Reprise du message précédent :
C'était quoi dans sa tête la prochaine étape après avoir posé la feuille sur l'écran?  

 
J'ai pas pris mes cachets ce matin  

Putain, Daphne  
 

Si je savais  

drap  

Ah tiens, une mignonnette.
Toujours dans les stagiaires (quoi qu'elle a du faire un cdd après elle   ).
 
Une demoiselle franchement super gentille, mais nunuche a souhait. Un vrai enfant. Qui s'émerveille pour tout avant de s'effondrer en larme pour que dalle, brayf, gentille...
 
On l'a gardée quelques temps parce qu'au moins elle savait écrire.  
Et puis elle faisait des gâteaux parfois
 
Donc, nunuchette me rédige une vente toute bête d'une maison. Je vérifie son acte avant que ca parte chez le grand chef. Je corrige des bricoles, et j'arrive aux diagnostics techniques.
Elle me marque que y'a pas d'amiante.
Je vérifie dans le diag, si, y'en a.
Du coup je termine mon bordel, et j'y fais un débrief, en lui disant qu'elle s'est gourée, que y'a de l'amiante.
Elle répond : "ben pourtant j'avais cliqué que c'était négatif"
La, je freeze. Ca monte doucement. Je comprend ce qu'elle veut dire. Le logiciel avec lequel on rédige nous "pose des questions" pour progressivement sortir des clauses.  Genre la phrase sur l'amiante c'est "est ce qu'un contrôle a été effectué" et "est il positif ou négatif" ?
Donc j'y dis "tu sais qu'un contrôle négatif, ca veut pas dire que les conclusions sont "mauvaises" mais que le technicien n'a pas trouvé d'amiante?"
Et la elle est devenue toute rouge toute rouge toute rouge.
 
Un enfant.    
 
 
Une autre fois, je contrôle un autre acte. Elle me dit que y'a pas de plus value immobilière dans la vente. Je checke le bordel, je vois pas comment elle me trouve pas de plus-value. Donc je retourne la voir, et je lui demande son explication. Elle me dit "ben il revend quat'centmille, et il a acheté presque un million, on est large".  
Je rétorque : en quelle année meuf ?
Elle me dit : ben....*cherche* 1997 !
J'y retourne : donc c'était quoi comme monnaie ?
Elle : hein ?
Moi : c'était ptet bien des francs et pas des euros non ?
Elle devient toute rouge toute rouge toute rouge et se fait un facepalm.    
 
Elle m'en a fait un tas des machins comme ca.
 
Mais elle était mimi.

Bien que vos histoires sont parfaitement crédibles et réelles, j'ai quand même envie de croire au fake pour le bien de l'humanité

Quand elle venait dans mon bureau se faire un café avec la machine Senseo, pour pas déranger je suppose, elle marchait comme ça :

 
Y'a des trucs que j'ai dû lui expliquer 10 fois sans qu'elle pige rien, elle répondait "c'est pas logique"  

Ouhhhhhhh......... tu me sembles bien jeune, frais et innocent toi !  

Pour être franche, je me suis souvent demandé si elle le faisait pas un peu exprès pour se foutre de nous. J'ai jamais réussi à savoir.

Daphne
 
Ça doit être usant de bosser avec quelqu'un comme ça.

Elle était pas dans mon bureau mais venait souvent me demander des trucs qu'elle comprenait pas, je pense que j'ai été sans vraiment le vouloir assez sèche à certains moments, à bout à force de répéter les mêmes trucs cinq fois, dix fois.
Elle était dans le même bureau que ma collègue qui en pouvait plus et se plaignait tous les jours à mon chef qui voulait rien faire (il a réalisé seulement plus tard...)
Des fois on reparle d'elle dans le service et on en rigole Un peu jaune mais on en rit

Dans ces situations, le truc qui fait pencher la balance c'est si la personne reconnait sa bourde ou pas.
 
Le pire c'est les boulets qui sont de mauvaise foi.
 
On a "perdu" un produit à 150 k€ dans mon ancienne Cogip parce que la livraison avait été faite au siège social du client alors qu'il fallait livrer l'usine dans un autre bled dont l'adresse était inscrite au verso du bon de commande.
Le client nous l'a faite à l'envers : j'ai rien reçu donc DTC pour le paiement. Quand on a cherché le pourquoi du comment, la source de la boulette nous a soutenu que bon, lire le bon de commande en entier (i.e. les deux pages) n'étaient pas nécessaire et que donc elle ne le faisait jamais et que voilà, c'était pas de sa faute si le client il donne des instructions au verso des documents…
 
Là, c'est usant !

Daphne Le smiley et tout

Ben encore une fois, vu comment j'ai galéré à trouver du boulot, voir des gens incompétents embauchés me choque  

Y a une constante je trouve dans les récits : les incompétents finissent par dégager ou sont embauchés pour de courtes missions. Faut se dire qu'ils doivent être souvent au chômage !  

ouais, le smiley était magique

Je quote pour mettre +1 au compteur.
Merci.

Hummm je vois pas comment c'est possible,.si il réceptionne un produit, j'imagine qu'il a signé quelque chose. Donc heuuu

Putin   et le smiley chien parfait en effet

C'est clair...
 
Je n'ai pas travaillé directement avec lui mais on a eu un collègue et on m'en a raconté des pas tristes :
- quand il envoie un mail, il va ensuite voir le destinataire en direct pour lui demander s'il l'a bien reçu.
- Il roule en dessous de la vitesse minimale sur l'autoroute parce qu'il a la trouille d'avoir un accident.
- Il ne supporte pas de changer de boulot, il passe son temps à se plaindre de ne plus pouvoir faire ce qu'il aimait bien faire lors de sa précédente mission et ne veut pas suivre la formation pour la nouvelle mission.
- Il a fait tout un scandale quand il a découvert qu'une collègue FEMME plus jeune et plus diplômée que lui gagnait plus que lui... il a exigé d'être mieux payé qu'elle alors qu'à cause du changement de mission il ne rapportait plus rien à la boîte
- Il ne supportait tellement pas tout ça qu'il est allé se plaindre pour rien à l'inspection du travail... voilà, viré pour faute grave

 
Mouai...puis au pire pour marchandise perdue, y a bien l'assurance de quelqu'un qui joue...surtout pour 150K€, j'ai du mal à le concevoir

 
Tu parles de francs... J'en ai une jolie.
 
Un nouveau rédige un acte de cession de parts de société civile agricole. C'est lui qui doit animer la séance de signatures, je suis en déplacement.
 
A l'époque, en principe, les actes de cession sont taxés à 4,80 % du prix de cession ; mais par exception, les actes de cession de parts de société civile agri sont taxé au droit fixe de 500 francs.  
 
Je briefe donc mon nouveau par téléphone avant qu'il ne fasse sa séance de signatures avec le client : "tu demandes au client un chèque de 500 à l'ordre du trésor public. Puis tu vas à l'enregistrement. Si la personne au guichet te dit que c'est du 4,80 %, tu dis non, tu dis que c'est 500 balles art 730 bis CGI : attention, ce régime dérogatoire est parfois mal connu, aux impôts ils se trompent souvent...."
 
2 heures plus tard le client m'appelle fou de rage sur mon portable : "on m'avait annoncé 500 et c'est faux : j'ai du faire un chèque de 23 000 !!!"
 
Je découvre donc qu'après la signature, le client est allé lui-même à l'enregistrement alors que c'est mon nouveau qui devait y aller.  
 
Je vais voir mon nouveau : " ben ouais je sais mais j'allais pas perdre une heure pour aller aux impôts pour une formalité super simple que le client acceptait de faire lui-même..."
 
"...en désobéissant à mes instructions donc. De plus, l'accomplissement par nos services de la formalité ça fait partie de nos honoraires. Et tu avais bien pensé à alerter le client sur le fait que c'était 500 et que si on lui disait 4,80 % il fallait absolument refuser de faire le chèque ?"
 
"Heu"
 
 
 
J'ai réussi à récupérer les 22 500 francs payés en trop.    
 
6 mois plus tard.  

L'illettré de l'ex-cogip

Ça lui a prit bien 1/4h pour pondre ça

Le reste du cheptel était du même tonneau

Son entourage avait peut-être déteint sur lui ?  

 
Y'en a pourtant plein qui font doublons avec https://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
 
Je te conseille d'alloir voir et éventuellement de filtrer avec mon pseudo, tu vas pleurer.

J’ai envoyé une stagiaire avocate avec un brief très sec en audience de Conciliation. Il fallait être très ferme, car la position était tenable en droit mais moralement... disons délicate. Ordre de refuser quoi que ce soit. Et tenir son client.  
 
Pas l’affaire du siècle je vous rassure.  
 
Elle me revient deux heures plus tard “on a transigé. La juge a vraiment insisté.” Aaaaaaaaaaaa
 
En l’occurrence le client avait accepté la transaction et on a récupéré l’affaire différemment bien après.  
 
J’ai prié la stagiaire d’aller finir son stage ailleurs.

Pas mal  
J'ai faiili rater ton histoire, vu que tu as édité ton post pour l'inclure

 
Ben lancer le logiciel qui scanne avec l'écran, voyons !    

Oups

Il y a 20 ans à la fac, au sein de la scolarité il y a eu une jeune pour l'été :
 
La chef lui donne un listing des vieux qui surveillent les partiels, en lui disant qu'ils ne peuvent le faire que jusqu'à 65 ans. Son boulot était donc de calculer la date du 65ème anniversaire de chacun
Naturellement, elle a procédé comme suit :
. 1999 - année de naissance de la personne => donne son âge
. 65 - âge de la personne => nombre d'années restantes
. 1999 + nombre d'années => année des 65 ans
   
 
Quand je lui ai dit de faire Année de naissance + 65, elle m'a regardé avec de grands yeux et m'a demandé si j'étais sûr de moi    
 
--
 
La même, après des partiels, on lui demande de sortir les attestations de réussite avec la mention. Elle avait une formule Excel pour calculer cette mention (passable, bien, très bien).
Elle a fait plus que demandé, en imprimant pour toute la promo... avec des attestations de réussite mention refusé !    
(elle n'a pas compris tout de suite le problème)
 
 

Règle non valable dans la fonction publique.

J'ai eu quelques cas assez gratinés aussi. Un exemple.  
 
Je bossais pour un dépanneur automobile, et on était chargé, avec l'équipe du plateau téléphonique, de réceptionner les appels, et en fonction de l'humeur de la chef de plateau, de les dispatcher aux dépanneurs ensuite. La journée on était jusqu'à 8 filles sur le plateau, mais la nuit on se retrouvait toute seule, pour tout faire. Ce qui n'était pas gênant dans le fond, les dépanneurs de nuit étant hyper sympas, et on ne se coltinait pas les humeurs des chefs de plateau.
 
Comme le patron de la boîte était un gros connard, le turn over était assez important, donc on devait former régulièrement de nouvelles filles pour le poste. Arrive donc une nouvelle, on me dit "T. c'est à toi de la former !". OK, le taf est simple et en règle générale, une après midi en doublon suffit pour acquérir les bases. Je commence à lui expliquer, elle acquiesce à tout ce que je dis avec enthousiasme, elle semble comprendre. Je la lâche devant le PC et lui dit de prendre le prochain appel. Elle regarde le téléphone (qui pouvait prendre jusqu'à 5 ou 6 ligne par poste) et me dit "Comment on fait ?".
C'était la première chose que j'avais voulu lui expliquer, et elle m'avait assuré s'être servi du même modèle dans son précédent taf, et qu'elle n'avait pas besoin d'explications. Je lui dis juste de décrocher une ligne, et on verra pour le double appel/rappel/mise en attente ensuite (Au final elle n'a jamais maîtrisé le double appel. Elle faisait toujours mine d'être hyper occupée quand les téléphones sonnaient partout, mais plusieurs fois elle a été surprise à faire semblant de téléphoner... genre dans le vide, sans même un numéro d'affiché sur la console).
Je fatigue assez rapidement de cette fille, surtout qu'elle ne semble avoir absolument rien retenu du peu que je lui ai dit. Et qu'elle n'a pas pris de notes. "Non mais j'ai bonne mémoire ! Ça va aller !". Je fini par lui donner un livret que j'avais créé avec un "pas à pas" de "comment noter une mission". (et tout le reste mais ça on allait pas l'aborder tout de suite...). Elle ne s'en est jamais servi. Bref.
 
Je la refile à une copine de plateau et je vais prendre ma pause. Quand je reviens au bout de 30 min, ma pote me fait "Mais tu ne lui as rien expliqué ou quoi ? Elle me dit que tu lui as pas dit ça, et ça "(la base de chez base). OK. Ça commençait très mal. Je corrige le tir avec ma collègue en lui disant que j'ai fais comme d'habitude avec une nouvelle, elle connait le topo, c'est pas la première qu'on forme. Elle la garde le reste de l'après midi et lui répète les mêmes choses que moi. L'opération sera renouvelée 4 fois en 2 jours avec différentes chargées d'assistance, parce que "mais je comprend pas bien toutes les explications, elles expliquent pas bien !".
 
Il s'avère donc que cette nouvelle recrue était une menteuse pathologique, et qu'elle tentait de faire ami-amie avec tout le monde en mentant en permanence. Le jour même de son arrivée, elle me racontait qu'elle avait passé plusieurs mois dans le coma parce qu'elle avait été renversée par une voiture lors d'une sortie scolaire, et que depuis elle touchait une pension, et qu'elle avait des soucis d'attention parfois... Elle m'a sorti un vague papier pour prouver ses dires le lendemain (dans ma tête c'était "Mais WTF pourquoi elle me montre ça ?" ). Quelques semaines plus tard, une chargée d'assistance vient me voir parce qu'elle me trouvait trop dure avec la "nouvelle". Ben oui quand tu fais connerie sur connerie et que tu m'accuses, je ne laisse pas passer hein. Donc la chargée me fait "Il faut être gentille avec elle, elle a eu un accident de voiture, elle a failli en mourir et son petit frère est handicapé depuis !" C'est là qu'on a compris qu'elle poussait la mythomanie assez loin. Donc je dis à ma collègue que la nouvelle ne m'a pas raconté du tout ça, je lui donne la version que j'ai eu, ma collègue tombe des nues. Et au final, on apprendra qu'elle a raconté 3 ou 4 versions de ce fameux accident à différentes personnes...
 
Un jour, en riant, j’évoque le fait que si mon mec veut m'offrir des pompes, ça serait des Louboutin parce que j'adore cette marque (bon surtout leurs semelles rouges). 3 ou 4 jours après, elle revient et me dit "ah mais tu sais pas, mon frère m'a offert des chaussures ! Et devine quoi ! C'est des Louboutin !" Je la regarde et elle me dit "Tu voudras que je te les montre ?". Je lui répond d'un air blasé que j'en ai rien à faire de voir des pompes qui ne m'appartiennent pas. Surtout que la veille ou l'avant veille, elle nous avait raconté que son frère était au chômage et "il ne touche pas beaucoup de sous tu sais !". On a jamais vu la couleur des semelles de ses fameuses Louboutin.
 
Elle faisait souvent la mijaurée auprès des dépanneurs. Une fois, l'un d'entre eux explique qu'il met de côté des sous pour se payer une Audi, un modèle sportif assez cher. Quelques jours après, elle va discuter avec lui et lui annonce qu'elle va offrir la fameuse Audi dont le dépanneur rêvait à son frère. "Ben oui je lui offre pour son anniversaire, j'ai mis tous mes salaires de côté pour lui payer !". Elle ne bossait chez nous que depuis 4 mois (et n'avait pas encore été viré alors qu'elle était assez nulle, mais mon patron avait du mal à recruter des pigeonnes pour bosser avec lui). Donc 1500 * 4, ça ne faisait que 6000 euros à tout casser... "Mais si ça sera suffisant, j'ai des contacts avec un garagistes, il peut me l'avoir pour 10 000 euros !". Quand le dépanneur, intéressé par la bonne affaire -on le serait à moins 4 fois moins cher qu'en concession !- lui demande le nom de son pote garagiste, elle bafouille un truc, et pour une fois répond la première au téléphone qui sonne...
 
Elle avait travaillé un peu de nuit et les dépanneurs s'étaient plaint qu'au lieu de leur envoyer les missions, elle attendait... parfois une heure trente avant de leur envoyer (alors qu'on avait des délais d'intervention de 45 min théorique. Voire 30 min la nuit...).  
Il s'avère que la nuit, jusqu'à environ 2h du matin, elle passait son temps à téléphoner à sa famille qui ne vivait pas en France. Avec le téléphone du bureau. Et comme elle ne savait pas prendre un double appel, les assistances appelaient dans le vide. Plusieurs fois d'affilés. Et donc ont fait remonter les incidents de transmissions. Qui correspondait à ses horaires de nuit à elle. Elle a nié, en disant que ce n'était pas vrai. Quand la R.H. lui a dit que tout allait être vérifié, elle ne s'est pas présenté le lendemain soir. Autant dire qu'elle n'a manqué à personne.
 
Bonus : on l'a surprise plus d'une fois à dire quelque chose au téléphone. (on était plusieurs à guetter ce qu'elle racontait, vu qu'elle avait tendant à tout nous mettre sur le dos quand ça tournait au vinaigre). Quand on lui disait "Tu as dis ça alors qu'il fallait dire ça" (genre donner une mauvaise adresse en sachant qu'elle donnait une mauvaise adresse), elle niait. Systématiquement. Alors qu'on était plusieurs à l'avoir entendu.
 
 
 

Sacrées histoires ^^

Moi, je me suis "contenté" d'avoir un employé qui puait. Mais qui PUAIT sa mère.

Quand il était dans un local (un magasin, un dépôt, ...), un truc de 100 - 150 m², l'odeur et l'ambiance devenait INTENABLE en quelques ... secondes.

On pourrait que j'exagère, mais non

Il m'a fallu quelques mois pour m'en débarrasser, et on m'en parle encore aujourd'hui.

Je lui avait acheté des vêtements, pour travailler (surtout, pour lui donner la possibilité de se changer), il les portait des semaines, tous les jours

Je me suis retrouver à ne plus pouvoir l'envoyer sur des interventions, les clients refusaient qu'il intervienne...

Ba voui, avec un niveau bts t es tout juste bon à dépanner un pc quand avec un bac+5 tu es tellement au dessus  

Très sérieusement, j' affirme  qu'un bon service desk est le maillon le plus important d'une chaîne de support.

Non mais ça a beau être le maillon le plus important d'une chaîne de support, un niveau BTS ne gagne en général pas 2k net par mois, surtout en 35h, peu importe le secteur, en début de carrière du moins

J'ai un peu lu, ça m'a un peu rappelé mon enfance où j'étais le seul de toute ma famille entière (étendue) à maîtriser un peu l'informatique et où on me demandait moultes trucs en pernanence.

Il puait genre il ne se lavait pas du tout ou il puait à cause d'une pathologie ?
 
Un collègue qui pue j'ai déjà dû supporter ça... Et encore, c'était pas vraiment de sa faute car il était incontinent (ça se sait vite rien qu'à l'odeur...), mais je me disais qu'il pourrait changer plus souvent de vêtements quand même. Sauf que c'est délicat d'en parler...
 

C'est délicat mais comme souvent la personne ne s'en rend pas compte, c'est généralement la seule solution.
Mes collègues m'avaient raconté l'histoire d'un mec qui puait tellement qu'ils devaient laisser la fenêtre du bureau ouverte même en plein hiver. Un jour le chef (qui ne restait jamais assez longtemps dans le bureau pour s'en rendre compte) leur demande pourquoi ils sont en doudoune avec la fenêtre ouverte, les collègues expliquent.  
 
Le chef a pris son courage à deux mains, pris le puant à part et lui a demandé de faire un effort pour prendre des douches de temps en temps. Ben après ça allait mieux !
 
Cinq minutes de discussion bien gênante, mais ensuite le problème était réglé.

 
bah oui un collegue lui a dit qu'il faut mettre sa feuille sur la vitre