux et les routes fermées. A peine arrivés, PlayTime tourne la tête et voit son coureur qui passe : il lui court après en boîtant et le rattrape in extremis. Il est en bonne forme et fera une bonne course. Mon premier coureur arrive peu après, mais il n'est pas dans un aussi bon état. Il est un peu KO et a besoin de faire une bonne pause. Il repartira après quelques minutes, encaissant le temps faible, et retrouvant un peu de jus plus tard dans la course. Il finira en ~12h, un peu déçu. Puis j'attends mon deuxième coureur... qui m'envoie un message pour me dire qu'il est HS et qu'il va abandonner. Aïe. Il arrivera finalement à la minute même où la navette des abandons rentre à Millau. Je lui dis que s'il veut abandonner, il faut qu'il se dépêche pour choper la navette. Je ne suis pas le meilleur pour les discours de motivation. Fin prématurée de ma mission assistance. Ce n'est pas une grande réussite. Je rejoins Millau pour assister aux arrivées du 60 et du 100, il y a pas mal d'ambiance c'est sympa. Je vois Amraz en finir avec une course assez réussie, et on partagera un petit moment intime après son ravitaillement final. Le samedi ça vire au délire. Il y a des courses toute la journée, énormément de monde. Les vagues de départ s'enchaînent presque non stop, et les arrivées se font en continu, les courses se mélangent, on n'y comprend rien, il y a trop de monde et il fait trop chaud. En début d'après-midi je remonte le parcours pour me percher sur un single en balcon, à 2km de l'arrivée pour le marathon des Causses (un 30 bornes). Je vois arriver les premiers, à commencer par Sylvain Cachard qui écrase la concurrence. Ensuite ça vient au compte goutte, et je suis assez choqué de leur état physique. Ils sont tous complètement fracassés. La moitié d'entre eux trébuche en me voyant (c'est plat mais technique). Plusieurs marchent, y compris dans le top 15. Un Brooks me réclame de l'eau (assistance hors zone bouuuuuh). Un mec pousse des cris effrayants 10 mètres après son passage, j'ai peur qu'il ait dégringolé de la falaise. J'accours, il est bien sur le chemin et me dit que c'est bon, ça va. Ok tant mieux. Vers la 50ème place je vois passer noter féminine, suivie de peu par un gars de chez nous. Je rentre avec le flux, je dois avoir une drôle d'allure à courir entre les coureurs avec mon jean et mon tote-bag. Au moins ça me permet de reconnaître l'arrivée. Les coureurs du jour (et de la veille) sont tous un peu déçus de leur perf. Ils ont trouvé ça plus dur que prévu. Je prépare mon assistance du lendemain. Ça va être simple : LiveTrail prévoit 8h22 de course, ça fait 8 flasques (90g) + 1 gel (45g). Je remplis les 8 flasques, j'en prendrai 3 au départ, j'en récupère 2 au 36ème, et 3 au 55ème. Le soir, c'est resto. Tout le monde a déjà couru sauf moi, le seul à devoir rester raisonnable pour le lendemain (départ 5h10). Je prends quand même l'entrée-plat-dessert et un peu de vin, c'est vraiment excellent et le lieu est top. Ma décontraction fait rire tout le monde. Je rentre à l'hôtel 10 minutes avant les autres pour finir de préparer mes affaires. Coucher à 23h, je m'endors vite mais me réveille à 0h30. A partir de là, impossible de me rendormir. C'est pas grave, la nuit précédente était très bonne. Je me lève vers 3h40, m'incruste dans une voiture qui descend au départ (l'hôtel est plein de coureurs) et c'est parti. Il fait froid (6°C) mais ça ne se ressent pas trop. J'ai quand même emprunté des manchons. J'ai aussi une veste ultra légère, que je décide de rentrer dans le sac. Je n'emporte rien d'autre à part mon téléphone, il n'y a pas de matos obligatoire.A 10 minutes du départ, un gars me reconnaît et me souhaite une bonne course. C'est un copain de deskira mais j'ai pas trop de souvenir. Je me glisse dans le sas élite, c'est bien pratique. Je retrouve un autre copain du club qui est en première ligne de la vague 1, on se donne les salutations et encouragements d'usage. Je me mets en fond de sas, mais je reconnais mon idole Mathieu Delpeuch en première ligne. Le chef des Templiers récite une poésie ampoulée, je ne suis pas franchement emporté par l'émotion. Puis vient le fameux AMENO, et une femme lance le compte à rebours en bredouillant et en rigolant à moitié. C'est un peu ridicule. Millau - Peyrelau, 23.4km 540m D+ Départ nerveux, d'ailleurs il y a une chute devant moi sur la ligne, au moins 5-6 personne par terre. Sérieux les gars... J'écrase un tibia avant de prendre mon allure. C'est de la route à plat, je me cale en 4'15, ça me paraît pas mal, peut-être un peu rapide. Je suis vite rejoint par mon camarade de club, et on va papoter pendant quelques kilomètres. D'habitude il court n'importe comment et va volontairement au crash. Je lui recommande de rester tranquille sur tout le début de course, que les 2-3 minutes qu'on peut gagner en forçant pèsent bien léger par rapport à ce qu'on perd en fin de course. Je lui dis que personnellement je ne compte "enclencher" qu'à partir du 55ème. Le bavardage me permet aussi de ne pas m'emballer moi-même. Jusqu'au 7ème kilo c'est un peu vallonné, l'allure dérive vers 5'00, puis c'est la montée sur le plateau. Mon pote a la sagesse de ne pas suivre. Il fera une très bonne course au final ! Ça dure un bon kilomètre pour 300 de D+, je marche en poussant un petit peu. S'ensuit une loooongue section de 15km sur une piste forestière, sur un profil tout plat, avant une descente à pic vers le premier ravito. C'est la nuit, il n'y a rien de bien intéressant, globalement c'est parfaitement chiant. Je suis calé à 4'45, ça me paraît ok. Parfois la pente varie un tout petit peu, je m'arrête une fois faire pipi, mais kilomètre après kilomètre l'allure reste à 4'45. Enfin vient la descente qui est plutôt sympa, mais malheureusement c'est un single étroit et il y a des serpentins. Je mets un peu de temps à doubler des mecs, je peux enfin m'éclater pendant 30 secondes avant de me retrouver bloqué par une féminine. Je la double après un long moment, je m'éclate de nouveau comme un bourrin, mais ça y est c'est déjà l'arrivée au village. Frustrant car c'est la première fois depuis le début de la course que c'est un peu marrant. Fun fact : j'ai déjà fait cette section lors du Tarn Valley Trail 2024, dans l'autre sens. Je m'en suis rendu compte en regardant mon Squadrats. J'arrive au ravito en 2h05, avec 15 minutes de retard sur mon fantôme Livetrail (que j'ai mémorisé). Ça ne m'étonne pas. Je recharge deux flasques, dont celle qui était pré-remplie de poudre, et je repars aussi sec. Je suis 101ème (mais je n'en ai alors aucune idée). Peyrelau - Saint-André de Vézines, 36.8km 1370m D+ Le parcours remonte ensuite sur le Causse Noir, c'est une nouvelle montée "normale" d'environ 500 mètres. Il y a pas mal de monde, je prends un gel caféiné et me cale tranquillement derrière un gars qui avance bien avec ses bâtons (je n'en ai pas). Il marche plus vite que moi mais je relance de temps en temps pour recoller. Vers la fin je me prends au jeu, la pente est modeste et je peux courir, distançant mes camarades du moment. Puis ça bascule sur le plateau, et ça redescend sur un chemin moelleux super roulant. Je me lâche et j'allonge la foulée, je suis allègrement sous les 5'00 et je rattrape quelques groupes. On traverse un endroit joli avec des ruines ou des rochers, je ne sais pas trop. Globalement l'ambiance est sympa, le soleil s'est levé, il y a un peu de brume, le causse désolé a pas mal de caractère. Je suis vraiment bien, je ne force pas, je n'ai aucune vraie douleur nulle part. Mais il y a un type en bleu que je rejoins sans pouvoir le lâcher, au contraire il repasse devant quand la pente s'élève de nouveau. Je m'oblige à le suivre en courant, puisant un peu dans mes réserves. C'est plus intense que ce que j'avais prévu, on verra si ça tient. Ce petit coup de cul nous mène jusqu'à Saint-André de Vézines, et je relance assez fort jusqu'au ravito, dans une relative euphorie. Mon assistant m'attend, je lui largue mes 3 flasques, ma frontale et mon déchet de gel, je récupère 2 flasques pleines et un gel. Ça dure littéralement 10 secondes, merci au revoir. J'ai 10 minutes de retard sur Livetrail, je suis passé 86ème. Saint-André de Vézines - La Salvage, 55.9km 2100m D+ Le soleil est levé et éclaire une belle descente en balcon, sur un chemin très roulant. Je cours très bien, en 4'20, avec une belle énergie. On descend à moitié du plateau, mais finalement on y remonte. Cette fois-ci ça ne se court pas très bien, mais je rattrape quand même quelques gars. Là-haut c'est vraiment très joli, avec un amoncellement de rochers sans queue ni tête (c'est ça qu'on appelle un chaos ?). Globalement j'ai trouvé toute la partie du Causse Noir très belle (on va dire 25-49km). La redescente dans la vallée est plus technique, je ne peux pas mettre autant de vitesse, mais je reste quand même sous les 6'00. Un jeune me double là, c'est le seul de toute la course. J'arrive au niveau de la rivière, à la Roque Sainte-Marguerite, c'est un joli village. 48km en 4h30, j'ai toujours 10 minutes de retard sur Livetrail. Je conserve une bonne marge sur les 10 km/h, mais je sais que le plus dur est à venir : en effet, il reste 31km (sur 80) mais encore la moitié du dénivelé ! Et en effet, on traverse le pont pour monter immédiatement sur le plateau du Larzac. C'est pas très raide mais assez éprouvant, on est obligés de courir la plupart. J'ai le jeune et un autre mec en point de mire, et il y a un gars en rose pas très loin derrière moi. On va courir plusieurs kilomètres comme ça, à se suivre de près sans se rattraper. Je n'ai pas beaucoup aimé cette partie, que j'ai trouvée difficile et pas spécialement belle, ni les chemins ni les panoramas. Je commence à accuser le coup de la fatigue. Par contre je continue de très bien descendre, avec plaisir et efficacité. Je distance enfin mes camarades de montée dans la section qui plonge vers le 3ème ravito, le 2ème avec assistance. PlayTime m'attend là, et me donne mes 3 flasques et un gel. C'est efficace, je bois un peu d'eau pure en passant et je repars rapidement. 32 secondes de pause d'après les tapis de pointage. Je n'ai plus que 5 minutes de retard sur Livetrail, à la 60ème place. Je sais que si je finis bien je battrai Livetrail, c'est-à-dire sub 8h22. Je me demande même à quel point je peux m'approcher des 8h00. La Salvage - Millau, 80.0km 3400m D+ Mais il reste 24 kilomètres. Ça commence par de la descente en single un peu barbante, pas très bien débroussaillée, j'en ai plein les yeux, globalement j'en ai un peu marre. J'ai pas trop kiffé le Larzac, ça rend pas bien, et c'est pas spécialement beau. Puis on passe sur le côté du plateau, et enfin on a de beaux panoramas sur les falaises et les vallées encaissées. Le chemin devient plus technique, ça rompt la monotonie. Mais ça remonte assez fort, c'est dur pour les jambes et pour le moral. Ça fait 10 kilomètres que la course me semble longue. Enfin on s'engage dans la descente vers Massebiau, que j'attends avec importance car je sais que j'ai une "fan zone" établie là-bas. C'est devenu plutôt roulant (environ 5'00), je continue de rattraper quelques coureurs, dont un sponsorisé Scott. Enfin j'arrive à la rivière et au village. Il y a un ravito en eau, je me ressers rapidement. Il reste deux belles montées, les deux plus dures du parcours. C'est un peu salaud. Et au début de la remontée, j'entends de grands cris, c'est les supporteurs du club. Je suis ému et galvanisé Et ce sont 7km assez durs. Ça redescend d'abord bien, en forêt, puis bien technique dans la falaise. Puis un chemin en balcon, pas très loin de là où je m'étais posté la veille pour regarder les arrivées du marathon des Causses. Le soleil est sorti, j'ai un gros coup de chaud. C'est vraiment dur d'être efficace. Heureusement, un vent providentiel se lève, rafraîchir l'atmosphère et amène des nuages. Je double encore une paire de mecs et je me retrouve au pied de la difficulté finale, el famoso Pouncho. Hé bien c'est INFÂME. J'ai rarement vu ça. Complètement sadique à ce stade de la course. Des marches gigantesques taillées dans un couloir de la falaise. C'est interminable, je n'avance pas. Ma montre croit que je suis arrêté. 250m de D+ ressenti 1000. Même la fin n'est pas satisfaisante, malgré les mots gentils des bénévoles et des spectateurs : il y a encore un escalier à se taper pour atteindre l'antenne, le point culminant. Je n'ai pas la force de le courir, malgré un coureur en noir en visu pas trop trop loin. Et c'est enfin la descente finale. Je sais qu'il faut un gros quart d'heure et donc que je vais faire 8h10. C'est technique, plutôt amusant, d'autant que j'ai toujours les quadris absolument intacts. Les descentes auront été un régal de bout en bout. Je rattrape le gars en noir, il reste 2-3 petites blagues dont une grotte rigolote éclairée par des sabres lasers. Il me laisse gentiment passer à la sortie de la grotte, il reste 1.7km d'après un bénévole. Je sais qu'il dit vrai car on retrouve rapidement le chemin que j'ai "reconnu" la veille. J'envoie tout dans la descente, en mode quasi sprint (3'45 d'après Strava... bon le segment se gagne en 2'45). Il y a un peu de monde à l'arrivée, je sprinte dans la chicane finale, je lève bien les pieds dans les escaliers (1 coureur sur 2 se casse la gueule ici d'après l'Insee) et je franchis la ligne en serrant le poing. 8h11, 41ème Dans l'aire d'arrivée tout le monde est occupé à interviewer et écouter la 3ème féminine qui est arrivée 20 secondes avant moi (Adeline Martin). Je pensais pas que j'étais si proche. Bilan Ben c'était très réussi, une deuxième fois d'affilée après le Wildstrubel. Je m'étais inscrit uniquement avec l'effet de groupe, ce n'était pas un objectif en soi, mais je me suis retrouvé en grande forme, et sur un parcours qui me convient somme toute pas mal du tout. C'est grisant de courir tout le temps comme ça. C'est cool aussi d'être dans une telle densité (même si la moitié des élites ont DNS, entre la fatigue de fin de saison et la grenouille templière qui veut se faire plus grosse que le bœuf en annonçant une start list démentielle mais irréaliste...). Le même format dans le Beaujolais ou le Vercors, je suis certain de courir 6h sur 8 absolument seul. Là il y avait des mouvements de course, c'est plus sympa (surtout quand c'est moi qui double). Le parcours m'a surpris en bien, surtout car je n'en attendais pas grand chose. Pour répondre à Santroll, je détaillerais mon appréciation comme suit, dans l'ordre : Au-delà de ça, l'orga est bonne mais l'événement est complètement surdimensionné, en particulier le samedi qui n'a aucun sens. C'était plus chouette le vendredi (Endurance Trail et Intégrale des Causses) et le dimanche (Grand Trail), qui avaient une ambiance plus confidentielle, presque saucisson j'ai trouvé. Par ailleurs on en a pour son argent, c'est ultra carré, il y a plein de petits cadeaux sympas avec le dossard. Bon je ne pense pas y revenir tout de suite, c'est un peu trop la foire et toutes les courses se ressemblent. Maintenant, repos et réflexion sur 2026 ! Le Strava : https://www.strava.com/activities/16191218666 Message édité par Chou Andy le 22-10-2025 à 00:14:58 --------------- J'aurais voulu être un businessman |
duckjerry | Excellent CR et course qui concluent une très belle saison ! On a l'impression que tu avais encore un peu de marge donc la gestion est vraiment bonne
--------------- Mon Flickr - "Oh, people can come up with statistics to prove anything, Kent. 40% of people know that." (Homer J. Simpson) |
Paul de Saint-Balby Stay real. Stay right. | Bravo chou (comme dab --------------- Ne cultivons que le jardin de nos instincts et marchons sans respect sur les plates-bandes où sont alignées symétriquement les idées en cravates blanches - https://www.youtube.com/watch?v=wHr5O5QLTVc |
santroll | Bravo Chou, perf très solide !
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yipi | Tu fais une super saison de trail, Chou ! Bravo ! |
Eldricht $*$ BRK |
SenorPollo | Chou la machine |
mafspirit | Bravo Chou, belle prose, belle saison et encore une belle perf |
The North Face passionner #marchefort | Bravo Chou --------------- Vends skis Salomon Q-105 | DEUX LITRES CINQ - TURBO - GANG - If driven carefully please report stolen |
Amraz Martyr nigaud et aventurier | C'était pas du coca SodaStream c'était de l'artisanal d'une brasserie locale --------------- France = triple championne du monde de rugby 1995-2011-2023 |
santroll | Ca sortait d'une grosse machine métallique, ça sentait pas trop l'artisanal... |
wizz83400 | CR Julian Alps trail run by UTMB - 20/09/2025 - Message édité par wizz83400 le 22-10-2025 à 12:45:45 |
Okocedion Nous savons que Marseille. | Belle pluie de CR et belles perfs --------------- Il y a quelque chose que je ne comprends pas |
perrout BBQs everyday |
--------------- I live on the frozen surface of a fireball where cities come together to hate each other in the name of sport. |
sytchev013 PHI_ADE_PHIA EAG_ES | Je ne sais pas si ça en intéresse certains, mais dans un tout autre registre, actuellement dans le Tennessee, chez Laz, un français a déjà pulvérisé le record de France de backyard (qui était de 86h depuis 2 semaines à peine ! ) en finissant le 100ème tour --------------- Me suivre sur le Continental Divide Trail => Le long chemin de Rémi |
gmund |
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sytchev013 PHI_ADE_PHIA EAG_ES |
--------------- Me suivre sur le Continental Divide Trail => Le long chemin de Rémi |
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