Reprise du message précédent :

J'acquiesce.  

Mon pere medecin specialiste ecrit sans faire aucune faute d'orthographe (je pense) mais c'est illisible. A choisir entre le sms stayle ou l'illisible tu choisie quoi ?
 
PS: je n'ai pas d'accent sur mon clavier qwerty

 
Je sais

Ca me démange...Je vais finir sur le topic conasse prétentieuse.

 
http://www.la-conjugaison.fr/du/verbe/choisir.php

 
Ah y a un topic "connasse prétentieuse" ?

 
 
Non mais explique moi la pertinence de ton truc là.
 
Un MOTO on le sort quand:
 
-Un type fais mine d'expliquer un truc que tout le monde a compris, et que donc personne n'a demandé
ou
-un type fais mine de demander s'il a bien compris, alors qu'il n'y a qu'une explication possible.
 
 
Quel est le cas qui nous concerne, présentement? Aucun.
 
Tu viens ramener ta fraise avec "tu oublies le "rédicger" ."
 
Et moi je t'explique pourquoi ces fautes-là ne sont pas relevées.
 
Alors remballe ton master mes couilles, parce que faut croire que c'était pas si évident pour toi

Visiblement, tu as omis de quoter mon smiley " " qui fait toute la différence Je plaisantais depuis le début, et je sais bien qu'il s'agit d'une faute de frappe ^^

Encore faut-il avoir suivi un enseignement de qualité.
Sans compter les multiples perturbations annexes liés à la réunion d'enfants/adolescents : bruit, dissipation, nombre d'élèves, familiarité avec le langage employé par le professeur, etc..
Et je ne pense pas forcément à une école difficile, mais aussi à un établissement de banlieue moyenne, voire pavillonnaire.
 
 

"Tout le monde" c'est un peu large, sinon subjectif, tu ne crois pas ?
 

Bien sûr. Rien à voir avec les personnes que l'on cotoye, l'éducation de son milieu familial, amical et professionnel, par exemple.
Quelqu'un n'ayant pas terminé le lycée, travaillant dans une usine de montage et habitué à fréquenter un milieu "populaire" est tout simplement un "feneant" mal éduqué par ses parents.
Et puis de toute façon c'est bien fait, il comprendra jamais rien à l'opéra, nah !    
 

En effet. Je n'ai jamais fait de latin, mais sans doute qu'une approche plus "historique" ou tout du moins différente d'un enseignement "classique" peut encourager un élève à s'intéresser à la linguistique, ou à une autre langue.
Evidemment, après il y a aussi des mauvais profs de latin.    
Sans parler des classes réduites : dans mon collège, nous étions un peu plus d'une vingtaine en classe entière, mais beaucoup moins durant les heures de latin, 8 ou 9 maximum.  
Une classe de moins d'une dizaine d'élèves est plus tenable, non ?
 
En passant, petite question personnelle, parmi tous les "chevaliers" du savoir-écrire de ce fil, beaucoup se sont-ils familiarisés avec le latin durant leurs études  ?

Pas moi.
 
 
Avec les latines, beaucoup plus déjà.

fallait evidemment que ça me tombe dessus    
 

Jamais fait de latin (je faisais déjà Anglais Allemand Espagnol, pas envie de rajouter une langue morte )

6 ans de latin  
mere instit, bac a 16 ans  
une faute par mot ( )

Je pense au contraire qu'entre deux langues dissemblables en surface, il existe des racines communes fondamentales et que la maîtrise de la langue maternelle est un prérequis incontournable à l'apprentissage d'une langue étrangère. Elle l'éclaire même considérablement. Comment imaginer apprendre dans de bonnes conditions une autre langue quand on n'a pas une bonne connaissance et compréhension des mécanismes de base du français ? Cela me semble malheureusement impossible.
On voit le résultat quand les collégiens sont confrontés à l'apprentissage de l'anglais ou toute autre langue étrangère au moment même où ils sont souvent bien incapables de percevoir la logique qui gouverne leur propre langue.

Tu dis des mots trop longs.
 
Mais tu as raison

 
J'ai eu du mal avec ma langue maternelle, langue que j'écrivais presque phonétiquement pendant les années passées sur les bancs de l'école française.
Cela ne m'empêche pas pour autant d'écrire "correctement*" le français qui reste pour moi une langue "étrangère" (*sauf les accents é è qui me saoulent )
AMHA il faut, avant toute chose, donner l'envie d'apprendre
 
De plus, on entend souvent qu'il faut éviter de réfléchir en français lorsque l'on apprend une langue étrangère.

 
3 ans de latin, j'en ai pas retenu grand chose, juste quelques phrases d'une pièce de théâtre et mes déclinaisons (Les 3 premières, rosa, dominus et cives). Ca ne m'a absolument pas aidé pour le français.
 
Pour les langues étrangères, ce n'est pas qu'il faut éviter de réfléchir en Français, c'est que plus tu es bon dans la langue, moins tu le fais, jusqu'à ne plus le faire. Y a un déclic qui se fait, moi qui suis d'un excellent niveau en anglais, quand je parle anglais : dés que je recommence à parler anglais, petit à petit, je vais me remettre à "penser en anglais" (pour reprendre ton expression, même si je suis pas d'accord, cf plus loin), en fait, à recabler l'anglais dans mon cerveau, et là, c'est parti mon kiki.
 
C'est par contre totalement HS. Et selon moi, je ne pense pas en français ni en anglais, si je prends ton expression à la lettre. Je ne me parle pas à moi même. J'émets des concepts, mais il n'y a aucun mot. Ca doit être chiant de penser en se parlant toujours à soi même : obligé d'engoncer des idées dans des mots, donc de les déformer...

sans le latin, sans le latin, la messe nous....

J'étais nul en français, je suis moins nul maintenant. J'ai fait un peu de latin et je pense que cela m'a principalement aidé pour la grammaire et un peu pour l'orthographe via l'ethymologie.

Etrangement je connais mes règles de grammaire et réussissais sans problème mes exercices mais impossible de ne pas me tromper en dictée. Problème de concentration j'imagine. Par contre là où j'ai du mal c'est pour construire mes phrases. Surement un manque de lecture dans ma prime jeunesse. :Et je ne sais pas trop comment corriger cela