Pour moi le "bien" absolu serait quelquechose qui construit sans rien détruire, et le "mal" absolu quelquechose qui détruit sans rien construire.
Les deux extremes n'existant sûrement pas, on peu seulement dire "c'est plutôt bien" ou "c'est plutôt mal" .
Et par exemple la pensée, je ne sais pas vraiment si on peu dire qu'elle peu construire ou détruire, tout dépends de ce qu'on en fait.
Pour ce qui suit j'essaye juste d'exprimer deux trois trucs en me basant sur l'affirmation de dessus (mais je me rends compte que c'est un peu puéril...) :
Ensuite me vient en tête la création de l'univers, puisqu'on ne sait pas ce qu'il y avait avant, et bien je dirais que c'est le "bien" parfait pour l'instant. La création des planètes est pratiquement tout aussi "bonne" (evidemment il y a eu transformation, donc déstruction, mais on peut juger qu'il y a eu beaucoup plus de créé que de défait), ensuite la création de mère nature, là encore rien n'est détruit je pense.
Ensuite viens les animaux, puis l'Homme, et c'est là que tout s'écroule, il a fallu luter contre d'autres éspèces, contre nous-même, contre la nature, détruire pour construire... L'Homme n'est pas "bon" comme l'est son environnement, mais ceci depuis toujours, on peu considerer que ce n'est à la base pas sa faute, mais qu'il devrait (aurait déjà du ?) s'améliorer et chercher à construire sans détruire, tout simplement pour se préserver.
Maintenant question : le bien est-il comparable à la perfection, est-ce que la perfection est un ensemble cohérent du bien et du mal ?
Le "bien" est-il vraiment bon ou est-il aussi mauvais que le "mal" ? Ne devrions-nous pas preferer une parfaite impartialitée ?