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Auteur Sujet :

L'origine de l'art : le sexe

n°216840
Toxin
Carpe ★★ Vitam
Posté le 11-03-2003 à 15:44:01  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

wave a écrit :


et l'artiste c'est celui qui pratique la discipline de l'art:D


 
Heuh, en essayant d'expliquer un mot en utilisant un autre mot ayant la même racine, on fait pas trop avancer le schmilblic :/


---------------
"If you can walk away from a landing, it's a good landing. If you use the airplane the next day, it's an outstanding landing." - Chuck Yeager. | Chaîne YT | Photos
mood
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Posté le 11-03-2003 à 15:44:01  profilanswer
 

n°216842
Hyperboles​que
Posté le 11-03-2003 à 15:44:34  profilanswer
 

Toxin a écrit :


 
Comment j'ai pu oublié ce détail :D ?
Tu as tout à fait raison, dans la religion on le fait par amour pour Dieu :D (monothéiste inside).

Peut-on parler d'amour pour un dieu ?
 
en tout cas, je ne sais pas si la séduction peut se faire. Dieu de quel sexe est-il ? :D


---------------
Le seigneur l'a chatié, il a rejoint le paradis des hommes sans tête.
n°216845
Harlock_99​9
Waiting For The Night To Fall
Posté le 11-03-2003 à 15:46:23  profilanswer
 

Pour etre serieux 5 minutes :
 
" À partir du XVIIIe siècle («beaux-arts»), toutes les activités humaines consacrées à la production du beau."
 
 
Ca c'est purement religieux car "le beau" est subjectif, or pour le faire passer pour objectif, il lui faut une bonne dose de "divin"...  :o


---------------
Try to save myself but myself keep slipping away...
n°216850
wave
Posté le 11-03-2003 à 15:47:51  profilanswer
 

Hyperbolesque a écrit :

Peut-on parler d'amour pour un dieu ?
 
en tout cas, je ne sais pas si la séduction peut se faire. Dieu de quel sexe est-il ? :D


certains religieux sont sensés se consacrer à l'amour de dieu au lieu d'une personne et d'une vie de couple. Y'aurait peut-être un rapport finalement?:D

n°216915
pascal75
Posté le 11-03-2003 à 16:04:21  profilanswer
 

HotShot a écrit :


 
Ach, Doktor Sigmund, ze ke fous nous rakontez là est drès drès zintéressant


What a fair foot  [:simone]


Message édité par pascal75 le 11-03-2003 à 16:04:42
n°216977
Infi888
Intermittent des forums
Posté le 11-03-2003 à 16:17:46  profilanswer
 

Dommage que personne n'ai pris le temps de se demander : Qu'est ce que l'Art ? Sans ce point de départ necessaire et commun à tous, je ne vois pas trop ce que l'on peut en dire. Peut on considérer que disposer des petis cailloux sur le sol est de l'Art ? Ne faudrait il pas y associer une reflexion quelle qu'elle soit? Peut on reelement considérer que l'art est apparu à la préhistoire ? Est ce que peindre des choses sur les murs ou "décorer" une tombe, est ce vraiment de l'art ? etc, etc, etc...

n°216990
Osama
Posté le 11-03-2003 à 16:20:01  profilanswer
 

Bah c'est une théorie un peu provocante (d'ailleurs ça marche, on en parle ici), mais il y a certainement un peu de vrai. Tout n'est pas tranché, on peut raisonnablement penser que les origines du désir d'expression artistique chez l'homme sont multiples, de l'éthéré à l'animal, de l'intellect à la chair. Et je ne pense pas que ce soit incompatible, car toutes partent de la notion de désir : désir de s'exprimer, désir de produire une oeuvre, désir de plaire, etc... Origine commune, donc non indissociables


Message édité par Osama le 11-03-2003 à 16:20:54
n°217039
F@bek
6 SEASONS AND A MOVIE §§§
Posté le 11-03-2003 à 16:29:03  profilanswer
 

nur a écrit :

Sujet : L'origine de l'art : le sexe


 
et l'origine du lard : c'est du cochon
...
 :sweat:

n°217243
nur
Posté le 11-03-2003 à 17:00:22  profilanswer
 

Toxin a écrit :


 
Comment j'ai pu oublié ce détail :D ?
Tu as tout à fait raison, dans la religion on le fait par amour pour Dieu :D (monothéiste inside).

si tu regarde des tableaux religieux,tu peux y voir un aspect sexuel egalement:
les damnés qui se tordent nus ds les flammes ou torturés par les démons,les sorcieres ...
et meme les anges ont un corps plus ou moins "sexy"

n°217309
Infi888
Intermittent des forums
Posté le 11-03-2003 à 17:11:55  profilanswer
 

En ce qui me concerne, je considère plus l'Art comme une production interne et personnelle issue d'une reflexion cognitive et sensuelle de soi et/ou de l'extérieur. Cela sous-entend que l'art se suffit à lui même, n'a pas besoin de "spectateurs" pour être considéré comme une oeuvre artistique. Je dirais même plus, toute production qui a pour but autrui, n'est pas de l'Art. A partir du moment où l'artiste décide de plaire, il fait des concessions, il adapte son oeuvre à l'oeil des autres. Ce simple fait, fait tomber son oeuvre au même niveau que la parole ou l'écriture : un moyen de communication. Or, si l'on accepte mon postulat de départ comme quoi l'Art se suffit à lui même, l'Art ne peut pas être un moyen de communication.
Bien sur on peut apprécier l'oeuvre d'un artiste, mais c'est seulement parce que la puissance evocatrice de sa production déclenche en soi des sentiments, des sensations et des idées qui nous plaisent. Ceci peut se faire sans la volontée explicite de l'auteur. Là est l'Art... Pour moi...
 
A partir de cela, la réponse à la question d'origine devient simple : Non la séduction ne peut pas être le moteur de l'Art (ni la propagande, ne même l'"Art" religieux, ou politique, etc...) Attention, je ne dis pas que la production issue de ces objectifs est sans valeur ou laid, seulement je ne considère pas ça comme de l'Art, juste de la communication. Un moyen de convaincre les autres par la transmittion d'une connaissance par exemple.


Message édité par Infi888 le 11-03-2003 à 17:13:23
mood
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Posté le 11-03-2003 à 17:11:55  profilanswer
 

n°217342
moutmout-l​e-mouton
nerfs en pelote
Posté le 11-03-2003 à 17:19:25  profilanswer
 

Citation :

sujet: L'origine de l'art : le sexe  
 


 
 :sarcastic: t'as mis longtemps poor le troover ça ?
 
mais p-e dans des significations évidemment plus profondes ke celles ke tu présentes  :sarcastic:  
 
 
elts ki seront récurrents et exprimés de manière plus ou moins détournée (on peut se perdre dans plein de choses poor k'à la fin de l'analyse d'une oeuvre on en arrive tjs aux mêmes pts essentiels) > vie(/naissance/sexualité), mort.  
 
tt le reste c vraiment ke de l'emballage...ça vient se greffer dessus, mais même les questionnements les plus profonds découlent tjs de ces deux principaux elts...
 
pour que la vie se produise il y a mort, il y a sexualité...ki dit sexualité, dit sexe. ki dit sexe dit elts reproducteurs, dit corps, etc...  
 
d'où pourrait venir la fascination de nombreux artistes pour le sexe, pour le corps, s'il en était autrement ?
les autres, ceux ki l'oublient, sont juste borgnes... ils ne savent pas même décrypter leur propre création, c tt...

n°217373
wave
Posté le 11-03-2003 à 17:26:45  profilanswer
 

Citation :

d'où pourrait venir la fascination de nombreux artistes pour le sexe, pour le corps, s'il en était autrement ?


euh les artistes sont des êtres humains personne n'a dit le contraire. Ca ne veut pas dire que l'art vient forcément du sexe, sauf si on considère que toute envie (dont celle de créer de l'art) est forcément sexuelle. Bien-sûr, on peut dire que tous les comportements sont dictés par le sexe mais de tout mettre dans le même panier c'est pas très fin.

n°217387
Infi888
Intermittent des forums
Posté le 11-03-2003 à 17:30:44  profilanswer
 

wave a écrit :

[quote]Bien-sûr, on peut dire que tous les comportements sont dictés par le sexe


 
Uh ??  :heink: J'aimerais bien savoir ce qui peut mener à ce genre de remarque...

n°217393
moutmout-l​e-mouton
nerfs en pelote
Posté le 11-03-2003 à 17:31:07  profilanswer
 

wave a écrit :

Citation :

d'où pourrait venir la fascination de nombreux artistes pour le sexe, pour le corps, s'il en était autrement ?


euh les artistes sont des êtres humains personne n'a dit le contraire. Ca ne veut pas dire que l'art vient forcément du sexe, sauf si on considère que toute envie (dont celle de créer de l'art) est forcément sexuelle. Bien-sûr, on peut dire que tous les comportements sont dictés par le sexe mais de tout mettre dans le même panier c'est pas très fin.
 

non, tu ne comprends pas la manière dont je parle de l'Art...
moi je parle pas de la raison pour laquelle l'homme crée...
 
je parle des thématiques ki fondent l'Art, de son essence...
 
le pkoi, ça on peut se perdre en questionnements steriles... p-e simplement le besoin d'exterioriser des questionnements intérieurs ke l'on sait sans réponse, p-e ke ce sont là des embryons de réponses à ces questionnements ki sont formulés par le biais de la création artistique ?
 
 
ce ke je dis c ke l'art exprime ce ki le fait naitre : cad ke l'homme en créant ne fait que finalement par là-même renvoyer sa propre image : naissance, mort, c encore une recherche de ses origines, sa finalité... c une sorte de miroir..
 
ke pourrait exprimer d'autre un être humain ? naissance, mort, donc sexe également, c l'un des piliers de la création...
 

n°217396
Nicool
En bois, sauf les chèques...
Posté le 11-03-2003 à 17:31:23  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

Citation :

sujet: L'origine de l'art : le sexe  
 


 
 :sarcastic: t'as mis longtemps poor le troover ça ?
 
mais p-e dans des significations évidemment plus profondes ke celles ke tu présentes
:sarcastic:  
 
 
elts ki seront récurrents et exprimés de manière plus ou moins détournée (on peut se perdre dans plein de choses poor k'à la fin de l'analyse d'une oeuvre on en arrive tjs aux mêmes pts essentiels) > vie(/naissance/sexualité), mort.  
 
tt le reste c vraiment ke de l'emballage...ça vient se greffer dessus, mais même les questionnements les plus profonds découlent tjs de ces deux principaux elts...
 
pour que la vie se produise il y a mort, il y a sexualité...ki dit sexualité, dit sexe. ki dit sexe dit elts reproducteurs, dit corps, etc...  
 
d'où pourrait venir la fascination de nombreux artistes pour le sexe, pour le corps, s'il en était autrement ?
les autres, ceux ki l'oublient, sont juste borgnes... ils ne savent pas même décrypter leur propre création, c tt...


 
Bravo pour le cynisme à deux balles ... cela semble tellement evident pour toi, c'est bien; mais peut être que pour d'autres il n'y a pas une réponse simple à cette interrogation, ou en tout cas peut être qu'ils ne se sont pas penchés sur cette question plus tôt.
 
Enfin, tout ça simplement pour dire que tes sarcasmes n'ont à mon avis rien à faire ici, et ne font pas avancer le débat!! Ou sont tes explications, tes arguments; la formalisation de tes idées, d'ailleurs enoncées de manière plutôt prétentieuse je trouve, qui es tu pour traiter de borgne celui qui ne sais pas décrypter "sa propre création", le sais tu mieux que lui? ta réponse n'est peut être pas la vérité?

n°217407
wave
Posté le 11-03-2003 à 17:33:15  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

non, tu ne comprends pas la manière dont je parle de l'Art...
moi je parle pas de la raison pour laquelle l'homme crée...
 
je parle des thématiques ki fondent l'Art, de son essence...
 
le pkoi, ça on peut se perdre en questionnements steriles... p-e simplement le besoin d'exterioriser des questionnements intérieurs ke l'on sait sans réponse, p-e ke ce sont là des embryons de réponses à ces questionnements ki sont formulés par le biais de la création artistique ?
 
 
ce ke je dis c ke l'art exprime ce ki le fait naitre : cad ke l'homme en créant ne fait que finalement par là-même renvoyer sa propre image : naissance, mort, c encore une recherche de ses origines, sa finalité... c une sorte de miroir..
 
ke pourrait exprimer d'autre un être humain ? naissance, mort, donc sexe également, c l'un des piliers de la création...
 
 


effectivement l'art exprime des émotions, et le sexe peut en faire partie.

n°217412
Amazan
Pourquoi non ?
Posté le 11-03-2003 à 17:33:55  profilanswer
 

Infi888 a écrit :

En ce qui me concerne, je considère plus l'Art comme une production interne et personnelle issue d'une reflexion cognitive et sensuelle de soi et/ou de l'extérieur. Cela sous-entend que l'art se suffit à lui même, n'a pas besoin de "spectateurs" pour être considéré comme une oeuvre artistique. Je dirais même plus, toute production qui a pour but autrui, n'est pas de l'Art.(...)


 
Dans ce cas, l'Art n'est il pas malgré tout communication, une sorte de monologue, un dialogue avec soi-même?
Ou bien l'artiste n'extériorise il les choses que pour mieux les rejeter? (hors je pense qu'il essaye parfois de s'approprier les choses qu'il peint, d'où les représentations de la mort, du danger, d'animaux très forts et nobles, etc.)
C'est une possibilité, mais ici tu considères l'artiste comme individu. En tant que membre d'une communauté il peut aussi avoir un rôle à jouer, faire de l'art non pas égoïstement pour sa pomme mais aussi pour le reste de sa tribu (ou autre association loi 1901).


---------------
7 auteurs pour les écrire, des gens pour les acheter, 7 jeux pour les amener tous autour d'une table pour jouer, dans les pages du Lab où s'étendent 7 jdra.
n°217428
moutmout-l​e-mouton
nerfs en pelote
Posté le 11-03-2003 à 17:37:18  profilanswer
 

nicool a écrit :


 
Bravo pour le cynisme à deux balles ... cela semble tellement evident pour toi, c'est bien; mais peut être que pour d'autres il n'y a pas une réponse simple à cette interrogation, ou en tout cas peut être qu'ils ne se sont pas penchés sur cette question plus tôt.
 
Enfin, tout ça simplement pour dire que tes sarcasmes n'ont à mon avis rien à faire ici, et ne font pas avancer le débat!! Ou sont tes explications, tes arguments; la formalisation de tes idées, d'ailleurs enoncées de manière plutôt prétentieuse je trouve, qui es tu pour traiter de borgne celui qui ne sais pas décrypter "sa propre création", le sais tu mieux que lui? ta réponse n'est peut être pas la vérité?

je ne prétends pas détenir plus une quelconque Vérité, plus que n'importe ki ki mentirait en croyant en avoir le droit...
 
seulement g l'impression ke ce ki pourrait preske être une kestion interessante se perd vraiment dans du n'importe koi...
je trouve ke les questions de nur et surtt les raisonnements ki en découlent sont prétentieux et steriles
 
faut savoir si on cherche les choses en profondeur ou k'on se limite à la surface...
 
on parle de techniques, on parle de séduction, je vois déjà pas trop ce ke ça a à faire dans le questionnement énoncé : c déjà s'égarer...
 
 
m'enfin bon chacun est libre de penser ce k'il veut, je vous laisse dans votre masturbation intellectuelle  :sarcastic:  
vous suffit de peu...


Message édité par moutmout-le-mouton le 11-03-2003 à 17:39:42
n°217432
MickeyNox
chui plus là
Posté le 11-03-2003 à 17:38:05  profilanswer
 

la nature de toute espèce : survivre et se reproduire  
rien de plus normal !


---------------
https://robertsspaceindustries.com/orgs/EVILCORPFR Code de parrainage : STAR-BXK7-FBTM https://stellarcitizen.net/ Discord: -E- MickeyNox#5943 team: https://discord.gg/x7973SQqCd
n°217436
xsite
Extrémiste à deux balles
Posté le 11-03-2003 à 17:38:37  profilanswer
 

En même temps je pense que Misologue va venir vous mettre une claque à tous.


---------------
Sur les nerfs
n°217441
moutmout-l​e-mouton
nerfs en pelote
Posté le 11-03-2003 à 17:39:03  profilanswer
 

wave a écrit :


effectivement l'art exprime des émotions, et le sexe peut en faire partie.

:heink: le sexe, une émotion ?
 
une pleïade d'émotions et de sensations, oui...
 
mais une émotion, c un peu limité, non ?  
 
le sexe c surtt ce ki donne la vie...

n°217446
Infi888
Intermittent des forums
Posté le 11-03-2003 à 17:41:44  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

je ne prétends pas détenir plus une quelconque Vérité, plus que n'importe ki ki mentirait en croyant en avoir le droit...
 
seulement g l'impression ke ce ki pourrait preske être une kestion interessante se perd vraiment dans du n'importe koi...
je trouve ke les questions de nur et surtt les raisonnements ki en découlent sont prétentieux et steriles
 
faut savoir si on cherche les choses en profondeur ou k'on se limite à la surface...
 
on parle de techniques, on parle de séduction, je vois déjà pas trop ce ke ça a à faire dans le questionnement énoncé : c déjà s'égarer...
 
 
m'enfin bon chacun est libre de penser ce k'il veut, je vous laisse dans votre masturbation intellectuelle  :sarcastic:  
vous suffit de peu...


 
 :lol:

n°217458
Nicool
En bois, sauf les chèques...
Posté le 11-03-2003 à 17:45:16  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

je ne prétends pas détenir plus une quelconque Vérité, plus que n'importe ki ki mentirait en croyant en avoir le droit...
 
seulement g l'impression ke ce ki pourrait preske être une kestion interesante se perd vraiment dans du n'importe koi...
je trouve ke les questions de nur et surtt les raisonnements ki en découlent sont prétentieux et steriles
 
faut savoir si on cherche les choses en profondeur ou k'on se limite à la surface...
 
on parle de techniques, on parle de séduction, je vois déjà pas trop ce ke ça a à faire dans le questionnement énoncé : c déjà s'égarer...
 
 
m'enfin bon chacun est libre de penser ce k'il veut, je vous laisse dans votre masturbation intellectuelle  :sarcastic:  
vous suffit de peu...
 
 


 
Je me suis légèrement emporté c'est vrai et je ne sais si c'était mérité ou pas.
Mais un peu de tolérance ça fait pas de mal, chacun ici livre sa petite reflexion souvent pas très abouti parfois un peu merdique et parfois interessante.
 
Pas forcément interessante dans l'absolu mais interessante pour d'autres forumeurs qui vont trouver des propos auquels ils n'avaient pas songé, qui vont réfléchir sur un sujet qui ne les a pas forcément "inquiétés", donc appelle cela comme tu veux masturbation intellectuelle ou autre; pour certains sur ce topic il y a, il y a eu ou il y  aura une reflexion sur un sujet, et même si il n'obtient pas de réponse le simple fait d'avoir réfléchi est une bonne chose dans notre société de prêt à penser ... alors ok les arguments peuvent faire sourire les philosophes ou les experts dans le domaine concerné; mais ce n'est pas grâve, le but du forum n'est pas d'avoir des discussions entre experts.

n°217466
wave
Posté le 11-03-2003 à 17:47:01  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

:heink: le sexe, une émotion ?
 
une pleïade d'émotions et de sensations, oui...
 
mais une émotion, c un peu limité, non ?  
 
le sexe c surtt ce ki donne la vie...


j'ai un peu résumé mais je me comprends:D
 
et puis beaucoup des gens pratiquent bien + souvent le sexe pour le plaisir que pour donner la vie.

n°217470
MickeyNox
chui plus là
Posté le 11-03-2003 à 17:48:21  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

:heink: le sexe, une émotion ?
 
une pleïade d'émotions et de sensations, oui...
 
mais une émotion, c un peu limité, non ?  
 
le sexe c surtt ce ki donne la vie...


 
tu sais aujourd'hui il ya des moyens crontraceptif :D


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n°217496
Amazan
Pourquoi non ?
Posté le 11-03-2003 à 17:52:41  profilanswer
 

Au moment où l'artiste crée, généralement il n'est pas en plein dans l'acte sexuel.
Donc on peut rabaisser le sexe à une "simple" émotion, car il n'est ici que le souvenir de l'acte (et l'espoir de son éternel retour :D ).
 
Pour ce qui est de plaire, le besoin d'être rassuré sur sa valeur peut expliquer la volonté d'être reconnu par ses pairs.  
Le Caravage par exemple se foutait d'être rejeté par l'Eglise, était indifférent à l'admiration sans borne des autres peintres italiens, mais triste que le peuple ne soit pas touché par son art. Il peignait pour le peuple, en tout cas il aurait bien aimé.


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7 auteurs pour les écrire, des gens pour les acheter, 7 jeux pour les amener tous autour d'une table pour jouer, dans les pages du Lab où s'étendent 7 jdra.
n°217506
Misologue
Limbus Puerorum
Posté le 11-03-2003 à 17:55:24  profilanswer
 

nur a écrit :


Certes, mais il s'agit la du point de vue de l'observateur et non du créateur.
La question centrale est:
Qu'est ce qui pousse l'homme a créer une oeuvre d'art  ?
 
 


 
Nur, tu poses en réalité deux questions, qui sont indissociables : la première : peut-on dissocier la production artistique, de sa réception ? la seconde : qu'est ce que la création artistique ?
 
Dissocier la production artistique de sa réception, c'est en réalité hériter d'un état de fait : celui des avant-gardes, qui avaient décrété que tout pouvait être art...y compris un urinoir... Le public, vexé par cette auto position de l'art, se retranche également dans une idiosyncrasie commode : ses préférences deviennent -par un décrêt analogue au décrêt des avant-gardes - la mesure de l'expérience esthétique....  
 
Le fossé semble donc irrémédiable entre la production et la réception... Pourtant, si l'on n'essaie pas de lier les deux, on passe à coté de ce qui fait la spécificité de l'expérience esthétique...
 
J'ai défendu plus haut la thèse selon laquelle une oeuvre d'art ne saurait être que symptômatique, balayant par la même les crétineries psychanalytiques, qui ramènent tout à Erose et Thanatos... Pourquoi l'oeuvre est-elle plus que symptômatique ? Précisément parce qu'elle s'adresse à un public, critique qui plus est... Pour être reconnu comme artiste, le prétendant doit être reconnu comme tel par le public.  
 
Cela ne signifie pas que le public est à l'image d'un César, décidant d'un mouvement du pouce ce qui art et ce qui ne l'est pas... Le spectateur critique doit pouvoir fournir des raisons, justifiant son choix de reconnaitre ou non à un prétendant le statut d'artiste.  
 
On comprend dès lors pourquoi l'art ne saurait être symptomatique : une "telle oeuvre", purement idiosyncrasique est en contradiction avec la notion d'échange présupposée dans l'expérience artistique... Peut on en effet raisonnablement communiquer ce qui est infra-communicationnel, rationaliser ce qui est infra rationnel : une émotion ?On sait, apres Kant, que c'est impossible...
 
En aucun cas, des lors, l'oeuvre d'art n'est un symptome : il y a contradiction dans les termes. Pour prétendre au statut d'artiste, le candidat doit universaliser son expérience : il doit passer du symptome au symbole... C'est cette "prétention" artistique qui constitue la raison d'être d'une oeuvre...
 
Mais en derniere analyse, on peut dire que la relation qui lie l'artiste au spectateur est une relation de partage. Il y a donc bien un rapport intime entre les deux parties... Mais il ne s'agit en aucun cas d'un rapport de séduction.
 
 


---------------
"Les païens ont bien connu qu'il y avait quelque divinité souveraine, mais ils ont toujours voulu avoir une garenne de petits dieux à leur porte."
n°219894
l'Antichri​st
Posté le 12-03-2003 à 06:19:26  profilanswer
 

Quelle est l?origine de l?oeuvre d?art ? Autant poser directement la bonne question : si une oeuvre d?art est une oeuvre belle, peut-on expliquer la beauté de cette oeuvre ?
 
Mais cette question renvoie en fait à deux questions :
Peut-on expliquer la production d?une oeuvre d?art ? Et peut-on expliquer une oeuvre d?art par sa production ?
 
Mais aussi peut-on expliquer pourquoi nous trouvons une oeuvre d?art belle c?est-à-dire peut-on expliquer ce qui, dans l?oeuvre, nous la fait trouver belle et ce par quoi nous la trouvons belle ? C?est le problème du jugement esthétique.
 
Il est certain qu?il existe des conditions de production de l?oeuvre d?art : conditions techniques (cf. Poe, Philosophie de la composition), sociologiques (cf. Marx, Introduction à la critique de l?économie politique), psychanalytiques (cf. Freud, La création littéraire et le rêve éveillé, in Essais de psychanalyse appliquée). Toutes ces thèses souffrent du même mal : si elles peuvent rendre compte de la particularité de l?oeuvre, de la façon dont se présente la beauté, la beauté elle-même n?est pas expliquée. Quel est donc ce surplus qui fait que l?oeuvre appartient à la sphère de l?esthétique ? L?imitation des beautés naturelles ?
 
Alain, dans son système des beaux-arts, montre que l?oeuvre est belle par elle-même et non par l?objet (le modèle, si modèle il y a) qu?elle représente. Idée fondamentale que Kant, dans la Critique de la faculté de juger, formulera de la manière suivante : " L?art n?est pas la représentation d?une belle chose mais la belle représentation d?une chose ". Ce que représente l?art, ce n?est pas la vérité du modèle, mais la vérité de l?artiste. C?est l?âme de l?artiste qui se reflète dans son oeuvre (cf. Hegel, Esthétique). La beauté de l?oeuvre est donc subjective en ce sens qu?elle renvoie à la subjectivité de l?artiste. D?où la question : comment l?art, fondé sur la subjectivité de l?artiste peut-il être l?objet d?un plaisir objectif, universel ?
 
Heidegger tente de répondre à cette question dans Chemins qui ne mènent nulle part en se plaçant du côté de l?oeuvre elle-même : au-delà de sa présence matérielle qui en fait une chose, l?oeuvre d?art instaure une pure présence à l?intérieure de laquelle l?objet prend un autre statut pour devenir symbolique de l?humanité toute entière. L?art est le moyen d?une immersion dans la totalité, d?une remise en question de nos vicissitudes particulières dans le cours général des choses, d?une adéquation entre le temps de nos épreuves et l?universel temps commun à tous les hommes. Le propre de l?oeuvre d?art est de nous faire accéder au point de vue supérieur d?une contemplation sereine, en nous offrant la vision d?un ordre du monde dans lequel est inséré notre destin. Cette capacité à nous replacer dans l?humanité toute entière, est ce que Kant appelle le " génie " d?une oeuvre. Ce génie n?a de sens que s?il y a un homme pour l?éprouver.
 
C?est par l?effet produit qu?une oeuvre d?art acquiert son génie et devient belle. On ne peut parler de beauté que pour un amateur qui lui donne son sens et en jouît : " est beau ce qui est reconnu sans concept comme l?objet d?une satisfaction donnée " (cf. Kant, Critique de la faculté de juger). Non seulement c?est le jugement qui accorde sa beauté à l??uvre, mais la contemplation artistique elle-même, loin d?être passivité, pure réceptivité, conspire à la constitution de l?oeuvre. On retrouve alors le problème de la subjectivité de l?oeuvre d?art au niveau cette fois de l?amateur : si est belle l?oeuvre que nous déclarons telle, ne faut-il pas alors faire dépendre la beauté de l?oeuvre d?art de l?avis de chacun ? Tel est l?enjeu de la Critique de la faculté de juger : déterminer en quoi nos jugements esthétiques peuvent être objectifs et universels, même s?ils n?ont de sens que pour nous.
 
Le jugement par lequel nous déclarons une oeuvre belle est ce que Kant appelle le jugement de goût. Le jugement de goût est un jugement réfléchissant qui est indifférent à l?existence de l?objet. Autrement dit, la satisfaction associée au jugement de goût est désintéressée. Le plaisir que j?éprouve devant une chose que je trouve belle n?est ni l?agréable ni le bon, qui sont liés à des intérêts. L?agréable est ce qui plaît aux sens dans la perception : l?agréable entraîne une satisfaction pathologique. Le bon est l?objet d?une volonté raisonnable : le bon entraîne une satisfaction pratique (morale). Le beau est, lui, purement contemplatif, produit un plaisir désintéressé qui n?est lié ni à la morale, ni à mes désirs ou mes besoins. Le beau produit un plaisir libre : aucun intérêt, ni des sens, ni de la raison, ne nous oblige à donner notre assentiment. Comment expliquer le plaisir que nous ressentons ? Sans rentrer dans des détails techniques, le plaisir est celui que prend l?esprit à son propre fonctionnement lorsqu?une représentation permet à nos facultés de s?exalter mutuellement sans produire une connaissance déterminée : le plaisir esthétique est produit par un libre jeu de nos facultés. C?est en ce sens que ce plaisir n?est pas subjectif, particulier. En droit, on peut le poser comme universel c?est-à-dire comme universalisable. Dans le jugement de goût, nous éprouvons une correspondance avec nous-mêmes qui induit une correspondance entre moi et l?autre. Il suffit que je considère un objet, non pas pour son existence ou pour mon intérêt pathologique, mais quant à sa forme, pour que ce détachement marque une rupture avec ma particularité. En même temps, ce détachement constitue l?objet comme objet d?une reconnaissance universelle c?est-à-dire comme oeuvre d?art. Le plaisir est à la fois mon plaisir et comme partagé d?avance. C?est en ce sens que Kant pouvait dire : " est beau ce qui plaît universellement sans concept " : le plaisir que l?esprit prend à son propre fonctionnement, nous sommes en droit de postuler que tout homme à notre place l?éprouverait. Le plaisir est universalisable en ce que les facultés qu?il présuppose sont universelles. L?universalité du jugement de goût n?est donc pas objective mais intersubjective. La conclusion de Kant est alors la suivante : le goût est un sens commun ; il existe en l?homme un sens commun esthétique. L?oeuvre d?art m?unifie à moi-même et aux autres esprits.
 
Le problème fait alors rebond. Si nous pouvons comprendre le jugement de goût, ce qui nous plaît dans une oeuvre d?art, ce qui nous l?a fait désigner comme belle, peut-on alors expliquer sa production ? Le beau est ce qui est représenté sans concept comme l?objet d?une satisfaction universelle : le beau ne correspond à aucun concept. Par conséquent, on ne peut pas poser un concept comme fondement de la possibilité de création artistique. Du même coup, les beaux-arts ne peuvent pas eux-mêmes concevoir la règle d?après laquelle ils doivent réaliser leur produit. L?artiste lui-même ne saurait donner les règles de sa production. Aucun artiste ne peut montrer comment surgissent et s?assemblent ses idées, si riches de poésie et si grandes de pensée soient-elles, parce qu?ils ne le savent pas eux-mêmes et ne peuvent donc l?enseigner à personne. S?opérant sans concept, sans règle déterminée par des concepts, la production d?une oeuvre d?art ne saurait être, ni le fruit, ni l?objet d?une imitation. L?oeuvre d?art va servir, non comme d?un modèle imitable, mais comme héritage exemplaire (ce qui distingue l?art de la science).
 
Cette faculté de produire des ?uvres d?art ne correspondant à aucune règle, Kant l?appelle le « génie ». Qu?est-ce que ce génie artistique ? C?est un talent, un don naturel qui donne les règles à l?art. Ce talent appartient lui-même à la nature. Ainsi, peut-on dire que le génie est la disposition innée de l?esprit par laquelle la nature donne les règles à l?art. Les beaux-arts ne peuvent eux-mêmes concevoir la règle d?après laquelle ils doivent réaliser leur produit. Or, comme un produit de l?art ne peut être réaliser sans règle qui le précède, il faut que ce soit la nature qui donne la règle à l?art dans le sujet, par la concorde des facultés de celui-ci. Aux règles que l?on pourrait qualifier de « scolaires », de « mécaniques », qui sont la marque que l??uvre est conçue en tant que fin et n?est pas le fruit du hasard, règles déterminées dont on ne peut se libérer mais qui sont indispensables pour mettre une fin en oeuvre, on doit donc ajouter le génie comme disposition innée par laquelle la nature donne les règles à l?art ; règles qui constituent la matière des produits des beaux-arts, leur fond, leur essence, tandis que les règles appliquées par un talent formé par l?école en constituent la forme.
 
Le génie est donc :
 
1) Un talent qui consiste à produire ce dont on ne saurait donner une règle déterminée. Ce n?est pas quelque chose qui peut être appris. Dans ces conditions, sa première propriété est l?originalité.
 
2) Les produits du génie doivent pouvoir être des modèles c?est-à-dire des exemples pour l?élève. Sans avoir été engendrées par l?imitation et ne pouvant être imitées, les productions du génie doivent toutefois servir de mesure ou de règle au jugement.
 
3) Le génie ne peut décrire lui-même ou exposer scientifiquement la manière dont il réalise son produit : c?est en tant que nature qu?il donne la règle. C?est pourquoi, nous dit Kant, le mot « génie » est vraisemblablement dérivé de « génius » : l?esprit particulier donné à un homme à sa naissance pour le protéger et le diriger et qui est la source de l?inspiration dont procèdent ses idées originales.


Message édité par l'Antichrist le 12-03-2003 à 06:24:53
n°219895
Tetedeienc​h
Head Of God
Posté le 12-03-2003 à 06:23:59  profilanswer
 

L'Antichrist a écrit :

Quelle est l?origine de l?oeuvre d?art ? Autant poser directement la bonne question : si une oeuvre d?art est une oeuvre belle, peut-on expliquer la beauté de cette oeuvre ?
 
Mais cette question renvoie en fait à deux questions :
Peut-on expliquer la production d?une oeuvre d?art ? Et peut-on expliquer une oeuvre d?art par sa production ?
 
Mais aussi peut-on expliquer pourquoi nous trouvons une oeuvre d?art belle c?est-à-dire peut-on expliquer ce qui, dans l?oeuvre, nous la fait trouver belle et ce par quoi nous la trouvons belle ? C?est le problème du jugement esthétique.
 
Il est certain qu?il existe des conditions de production de l?oeuvre d?art : conditions techniques (cf. Poe, Philosophie de la composition), sociologiques (cf. Marx, Introduction à la critique de l?économie politique), psychanalytiques (cf. Freud, La création littéraire et le rêve éveillé, in Essais de psychanalyse appliquée). Toutes ces thèses souffrent du même mal : si elles peuvent rendre compte de la particularité de l?oeuvre, de la façon dont se présente la beauté, la beauté elle-même n?est pas expliquée. Quel est donc ce surplus qui fait que l?oeuvre appartient à la sphère de l?esthétique ? L?imitation des beautés naturelles ?
 
Alain, dans son système des beaux-arts, montre que l?oeuvre est belle par elle-même et non par l?objet (le modèle, si modèle il y a) qu?elle représente. Idée fondamentale que Kant, dans la Critique de la faculté de juger, formulera de la manière suivante : " L?art n?est pas la représentation d?une belle chose mais la belle représentation d?une chose ". Ce que représente l?art, ce n?est pas la vérité du modèle, mais la vérité de l?artiste. C?est l?âme de l?artiste qui se reflète dans son oeuvre (cf. Hegel, Esthétique). La beauté de l?oeuvre est donc subjective en ce sens qu?elle renvoie à la subjectivité de l?artiste. D?où la question : comment l?art, fondé sur la subjectivité de l?artiste peut-il être l?objet d?un plaisir objectif, universel ?
 
Heidegger tente de répondre à cette question dans Chemins qui ne mènent nulle part en se plaçant du côté de l?oeuvre elle-même : au-delà de sa présence matérielle qui en fait une chose, l?oeuvre d?art instaure une pure présence à l?intérieure de laquelle l?objet prend un autre statut pour devenir symbolique de l?humanité toute entière. L?art est le moyen d?une immersion dans la totalité, d?une remise en question de nos vicissitudes particulières dans le cours général des choses, d?une adéquation entre le temps de nos épreuves et l?universel temps commun à tous les hommes. Le propre de l?oeuvre d?art est de nous faire accéder au point de vue supérieur d?une contemplation sereine, en nous offrant la vision d?un ordre du monde dans lequel est inséré notre destin. Cette capacité à nous replacer dans l?humanité toute entière, est ce que Kant appelle le " génie " d?une oeuvre. Ce génie n?a de sens que s?il y a un homme pour l?éprouver.
 
C?est par l?effet produit qu?une oeuvre d?art acquiert son génie et devient belle. On ne peut parler de beauté que pour un amateur qui lui donne son sens et en jouît : " est beau ce qui est reconnu sans concept comme l?objet d?une satisfaction donnée " (cf. Kant, Critique de la faculté de juger). Non seulement c?est le jugement qui accorde sa beauté à l??uvre, mais la contemplation artistique elle-même, loin d?être passivité, pure réceptivité, conspire à la constitution de l?oeuvre. On retrouve alors le problème de la subjectivité de l?oeuvre d?art au niveau cette fois de l?amateur : si est belle l?oeuvre que nous déclarons telle, ne faut-il pas alors faire dépendre la beauté de l?oeuvre d?art de l?avis de chacun ? Tel est l?enjeu de la Critique de la faculté de juger : déterminer en quoi nos jugements esthétiques peuvent être objectifs et universels, même s?ils n?ont de sens que pour nous.
 
Le jugement par lequel nous déclarons une oeuvre belle est ce que Kant appelle le jugement de goût. Le jugement de goût est un jugement réfléchissant qui est indifférent à l?existence de l?objet. Autrement dit, la satisfaction associée au jugement de goût est désintéressée. Le plaisir que j?éprouve devant une chose que je trouve belle n?est ni l?agréable ni le bon, qui sont liés à des intérêts. L?agréable est ce qui plaît aux sens dans la perception : l?agréable entraîne une satisfaction pathologique. Le bon est l?objet d?une volonté raisonnable : le bon entraîne une satisfaction pratique (morale). Le beau est, lui, purement contemplatif, produit un plaisir désintéressé qui n?est lié ni à la morale, ni à mes désirs ou mes besoins. Le beau produit un plaisir libre : aucun intérêt, ni des sens, ni de la raison, ne nous oblige à donner notre assentiment. Comment expliquer le plaisir que nous ressentons ? Sans rentrer dans des détails techniques, le plaisir est celui que prend l?esprit à son propre fonctionnement lorsqu?une représentation permet à nos facultés de s?exalter mutuellement sans produire une connaissance déterminée : le plaisir esthétique est produit par un libre jeu de nos facultés. C?est en ce sens que ce plaisir n?est pas subjectif, particulier. En droit, on peut le poser comme universel c?est-à-dire comme universalisable. Dans le jugement de goût, nous éprouvons une correspondance avec nous-mêmes qui induit une correspondance entre moi et l?autre. Il suffit que je considère un objet, non pas pour son existence ou pour mon intérêt pathologique, mais quant à sa forme, pour que ce détachement marque une rupture avec ma particularité. En même temps, ce détachement constitue l?objet comme objet d?une reconnaissance universelle c?est-à-dire comme oeuvre d?art. Le plaisir est à la fois mon plaisir et comme partagé d?avance. C?est en ce sens que Kant pouvait dire : " est beau ce qui plaît universellement sans concept " : le plaisir que l?esprit prend à son propre fonctionnement, nous sommes en droit de postuler que tout homme à notre place l?éprouverait. Le plaisir est universalisable en ce que les facultés qu?il présuppose sont universelles. L?universalité du jugement de goût n?est donc pas objective mais intersubjective. La conclusion de Kant est alors la suivante : le goût est un sens commun ; il existe en l?homme un sens commun esthétique. L?oeuvre d?art m?unifie à moi-même et aux autres esprits.
 
Le problème fait alors rebond. Si nous pouvons comprendre le jugement de goût, ce qui nous plaît dans une oeuvre d?art, ce qui nous l?a fait désigner comme belle, peut-on alors expliquer sa production ? Le beau est ce qui est représenté sans concept comme l?objet d?une satisfaction universelle : le beau ne correspond à aucun concept. Par conséquent, on ne peut pas poser un concept comme fondement de la possibilité de création artistique. Du même coup, les beaux-arts ne peuvent pas eux-mêmes concevoir la règle d?après laquelle ils doivent réaliser leur produit. L?artiste lui-même ne saurait donner les règles de sa production. Aucun artiste ne peut montrer comment surgissent et s?assemblent ses idées, si riches de poésie et si grandes de pensée soient-elles, parce qu?ils ne le savent pas eux-mêmes et ne peuvent donc l?enseigner à personne. S?opérant sans concept, sans règle déterminée par des concepts, la production d?une oeuvre d?art ne saurait être, ni le fruit, ni l?objet d?une imitation. L?oeuvre d?art va servir, non comme d?un modèle imitable, mais comme héritage exemplaire (ce qui distingue l?art de la science).
 
Cette faculté de produire des ?uvres d?art ne correspondant à aucune règle, Kant l?appelle le « génie ». Qu?est-ce que ce génie artistique ? C?est un talent, un don naturel qui donne les règles à l?art. Ce talent appartient lui-même à la nature. Ainsi, peut-on dire que le génie est la disposition innée de l?esprit par laquelle la nature donne les règles à l?art. Les beaux-arts ne peuvent eux-mêmes concevoir la règle d?après laquelle ils doivent réaliser leur produit. Or, comme un produit de l?art ne peut être réaliser sans règle qui le précède, il faut que ce soit la nature qui donne la règle à l?art dans le sujet, par la concorde des facultés de celui-ci. Aux règles que l?on pourrait qualifier de « scolaires », de « mécaniques », qui sont la marque que l??uvre est conçue en tant que fin et n?est pas le fruit du hasard, règles déterminées dont on ne peut se libérer mais qui sont indispensables pour mettre une fin en ?uvre, on doit donc ajouter le génie comme disposition innée par laquelle la nature donne les règles à l?art ; règles qui constituent la matière des produits des beaux-arts, leur fond, leur essence, tandis que les règles appliquées par un talent formé par l?école en constituent la forme.
 
Le génie est donc :
 
1) Un talent qui consiste à produire ce dont on ne saurait donner une règle déterminée. Ce n?est pas quelque chose qui peut être appris. Dans ces conditions, sa première propriété est l?originalité.
 
2) Les produits du génie doivent pouvoir être des modèles c?est-à-dire des exemples pour l?élève. Sans avoir été engendrées par l?imitation et ne pouvant être imitées, les productions du génie doivent toutefois servir de mesure ou de règle au jugement.
 
3) Le génie ne peut décrire lui-même ou exposer scientifiquement la manière dont il réalise son produit : c?est en tant que nature qu?il donne la règle. C?est pourquoi, nous dit Kant, le mot « génie » est vraisemblablement dérivé de « génius » : l?esprit particulier donné à un homme à sa naissance pour le protéger et le diriger et qui est la source de l?inspiration dont procèdent ses idées originales.


 
copier coller monstrueux, et surtout, la seconde question a rien a voir avec la premiere.
 
L'origine de l'art a rien a voir avec sa consideration de beaute ou pas.
 
Bref, un tel post me parait denue de toute reflexion. C'est qu'un patchwork de "un jour un couillon a dit". Aucune valeur.


Message édité par Tetedeiench le 12-03-2003 à 06:28:51
n°219909
nur
Posté le 12-03-2003 à 07:09:34  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

je ne prétends pas détenir plus une quelconque Vérité, plus que n'importe ki ki mentirait en croyant en avoir le droit...
 
seulement g l'impression ke ce ki pourrait preske être une kestion interessante se perd vraiment dans du n'importe koi...
je trouve ke les questions de nur et surtt les raisonnements ki en découlent sont prétentieux et steriles

 
faut savoir si on cherche les choses en profondeur ou k'on se limite à la surface...
 
on parle de techniques, on parle de séduction, je vois déjà pas trop ce ke ça a à faire dans le questionnement énoncé : c déjà s'égarer...
 
 
m'enfin bon chacun est libre de penser ce k'il veut, je vous laisse dans votre masturbation intellectuelle  :sarcastic:  
vous suffit de peu...


 
Si tu avais lu tout et correctement, moutmout ,tu aurais constaté que je ne faisais qu'exposer a votre sagacité :sarcastic:  ce que j'ai entendu dans l'emission "evolution" sur Arte samedi soir. J'ai dis et repeté que je n'avais pas d'avis tranché sur cette question,je me contente de donner kk reflexions qui peuvent defendre un peu cette these,vu qu'elle est loin de faire l'unanimité ici (et dire que toi tu l'as trouve si evidente!).
Si tu quotais mes posts pour me montrer en quoi ils sont pretentieux,stupides ,superficiels et steriles  ça m'instruirait un peu :sarcastic:  
Tu pretend que parler de seduction c'est s'egarer mais c'est pourtant l'avis des scientifiques qui ont etudié la question,si tu es tellement plus en avance je te felicite.
Amazan a dit a peu pres ce que je  voulais dire ds ses 2 derniers posts.
Toi tu dis le sexe c'est la vie ,Quelle profondeur! :sarcastic:  avec ça tu pense avoir tout dit ?
au lieu de critiquer les autres(typique du manque de maturité),fait nous la demonstration de ton intelligence et de ton savoir sur le sujet,on ne demande qu'a s'instruire.
 
Bon a te lire (et d'apres ton ton peremptoire) je suis sur que tu as fait des etudes d'histoire de l'art.  
Moutmout, avant de critiquer et de denigrer les autres ,il faut balayer devant sa porte.  
Kkn de pretentieux et de superficiel ne serait-il pas tente d'imputer aux autres ses propres defauts ? :whistle:

n°219915
Profil sup​primé
Posté le 12-03-2003 à 07:14:35  answer
 

L'art n'a d'autre but que de seduire, sans distinction de sexe.

n°219917
nur
Posté le 12-03-2003 à 07:15:36  profilanswer
 

Canth a écrit :

L'art n'a d'autre but que de seduire, sans distinction de sexe.

tu adhere donc completement a cette these ?

n°219981
nur
Posté le 12-03-2003 à 09:15:32  profilanswer
 

Infi888 a écrit :

En ce qui me concerne, je considère plus l'Art comme une production interne et personnelle issue d'une reflexion cognitive et sensuelle de soi et/ou de l'extérieur. Cela sous-entend que l'art se suffit à lui même, n'a pas besoin de "spectateurs" pour être considéré comme une oeuvre artistique. Je dirais même plus, toute production qui a pour but autrui, n'est pas de l'Art. A partir du moment où l'artiste décide de plaire, il fait des concessions, il adapte son oeuvre à l'oeil des autres. Ce simple fait, fait tomber son oeuvre au même niveau que la parole ou l'écriture : un moyen de communication. Or, si l'on accepte mon postulat de départ comme quoi l'Art se suffit à lui même, l'Art ne peut pas être un moyen de communication.
Bien sur on peut apprécier l'oeuvre d'un artiste, mais c'est seulement parce que la puissance evocatrice de sa production déclenche en soi des sentiments, des sensations et des idées qui nous plaisent. Ceci peut se faire sans la volontée explicite de l'auteur. Là est l'Art... Pour moi...
 
A partir de cela, la réponse à la question d'origine devient simple : Non la séduction ne peut pas être le moteur de l'Art (ni la propagande, ne même l'"Art" religieux, ou politique, etc...) Attention, je ne dis pas que la production issue de ces objectifs est sans valeur ou laid, seulement je ne considère pas ça comme de l'Art, juste de la communication. Un moyen de convaincre les autres par la transmittion d'une connaissance par exemple.


 
donc...?

n°219988
Xamoth
Slapping young trads
Posté le 12-03-2003 à 09:19:51  profilanswer
 

Toxin a écrit :


 
Pourquoi tes questions sont toujours mal cadrées ?

parce qu'il "philosophe" uniquement pour seduire le sexe préposé opposé... :o

n°219995
Xamoth
Slapping young trads
Posté le 12-03-2003 à 09:22:18  profilanswer
 

Canth a écrit :

L'art n'a d'autre but que de seduire, sans distinction de sexe.

va dire ca a des artistes conceptuels ki font des assemblages de detritus... :sleep:

n°220007
nur
Posté le 12-03-2003 à 09:31:04  profilanswer
 

misologue a écrit :


 
Nur, tu poses en réalité deux questions, qui sont indissociables : la première : peut-on dissocier la production artistique, de sa réception ? la seconde : qu'est ce que la création artistique ?
 
Dissocier la production artistique de sa réception, c'est en réalité hériter d'un état de fait : celui des avant-gardes, qui avaient décrété que tout pouvait être art...y compris un urinoir... Le public, vexé par cette auto position de l'art, se retranche également dans une idiosyncrasie commode : ses préférences deviennent -par un décrêt analogue au décrêt des avant-gardes - la mesure de l'expérience esthétique....  
 
Le fossé semble donc irrémédiable entre la production et la réception... Pourtant, si l'on n'essaie pas de lier les deux, on passe à coté de ce qui fait la spécificité de l'expérience esthétique...
 
J'ai défendu plus haut la thèse selon laquelle une oeuvre d'art ne saurait être que symptômatique, balayant par la même les crétineries psychanalytiques, qui ramènent tout à Erose et Thanatos... Pourquoi l'oeuvre est-elle plus que symptômatique ? Précisément parce qu'elle s'adresse à un public, critique qui plus est... Pour être reconnu comme artiste, le prétendant doit être reconnu comme tel par le public.  
 
Cela ne signifie pas que le public est à l'image d'un César, décidant d'un mouvement du pouce ce qui art et ce qui ne l'est pas... Le spectateur critique doit pouvoir fournir des raisons, justifiant son choix de reconnaitre ou non à un prétendant le statut d'artiste.  
 
On comprend dès lors pourquoi l'art ne saurait être symptomatique : une "telle oeuvre", purement idiosyncrasique est en contradiction avec la notion d'échange présupposée dans l'expérience artistique... Peut on en effet raisonnablement communiquer ce qui est infra-communicationnel, rationaliser ce qui est infra rationnel : une émotion ?On sait, apres Kant, que c'est impossible...
 
En aucun cas, des lors, l'oeuvre d'art n'est un symptome : il y a contradiction dans les termes. Pour prétendre au statut d'artiste, le candidat doit universaliser son expérience : il doit passer du symptome au symbole... C'est cette "prétention" artistique qui constitue la raison d'être d'une oeuvre...
 
Mais en derniere analyse, on peut dire que la relation qui lie l'artiste au spectateur est une relation de partage. Il y a donc bien un rapport intime entre les deux parties... Mais il ne s'agit en aucun cas d'un rapport de séduction.
 
 

il me semble que tu (je m'excuse si je tutoie mais je le fais avec tout le monde ici) n'a pas precisement repondu au pourquoi de ce qui pousse l'homme a vouloir creer une oeuvre d'art,sa motivation (autre que materiel). Mais si j'ai bien compris, tu es partisan qu'il y a au moins le desir d'échange ,de communiquer a la base ?
 
Mais,puisque je ne l'ai pas fais jusque la,je vais donner mon avis perso:
Ce qui pousse l'homme a créer,d'apres moi, c'est un désir d'enfanter. Quelque chose de meme nature peut etre que son pendant chez la femme.

n°220023
moutmout-l​e-mouton
nerfs en pelote
Posté le 12-03-2003 à 09:41:23  profilanswer
 

nur a écrit :

il me semble que tu (je m'excuse si je tutoie mais je le fais avec tout le monde ici) n'a pas precisement repondu au pourquoi de ce qui pousse l'homme a vouloir creer une oeuvre d'art,sa motivation (autre que materiel). Mais si j'ai bien compris, tu es partisan qu'il y a au moins le desir d'échange ,de communiquer a la base ?
 
Mais,puisque je ne l'ai pas fais jusque la,je vais donner mon avis perso:
Ce qui pousse l'homme a créer,d'apres moi, c'est un désir d'enfanter. Quelque chose de meme nature peut etre que son pendant chez la femme.

pas ininteressante cette idée, puiske je dirais ke certains parallèles peuvent être faits durant le processsus de création, et son aboutissement, puis l'influence de l'oeuvre créée sur le reste des créations à venir et sur la façon de penser les oeuvres...
 
par contre...
ce ke je ne saisis pas c ce ke g mis en gras : je ne vois pas en koi la création serait le résultat de ce désir virtuel d'enfanter...et surtout : les femmes aussi créent...
 
 

n°220029
nur
Posté le 12-03-2003 à 09:45:35  profilanswer
 

L'Antichrist a écrit[/nom][g] ?
 
 
j'aime beaucoup cela:
 
 
 

Ce que représente l?art, ce n?est pas la vérité du modèle,mais la vérité de l?artiste.C?est l?âme de l?artiste qui se reflète dans son oeuvre (cf. Hegel, [s][i]Esthétique[/i][/s]). La beauté de l?oeuvre est donc subjective en ce sens qu?elle renvoie à la subjectivité de l?artiste


 
 
Sinon pour le reste, mon intention n'etait pas de discuter de ce qu'est l'art ou le beau (trop compliqué) mais de la motivation de l'artiste a créer. Mais cela n'enleve rien a l'interet de ton intervention bien sur.

n°220032
Nicool
En bois, sauf les chèques...
Posté le 12-03-2003 à 09:47:30  profilanswer
 

tetedeiench a écrit :


 
copier coller monstrueux, et surtout, la seconde question a rien a voir avec la premiere.
 
L'origine de l'art a rien a voir avec sa consideration de beaute ou pas.
 
Bref, un tel post me parait denue de toute reflexion. C'est qu'un patchwork de "un jour un couillon a dit". Aucune valeur.


 
C'est au contraire, à mon avis le post qui apporte le plus de réponses à la question, il est très interessant je trouve !
Et même si il est un copier coller d'idées de philosophes, ce n'est pas un problème, il apporte des pistes de manière méthodique.

n°220035
Nicool
En bois, sauf les chèques...
Posté le 12-03-2003 à 09:48:33  profilanswer
 

nur a écrit :

L'Antichrist a écrit  
 
 
j'aime beaucoup cela:
 
 
 

Ce que représente l?art, ce n?est pas la vérité du modèle,mais la vérité de l?artiste.C?est l?âme de l?artiste qui se reflète dans son oeuvre (cf. Hegel, [s][i]Esthétique[/i][/s]). La beauté de l?oeuvre est donc subjective en ce sens qu?elle renvoie à la subjectivité de l?artiste


 
 
Sinon pour le reste, mon intention n'etait pas de discuter de ce qu'est l'art ou le beau (trop compliqué) mais de la motivation de l'artiste a créer. Mais cela n'enleve rien a l'interet de ton intervention bien sur.


 
Il apporte des éléments de réponse interessants vis à vis de ça !!


Message édité par Nicool le 12-03-2003 à 09:50:09
n°220037
nur
Posté le 12-03-2003 à 09:49:42  profilanswer
 

MoutMout-le-Mouton a écrit :

pas ininteressante cette idée, puiske je dirais ke certains parallèles peuvent être faits durant le processsus de création, et son aboutissement, puis l'influence de l'oeuvre créée sur le reste des créations à venir et sur la façon de penser les oeuvres...
 
par contre...
ce ke je ne saisis pas c ce ke g mis en gras : je ne vois pas en koi la création serait le résultat de ce désir virtuel d'enfanter...et surtout : les femmes aussi créent...
 
 
 

ah tu vois quand tu veux tu sais me dire des choses gentilleqs :p  
 
Le desir d'enfanter c'est le desir de faire sortir kkc de soi. On dit bien accoucher d'une oeuvre non ?
Meme si les femmes enfantent naturellement,ça les empeche pas d'enfanter autrement .

mood
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