Reprise du message précédent :

 
 
moi j'aime bien, c'est bien agréable quand meme après match sur la route du retour du stade d'écouter les mecs s'exciter, on reste un peu dans l'esprit hyper mauvaise foi de tout bon supporter, ça dit beaucoup de connerie, ça exagère a mort sur benzema nouveau zidane ou clerc meme pas digne de la d2 slovaque , perso j'aime beaucoup écouter l'aftermatch mais uniquement quand je vais au stade, ça permet de redescendre en douceur la pression et l'euphorie du match, jusqu'au retour dans mon lit douillet. et puis y'a des interview a chaud qui sont sympa, avec des discussions terribles entre courbis et lacombe ou 2, 3 joueurs parfois.

Trop ça quoi
Le top étant les interviews des joueurs

sinon quelqu'un a une explication au titre de lequipe.fr "marseille en son jardin"
 
c'est honnetement pas pour faire un troll bien gras mais une equipe qui vient peniblement de gagner son premier match à domicile en championnat apres 2 nuls et 2 defaites, qui voit son attaquant vedette se faire siffler dans ce meme jardin ...

Pareil , j'aime bien ce genre de faux débats

Tout simplement parce que Marseille à l'air de se sentir à l'aise en LDC , plus à l'aise qu'en championnat ?  

mwé vu sous cet angle c'est sur que c'est mieux que la collection sur rtl...

 
ça...si on aime pas les nains de jardins, on aime pas, hein

 
je suis juste d'accord pour la victoire à lyon contre stuttgart (j'espère en tous cas).
pour le reste, après avoir vu stuttgart jouer et en connaissant le coeur et la volonté (et la réussite)  écossaise, pour que lyon ait un maximum de chances de passer, outre gagner à ibrox park, je pense que les lyonnais devraient également se défoncer pour battre le barça... pas invincible du tout (voir vilareal)
 
 

 
mettre des buts au barca, ça reste faisable, mais le plus dur, ce sera de pas s'en prendre.

cris et coupet ils reviennent quand ?

ils sont pas au cimetiere.... cris et coupet
 
coupet fin novembre il me semble... cris je sais pas du tout

on parlait d'eux de retour pour les phases finales, a première vue, ce serait plutot retour pour l'UEFA
coupet a dit que sa rééduc se passait plutôt mieux que prévu, y'a peut etre un espoir pour qu'il revienne avant la fin des poules.

cris prévu en février

 
 
 
'foiré c'était pour ma chronique ça ...
 
EDIT : Merci Blink.Tu fais aussi une récap' de tous les buts pour footware ?

parce que Marseille et les coupes d'europe c'est une grande histoire. Ils ont trés souvent réussi à se transcender et à battre plus fort qu'eux ( deux seuls faux pas en 100 ans, un en 92 et un autre il y a peu contre le mlbidule)

   Parce que ce soir ça va planter  

 
 
Si c'était pas un troll, ton deuxième paragraphe est hors sujet

pas mal !

jardin=vegetation=touffu=poil=portuguais... CQFD  

 
C'est une référence à Christophe Robert    

Ce soir tonte de portos

quaresma va vous mettre une branlée  

La grosse berline était française ...
 
 
L'olympique lumineux se déplaçait aux pays des concessionnaires Mercedes, dans l'espoir que sa lumière ne s'éteigne pas si tôt sous les projecteurs de Dame "Ligue des Champions". Un match à leur portée tant le VfB déçoit cette saison. Il faut dire que les blessures de Magnin, Delpierre ou Boka ont raison de l'assise défensive d'Armin Veh ; le club allemand souffre dans ce domaine des mêmes maux que l'OL. Secteur friable depuis le départ de Timo Hildebrand, la défense teutonne manque de vitesse dans sa charnière centrale et de sûreté sur les ailes avec leurs latéraux amateurs d'aventures dans les lignes adverses. C'est sans doute pour ça que Perrin a choisi d'aligner ses deux prodiges Ben Arf' et "Mercedes" Benz' (surnom affublé à Benzema par le correspondant de "L'équipe" en Ecosse) simultanément, on mise sur l'explosivité en contre pour faire tomber le champion d'Allemagne.
 
La première mi-temps est difficile, l'OL lâche totalement la possession, mais concède finalement assez peu d'occasions de buts. Profitant au maximum de leur système de contre-attaque et des caviars savamment distillés par Hatem (dont l'explosivité crée du dégât quand, en face, il y a Fernando Meira et sa pointe de vitesse de tractopelle), les Gones se créent même les situations les plus dangereuses de la première période mais ni Benzema ni Govou ne parviennent à tromper Schäfer, impeccable en "un contre un". Karim, indépendamment de son occasion manquée, effectue un énorme travail de sape. Toujours aussi classieux dans ses prises de balle, le jeune lyonnais se prend parfois à vouloir flamber tout seul.  
 
Pour autant, tous les voyants ne sont pas verts lors de cette première période. Les bases arrières lyonnaises donnent des signes de fébrilité, Cleber et Grosso en tête. Le milieu lyonnais manque d'agressivité dans les duels à l'exception d'un homme : Fabio Santos. Le remplaçant de Toulalan presse, défend, temporise, relance, gagne tous ses duels aériens, faisant oublier que le dépositaire du jeu lyonnais est le tsar Juninho.  
 
C'est fort logiquement que la délivrance intervient de son pied, au début du second acte. Sur un corner mal dégagé dans l'axe par la défense allemande, l'ancien capitaine du Cruzeiro Belo Horizonte reprend aux 16 mètres, sa frappe détournée vient se loger hors de portée de Schäfer. 1-0 !  
Les Allemands réagissent de façon sporadique et désordonnée, Rémi Vercoutre veille au grain malgré sa "non-présence" sur les sorties aériennes.
Tout devient ensuite plus facile pour les Gones, le tandem "Benzarfa" combine à la perfection faisant des misères à l'arrière-garde teutonne. Lors de la sortie de Ben Arfa, remplacé par Kader Keita, on a presque ressenti le soulagement des défenseurs germaniques sur la pelouse. C'est pourtant l'Ivoirien qui est à l'origine du second but lyonnais. Ce dernier donne dans l'intervalle à Govou qui embarque son défenseur et dévie subtilement pour Benz' (dans sa zoum-zoum zen). Le prolifique buteur lyonnais exécute de sang froid Schäfer. 2-0 !
Après la sortie de ses deux prodiges, l'olympique lumineux gère ses efforts. Mario Gomez est tout proche de réduire le score mais Vercoutre, au prix d'une sortie brutale digne du cousin germain d'Harald Schumacher, venge Battiston. Il y avait sans doute penalty et rouge pour l'ancien montpelliérain...
 
On retiendra que l'OL est allé chercher les 3 points au Gottlieb-Daimler-Stadion, qu'il n'a pas encaissé de buts et est désormais relancé dans la course à la qualification pour les huitièmes de finale. Le reste n'est qu'un point de détail de l'histoire...

Taiwo le boucher va s'en charger vite fait bien fait    

L'instant pathologique Eredivisie - Journée 8 :
 

Attention défenseurs : cet homme est dangereux
 
 
Les 4 Fantastiques (Ajax, PSV, Feyenoord, AZ Alkmaar) :
 
 
Feyenoord 1 - 0 Excelsior
 

 
 
C'est un Feneyoord "on ne peut plus classique" que Bert Van Marwijk alignait au stade du Kuip dans le derby de Rotterdam face à un Excelsior motivé à l'idée de faire tomber son puissant rival. Timmer gardait les buts, devant une défense composée de Lucius, Bahia, Hofland et De Cler ; au milieu Gio était chargé du ratissage, relayé par le turco-teuton Nuri Sahin et le canadien Jonathan De Guzman. A la baguette, l'excellent Nicky Hofs (unique buteur face au Vitesse il y a 15 jours) était chargé de pourvoir en ballons la doublette Roy Makaay - Luigi Bruins.
 

Bahia, impérial
 
Comme tout derby qui se respecte, le match fut âpre et serré. Peu d'occasions à se mettre sous la dent pour le chaland qui s'attendait à du spectacle et des buts. Il faudra attendre la 38ème minute pour voir les visiteurs envoyer la première banderille ('fin au vu du spectacle proposé, ça devait plus être une espadrille) mais Geert den Ouden enlève trop sa tête. La réponse de Roy Makaay ne se fait pas attendre, mais l'international rate sa frappe. Timmer, souvent décisif depuis le début de saison, fait chauffer les gants face à un très remuant den Ouden qui prend le meilleur sur Hofland. A la mi-temps, score nul et vierge.
 
60ème minute : Hofs, aphone, atone (et tous les trucs en tonnes), laisse sa place au buteur coréen Chun-Soo Lee, ultime recrue du Feyenoord collection été 2007 (qui s'apparente plus à un bon cru qu'une piquette). Le jeu de l'équipe de Van Marwijk s'en retrouve transformé. Makaay met enfin à contribution un Graafland qui commençait à somnoler. Dans la minute qui suit, ce diable de Makaay sert Gio pour l'ouverture du score alors qu'on venait tout juste de rentrer dans les 10 dernières minutes. L'ancien barcelonais profite du bon appel de balle de De Guzman pour tromper la vigilence du portier de l'Excelsior. 1-0, le score en restera là.
 

Giovanni Van Bronckhorst, unique buteur du match
 
7ème victoire en 8 matchs pour le Feyenoord.
 
 
PSV Eindhoven 3 - 1 VVV-Venlo
1-0 Bakkal
2-0 Koevermans
2-1 El Gaaouri
3-1 Koevermans
 
Pour son deuxième match de rang au Philips Stadion, le champion en titre recevait le modeste promu du VVV-Venlo avec pour ambition de rester au contact du Feyenoord.
 
Ronald Koeman doit composer sans la présence d'Eric Addo, suspendu, en défense. Le turn-over était de mise avec les titularisations des jeunes talents batavo-marocains Aissati et Affelay pour préserver le péruvien Jefferson Farfan et l'australien Culina (de retour de leurs déplacements internationaux respectifs et ménagés pour la ligue des champions). Le technicien batave a donc bâti une équipe moins offensive que celle qui a étrillé Willem II Tilburg (3-0). De retour dans un 4-4-2 plus conventionnel, Koeman a titularisé la doublette Koevermans-Lazovic en pointe, bien soutenue par un milieu très technique composé des deux jeunes Aissati et Affelay ainsi que du danois Perez et du belge Simons. Derrière, on ne change pas une défense quasi infranchissable en Eredivisie, tout juste la suspension d'Eric Addo est-elle compensé par la titularisation du jeune Marcellis, pour nous rappeler que le PSV est avant tout un vivier intarissable de talent "prêt à l'emploi". Pour le reste, Zonneveld, Salcido, Kromkamp et Gomez tiennent leurs rangs respectifs.
 
Alors que le PSV éprouvait moult problèmes à construire des actions dignes de son standing malgré toute la technicité de son milieu, c'est le jeune Otman Bakkal qui ouvre la marque d'une balle piqué. On joue la 23ème minute. Que de fraîcheur dans ce but quand on sait que le passeur n'est autre que le "bleu" Dirk Marcellis, qui, pour sa première apparition, distille une merveille de passe en profondeur pour le batavo-marocain !
 
Mais contrairement à ce qu'on pouvait croire au coup d'envoi, VVV Venlo offre une résistance de choix au champion en titre en procédant en contre-attaque. Le mexicain Salcedo est à la peine face aux coups de boutoir de Rachid Ofrany et de Nadir Amrabat, mais la défense du PSV tient bon gré mal gré jusqu'à la mi-temps, non sans que Danny ne rate une occasion de doubler la mise.
 

Le jeune Marcellis (PSV) à la lutte avec Amrabat (VVV-Venlo)
 
Après seulement 6 minutes en seconde période, le PSV prend le large : sur un merveilleux centre de Lazovic, Danny Koevermans place sa tête. Mais le score est flatteur tant les "rouges et blancs" ne parviennent pas à prendre la mesure de leurs adversaires.  
Lazovic et Perez sortent, Farfan et Fagner rentrent pour dynamiser tout ça. 66ème minute : El Gaaroui réduit la marque sur un splendide coup-franc platinien mais c'est finalement ce diable de Koevermans qui aura raison du promu, pour une copie conforme du second but à l'exception près que c'est Farfan le passeur.
 

Lazovic au fond des filets, Koevermans l'aurait-il pris pour le ballon ?
 
Le PSV s'impose 3-1 face à la lanterne rouge sans pour autant convaincre, Danny Koevermans marque son troisième doublé de la saison. Il ne faudra pas réaliser pareil performance face à Fenerbahçe qui offrira, à n'en pas douter, une opposition d'une toute autre qualité.
 
 
Ajax Amsterdam 0 - 0 NEC Nimègue
Highlights : 1ère Mi-temps (6:54) 2ème Mi-temps (4:32)
 
La meilleur attaque de Hollande recevait, à l'Arena, le NEC Nimègue dans l'optique de rester à portée de canon du Feyenoord de Rotterdam.  
Grosse nouveauté sur le banc amstellodamois où Adrie Koster a pris provisoirement la place de Henk ten Cate, parti se remplir les poches de pétrodollars Abramovitchien à Chelski. Pour le reste, l'équipe composée est dans la continuité de celle proposée par son prédecesseur. Seul manque à l'appel Luis Suarez, de retour tardif de la quinzaine internationale qui a vu les qualifications pour la coupe du monde débutée pour sa céleste. L'Uruguayen est ménagé.
 
Devant Stekelenburg, Koster aligne une défense des plus conventionnelles avec une charnière Stam - Heitinga et Ogararu - Emanuelson sur les côtés. Au milieu, la densité physique prime puisque l'indéboulonnable Gabri est épaulé par Hedwiges Maduro et Vertonghen. Le trident offensif de l'inamovible 4-3-3 ajacite est composé d'Alberto Luque, Klaas Jan Huntelaar et Denis Rommedahl. Stam récupère le brassard qu'il avait laissé sur blessure au "Hunter".
 

Hedwiges Maduro en duel avec Lorenzo Davids
 
Nimègue n'est pas venu pour faire de la figuration et le montre rapidement par Lorenzo Davids, sosie et neveu d'Edgar, qui joue dans le même registre. Le jeune surinamien tient quasiment à lui seul le milieu de terrain amstellodamois en respect. A la 12ème minute, les visiteurs obtiennent même un penalty pour un tirage de maillot peu évident d'Heitinga. Worm s'élance et Stekelenburg arrête son second penalty de la saison.
La réponse de l'Ajax à cet entame de match des joueurs de Nimègue intervient à la 14ème minute. Suite à une mauvaise relance de Davids, Hunterlaar obtient un coup-franc à 25 mètres où le hongrois Babos s'emploie. L'ancien portier du Feyenoord réalise une jolie parade quelques minutes plus tard face à Alberto Luque dont la frappe filait sous la barre. Stam manque son dégagement mais Stekelenburg, en bon dernier rempart, empêche Prent d'ouvrir la marque. L'ancien galicien Luque, ainsi que le buteur Huntelaar font quant à eux briller Babos. Les débats s'équilibrent mais aucune des deux équipes ne parvient à prendre l'avantage avant la pause.  
 
A la mi-temps, Stekelenburg (blessé à la main) et Stam laissent leurs places à Gentenaar et Van der Wiel. Rommedahl laisse sa place à Luis Suarez pour les 35 dernières minutes. L'effet est quasi immédiat, l'accélération perceptible, mais "The Hunter" à la conclusion d'un mouvement orchestré par l'uruguayen rate inexplicablement le cadre. Ce même Suarez, qui, après une frappe qui frôle le montant, se distingue par une grossière double simulation qui a le don d'irriter tous les joueurs de NEC. Pas de doute, il y a du Rivaldo en lui.
A 3 minutes de la fin, Huntelaar trouve la faille... mais il est hors-jeu. 0-0, score final.
 

Emanuelson englué dans une marée humaine, l'Ajax piétine
 
L'Ajax concède 2 points sur sa pelouse face à un bon NEC Nimègue qui n'aura pas vécu l'enfer à l'Arena... loin s'en faut.
 
 
AZ Alkmaar 0 - 1 SC Heerenveen
Afonso Alves (93ème)
 
Devant un peu plus de 16 600 spectateurs, c'est un AZ en quête de points qui reçoit, au DBS Stadion, un SC Heerenveen qui a enfin retrouvé son roi. Auteur de sept buts pour sa première titularisation, le buteur brésilien Afonso Alves est de retour en grâce, à point nommé avant le déplacement à Alkmaar.
 
Van Gaal récupérait son attaquant vedette Dembelé pour ce match. Associé à Ari en pointe (au détriment de l'espoir italien Graziano Pelle (pour combien de temps encore au vue du rendement du brésilien ?)), l'international belge Moussa Dembelé devait faire sans son comparse de sélection Marteen Martens, blessé. Le milieu est composé de Simon Cziommer, Julian Jenner, Kemy Agustien et Demy De Zeeuw. Derrière, c'est on ne peut plus conventionnel puisque de Gretar Steinsson à Boy Waterman (en passant par Kew Jaliens, Ryan Donk ou Barry Opdam), on retrouve la défense type estampillée Louis Van Gaal.
 

Sibon prend le dessus, un mauvais présage pour l'AZ ?
 
Conséquence du mauvais départ des deux clubs, le match est nerveux, tendu et n'offre qu'assez peu de spectacle. Le SC Heerenveen domine les débats sans pour autant se montrer réellement dangereux. En avance dans les duels, les coéquipiers de Gerald Sibon (voir photo) posent des problèmes aux rouges d'Alkmaar. Steinsson n'arrive pas à tenir Afonso Alves, menace constante sur les buts de Waterman. Mais c'est essentiellement sur coups de pied arrêtés que les deux équipes se montrent dangereuses par Cziommer (AZ) et Alves (Heerenveen). Dembélé, comme orphelin de Martens, est inexistant. Van Gaal fait rentrer Koenders, El Hamdaoui et Graziano Pellé pour tenter d'inverser la tendance. Il faut attendre les 20 dernières minutes pour enfin voir un peu d'action. Sibon rate l'occasion d'ouvrir la marque. Le Brésilien de l'AZ, Ari, rate quant à lui une double double occasion dans les arrêts de jeu, on se dirige tout droit vers un 0-0.
 
Au bout du temps additionnel, c'est le club frison qui va finalement aller chercher les 3 points grâce à sa star brésilienne Afonso Alves, en embuscade après que l'international croate Daniel Pranjic a frappé le montant de Boy Waterman. La pilule est dure à avaler pour Louis Van Gaal, d'autant qu'Alves était hors-jeu au départ du ballon.
 

La chute de l'AZ... Waterman en mange son maillot
 
Avec un nouveau point perdu dans les ultimes secondes, l'AZ se retrouve désormais bien loin des places d'honneur, le déplacement de jeudi en coupe de l'UEFA à Saint-Petersbourg pour y affronter le Zenith (leader du championnat russe) s'annonce périlleux. Une chose est sûre, les supporters du club frison peuvent continuer à entonner "You are my Alves, my only Alves"... au moins jusqu'au prochain mercato.
 
 
Autres Résultats :
 
De Graafschap 4 - 0 Sparta Rotterdam
Heraclès Almelo 2 - 2 Vitesse Arnhem
FC Groningen 1 - 0 FC Twente
Roda JC Kerkrade 1 - 1 FC Utrecht
Willem II Tilburg 0 - 0 NAC Breda
 
 
Les classements :
 

 
 
Le but de la Journée :
 
CF d'El Gaaouri (VVV-Venlo) vs PSV

Aussi, Gwen.

Ils ont changé le mode de notation récemment (genre dans les 3 dernières années ) ?
Parce qu'il me semble que ça changeait beaucoup moins souvent avant.

Oué.

Edit : bon, Wiki devrait suffire : http://fr.wikipedia.org/wiki/Class [...] de_la_FIFA

Comparatif ancien/nouveau classement sur le site de la FIFA : http://fr.fifa.com/worldfootball/r [...] e/men.html

 
 
merki  

Merci .
Parce que je trouvais ça étonnant que deux matches impactent autant le classement alors qu'on avait mis un sacré bout de temps à être premier après 1998.

Le directeur adjoint de Canal en direct sur RMC en ce moment au sujet des droits TV...
Il est mal Thiriez pour avoir ses 600 millions!!!    
Adieu notre L1?  

Des détails sur ce que propose C+ ?

 
Alexandre Bompard?

 
Oh punaise... Comment tu saoules
va pas chercher de second degrès

 
Ti un malade toi !!!
On a Bonnart  

 
il n'y pas de crise prévue à l'OL
 
ah non, j'avais mal lu.    

 
Sur le dernier appel d'offres, la répartition aurait été ainsi :
 
- 220 millions d'euros pour le lot 1 (le match du dimanche à 21 h)
- 210 millions d'euros pour le lot 2 (match du samedi à 17 h 10 et match du dimanche à 18 h)
- 60 millions pour le lot 3 (magazine du samedi soir, " Jour de foot " )  
- 110 millions pour le quatrième et dernier lot (paiement à la séance des sept matches restants).
 
Thiriez travaille depuis un moment pour modifier la durée et composition des différents lots (Par exemple, couper le deuxieme lot). France Television serait interessé par l'amélioration de son offre Foot. De meme, rien n'indique que TF1 ou M6 ne se positionne sur "Jour de Foot". Si C+ ne lache pas 600 millions, il est quasi certain qu'il perde l'exclusivité et donc une part d'attrait.

C'était Rodolphe Belmer (?) (20 000 euros / mois au passage   )
Il a dit que vu que le spectacle n'a pas du tout progressé depuis quelques années (c'est le moins que l'on puisse dire), Canal mettra forcément moins d'argent sur la table.
De plus, étant donné que le grand match fait en ce moment environ 30% de moins en part de marché qu'avant (la plus grosse audience est pour jour de foot), Canal attend avec impatience la désignation des lots. Il serait possible que Canal n'achète pas "toute" la L1...
Wait and see...

edit: cf le post au-dessus pour les lots, merci  

 
 
peuh, c'est les commentateurs du match qui te l'ont soufflé avec la blague pas drole du mercedes benzema.
 
par contre, paga m'a fait rire, j'avoue, avec son:
"
-il est en forme fabio santos
- ah oui mais faut pas oublier qu'ils sont 2, y'a fabio qui attaque et santos qui défend"
 
ou encore
 
"c'est qui cheulstreum ? ah, c'est kallstrohm ? non parce que l'espace d'un instant, j'ai cru qu'il y avait 12 lyonnais sur le terrain avec cheulstreum"