Reprise du message précédent :
Le petit prince de Gerland

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Mais d'ou à part Gerland pouvait venir celui qui a illuminé l'Olympique Lyonnais dans les années 60. Né le 20 avril 1943, il grandit à 300m de du stade. Il débarque à 16 ans a l'OL qui n'est alors qu'un tout jeune club créé en 1950 sur les cendres de la section foot du LOU. Il débute en pro le 20 août 1960 contre Reims et marque son premier but en fin de saison contre Lens. C'est le début de la grande histoire de L'OL et de Fleury. Il s'impose lors de la saison 61-62 et marque 18 buts. Il forme alors un duo d'attaque explosif avec le jeune argentin Nestor Combin. la saison 62-63 voit la première finale de coupe de France perdue contre Monaco, apres un titre honorifique de champion d'automne.

la saison 63-64 reste l'une des plus glorieuse de l'OL. Qualifié en coupe des coupes grace au titre de champion de France de Monaco, il va jusqu'en demi finale et perd contre Lisbonne en match d'appui. le club finit 4eme du championnat et remporte sa première coupe de France au dépend de Bordeaux.

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Fleury marque 10 buts en championnat, mais finit loin de Combin et ses 23 buts. La saison suivante, l'argentin est tranféré à la Juve, Djorkaeff a Marseille, Aubour a Nice et l'Ol piétine, Fleury malgré ses 13 buts est utilisé dans un role trop défensif à son goût. Ses soirées ne l'aide pas non plus énomement à rester performant
en 65-66 la chute continue et l'OL lutte pour son maintien, aidé par les 15 buts du petit prince

été 66, changement d'entraîneur. Di Nallo retrouve le poste et le jeu qui lui convient et emmène l'OL en finale apres une demi finale face à Angouleme gagné au tirage au sort

Et le 21 mai 1967 Fleury Di Nallo marque une page d’histoire de l’OL en soulevant, comme capitaine, la coupe du cinquantenaire remise par le Général de Gaulle.

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la saison suivante voit l'un des exploits de l'OL. En huitème de finale de la coupe des coupes, l'OL gagne le match allé 1-0 face a l'ogre Tottenham grace à un but de Fleury. On promet l'enfer pour le retour. les Lyonnais sont 11 contre 60000. Et apres une résistance heroique et un nouveau but de Fleury, une defaite 4-3 sur le terrain de White Hart Lane fait le bonheur de tout un peuple

Le 22 Septembre 1968, Il se fracture tibia et peroné suite à un tacle d'un joueur du Red-Star. Son retour 11 mois apres le verra marqué 2 buts contre Bastia.

Quelques saisons difficile moyenne ponctuées de coup d'éclat, l'OL voit l'arrivée dans ses grand de jeunes joueurs tel que Chiesa, Lacombe ou Domenech. en 71-72, ils humilient les verts avec une victoire à GG et une à Gerland.

Une nouvelle victoire de l'OL en coupe de France en 73 mais on sent Di Nallo absent.
Le vendredi 13 septembre 1974 lors d'un match contre le PSG, il est tres moyen, mais les spectateurs ne savent pas encore que c'est son dernier match sous les couleurs de l'OL, 2 mois plus tard, il fait une pige lors d'un déplacement à Strasbourg. Mais fin novembre, apres 14 ans au club, le petit prince est transféré au Red-Star. Mais la relégation du club en D2 le fait changer d'air.

Il s'engage alors au Montpellier la Paillade, le club de son ami Louis Nicollin alors en division d'honneur. Ses nombreux buts permettent au club de monter dans l'année en D3, puis il met fin a sa carriere de footballeur en 77.

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Son histoire avec l'equipe de France est moins idyllique. Sa première sélection face à la Hongrie le 11 novembre 1962 a seulement 19 ans est le fruit des manquements du jeu offensif de l'equipe.

la France perd sur le fil par 3 buts à 2, mais les 2 buts sont inscrit par le lyonnais.

Son match suivant debut 63 le voit continuer sur sa lancée. La France perd 2-1 contre le Bresil de Pelé, mais Di Nallo marque le seul but Francais

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Son passage à vide lié a celui de l'Ol lui fait perdre sa place qu'il ne retrouvera qu'en 66 et sa grave blessure en 68 le fera quitter definitvement l'equipe de France. Il ne participa jamais ni a une coupe de monde, ni a un championnat d'europe.

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Palmares :
3 coupes de France (64, 67, 73)
2 finales de coupe de France (63, 71)
1 trophée des Champions (73)
1 demi finale de coupe des coupes (64)
187 buts en L1 (dont 182 a Lyon)
10 selections en equipe de France (8 buts)
il fait parti du 11 majeur de l'OL (Gardien : Grégory Coupet ; Défense : Jean Djorkaeff, Cris, Lerond, Mignot ; Milieu : M. Diarra, Chiesa, Juninho ; Attaque : Di Nallo, Sonny Anderson, B. Lacombe)

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la seule video que j'ai trouvé
avant la finale de coupe de France 71 (perdue)

http://www.ina.fr/archivespourtous [...] 70&mc=Lyon

Les bons mots de l'ami Loulou :
 

 

 
C'est une aventure pittoresque que celle du président du MHSC. Un homme entier qui porte sur lui le malheur d'être le sosie d'Emile Louis, "le tueur de l'Yonne", mais dont la bonhommie fait cruellement défaut à cette ligue 1 désormais repentie des joutes verbales d'antan. Les gueguerres actuelles à coup pîque timide où "ça grenouille et ça bidouille" font bien pâle figure devant ce président "qu'il ne fait pas bon prendre pour un jambon".
 
Né en 1943 à Valence, Loulou est avant toute chose un ordurier dodu, suant et vulgaire : le pré-requis pour monter sa propre boîte de ramassages des déchêts et faire fortune.
 
Dans les années 70, Loulou bâtit de ses mains sur "une butte qui prenait l'eau les jours de pluie" avec "des gens juchés dans les arbres et des préfabriqués qui faisaient office de vestiaires et de bureaux", un club familial qui deviendra au fil des ans, un club de haut niveau.
 
Le stade n'est alors qu'un carré de pelouse rapée ou gorgée d'eau, selon la saison, coincé entre une cité et une rivière capricieuse où évolue La Paillade Sport Club Littoral né de la fusion du Montpellier-Littoral, de l'AS Paillade et de la Formation Sportive de Nettoiement, l'équipe corpo des éboueurs Nicollin. Il fait agrandir le stade, bâtit les tribunes (importées directement d'Annecy ) et rénove les vetustes vestiaires en 3 semaines de l'an de grâce 1977 (Montpel est alors en D3 mais vient tout juste de tomber Marseille en 32ème de Coupe de France)
 
Louis Nicollin promet de faire venir les meilleurs joueurs français à la Paillade. Il tient parole:
Di Nallo, Augé, Calmette, les premiers d'une longue liste, débarquent à la Mosson. Avec le mythologique Kader Firoud en entraîneur, la Paillade de Loulou passe professionnelle pour son accession en D2 en 1979 et atteint même l'élite hexagonal pour s'y installer durablement dès 1987. Loulou est au sommet de son art et un jeune entrepreneur aux dents qui rasent le bithume reprend l'Olympique Lyonnais sous les conseils du maître Bernard Tapie (mais ça c'est une autre histoire)
 
En 1990, Montpellier remporte son seul et unique trophée : la coupe de France.  
 

 

 
 
La coupe d'Europe à Loulou :
 

 

 
La Coupe d'Europe qui en suivra prendra des allures de "folle épopée", jalonné de succulentes réflexions de notre Loulou National. Montpellier atteint les quart de la Coupe des Coupes en sortant le grand PSV de Romario, le Steuau Bucarest et en chutant avec les honneurs face à Manchester United après un nul héroïque à Old Trafford.
 

 
A la fin du match héroïque à Eindhoven (0-0) qui qualifie les Pailladins, Loulou est hystérique : il embrasse tous le monde, invoque les divinités célestes à genou sur la pelouse, se précipite vers le virage du stade pour saluer les 300 supporters qui ont fait le déplacement et se jete dans les bras de Pascal Baills.
 
Interdit de banc de touche, de vestiaire et de terrain au match suivant (face à Bucarest) pour sa poussée d'adrénaline à Eindhoven. Loulou, livide de peur que le match soit déclaré à rejouer, le terrain ressemblant de plus en plus à une piscine, suivra depuis sa loge la victoire  de ses protégés (5-0).
 

 
Vient ensuite la cruelle désillusion Mancunienne, après un nul 1-1 ramené de là-bas.
 

 
Mauvais presage, 45ème minute, Hughes s'effondre sur un contact anodin, faute au 25m, coup-franc de Blackmore, toile de Barrabé, fin du rêve (16 ans après j'en souffre encore)... Manchester gagnera la C2.
 

 
La classe et la dignité en toute circonstance.
 
Tout ce qui suivra n'atteindra jamais l'intensité de cette époque dorée de mes jeunes années...puis n'oublions pas que c'est le focus à Loulou et pas celui du MHSC.
 
Le Pari à Loulou :
 

 

 
Ricoune et les connasses - Nicollin (les paroles)
 
Loulou en Ligue 2 :
 

 

 
Loulou et la politique intérieure :
 

 

 
Loulou show :
 

 
Act 1 : Fair-Play
Act 2 : Moqueries

 
C'est White Hart Lane le terrain,et faut préciser que c'est Tottenham, c'est pas évident à comprendre
 
 
 

Focus Sex, Drugs and Cyril Rool © :
 

 
Né à la frontière franco-espagnol, Cyril combine le sang chaud hispanique et la tradition des meilleurs latéraux français avec une patte gauche chirurgicale. A 33 ans, le démon à la gueule d'ange est enfin appaisé, mais cela n'a pas toujours été le cas.  
 
Recorman des cartons de l'histoire du championnat (20 rouges et 127 jaunes (chiffre wikipédia)), Rool est souvent victime de sa réputation de sanguin des terrains.  
 

 
D'un gabarit moyen (1,76m pour 70 kg), il compense par une activité peu commune et des nerfs à fleur de peau, ce que la nature ne lui a pas naturellement offert. Honnête, droit dans ses Puma, il sort de l'école de la rue d'où son côté guerrier exacerbé.
 

 
Sa carrière pro a démarré sur l'île de beauté, dans la rugueuse deuxième division c'était il y a 15 ans. Pendant 5 ans, il se cultivera une réputation d'assassin sous l'oeil protecteur de ce détraqué de Frédéric Antonetti qui lui suggère même de se raser le crâne pour parraître plus méchant. A Furiani, il a le sang plus chaud qu'ailleurs, il accumule les fautes, les contestations et les cartons rouges... se frite avec à peu près tous les entraîneurs de Division 1.
 

 

 

 
En 1998, sa pugnacité unanimement reconnu dans l'hexagone lui permet de rejoindre le champion de France en titre : le Racing Club de Lens. Tentant de modérer ses ardeurs, ses performances s'en ressentent, si bien qu'il fait un crochet par Monaco avant de faire une brêve apparition sous le maillot marseillais (4 matchs).
 

 

 
De retour à Lens, où il joue peu. Il part à Bordeaux se relancer, victime de quelques injustices et d'une certaine réputation, il prend des cartons rouges pour pas grand chose. En 2004, Alain Sars est même déjugé après l'avoir exclu du terrain face à l'Oème, la commission le blanchit comme un aveu de l'injustice qui touche le personnage. En 2005, M. Garibian l'expulse logiquement pour insultes à référés lors d'un OL-Bordeaux (5-1), sur l'action précédente, Florent Malouda lui avait volontairement fracturé le nez.
 

 

 
C'est à Nice sous l'aile de son mentor corse qu'il reprendra du poil de la bête, l'homme a réellement mûri, on le remarque enfin comme un footballeur à part entière et non comme un casseur.
 

 

 
Indigence oratoire :
Récit de son oeuvre bastiaise par un primate sous évolué
 
La Médiathèque à Cyril :
Les guerriers de Furiani
Bagarre Nice-Nancy
Son but face à l'Oème
Challenge Telefoot : OGC Nice

La journée part sous de bonnes bases pour le quota.

Cimer Palos et kaillou, je consigne ça dans 2 minutes.

 
oups, j'avais mal relu  

Rock'n Rool

Le mien arrive d'ici peu !
Indice : Bouddha

Ivan
 
N'oublions pas la finalité de la chose : Bon anniversaire topic

Focus : l'AJA
 

 
Petite note historique : Auxerre, charmante bourgade ancrée dans la campagne bourguignonne et auréolée de ses 40K habitants (80K avec "banlieue" ), et accessoiremment associée éternellement à un grand nom du football français et du commentarisme à la sauce C+ : Guy Roux.
 
Guy Roux, débarqué au club en 1961 en tant qu'entraîneur/joueur (manifestement il aurait été choisi par le club pour ses tarifs qui étaient les plus abordables d'entre tous... et oui, Guy Roux n'a fait que perenniser la tradition en fait ), alors que l'équipe 1è joue en championnat régional, l'équivalent de la 4è division.
 
19 ans plus tard c'est la L1. L'équipe 1è va ainsi se forger sous la directive de Guy Roux une ligne de conduite qui n'évoluera jamais : recruter peu, et peu cher. Accessoiremment celà signifie que l'AJA va recruter à l'Est et piocher dans son centre de formation, révélateur de vrais petites perles du football français.
 
Après quelques péripéties en coupe d'Europe (victoire contre le Grand Ajax, contre le Milan AC, contre l'AS Sainte Fernouille de la Saône), l'année 1996 sera révélatrice pour le club : l'AJA accrochera en effet le doublé Coupe de France & Championnat de France, le dernier en date encore aujourd'hui.
 
1998, après une élimination en 1/4 de finale de l'UEFA contre la Lazio de Rome & en 1/4 de finale de la LDC contre le Borussia Dortmund 2 ans plus tôt, l'AJA peut se targuer de posséder dans son effectif 3 champions du monde : Stéphane Guivarc'h, meilleur buteur de L1 cette année là, Lionel Charbonnier, 3è gardien, et... Bernard
Diomède \o/.
 
Guy Roux est alors pressenti pour prendre les rênes de l'Equipe de France après le départ d'Aimé Jacquet : Jean-Claude Hamel s'y opposera.
 
2000/2001, une passade : Guy Roux décide de raccrocher les crampons et laisse sa place d'entraîneur à Daniel Rolland, conservant tout de même son titre de manager général. Il reviendra une saison plus tard, pour mener au plus haut niveau une génération de jeunes joueurs bourrée de talent (Mexès, Boumsong, Kapo, Cissé, Boumsong, Fadiga, etc.).
 
Le 11 Septembre 2002 Guy Roux disputera son 782è match de L1 (& D1) sur le banc de touche, il égalise le record établi précedemment par Kader Firoud.
 
Le 22 Octobre 2002, Auxerre réalise ce qu'aucune autre équipe française n'avait réussi jusqu'à présent : battre Arsenal, et sur son propre terrain. Une victoire 2 à 1.
 
En 2003 Auxerre remporte la Coupe de France, et la remportera une 2nde fois 2 ans plus tard.
 
En 2004 le "carré d'AS" auxerrois (Kapo, Boumsong, Mexès, Cissé) quitte le navire. Ils s'envolent tous vers de belles destination : la Juventus, les Glasgow Rangers, l'AS Roma, Liverpool. Au final, seul Mexès aura réussi son ascension, bien qu'il ne soit toujours pas reconnu à sa juste valeur par Raymond gros cils Domenaik.
 
Saison 2005/2006 : Guy Roux raccroche les crampons une 2è fois : il sera remplacé par Jacques Santini, qui malgré une bonne 6è place accrochée à la fin de sa 1è année de contrat, sera remplacé illico-presto par Jean Fernandez, tout droit débarqué du seul & unique Olympique existant en France (:o).
 
La suite sera moins glorieuse : une 8è place accrochée pour la saison 06/07, les départs de Kaboul, Akalé, Cheyrou & probablement de Sagna qui vont donner du fil à retordre pour la prochaine saison, un changement de ligne de conduite pour le club qui donne l'impression de privilégier le recrutement (au risque de se planter totalement) aux jeunes pousses, comme il l'a toujours fait, (Martin, Jasse, Kitambala ou Acapandié attendent leur heure) et le départ du regretté Guy Roux vers le 21è club de PL (:o) font qu'on peut parler d'un tournant pour cette saison.
 
On regrettera le jeu à la Guy Roux : une défense basse, des contre-attaques ultra efficaces, des ailiers virevoltants, tout ce qui donnait une image à l'équipe auxerroise et qui malheureusement avec le départ d'Akalé a l'air fortement remis en cause.
 
Vive la Bourgogne, et vive la France.

Et bon anniv' foot @ HFR !

 
Bouddha : Ivan De La Pena
 
Si c'est pour l'autre point : Aujourd'hui 11 Juillet, le topic fête ses 1 an de création.
 
Cimer Geekly, déjà un quart de l'objectif atteint.

"Le 22 Octobre 2002, Auxerre réalise ce qu'aucune autre équipe française n'avait réussi jusqu'à présent : battre Arsenal, et sur son propre terrain. Une victoire 2 à 1. "
 
Lens l'a fait en 98, première équipe à le faire (0-1, but de Debève   )  

les exploits inutiles lool

Ah la bourde...

 
il s'agit d'un autre Bouddha et il est en vespa  

Le plus gros exploit auxerrois c'est d'avoir vendu Cissé 22 M€ en plus
 
Bon je tire ma révérence pour ce soir.

Rattrapage aux branches : je cite Lens comme le 21è club de la PL, ça passe alors ?

Focus

« Bouddha de Caldogno » ou  « Divin Codino », plus connu sous le nom de Roberto Baggio !

Du premier touché de balle a Vicenza

Roberto Baggio est né à Caldogno (Vicence) le 18 février 1967, il est le sixième des huit enfants de Matilde et Fiorindo Baggio. Dès ses premiers pas, il essaye de courir derrière un ballon. La maison avait un couloir long de 10 mètres, où Roby jouait souvent au foot avec ses frères.Sa première équipe officielle a été Caldogno. En 1979, Roby marque 42 buts et fait 20 passes décisives. Lorsqu'il a treize ans, il entre à Vicenza. En 1980, il joue sous les yeux de 3000 supporters et gagne son surnom Zico, comme son idole. Baggio devient rapidement un des jeunes talents les plus remarqués du marché.Il débute en Serie C1, la 3e division italienne, à l'âge de 15 ans dans l'équipe de Vicenza. Durant la saison 1984-1985, il marque 12 buts en 29 matchs, et permet ainsi à son équipe d'obtenir la promotion en Serie B.
Grand artisan de la montée du club en Série B en 1985, Roby est repéré par la Fiorentina, qui l'engage le 3 mai 1985.

Benvenuto a la Fiorentina

L'histoire de Baggio à la Fiorentina commence mal. Blessé gravement au genou, Roby est opéré à Saint-Etienne en décembre 1986. De retour en mai 1987, Baggio, fraîchement converti au bouddhisme, commence à exploser à Florence. Il inscrit 15 buts en 30 matches de Série A lors de la saison 87-88, ainsi que 9 buts en 10 rencontres de Coupe d'Italie. Ces performances lui valent d'être appelé en sélection nationale pour la première fois en novembre 1988, contre les Pays-Bas.

Baggio a la Fiorentina

Après avoir conduit la Fiorentina à la finale de la Coupe de l'UEFA en 1990 Roberto Baggio est transféré à la Juventus de Turin, pour environ 15 millions d'euros, un record à l'époque. Ce transfert entre les deux clubs rivaux, entraîne de nombreux mécontentements parmi les tifosi florentins. Des émeutes éclatent même à Florence, et la police est obligée d'intervenir pour tenter de calmer la situation.

L'époque Tuinoise

En 1990, il débute à la Juventus, où il retrouve Salvatore Schillaci. Lors de la première année sous le maillot blanc et noir, les relations avec les tifosi ne sont pas les meilleures, parce que le jour de sa présentation, Baggio, au lieu de porter sur lui le maillot de l'équipe, le pose simplement sur une chaise derrière lui. Les supporters en colère distribuent un communiqué dans lequel ils se déclarent dégoutés du comportement du joueur. Pour le match Juventus-Fiorentina, Baggio sera absent en raison de la naissance de sa fille Valentina, à qui il donnera un petit frère Mattia en juin 1994.
Ses débuts sont relativement difficiles, puis il s'affirme comme le véritable leader de l'équipe. Cependant, les titres tardent à arriver. Il est vrai qu'il y a peu de choses à faire en Serie A à cette époque face au grand Milan AC. L'équipe Nationale le ranime et change également la situation à la Juve. Lors de la saison 92.93, il ne marque "que 4 buts dans le même match" contre Udinese, juste avant la pause hivernale. 1993, pour la Juve, mais surtout pour Roberto Baggio sera la meilleure année. Le "phénomène" Baggio explose entre avril et mai, amenant la victoire de la Juve en coupe UEFA , la victoire de son premier trophée procure à Baggio la plus grande joie. Le « Divin Codino »  est couronné Ballon d'or et désigné « Meilleur joueur de l'année » après une saison fabuleuse.

Il marque 3 buts en demi-finale contre le Paris St-Germain, puis à nouveau 2 buts en finale de la Coupe UEFA contre le Borussia Dortmund, et se qualifie avec l'Italie pour le Mondial Américain. En Serie A, la réussite n'est pas la même, et le Scudetto revient une fois de plus au Milan AC. La Juventus en fin de saison réussi tout de même l'exploit de battre le futur champion d'Italie dans son stade à San Siro, après une nouvelle superbe prestation de Roberto Baggio.
Roberto Baggio remporte son premier championnat d'Italie en 1995 avec la Juventus. Cette même année, il remporte également la Coupe d'Italie.

Baggio a la Juve Part One
Baggio a la Juve part Two

Milan puis Bologne

La carrière de Baggio est à son apogée. L'avènement d'Alessandro Del Piero à la Juve le pousse peu à peu sur le banc de la Vieille Dame. Il quitte le club turinois pour le Milan AC en 1995, où il doit également se contenter d'un rôle de remplaçant de luxe. Dès sa première année au Milan AC, Roberto Baggio remporte le championnat et donc son deuxième Scudetto consécutif. Après une saison 1996-1997 où le Milan AC n'obtient que des résultats décevants, aussi bien en Italie qu'en Europe, Roberto Baggio quitte le club lombard pour l'équipe de Bologne. Il veut jouer avec continuité pour espérer faire partie de l'équipe d'Italie lors du Mondial 1998. Transféré à Bologne en 1997, Baggio se refait une santé en inscrivant 22 buts en 26 matches.
Roberto Baggio réalisera une superbe saison 1997-1998. Il permet avec ses 22 buts (son record personnel en Italie) à Bologne de se qualifier pour la Coupe de L'UEFA

L'épisode noire chez les nerazzurri

Après le Mondial 98, Massimo Moratti, le président de L'Inter, décide d'engager Roberto Baggio pour l'associer à Ronaldo. L'équipe milanaise présente ainsi un formidable duo d'attaquants, et c'est avec beaucoup d'espoirs que la saison commence. Cependant saison blanche sur le plan national et européen .Par ailleurs, 4 entraineurs se succèdent à la tête de l'équipe, mais aucun d'eux n'arrive à trouver la solution.

Roberto Baggio ne dispute pas la meilleure de ses saisons, mais cependant, lors de certains matchs, il montre tout son talent. C'est le cas lors du match Inter-Real Madrid où l'équipe milanaise jouait sa qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. L'Inter était obligé de s'imposer pour se qualifier à l'une des deux premières places du groupe. Rentré en cours de jeu alors que le score était de 1-1, Roberto Baggio disputa une fantastique fin de match. Les deux superbes buts qu'il marque à l'équipe espagnole permettent à l'Inter de prendre la première place du groupe, et cette soirée restera à jamais gravée dans la mémoire des supporters italiens.

Pour la saison 1999-2000, c'est Marcello Lippi, l'ancien entraineur de Roberto Baggio à la Juventus, qui est nommé pour ramener l'Inter au sommet. L'équipe est également renforcée par l'arrivée de plusieurs joueurs, dont celle de Christian Vieri, l'avant-centre de l'équipe d'Italie. Pour de nombreux observateurs, le duo d'attaquants sera composé de Ronaldo et de Vieri, et donc la saison s'annonce difficile pour Roberto Baggio.

En effet, cette saison est l'une des plus noires de la carrière de Roberto. Lippi, avec lequel il s'est brouillé dès le début de la saison, ne lui facilite pas la tâche en l'envoyant à de très nombreuses reprises sur le banc des remplaçants (lorsqu'il n'était pas obligé de suivre le match des tribunes).Cependant, Roberto, à chaque fois qu'il en a l'occasion, montre sur le terrain sa vraie valeur et surtout la mauvaise foi de l'entraineur, qui malgré les soucis physiques de Vieri et Ronaldo, continuait à exclure Roberto des titulaires. En particulier, lors du match de barrage entre l'Inter et Parme, permettant de départager les deux équipes pour la quatrième place du championnat, qualificative pour la Ligue des Champions, c'est encore Roberto Baggio qui grâce à un doublé sauve la saison de l'Inter, et par la même occasion celle de Lippi.

A la fin de la saison, entre Baggio et Lippi, L'Inter choisit ce dernier et Roberto Baggio se retrouve ainsi sans club, alors que l'équipe d'Italie s'envole sans lui pour aller disputer l'Euro 2000 en Belgique et aux Pays-Bas. Pour la petite histoire, lors de la saison suivante, Lippi n'entrainera l'Inter que pour quelques journées, avant d'être licencié pour faute de résultats ...

La Lionne d’Italie

Roberto Baggio signe à Brescia durant l'été 2000 grâce notamment à Carlo Mazzone l'entraîneur de l'équipe lombarde qui s'est investi personnellement pour le faire venir. Roberto joue dans cette équipe jusqu'à la fin de sa carrière, et espère être appelé pour disputer le Mondial 2002 en Corée et au Japon. Malgré tous ses efforts, la convocation n'arrive pas, et Roberto ne peut donc pas disputer son 4e Mondial consécutif.

Le 14 mars 2004, durant le match contre Parme, Roberto Baggio marque son 200e but en Serie A, et rejoint ainsi 4 autres champions : Silvio Piola, Gunnar Nordahl, Giuseppe Meazza et José Altafini.

Roberto dispute son dernier match le 16 mai 2004 (Milan AC-Brescia 4-2), peu après avoir été convoqué une dernière fois, en avril 2004, en équipe d'Italie pour disputer un match amical contre l'Espagne. L'affection des tifosi italiens pour leur champion se fait sentir tout au long de la partie par des ovations à chaque fois que Roberto Baggio touche le ballon et par une standing ovation lorsque qu'il est remplacé à quelques minutes du coup de sifflet final.

Il est également intéressant de remarquer que l'équipe de Brescia, avant l'arrivée de Roberto Baggio, n'avait jamais réussi à se maintenir en Serie A. Durant les 4 saisons où Roberto Baggio a évolué sous les couleurs de Brescia, l'équipe s'est à chaque fois sauvée sans trop de difficultés (se qualifiant même à une reprise pour l'Europe). Lors de la saison 2004-2005, Brescia, privé de son « numéro 10 » (numéro retiré en hommage à Baggio), s'est classé 19e sur 20, et a été donc relégué en Serie B...

Si en Italie, tous ne considèrent pas Roberto Baggio comme le meilleur joueur italien de tous les temps, il n'en restera pas moins, le plus aimé.

Les adieux du génie

Definir Baggio en quelques lignes se resumerai a

la vie de Baggio

La retraite de Roberto Baggio laissera un grand vide dans le coeur des tifosi italiens. Adulé pour ses invraisemblables coups de patte, le génie de Caldogno a toujours eu un comportement exemplaire sur et en dehors du terrain, forçant le respect de ses partenaires et adversaires. L'annonce du départ à la retraite du plus célèbre 'neuf et demi' des années 90 a d'ores et déjà provoqué une vive émotion en Italie. Le football s'apprête à perdre l'un des ses plus grands champions.

Baggio Him self:

Baggio la gachette

Ses "Copa del Mundo" !
1990 :

Sélectionné pour le Mondial 90 organisé en Italie, il se révèle au monde entier en marquant un superbe but contre la Tchécoslovaquie. Il évolue en pointe de l'attaque, et forme un formidable duo avec Salvatore Schillaci. Cependant pour affronter l'Argentine de Diego Maradona en demi-finale, le sélectionneur italien, Azeglio Vicini, décide de faire confiance à Gianluca Vialli. Roberto se retrouve sur le banc des remplaçants, et son entrée trop tardive dans le match, ne lui permet pas de changer le cours du jeu. L'Italie est éliminée aux tirs au buts.

Pour le match de la troisième place contre l'Angleterre, le duo Schillaci-Baggio est de nouveau sur le terrain, et c'est assez logiquement que l'Italie l'emporte 2-1. Roberto marque le premier but après une belle action dans la surface de réparation anglaise. Il aurait également pu marquer le deuxième but, mais préfère laisser tirer le penalty à Schillaci, pour que ce dernier remporte le titre de meilleur buteur de la compétition.

1994 :

Aux Etats-Unis, pays où la réussite individuelle fait office de valeur, un homme a sorti son épingle du jeu lors du Mondial 1994. C'est Roberto Baggio. Leader d'une équipe d'Italie souvent à la dérive et toujours sur la brèche, Il Divin Codino va jouer les sauveurs de la Squadra Azzurra et l'emmener en finale sur son seul et unique talent. Deux buts décisifs face au Nigéria (2-1) en huitièmes, un autre contre l'Espagne (2-1) en quarts et un dernier doublé en demie face à la Bulgarie (2-1) feront de Baggio le héros de ce Mondial. Héros malheureux puisqu'il s'inclinera en finale face au Brésil et manquera même le dernier tir au but de la série.

1998 :

Roberto Baggio réalise un très bon Mondial en France. Il marque deux buts (contre le Chili et l'Autriche), et si Cesare Maldini, le sélectionneur italien, lui avait donné plus souvent sa chance, ses performances ainsi que celles de L'Italie aurait pu être bien meilleures. L'Italie est éliminée en quart de finale par la France durant la séance des tirs au but. Bien que la France ait dominé globalement le match, Roberto rate de très peu le but en or durant la prolongation. Il réussi son tir au but, mais ne peut empêcher l'élimination de l'Italie.

C'est le troisième et dernier mondial disputé par Roberto Baggio, et à trois reprises, l'Italie aura été éliminée aux tirs aux buts. Ainsi pour Roberto Baggio, mais également pour d'autres grands champions comme Paolo Maldini, « la roulette » des tirs au but se sera révélée fatale. Il est le seul joueur italien à avoir marqué dans trois Coupes du Monde différentes.

Son palmarès

Équipe nationale :

   * 27 buts en 56 sélections avec l'Italie (1988-2004)
    * Finaliste de la Coupe du monde (1994)
    * Troisième de la Coupe du monde (1990)
    * 9 Buts en phase finale de Coupe du Monde (1990 : 2 buts, 1994 : 5 buts, 1998 : 2 buts)

Clubs :

   * 2 Championnats d'Italie (1995, 1996)
    * 1 Coupe UEFA (1993)
    * 1 Coupe d'Italie (1995)
    * 1 Supercoupe d'Italie (1996)
    * 452 matchs et 205 buts en Serie A

Legerement wikipedié, pardonnez moi, mais j'ai essayé d'apporter une petite plus value, et les videos valent leur pesant©

hello les gens
 
sorry pas eu le temps de faire un focus
ceux qui sont sur le topic sont

Pour cause de boulot intensif hier, le focus n'est pas aussi rempli que je l'espérais, le voici cependant  

4 juillet 1998 : Comme tout les passionnés de foot, je suis avidement la coupe du monde à la télé. J'étais pas encore à fond dans le football malgré un père entraineur, et des années bien rempli niveau footballistique, je ne suivait que le championnat de France et les compétitions européènnes. Cette coupe du monde représentait ma première VRAI coupe du monde. (celle de 94, j'en garde pas un souvenir impérissable, et celle de 90 remonte trop loin pour que j'en ait un souvenir). Ce jour la deux équipes que j'aime s'affronte pour une place en demi, l'argentine et les pays bas. 1-1, on se dirige doucement vers les prolongations quand un coup de génie illumine le vélodrome :
Bergkamp à la réception une passe de 50 mètres de Frank de Boer, efface le défenseur Roberto Ayala avec un contrôle et un crochet sublime et décoche un tir du droit dans la lucarne gauche du gardien Carlos Roa. Ce but est considéré comme le sixième meilleur but de l'histoire de la Coupe du                              monde de football. Dans mon cœur il est le premier, car je l'ai vécu en direct.

Le souvenir que j'ai de lui, c'est celui d'un joueur qui était efficace en étant simple. Avec son toucher de balle, il l'avait le don d'éliminer les défenseurs et de créer des boulevards dignes de l'avenue des Champs Elysée dans la défense. Le premier but de la compilation (contre Newcastle), en est un bon exemple. Le geste est merveilleux tant de simplicité que d'imagination et d'efficacité. Aujourd'hui encore je me demande comment il a pu "pensé" faire ce geste. Et je me mets également à la place du pauvre défenseur grec, Nikos Dabizas, qui a du se demandé longtemps ou était passé ce malicieux ballon de denis.

                                       Voici donc l'histoire de Dennis Bergkamp, The Non Flying Dutchman.

Dennis Bergkamp est né le 10 mai 1969 à Amsterdam. Ses parents avait en quelque sorte déjà tracé son chemin car son prénom à été choisi en hommage à Denis Law ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Denis_Law http://img408.imageshack.us/img408/7244/lawsd0.jpg).Ce chemin le ménera de sa ville de naissance (Ajax d'amsterdam), à Arsenal dans le pays de son modèle Glenn Hoddle.

 L'Histoire de Dennis commence dans sa ville natale, repéré par Johan Cruyff en personne, il joue son premier match dans le championnat batave en 1986, Denis a alors 17 ans.
Il y jouera jusqu'en 1993 et partira avec dans ses bagages avec un titre de champion des pays bas, une coupe des coupe, une coupe de l'UEFA ainsi qu'un total de 103 buts en 185 matches.
La légende dit même que certains de ces gestes lors des matches aurait fait sourire Louis Van Gaal, ce qui n'est pas un moindre exploit.
 C'est également durant ces années, qu'il rejoindra la sélection nationale (première sélection en 1990). Ces années de sélection seront ponctuées d'une demi finale lors de l'Euro 92.

En 93, l'inter est la destination de dennis, alors que le barcelone de son mentor Johan cruyft aurait peut être été une destination plus "logique". La période lombarde de Dennis n'est pas aussi fructueuse  malgré une autre Coupe de l'UEFA en 1994. Le championnat italien n'est pas le meilleur endroit pour l'épanouissement de Dennis Bergkamp.
C'est également dans ces années (pendant la coupe du monde 1994) que la phobie de Dennis pour l'avion va se déclarer. Cette phobie va lourdement pénaliser par la suite ses déplacements dans l'Europe pour les matchs de coupe.

Malgré tout cela, l'attaquant perdu au pays du catenaccio a toujours soutenu que ses années milanaises avaient aussi été une expérience enrichissante.

Après L'Inter, Dennis part dans ce qui sera son dernier club, Arsenal. Il arrive en 1995 et un an plus tard, Arsène Wenge débarque à son tour dans le club londonien. Wenger modifia profondément le jeu et  Dennis Bergkamp devint pour lui une pièce maîtresse.
Mi-meneur de jeu mi-attaquant, ce dernier inscrira 120 buts (pour 424 rencontres) et donnera au moins autant de ballons décisifs. Avec Dennis les années faste pour Arsenal commencèrent : Trois championnats, trois Cups, deux doublés, et surtout une équipe plaisante à voir jouer.

Pour son avant dernière année, alors qu'Arsène Wenger grommelait qu'il hésitait à prolonger le contrat de son attaquant vétéran ( Il avait alors 36 ans), Bergkamp a répondu par un triplé et une passe décisive lors d'une victoire 7-0 sur Everton. Les 35.000 spectateurs d'Highbury avaient rendu hommage à l'exploit en chantant "un an de plus, un an de plus". Leur appel a été entendu et Bergkamp a joué une année de plus.

En dehors de sa carrière en club réussi, la sélection orange, quant à elle, n’a pas été aussi prolifique . Elle bénéficiait d’un potentiel inestimable (Seedorf, Davids, Kluivert, De Boer brothers, Overmars...), mais son management était souvent défaillant. Quant à l’ambiance, inutile de s’y attarder tant elle semblait délétère. Dommage, car en de maintes occasions cette génération put prétendre succéder à celle des Gullit et Van Basten... et apporter à Bergkamp un Ballon d’Or qui n’aurait pas fait tâche.

Que manque t'il donc à dennis la malice ? Un palmarès plus étoffé, avec notamment une ligue des champions qui l'a fui, le titre individuel suprême par deux fois, en 1993, et en 1998, et une sélection qui malgré son potentiel n'a pu le concrétiser par un titre.

Dennis Bergkamp a mis fin à sa carrière en août 2006, le Gunner a disputé samedi 22 juillet son dernier match pour Arsenal à l'occasion de son jubilé, dans le flambant neuf Emirates Stadium du club londonien. Johan Cruyff, Marco Van Basten, Thierry Henry, Patrick Vieira, Emmanuel Petit, Ian Wright et consorts ont tenu à saluer l'artiste batave. Ironie du sort le « Non flying dutchman » jouait son dernier match dans un stade au nom d’une compagnie aérienne. Ceci était sans aucun doute le signe que même si il ne volait pas au sens propre, son jeu et son génie le faisait voler sur la pelouse, ainsi était Dennis, le « Hollandais non volant. »

Compilation Vidéo
http://www.youtube.com/watch?v=nCEXkik6Iuk

Palmarès:

Vainqueur de la Coupe des Vainqueurs de Coupe en 1987 (Ajax Amsterdam)
Vainqueur de la Coupe de l'UEFA en 1992 (Ajax Amsterdam) et 1994 (Inter Milan)
Champion d'Angleterre en 1998, 2002, 2004 (Arsenal)
Champion des pays bas en 1990 (Ajax Amsterdam)
Vainqueur de la Coupe d'Angleterre en 1998, 2002, 2003 (Arsenal)
Vainqueur de la Charity Shield en 2004 (Arsenal)
Finaliste de la C3 en 2000 (Arsenal)
Finaliste de la Ligue des Champions (2006)
Finaliste de la Coupe d'Angleterre en 2001 (Arsenal)
Meilleur Buteur du championnat des Pays-Bas en 1992 (24 buts) et 1993 (26 buts)

Premier match en Championnat: Ajax Amsterdam - Roda JC Kerkrade le 14 décembre 1986
79 sélections, 37 buts
Première sélection : Italie-Pays-Bas (1-0) le 26 septembre 1990 à Palerme

bordel de bon mtin c'est un regal cette video ... quel joueur  !!!  

Et bon anniv le topic  

la juve veut toulalan

 
   serieux ? quelle source ?  
 

Ma mére veut un fer a repasser    
 

http://www.footmercato.net/juventu [...] 13486.html
 
ca ca me parait plus credible !!!

 
 
pas une cafetiere senseo ????

et anelka qui reste a bolton... si seulement lyon avait de quoi casser la tirelire...

il vaut quoi réellement Toulalan?
J'ai du mal à apprécier sa véritable valeur.
Il a beaucoup joué cette annéE?

Ne me huez pas !  

Johan ELMANDER
 

 

 

 
 
En bref . . .
 
Pays.......................Suède
Age.........................26 ans
Date de naissance....27 mai 1981
Lieu de naissance.....Alingsas
Taille.......................1m88
Poids......................79 kg
Poste.....................Attaquant
Club actuel.............Toulouse
 
 
 
   
Saison          Clubs
97-97            Holmanlunds  
98-98            Holmanlunds  
99-99            Örgryte IS  
00-00            Örgryte IS  
00-01            Feyenoord Rotterdam  
01-02            Feyenoord Rotterdam  
02-02            Djurgarden IF  
02-03            Feyenoord Rotterdam  
03-03            Djurgarden IF  
03-04            NAC Breda  
04-05            Bröndby IF  
05-06            Bröndby IF  
06-07            Toulouse  
     

 
Palmarès
Vainqueur de la Coupe UEFA 2002 avec Feyenoord  
Vainqueur du championnat de Suède 2003 avec Djurgårdens IF  
Vainqueur du championnat du Danemark 2005 avec Brøndby IF  
Vainqueur de la Coupe du Danemark 2005 avec Brøndby IF  
27 sélections en équipe de Suède,11 buts
 
Enfin, une bonne petite compil' de toutes ses actions et buts de l'année !

 
 
non mais anelka ne veut pas revenir en france !!!  parce que coté fric je pense que lyon a ce qu'il faut !

 
 
ouai il a joué raisonablement,n mais moi je l'e trouve pas si fort que ca ! il a une grosse activité mais je le trouve moins fort que diarra par exemple qui lui ne joue pas du tout !!

Allez, bon annif le topic
T'as connu des grandes soirées, et tu vas encore en connaître...      
 
My gift :  
 
Les goals encaissés par les diables rouges :
 
Les plus fins connaisseurs d'ici le savent peut-être, la Belgique a souvent été réputée dans le monde du ballon rond comme un pays formateur de très bons gardiens. Ce n'est d'ailleurs certainement pas un hasard si l'équipe des diables rouges compte pas moins de 2 trophées Lev Yachine. Pfaff le décrochera en 1986, et Preud'homme sera récompensé en 1994, après un match popopoesque contre les Pays-Bas, où il se révèlera infranchissable.  
 
Mais les plus fins connaisseurs savent-ils que la Belgique est aussi réputée pour avoir encaissé :  

• des solos mémorables, parfois marqués par les plus grandes stars, et parfois marqués par les plus illustres inconnus que la planète football ait compté?  
• des goals absolument ridicules, encaissés dans des moments particulièrement désagréables, qui ont fait le tour de l'Europe, si pas plus...  
• des goals "dramatiques" plongeant le pays dans une amertume profonde ...  
• des coups de patte des plus grands génies d'hier, d'aujourd'hui et de demain...  

Alors allons y gaiement d'un petit coup de rafraichisseur de mémoire. Vous êtes prêts...  
 
Les solos :
 
Al Owairan, où le saoudien coquin :
 
A chaque fois que je le revois, je me dis que quelqu'un va bien finir par le stopper, ce maudit saoudien. Mais non... Nous sommes en 1994. A la world cup disputée aux USA. Après ses 2 premières sorties fructueuses, la Belgique compte 6 points, et est bien embarquée pour éviter l'ogre allemand, dernier vainqueur du tournoi en 1990...lorsque Al Owairan surgit de nul part, fait tourner toute la défense en bourrique, et nous force à terminer 3ème.  Son goal est probablement toujours à l'heure actuelle le goal saoudien le plus vu dans le monde. Merci qui?  
 
Al Owairan
 
Maradona, où l'homme au pied et à la main divine :
 
Nous sommes en 1986. A la world cup disputée au Mexique. On ne sait encore pas trop comment, mais la Belgique se retrouve confrontée à l'Argentine, patrie de Maradona et grande favorite du tournoi. Ce dernier brisera très rapidement nos espoirs de finale, nous enfilant deux buts, comme des perles...argentines. Mais c'est surtout le 2ème qui portera la trace du Meilleur joueur du mondial 1986.  
 
Maradona
 
Derelioglu, où probablement le moins connu :
 
30 avril 1997. La Belgique se déplace en Turquie, où elle s'imposera 1-3, avec un triplé de Luis Oliveira. Un seul goal pour les turcs. Mais ce jour-là, tout le monde se souviendra seulement de ce but-là. Et pourquoi? Regardez, et vous comprendrez mieux.
 
Derelioglu (en musical, mais image moyenne)
Derelioglu
 
Les clowneries :
 
De Wilde, et ses chaussures en peau de pêche :
 
Ceux qui suivent un peu nos résultats se rappeleront de ce goal mémorable encaissé par Filip De Wilde, contre la Suède, en match d'ouverture de l'Euro2000.  Si c'est pour être ridicule, autant l'être complètement, n'est-ce pas Filip? (mention spéciale au "oh là là là là" flamand qui vaut tous les oh là là du monde !)  
 
De Wilde
 
Kluivert nous humilie :
 
1999. Match de gala entre les 2 frères ennemis des plats pays. Outre le score assez original de ce match (5-5), les spectateurs se souviendront de ce goal marqué par Kluivert. Certainement le plus difficile de sa carrière.
 
Kluivert
 
"Les dramatiques" :
 
Platt, et ses longues dents de carnassier :
 
Coupe du monde 1990. La Belgique résiste depuis 119 minutes à l'ogre britannique. Lorsque sur une élancée de Gascoigne, une faute est sifflée, et le coup-franc qui s'ensuit s'avèrera des plus cruels pour mon plat pays.
 
Platt
 
Les coups de patte :
 
Cruyff, le géant batave :
 
Quand on vous disait qu'un Pays-Bas - Belgique n'est jamais un match comme un autre, on ne mentait pas.  
 
Cruyff
 
Redknapp était malheureux :
 
La Belgique est très généreuse. Et l'équipe des diables rouges colle parfaitement à cette logique. Déjà, en 1986, ces derniers offraient aux irakiens ce qui reste leur unique but en coupe du monde. Mais le couvert fût remis à l'attention de Jamie Redknapp, en ce jour de 1999, nos diables lui permirent de marquer son unique but en équipe nationale, pas le plus moche, vous en conviendrez !
 
Redknapp
 
Quaresma, et son coup de génie :
 
Pour votre plaisir (et pour le mien, si si ! ) je vous ressers le chef d'oeuvre portugais. Ce goal popopoesque marqué par Quaresma en match qualificatif pour l'euro 2008, et que personne n'a oublié. Faites gaffe, ça tourne !
 
Quaresma
 
Krkic, oui oui, c'est bien un espagnol !
 
C'était pas encore les diables rouges...mais les diablotins, mais bon, ça vaut quand même le détour, non?  
 
Krkic

toulalan est tres propre, grosse activité, combattant sur le terrain. S'il est en EDF c'est pas pour rien et sur les derniers matchs certainement un des meilleurs milieu quand maké a la flemme. Diarra se bat, mais fait trop de fautes et a une moins bonne relance. Toulalan pese plus dans le jeu, alors que Diarra joue presque milieu def/DC

 
ca c'est sur ils n'ont pas le meme poste mais en recuperateur j'suis plus attiré par diarra , notamment par sa puissance et sa force !  
apres le style toulalan c'est toujours pareil il faut a coté de lui un costaud sinon ton milieu prend l'eau .  

Toulalan c'est plutot une grosse activité mais bien désordonnée... il reste quand même brouillon.
Et quand "maké à la flemme" ?

Je me souviens pas qu'il ait eu la flemme.
Le gas à l'expérience, il sait quand courir et où courir

mmmh c'est rare d'avoir autant de posts de qualités sur un topic
Ça me chatouille de vous focuser un ptit truc, mais la avec le boulot
On verra si ya moyen avant 00h00 ce soir

Et joyeux annif

les derniers matchs de makelele sont en dessous de son niveau, c'est ce que je voulais dire.